La Finlande évalue les possibilités pour organiser un GP de F1

AKK Motorsport, la fédération automobile finlandaise, va étudier la faisabilité d’un Grand Prix F1 sur le circuit KymiRing, qui actuellement en pleine construction à moins de 150 km au nord d’Helsinki.

A partir de 2020, le circuit KymiRing va accueillir la manche finlandaise du MotoGP, mais la Formule 1 pourrait aussi avoir son Grand Prix en Finlande, si l’on en croit le patron de l’AKK Motorsport.

« Nous ne voulons pas une course à tout prix, mais nous voulons voir si la Finlande a un intérêt, des opportunités et une vraie raison d’organiser ce Grand Prix à l’avenir. Il y a des analyses approfondies à faire. » explique Tatu Lehmuskallio à la publication finlandaise Moottori Urheilu.

Les installations du KymiRing sont déjà construites à 80%, alors que le tracé devrait mesurer à la fin des travaux 4,6 km. L’asphalte devrait être posé en juillet et les premiers essais MotoGP sont pour la fin du mois d’août.

Mais il faudra surtout que le KymiRing obtienne de la part de la FIA le fameux grade 1, sésame obligatoire pour pouvoir accueillir la Formule 1 à l’avenir.

Rappelons que la Finlande n’a jamais organisé de Grand Prix F1, il s’agit du seul pays à avoir trois champions du monde de F1 [Kimi Raikkonen, Keke Rosberg et Mika Häkkinen], mais a ne pas avoir eu de course.

Ricciardo voulait signer une année avec Red Bull, avant de se rétracter

Avant de prendre sa décision de quitter l’équipe Red Bull Racing, Daniel Ricciardo admet qu’il a dû profondément réfléchir, tout en pesant les pour et les contre, au cours des dernières semaines avant d’annoncer son choix de rejoindre l’équipe Renault en 2019.

Le pilote australien avait le choix entre rester chez Red Bull en 2019 et utiliser un moteur Honda ayant une mauvaise réputation, ou bien rejoindre une autre écurie, qui pourrait lui permettre de signer des victoires et peut-être même décrocher le titre.

Interrogé pour savoir si Red Bull lui avait offert tout ce qu’il avait demandé, l’Australien a répondu : « Je ne sais pas, je suppose que c’était proche de ce que je voulais. Il y avait quelques petites choses. J’avais l’habitude de faire un contrat de deux ans, et parce que je m’étais déjà demandé si je voulais faire une autre année là-bas ou bien faire deux ans … » explique Daniel Ricciardo à Racer.

« j’étais un peu inquiet avec moi personnellement; avec ma motivation, je n’étais pas certain qu’elle soit toujours là. »

« Je pensais juste que si Honda ne travaillait pas, j’aurais passé une année de frustration. Est-ce que je voulais vraiment passer une autre année comme ça, ou est-ce que je voulais juste en finir ? »

« Au début c’était une question qui me préoccupait, et donc, je me suis dit : « Ok, essayons de pousser pendant un an, et puis si le Honda fonctionne, tant mieux, nous prolongerons et ainsi de suite, c’est facile. »

« Mais un an, j’ai pensé que c’était risqué. J’avais l’impression de ne rien obtenir en signant une année. Je ne savais pas, cela ne se fait pas comme ça, donc, je voulais, et puis je ne voulais plus vraiment à la fin. »

« Donc, je ne savais pas quoi faire, deux ans, je ne pensais pas vraiment vouloir, et une année, cela m’aurait de nouveau placé dans la même position dans douze mois, et je ne voulais pas me retrouver dans la même position dans douze mois, pour être honnête, ça commençait à devenir fatiguant. »

Daniel Ricciardo fera équipe avec le pilote allemand Nico Hulkenberg cette année chez Renault.

L’arrivée de Honda chez Red Bull a ravivé la passion d’Adrian Newey

Selon Helmut Marko, le consultant Motorsport chez Red Bull, Adrian Newey, le père des Red Bull championnes du monde, a retrouvé une certaine motivation avec l’arrivée du motoriste Honda chez Red Bull Racing.

Newey avait perdu sa motivation au cours des dernières années, et avait même pris du recul par rapport à la Formule 1. Mais l’annonce d’un partenariat entre Red Bull Racing et Honda pour 2019 a ravivé sa passion selon Marko.

« Newey ne veut plus d’une journée de travail normale, il travaille pour nous sur la base d’une indemnité journalière. » explique Helmut Marko à Autosport.

« Il était très fasciné et intéressé par le projet Valkyrie [l’hyper-car développée par Aston Martin et Red Bull], il faut toujours de nouvelles choses pour lui. »

« Si Newey sait que vous n’avez aucune chance avec le moteur, alors vous n’avez pas le même Newey qu’actuellement. Il s’est rendu au centre de développement à Sakura au Japon. »

« Nous avons trouvé le moyen de combler ses besoins personnels, cela apporte de la valeur à l’équipe. Newey est un facteur crucial, quand les nouvelles règles aérodynamiques sont arrivées [en 2017], nous étions totalement hors du coup. »

« A partir de Barcelone, nous avions à nouveau une voiture compétitive. C’est Newey, il voit ce qui ne marche pas, même au stade du design, sans toutes les données techniques. »

« Il peut vous dire, « ça ne marchera pas ». Il n’a aucun ordinateur, on se sent tout de suite chez soi dans son bureau, il a juste une grande planche à dessin. N’importe qui d’autre retranscrirait en langage informatique afin que les autres puissent comprendre, mais ce qu’il dessine est à 95% correct. »

Alexander Albon : « Être dans le rythme tout de suite »

Alexander Albon se prépare activement pour ses débuts en Formule 1 avec l’équipe Toro Rosso, il s’agira d’une grande première pour le Thaïlandais, qui n’a jamais piloté de F1 dans sa carrière.

Albon fera équipe avec le Russe Daniil Kvyat en 2019 et sait qu’il devra être au top de sa forme, mais aussi au top de son pilotage, afin d’impressionner les dirigeants de Red Bull dés sa première année.

« Je pense qu’il s’agira surtout de se mettre vite dans le rythme. » explique Albon. « J’ai quatre journées d’essais à Barcelone et je n’ai pas piloté de Formule 1 avant. »

« Il n’y a pas beaucoup de temps avant Melbourne, et ces voitures sont évidemment très différentes des Formule 2, elles sont bien plus rapides. Il faudra donc, avant tout, essayer de bien connaître la voiture et d’être rapide. »

Alexander Albon se prépare physiquement aussi, afin d’être prêt pour ses débuts en catégorie reine du sport automobile.

« J’ai fait quelques tests, des tests cardios aussi, des tests sanguins et des scanners. Je prépare mon cou autant que possible. »

« Je sais que ça va être exigeant physiquement, c’est donc là-dessus que je me concentre actuellement. J’ai mon entraîneur avec moi et nous faisons le nécéssaire pour que je sois au meilleur de ma forme d’ici Melbourne. »

Szafnauer : « Nous devions garder un pilote pour le développement »

Le directeur de l’équipe Racing Point, Otmar Szafnauer, a déclaré que l’introduction d’un nouveau pilote rendait encore plus important le fait que l’équipe ait retenu les services de Sergio Perez en 2019.

Cette année, Lance Stroll fera ses débuts avec sa nouvelle équipe, Racing Point, mais pour le directeur de l’écurie, avoir conservé Sergio Perez a été une décision capitale pour le développement de la futur monoplace.

« Dans le développement de la voiture, par exemple, vous savez que ce que vous avez appris l’année dernière est important pour cette année, donc, si vous perdez des personnes, vous perdez des connaissances. » explique le directeur de l’équipe Racing Point à Racer.

« Cela s’applique également aux ingénieurs de piste, mais vous avez besoin d’un pilote pour passer d’une année à l’autre pour toutes les raisons dans le cadre du développement. »

« Vous savez que les pilotes sont une partie importante dans la boucle du développement, notamment grâce à leur feedback. Vous planifiez, vous exécutez, vous vérifiez et vous ajustez. »

« Ensuite, vous continuez à travailler dans cette boucle, et vous vous améliorez de plus en plus. La meilleure vérification reste le pilote, vous ajoutez du développement à la voiture pour la rendre plus rapide, il la vérifie, il vous laisse des commentaires, puis vous ajustez et vous recommencez. Donc, si vous perdez cela, vous êtes perdant, nous devions donc garder un pilote. »

Les audiences TV et digital en nette augmentation pour la F1

L’audience télévisée et numérique de la Formule 1 a continué de croître en 2018, avec des téléspectateurs uniques en hausse de 10% dans le monde selon les derniers chiffres publiés par la FOM.

Au total, 490,2 millions de téléspectateurs ont été enregistrés, dont une croissance de 20% aux États-Unis pour atteindre 34,2 millions, faisant des États-Unis le troisième marché en importance en termes de couverture par la télévision derrière le Brésil (115,2 millions) et la Chine (68 millions).

Les chiffres de la Chine ont plus que triplé par rapport à 2017, notamment grâce au retour des droits de la télévision en circuit fermé en tant que principal radiodiffuseur en clair.

L’audience cumulée de la télévision dans les 20 principaux marchés a progressé de 3% pour atteindre 1,59 milliard d’euros, soit une deuxième année consécutive de croissance, avec une audience cumulée mondiale de 1,758 milliard.

L’audience cumulée la plus élevée de la saison a été enregistrée au Grand Prix de Monaco, avec 110 millions de téléspectateurs à l’écoute, ce qui représente une augmentation de 10% par rapport à 2017.

Les courses à Bahreïn, en France, en Autriche, en Grande-Bretagne, en Italie et au Mexique ont toutes dépassé les attentes. avec 90 millions de téléspectateurs chacune.

« Nous sommes très heureux d’avoir connu une croissance pour la deuxième année consécutive après plusieurs années de déclin à long terme. » a déclaré à Reuters Matt Roberts, directeur de la recherche à la FOM.

Davantage tournée sur le numérique

La F1 se concentre sur son offre numérique depuis sa prise en charge par Liberty Media au début de 2017, un domaine considéré comme négligé dans une certaine mesure sous la direction de Bernie Ecclestone.

Ce point de départ bas signifie que la F1 reste le sport majeur qui connaît la croissance la plus rapide sur les canaux de médias sociaux, ses abonnés sur Facebook, Twitter, Instagram et YouTube enregistrant une augmentation de 53,7% à 18,5 millions.

Le nombre total d’impressions de contenu en F1 a augmenté de 29,2% pour atteindre 10,4 milliards, dont 2 milliards de visionnements de vidéos.

En 2018, le sport a lancé son propre service OTT – F1 TV – ainsi que du contenu régulier, tel que neuf émissions Twitter en direct après la course, ainsi que le podcast Beyond The Grid publié sur le site officiel de la F1.

La base de fans a été calculée comme augmentant de 3 millions à 506 millions, dont 205 millions ont moins de 35 ans. Alors que la F1 cherche à attirer un public plus jeune, la société d’études de marché IPSOS a découvert que 61% des nouveaux fans acquis au cours des deux dernières années ont moins de 35 ans et 36% ont moins de 25 ans.

George Russell excité de pouvoir travailler avec Kubica

George Russell a déclaré que les leçons apprises chez Mercedes en tant que troisième pilote vont très certainement lui servir cette saison chez Williams.

Le jeune britannique, champion de F2 en 2018, a été titularisé chez Williams cette saison aux côtés de l’expérimenté Robert Kubica.

Les deux hommes auront la lourde tâche de faire revenir Williams au sommet, et George Russell compte bien utiliser ses connaissances apprises chez Mercedes, cumulées à l’expérience de son coéquipier,  pour y arriver.

Lors de son passage chez Mercedes, George Russell avait accès à des informations confidentielles, mais aussi a pu voir de l’intérieur comment travaillent les champions du monde en titre, ce qui devrait grandement l’aider en 2019.

« Je suis vraiment excité d’être le coéquipier de Robert Kubica, je pense évidemment que son talent naturel est indiscutable, il a une énorme quantité de connaissances techniques à apporter à l’équipe. » déclare Russell.

« Je pense qu’avec son expérience et celle que j’ai pu accumuler chez Mercedes nous avons beaucoup à apporter sous deux angles très différents pour faire avancer Williams. »

La saison 2019 débutera à Melbourne le 17 mars et se terminera le 1er décembre 2019 à Abou Dhabi.

Lance Stroll a un grand potentiel selon Szafnauer

Le directeur de l’équipe Racing Point, Otmar Szafnauer, a déclaré que Lance Stroll avait prouvé lors de son premier test avec l’équipe qu’il avait beaucoup de potentiel.

Stroll, qui pilotait l’an dernier pour Williams, a rejoint l’équipe Racing Point pour 2019, alors que son père, le milliardaire Lawrence Stroll, fait partie des du consortium ayant racheté l’écurie l’été dernier.

En toute logique donc, Lawrence Stroll a placé son fils dans le baquet de la Racing Point cette année aux cotés du très expérimenté Sergio Perez.

Après un premier test dans le simulateur avant les essais Pirelli qui ont eu lieu à Abou Dhabi à la fin de l’année, les performances du pilote canadien ont donné confiance à Szafnauer.

« Il a fait un peu de simulateur avant d’aller à Abou Dhabi, il a appris à connaître les gars, mais vous savez bien que rien ne vaut de piloter une voiture pendant 80 ou 100 tours pour bien connaître la voiture et l’équipe. » a déclaré Otmar Szafnauer à Racer.

« Les signaux étaient bons, il a eu de bons retours et une bonne attitude. Nous avons pu voir qu’il était assez rapide dés les premiers tours, et c’est tout ce que nous voulons chez un pilote de course. »

« Il a encore beaucoup de choses à apprendre, donc, avec beaucoup de choses à apprendre et sa vitesse de pointe, je pense qu’il y a beaucoup de potentiel. »

Les critiques de Marko étaient « nécessaires » en 2018 selon Verstappen

Max Verstappen admet que les critiques de la part d’Helmut Marko après ses erreurs commises en début d’année l’on aidé à s’améliorer pour le reste de la saison.

Max Verstappen a commis un certain nombre d’erreurs en début de saison en 2018, provocant une collision avec la Ferrari de Sebastian Vettel en Chine, ou en envoyant sa monoplace dans le rail à Monaco lors des essais libres.

Vivement critiqué au sein-même de son équipe pour son impatience, le pilote Red Bull Racing admet avec du recul que cela l’a aidé pour la suite de la saison.

« Les six premières courses n’étaient pas vraiment positives, mais j’ai beaucoup appris. » a déclaré Verstappen sur la chaîne de télévision autrichienne Servus TV.

« Cela m’a certainement aidé [les critiques] pour les dernières courses. Toute ma vie j’ai travaillé avec mon père, et il est très dur aussi. Mais en fin de compte c’est une bonne chose car cela m’a amené jusqu’en F1, mais bien-sûr avec le soutien de Red Bull et de Helmut [Marko]. »

« Mais il faut toujours rester critique et cela était nécéssaire après ces week-ends en Chine et à Monaco. Nous en avons parlé, cela ne devrait pas arriver, mais il faut parfois en passer par là pour devenir plus fort. »

En 2019, Max Verstappen fera équipe avec le pilote français Pierre Gasly. Le Hollandais est toutefois considéré comme le pilote numéro un au sein de l’équipe Red Bull Racing.

Officiel : Koskas quitte Renault, Stoll reste président de Renault Sport Racing

Renault a annoncé ce vendredi dans un cours communiqué que Jérôme Stoll resterait finalement président de Renault Sport Racing et ne sera pas remplacé par Thierry Koskas comme annoncé il y a quelques semaines.

Renault avait annoncé il y a quelques semaines la nomination de Thierry Koskas au poste de président de Renault Sport Racing, mais l’écurie du constructeur français annonce aujourd’hui que Koskas a quitté le groupe Renault.

« Jérôme Stoll continue dans son rôle de président de Renault Sport Racing, après le départ de Thierry Koskas du groupe Renault. » peut-on lire dans le cours communiqué publié par Renault.

Aucun détail supplémentaire n’a été communiqué par Renault, et il est donc impossible de savoir pour l’instant si Thierry Koskas sera lui-même remplacé dans les prochaines semaines.

Classée à la quatrième place au championnat des constructeurs en 2018, Renault va se donner tous les moyens pour réussir à égaler, et même dépasser, ce résultat en 2019. L’équipe du constructeur français pourra compter sur un duo de pilotes solide avec Daniel Ricciardo et Nico Hulkenberg.

Ricciardo était en discussion avec McLaren en 2018 !

Daniel Ricciardo a révélé qu’il avait eu des discussions avec l’équipe McLaren avant de signer son nouveau contrat avec Renault.

Le pilote australien a créé la surprise l’an dernier en annonçant qu’il allait quitter Red Bull à la fin de la saison 2018 pour rejoindre Renault.

Dans une longue entrevue avec Racer, Daniel Riciardo est revenu sur ce passage important de sa carrière, et en a profité pour révéler qu’il avait eu des discussions avec McLaren.

« McLaren, en tant que groupe -j’ai eu quelques réunions avec eux- je pensais que c’était vraiment des gens cool. » déclare Ricciardo à Racer.

« Personnellement, je les aime beaucoup. Ce n’est pas que je n’aime pas Red Bull ou qui que ce soit d’autre mais j’ai vraiment eu une bonne vibe avec eux. Mais, clairement, ils l’ont reconnu, ils ne sont pas encore au niveau et ça semblait un peu trop optimiste d’y aller  à ce moment-là. Cela les a, en quelque sorte, éliminé. »

« Puis, j’ai eu des discussions avec Renault et à un certain moment, j’ai eu comme un déclic. Je me disais : d’accord, c’est une équipe qui bosse, ils ont bien progressé, c’est pour deux ans et un solide deal. »

« Je ne vais pas mentir, avoir Nico [Hulkenberg] comme coéquipier n’est en aucun cas une mauvaise chose. J’aime cette idée. J’ai toujours eu beaucoup d’estime pour lui parce qu’on a fait la course ensemble quand on était juniors et il gagnait tout. »

« Je pense que son travail avec l’équipe et son expérience de course pourra aider l’équipe de façon générale. »

 » Je sais qu’il est hyper-motivé parce qu’il a une statistique que peu de pilotes souhaitent avoir, celui qui a eu le moins de podium. »

« Tout le monde sait qu’il est bon. Donc il va être motivé et le fait que je rejoigne l’équipe va encore rajouter de la motivation pour lui. Je pense que ça peut nous booster et accélérer le progrès. »

« Ça me semblait être la bonne combinaison et je me suis dit : tu sais quoi? C’est ça! J’en suis arrivé à cette conclusion parce que j’ai vraiment senti que j’avais besoin d’un changement et de casser la routine, vraiment. »

« Cela peut sembler bizarre et les gens se demandent comment la Formule 1 peut être ennuyeuse ou devenir une routine mais je pense que c’est comme pour tout. »

« Même quand j’étais enfant, à l’école, je sautais dans tous les sens et je n’étais jamais satisfait de ce que j’étais en train de faire, je voulais toujours faire autre chose. »

« J’en suis arrivé à ce point, en étant toujours avec la même équipe, les mêmes personnes, je me disais : ok, j’ai besoin d’autre chose maintenant. je devenais un peu agité, je suppose! »

Sirotkin souhaite le meilleur à Williams pour 2019

Sergey Sirotkin, qui a quitté l’équipe Williams à la fin de la saison 2018 après sa première saison en Formule 1 en tant que titulaire, souhaite tout le meilleur à son ancienne équipe pour la saison 2019.

Le Russe, qui a testé cet hiver à la fois en DTM et en Formule E, ne veut pas se risquer au jeu des prédictions pour la prochaine saison de F1, notamment parce qu’un grand nombre de variables sont présentes cette année.

Une nouvelle voiture, une nouvelle réglementation, deux nouveaux pilotes, Sergey Sirotkin sait que 2019 pourrait être une autre année difficile pour Williams, mais le Russe croit aux ingénieurs et mécaniciens qui ont travaillé pour lui l’an dernier.

« C’est très difficile à dire, il y a un changement de réglementation. » a déclaré Sirotkin à FormulaRapida.net.

« Il y aura donc beaucoup de variables, j’aimerais donner une prédiction mais comme elle ne sera pas précise, je préfère ne pas faire de prédiction et ne pas être précis. »

« Humainement, je leur souhaite le meilleur à tous, après le dur travail que nous avons fait ensemble. Je sais que je ne piloterai pas, mais je crois personnellement aux ingénieurs et aux mécaniciens qui travaillent ici. »

« Ils verront bientôt le résultat de leur travail et obtiendront enfin ce qu’ils méritent. » conclut le pilote russe.

McLaren change la couleur de son logo en 2019

L’équipe McLaren a effectué un léger changement sur son logo à la veille de la saison 2019 de Formule 1 en passant de la couleur rouge au noir.

Alors que les équipes de Formule 1 se préparent pour une nouvelle saison, elles profitent également de l’hiver pour apporter de grands ou de petits changements à différents niveaux.

En ce sens, l’équipe britannique McLaren a décidé d’éliminer la couleur rouge de son logo pour passer au noir en 2019, ce qui correspond à la couleur de la police du nom de l’équipe.

Mais alors que la couleur du logo change cette année, la livrée de la MCL34 pourrait bien rester orange papaye en 2019 si l’on en croit les propos tenus par Carlos Sainz il y a quelques jours, qui affirmait que sa monoplace serait orange.

L’équipe McLaren dévoilera la MCL34 le 14 février prochain (certainement en direct de Woking en Angleterre).

Nouveau logo de l’équipe McLaren en 2019

La Ferrari 2019 passe les crash-tests FIA

La Scuderia Ferrari a homologué le châssis de sa monoplace de la saison 2019 en passant le crash-test obligatoire de la FIA.

Le châssis 2019 de Ferrari a été approuvé par la FIA, les tests ayant eu lieu au CSI de Bollate en Italie, en présence du délégué technique de la Fédération Internationale de l’Automobile, Jo Bauer.

Pour Ferrari, la construction de la monoplace 2019 va donc enfin pouvoir commencer pour la présentation officielle de la Rossa prévue le 15 février prochain en direct de Maranello en Italie.

Par la suite, Ferrari fera rouler sa nouvelle monoplace la veille de la première journée des essais hivernaux sur le circuit de Barcelone dans le cadre d’une journée promotionnelle autorisée par la FIA.

Rappelons que chaque équipe dispose de deux journées de tournage par an, chacune de ces journées étant limitée à 100 kms maximum par voiture.

Jusqu’à présent, seules quatre équipes ont dévoilé la date de présentation de leur monoplace 2019, il s’agit de McLaren, Renault, Racing Point et Ferrari.

Dates de présentation des F1 2019

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Kubica s’attend à ressembler à un débutant à Melbourne

Bien qu’il n’ait plus piloté de Formule 1 en course depuis huit ans maintenant, Robert Kubica s’attend tout de même à retrouver les sensations qu’il avait avant son accident de Rallye en 2011.

Le pilote polonais fera son grand retour en Formule 1 cette année avec l’équipe Williams, alors qu’il a dû se tenir à l’écart des paddocks pendant de longues années en raison d’un accident survenu au Rallye d’Andorre en 2011.

Bien conscient qu’il débutera la saison 2019 comme un véritable rookie, Robert Kubica s’attend tout de même à très vite retrouver ses réflexes et surtout son aisance au volant de sa Williams.

« En Australie, je ressemblerai plus à un pilote débutant qu’à un pilote ayant déjà disputé cinq saisons. » déclare Kubica au magazine britannique Autosport.

« La principale raison est que la Formule 1 a beaucoup changé. La F1 a toujours changé, si vous comparez avec les F1 du début des années 2000, elles sont complétement différentes. »

« Je dois travailler dur, et je suis impatient de relever le défi, mais je suis aussi impatient de retrouver la façon naturelle de piloter que j’avais dans le passé, lorsque je pilotais souvent la voiture, tous les 10 jours environ. »

« Tout devrait revenir naturellement, je ne devrais pas avoir besoin de chercher, ce devrait être naturel. »

Robert Kubica fera équipe avec le jeune George Russell en 2019, les deux hommes auront la lourde tâche de faire revenir Williams à l’avant de la grille.

Jenson Button va devenir papa pour la première fois

Le champion du monde 2009 de Formule 1, Jenson Button, a annoncé sur les réseaux sociaux que sa fiancée, Brittny Ward, attendait leur premier enfant.

Alors qu’il s’apprête à célébrer son 39e anniversaire ce week-end, Jenson Button va devenir papa pour la première fois en 2019.

Jenson Button et Brittny Ward sont ensemble depuis 2016 et se sont fiancés au cours de l’été 2018. Le Britannique était auparavant marié de longue date à Jessica Michibata, mais le couple s’est séparé en 2015.

Après avoir quitté la Formule 1 et l’équipe McLaren en 2017, Jenson Button est depuis occupé à se construire une nouvelle carrière au Japon, où il pilote en Super GT pour l’équipe Kunimitsu. Le Britannique a d’ailleurs remporté le titre après une saison âprement disputée en 2018.

Parallèlement au championnat Super GT, Jenson Button participe également au championnat d’endurance en tant que pilote SMP Racing en LMP1.

Button dispute notamment l’édition 2018 des 24 Heures du Mans, mais il devra abandonner à une heure du terme de la course sur panne moteur.

Vidéo : Julien Gauger a pu tester une Formule 1 !

Il est l’une des nouvelles stars de Youtube avec sa chaîne, Julien Gauger a testé le pilotage d’une Formule 1 sur le circuit de Magny-Cours en France. En exclusivité, Julien nous livre ses impressions après cette journée unique. (voir la vidéo juste après l’interview).

Vous avez piloté une Formule 1 pour la première fois de votre vie, pouvez-vous nous décrire ce que vous avez ressenti au plus profond de vous lors de ces quelques tours ?

Bonjour, merci de me donner l’opportunité de partager avec vos lecteurs cette expérience que je croyais réservée aux membres de la NASA ou je ne sais quelle élite avant de découvrir que c’était ouvert au grand public.

C’était un fantasme, un rêve inaccessible, donc malgré la découverte de l’accessibilité et même après m’être inscrit, je ne croyais toujours pas pouvoir participer à cette folle aventure .  Après la dangereuse séance de Formule Renault effectuée sous une pluie torrentielle, j’ai du reporter ma session Formule 1 .

L’attente, la pression et le report de ce rêve n’ont fait que renforcer mon ressenti quand je suis monté à bord d’une FOR-MU-LE UN. Une émotion si forte que j’en ai littéralement perdu la voix. Pendant les tours: j’ai hurlé de plaisir, j’ai ri et je me rappelle que j’ai failli pleurer.

Autre souvenir marquant, je me souviens avant d’avoir passé la 6ème et dernière vitesse en ligne droite m’être dit « là s’il y a un pépin je suis mort », bim j’enclenche cette ultime vitesse dangereuse et le résultat est bien au-dessus de mes espérances, c’était extraordinaire, unique, féerique !…

Qu’est-ce qui vous a le plus impressionné ? La vitesse, le bruit ou les G dans les virages ?

Le plus impressionné? J’ai eu plusieurs « plus », le bruit m’a carrément induit en erreur, je n’ai pas arrêté de caler pensant que la vitesse était forcement embrayée avec un tel grondement.

Au moment où la mise en route du moteur démarre, c’est un éclatement, une véritable déflagration qui s’empare de tout le monde dans les stands … on pense tous que c’est l’extrême, le summum de l’automobile..

La vitesse est là mais ne m’a pas impressionné, peut-être une habitude (bcp roulé en GT)… mais je pense que j’étais novice pour exploiter le réel potentiel de cette F1. Néanmoins, on sent la fragilité de notre corps, on ressent le tremblement de tous nos os à l’accélération, on se sent vulnérable.

En revanche passer de 250 kms à 20/30 kms en à peine 150 mètres, oui là je peux le confesser j’ai eu peur en endurant plusieurs G lors le freinage. Je remercie les techniciens de m’avoir très bien accroché à mon baquet !

Dernier point impressionnant: les virages ! Conduire une Formule 1 est très chirurgical , on peut placer la voiture où l’on souhaite au millimètre près (dizaine de centimètre pour ma part), on retient son souffle jusqu’à la sortie et l’alignement de nos roues droites!

Pensez-vous qu’un pilote de F1 est un vrai sportif lorsqu’il est assis dans sa monoplace pendant une course entière ?

Vous devez plaisanter ! J’ai du perdre un litre de sueur en à peine 10 minutes. Sur ma video youtube, à la sortie de la voiture, je suis tout luisant, excellent régime pour celui qui souhaite perdre rapidement du poids (rire). Bien entendu les pilotes de Formule 1 sont des demi dieux… pardon de très grands sportifs.

Autant sur le plan mental, concentration que sur le plan technique, ingénierie, les pilotes doivent interpréter le moindre son et les vibrations du volant.

Et enfin physiquement, durant 1h parfois , ils doivent  encaisser G sur G, transférer tout leur poids sur l’avant (le tout multiplié par 2, 3 et 4x), et l’instant d’après être écrasé en arrière au fond de leur siège. Je ne regarderai plus jamais de la même façon les pilotes à travers mon écran !

Quels conseils donneriez-vous à un fan de F1 qui souhaite se payer un baptême comme vous l’avez fait ?

Je leur conseillerai de ne pas se précipiter, c’est un projet qui se mûrit. Trop jeune ou trop inexpérimenté en conduite circuit, j’aurais gâché ce cadeau, je ne l’aurais pas apprécié à sa juste valeur. Connaissant le circuit et la vitesse, j’ai pu me concentrer sur le bruit, les sensations, les réactions d’une monoplace et mon plaisir a été décuplé !

C’est le parfait cadeau de mariage, d’anniversaire ou de naissance ! Mais croyez moi, tous les prétextes sont recevables (rire).

Après votre baptême au volant d’une F1, quelle note donneriez-vous sur une échelle de 1 à 10 à cette journée par rapport à toutes les activités extrêmes auxquelles vous avez pu prendre part ?

Récemment, j’ai eu la chance à travers Youtube de plonger en apnée sous un lac gelé, de participer à de nombreux rallyes automobiles (j’ai même pris un mur de glace), et de régater à travers la Méditerranée.  La Formule 1 est clairement dans mon TOP 2 ex-aequo avec le saut solo en parachute.

L’adrénaline est partout, plusieurs fois, avec la vitesse, un étonnement vertigineux ! Donc sans hésiter la note est de 10 pour cette EX-TRA-OR-DI-NAIRE journée!

Après chaque session, nous débriefons avec le directeur de piste, un coach et les techniciens. Il y a un responsable de piste positionné dans chaque virage important du circuit.

Lors de la formule Renault, la maîtrise et le sérieux sont acquis. Sur la formule 1, vous participerez à un second briefing concentré sur la sécurité, les dimensions de la monoplace et la maîtrise de toutes les réactions possibles (quelle vitesse  adopter dans les virages …rester dans sa monoplace en cas de sortie de piste… ). La tension monte d’un cran, l’écoute doit être sans impasse, la concentration infaillible. Enfin le plaisir et la première expérience au volant d’une formule 1 est à vous !

Êtes-vous déjà allé voir un Grand Prix de Formule 1 sur un circuit ?

Oui et pour la première fois grâce à un ami passionné du champion  Lewis Hamilton, j’ai été invité à observer le Grand Prix de Monaco 2018 à la sortie du fameux tunnel.

Quel régal, j’y ai posté deux, trois vidéos sur mon instagram ! Soleil, son, ambiance électrique et performance étaient au rendez-vous!

Parlons un peu de vous désormais, votre chaîne Youtube monte en puissance, vous semblez vous éclater et prendre beaucoup de plaisir dans chaque vidéo. Est-ce le cas ou bien c’est juste un travail comme un autre ?

Ma première satisfaction est que mes vidéos apparaissent simples à organiser. Mon premier souhait est de donner envie d’essayer et de partager mes aventures.

En revanche, la préparation en amont avec le constructeur automobile, les équipes, la logistique (hébergement, finances, sponsoring, batteries, activités, rencontre,  météo)  est laborieuse avec beaucoup de refus sur mes premières vidéos. 

Ensuite après l’aventure, parfois des mauvaises surprises au montage, des manques dans la narration, des images cramées.

Mais je ne ressens pas cela comme un travail. Après dix ans à exercer un métier en costume, cette nouvelle aventure audiovisuelle et humaine ne m’auront apporté que découvertes de paysages époustouflants , dépassement de soi et rencontres passionnantes ! Je n’attends qu’une chose, repartir sur les prochaines expériences, rencontres sportives et humaines.

Quels sont les plans pour 2019 ? Préparez-vous une ou plusieurs surprises à vos abonnés ?

A commencer par un pilot/essai avec une sérieuse chaîne Youtube: auto-moto.com, où ils souhaitent être moins raisonnables et plus divertissants. Cela va me permettre d’être accompagné par une équipe de tournage pro.

Peut-être le salon de Genève avec un abonné. Je refais la Coupe des Alpes avec une ancienne GT en juin prochain. Une fois ne m’a pas suffit pour apprécier toutes les beautés des paysages des Alpes et du sud de la France.

Enfin j’espère boucler le budget pour participer au gentle Rally Story en Islande en septembre. J’ai très envie de connaître les 4 saisons dans la même journée. (www.rallystory.com).

Des nombreux projets avec Yamaha dont un entrainement avec un champion de moto cross sur les plages du Touquet. des voyages presses avec Audi France et le journaliste youtubeur JB Dessort pour découvrir les nouveautés en avant première dans des paysages atypiques parfois déserts. Je suis heureux que ces constructeurs me fassent confiance.

Peut-être avec le producteur Matthieu de Lolywood une série de vlog sur le surf, l’escalade, et le snowboard de débutant à semi-pro en 4, 5 vlogs à chaque fois; jusqu’à peut être surfer Nazaré qui sait (rire). J’espère que le Youtubeur Pat la Réa sera des aventures (rire)!

On a pu vous voir quelques fois dans des vidéos d’Akram Junior, comptez-vous collaborer avec lui dans un futur plus ou moins proche ?

Akram Ojjeh Junior est un ami depuis l’adolescence. Nos parcours ne sont pas semblables mais notre passion commune pour l’automobile nous réunit. 

Oui, j’ai espoir de faire un rallye avec lui. Nous nous retrouvons souvent pour déjeuner. Dès que nos plannings concordent, je ne manque pas une occasion de « clipper » un bolide sur sa chaîne. Il a un style bien à lui, bien tranché, très authentique et brut. Il est le Paris Dernière de l’automobile ! Et phénomène rare sur Youtube, il a une communauté bienveillante et très solidaire.

Dans quelle catégorie faut-il vous placer ? Blogueur automobile, passionné de sports extrêmes ou tout simplement vlogueur ?

Ma devise est « sans être champion, je veux tout essayer ». Le départ est ma passion pour les voitures : supercars,  anciennes, rares et  modernes. J’aime les associer avec la pratique en extérieur de sports extrêmes ( le parachute, le saut à l’élastique, l’escalade sur glace) dans des régions sauvages ou peu habitées. Disons: Youtubeur / Chasseur de souvenirs pour quand je serai vieux.

Un nouveau rêve ?

Conduire une Formule E de DS Techeetah avec Jean Eric Vergne!

Le mot de la fin ?

Si mes videos vous plaisent et vous incitent à faire au moins une de mes activités alors j’ai gagné mon challenge: partager l’envie de se dépasser !

Merci Julien Gauger !

Si vous souhaitez suivre les aventures de Julien Gauger, c’est par ici que ça se passe :

La chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC46M_NSFbFbmZhQvVJGLRtA

Instagram de Julien Gauger : https://www.instagram.com/juliengauger/

Facebook de Julien Gauger : https://www.facebook.com/julien.gauger

Stoffel Vandoorne est heureux d’être revenu aux bases en Formule E

Après deux saisons compliquées en Formule 1 avec l’équipe McLaren, Stoffel Vandoorne se dit satisfait de se retrouver en Formule E, le Belge considérant son arrivée en catégorie électrique comme un retour aux bases.

Vandoorne a signé un contrat avec l’équipe HWA en Formule E, une filiale de l’équipe Mercedes en F1, ce qui permet également à Stoffel Vandoorne de garder un pied en F1 en étant pilote de développement pour l’écurie championne du monde en titre.

Le fait de quitter les paddocks de la Formule 1 pour se retrouver en Formule E aurait pu mettre un coup au moral du pilote belge, mais le pilote HWA assure qu’il se plait dans son nouvel environnement.

« En fait, c’est bien de changer un peu d’environnement. » a déclaré Vandoorne. « Je connais beaucoup de pilotes ici dans le paddock avec qui j’ai déjà couru, ainsi que des mécaniciens, il y a beaucoup de visages familiers. »

« Mais c’est bien de débuter quelque chose de nouveau, c’est presque comme revenir aux bases, les pilotes ont même la même cantine, nous passons plus de temps ensemble. »

Lors de ses deux premières courses de la saison 2018/19, Stoffel Vandoorne n’a marqué aucun point au championnat de Formule E.

Réorganisation chez Haas, Grosjean et Magnussen vont changer d’ingénieur

Les deux pilotes Haas, Kevin Magnussen et Romain Grosjean, devraient changer d’ingénieur de course pour la saison 2019.

En 2019, Kevin Magnussen devrait travailler avec Gary Gannon, l’ingénieur qui travaillait avec Romain Grosjean au cours des deux dernières saisons, alors que le pilote français devrait travailler désormais avec Dominic Haines, qui travaillait auparavant en tant qu’ingénieur de la performance en soutient à l’ingénieur de course.

Ce changement devrait être opéré en raison du départ à la retraite de Giuliano Salvi, qui était l’ingénieur de course de Kevin Magnussen jusqu’à présent.

En effet, après 17 années passées en Formule 1, dont 15 chez Ferrari et les deux dernières chez Haas, Giuliano Salvi a décidé fin 2018 de prendre une retraite bien méritée.

L’équipe Haas a donc décidé de réorganiser complètement sa structure avant la saison 2019, alors que la formation américaine débutera sa quatrième saison en catégorie reine du sport automobile.

Rappelons que l’écurie Haas a terminé la saison 2018 à la cinquième place au classement des constructeurs avec seulement 29 points de retard sur l’équipe d’usine Renault.

Perez estime que Ocon pourrait ne jamais revenir en F1

Sergio Perez estime que son ancien coéquipier chez Racing Point, Esteban Ocon, pourrait ne jamais revenir en Formule 1 après une année passée sur le banc de touche.

Ocon n’a pas réussi à trouver un baquet pour la saison 2019 et se retrouve donc avec un rôle de troisième pilote pour l’écurie Mercedes cette année.

L’équipe du constructeur allemand va très certainement attendre de voir les résultats de Valtteri Bottas cette saison pour éventuellement remplacer le pilote finlandais par Esteban Ocon en 2020, mais selon Sergio Perez, le Français court un gros risque et pourrait bien ne jamais revenir.

« Je pense qu’une année sur le banc de touche peut changer beaucoup de choses. » a déclaré Perez au magazine britannique Autosport.

« Il pourrait très bien revenir en F1 en 2020 et piloter pour Mercedes, mais vous ne savez jamais ce que le futur peut vous réserver, je pense donc que c’est risqué pour la suite de sa carrière en F1. »

« Personnellement, je pense qu’il manque encore de maturité, mais je pense que c’est quelque chose qu’il va acquérir avec le temps. Il mérite clairement d’avoir un volant en F1, car c’est certainement l’un des meilleurs pilotes de la grille. » conclut le Mexicain.