Un dernier hommage à Anthoine Hubert ce mardi en la Cathédrale de Chartres

La famille et les proches d’Anthoine Hubert ont rendu ce mardi un dernier hommage au pilote de Formule 2 décédé le 31 août à Spa Francorchamps en Belgique.

Anthoine Hubert est décédé des suites de ses blessures le 31 août en Belgique après un terrible accident en Formule 2 à la sortie du Raidillon de l’Eau Rouge sur le circuit de Spa Francorchamps.

Le pilote français était âgé de 22 ans et était considéré comme l’étoile montante du sport automobile en France, il faisait partie de la Renault Sport Academy et roulait en F2 avec l’écurie BWT Arden.

Ce mardi, des dirigeants du sport automobile, sa famille, ses amis, mais aussi de simples anonymes sont venus lui rendre un dernier hommage en la cathédrale de Chartres où ont eu lieu les obsèques d’Anthoine Hubert. De nombreux pilotes étaient présents lors de cette cérémonie dont ses amis Pierre Gasly ou encore le pilote Ferrari Charles Leclerc.

Ciao Anthoine…

anthoine hubert f2 2019

 

Alain Prost révèle que la négativité d’Hulkenberg n’a pas plu chez Renault

Alain Prost, a révélé que les retours négatifs de Nico Hulkenberg avaient influencé la décision de Renault pour son line-up de pilotes en 2020.

Alain Prost, qui est passé de consultant spécial de l’équipe Renault à directeur non-exécutif, a joué un rôle important dans la signature d‘Esteban Ocon pour la saison 2020.

Le quadruple champion du monde de Formule 1 révèle aujourd’hui que les retours négatifs de Nico Hulkenberg au cours des derniers mois ont très clairement joué en sa défaveur en pleine période des transferts, peut-être plus que ses résultats.

« Nous ne voulons pas de pilote pessimiste, c’est pourquoi nous avons opté pour Ocon, qui est très motivé après avoir été mis de côté pendant un an. » a déclaré Alain Prost à Sky Sports.

« Nous aurons besoin de force pour la saison prochaine, et c’est pourquoi il était important de signer un pilote motivé. »

« Nico [Hulkenberg] est assez négatif, mais il a aussi raison sur certains points. Cependant, nous devons nous tourner vers l’avenir et la négativité d’un pilote ne nous aide pas, d’autant que ce sera très difficile pour nous l’année prochaine. »

En 2020, Esteban Ocon, qui quittera l’équipe Mercedes à la fin de la saison, fera équipe avec l’Australien Daniel Ricciardo chez Renault. Le pilote français a signé un contrat de deux saisons plus une option d’un an.

Les résultats financiers de Williams dans le rouge au premier semestre 2019

Williams se retrouve dans le rouge après le premier semestre de l’année 2019, conséquence directe de ses mauvaises performances en F1.

Que ce soit sur ou hors piste, les résultats de Williams sont mauvais pour le premier semestre de l’année 2019, Williams Grand Prix ayant dévoilé ses résultats financiers ce mardi.

Le fait que l’équipe Williams ait terminé la saison 2018 à la dernière position a automatiquement fait chuter ses revenus, alors que le sponsor principal de l’équipe l’an dernier, Martini, a décidé de quitter le navire à la fin de la saison 2018.

Bien que cette année l’équipe Williams a « récupéré » un sponsor titre [ROKIT] et signé Robert Kubica, qui est venu avec son sponsor personnel, Orlen, cela n’a pas suffit pour remettre les comptes à flot.

Sur les six premiers mois de l’année, l’écurie Williams a généré 41,7 millions d’euros de revenus, contre 67,8 millions d’euros en 2018 pour la même période. Cette année, l’écurie Williams affiche un déficit de 18,77 millions d’euros, alors que l’an passé dans le seul trimestre 2018, l’écurie britannique d’un profit de 0,22 millions d’euros.

Williams Advanced Engeneering affiche cependant des revenus en hausse avec 34,5 millions d’euros, mais la perte globale pour Williams Grand Prix Holdings, qui englobe toutes les activités de Williams s’élève à 21 millions d’euros.

Valtteri Bottas au sujet d’Esteban Ocon : « Il mérite vraiment son baquet »

Valtteri Bottas insiste sur le fait que le Français Esteban Ocon a été d’une grande aide pour les deux pilotes Mercedes cette année.

Cantonné dans son rôle de pilote de réserve de l’écurie Mercedes en 2019, le Français Esteban Ocon a essentiellement travaillé dans le simulateur avant chaque Grand Prix pour peaufiner les derniers réglages de la Mercedes W10 pilotée par Lewis Hamilton et Valtteri Bottas en piste.

Mais au lendemain du Grand Prix d’Abou Dhabi, Esteban Ocon ne sera plus un pilote Mercedes, mais fera partie de l’équipe Renault, avec qui il vient de signer un contrat de deux saisons avec une option d’un an.

Interrogé pour savoir ce qu’il pensait du retour d’Esteban Ocon sur la grille de départ l’an prochain après une année d’absence, Valtteri Bottas assure que Ocon mérite amplement son baquet chez Renault en 2020.

« Il a été d’une grande aide pour l’équipe. » a déclaré Valtteri Bottas. « Il a tenu son rôle de pilote d’essais avec son sérieux et ses compétences. »

« Il a vraiment été précieux pour nous, surtout avec son travail effectué dans le simulateur. Il est très talentueux, il mérite vraiment son baquet [chez Renault]. Je suis vraiment heureux qu’il revienne en piste l’année prochaine. »

Esteban Ocon est encore sous contrat avec Mercedes jusqu’au Grand Prix d’Abou Dhabi 2019. Au lendemain de cette ultime course de la saison, le Français rejoindra l’équipe Renault avec laquelle il devrait participer aux tests Pirelli sur le circuit de Yas Marina.

L’image que vous n’avez peut-être pas vue au Grand Prix d’Italie

Sebastian Vettel est allé immédiatement présenter ses excuses à Lance Stroll à l’arrivée du Grand Prix d’Italie dimanche dernier.

Sebastian Vettel, qui est parti en tête à queue tout seul au sixième tour du Grand Prix d’Italie dimanche dernier, a percuté involontairement la Racing Point de Lance Stroll en voulant revenir en piste.

Le quadruple champion du monde a écopé pour ce geste d’une pénalité de dix secondes et de trois points sur son permis, ce qui place désormais l’Allemand à seulement trois points d’une suspension de course.

Après l’arrivée du Grand Prix d’Italie, le pilote Ferrari est allé immédiatement présenter ses excuses à Lance Stroll pour son erreur commise en course.

Vidéo : Vettel présente ses excuses à Lance Stroll

Selon Jean Todt, les pilotes de F1 ne peuvent pas imiter Fernando Alonso : « Il s’est acquis une liberté »

Le président de la FIA, Jean Todt, n’est pas favorable au fait qu’un pilote de F1 en activité puisse s’engager dans d’autres catégories.

Interrogé pour savoir s’il était favorable à ce que des pilotes s’engagent dans d’autres catégories, comme a pu le faire Fernando Alonso lorsqu’il était encore pilote McLaren.

Le président de la FIA a admis que le double champion du monde de F1 n’était peut-être pas un bon exemple et s’était acquis une certaine liberté au cours de ses dernières années passées en catégorie reine du sport automobile [certainement parce que sa monoplace n’était pas compétitive].

Le double champion du monde de F1 a en effet participé aux 500 Miles d’Indianapolis en 2017, alors qu’il était engagé en Formule 1 avec l’écurie McLaren.

L’Espagnol a dû sécher le Grand Prix de Monaco 2017 pour pouvoir participer aux 500 Miles, et c’est le Britannique Jenson Button qui l’a remplacé dans les rues de la principauté au volant de sa Formule 1.

Selon le président de la FIA, Fernando est un cas à part et il serait désormais impensable pour un pilote de ne pas participer à une course de F1 pour effectuer une pige dans une autre catégorie.

« Alonso est un mauvais exemple, car il s’est acquis une liberté. » déclare le président de la FIA à F1only.fr

« Un jour il fait de la F1, puis il arrête, il fait de l’endurance, une course aux USA, et maintenant du rallye-raid. Alors que pour un pilote totalement engagé dans une catégorie, c’est impossible d’aller aussi dans une autre. »

« C’était le cas avant, mais maintenant il y a une telle professionnalisation, un tel engagement, que ce n’est plus l’époque où on pouvait se permettre de faire beaucoup de choses. Un pilote de F1 a très peu de temps disponible. »

« Il y a tout ce qu’on voit et tout ce qu’on ne voit pas. Il y aura 22 Grands Prix l’an prochain, et il y a aussi le temps passé pour analyser les courses, pour aller sur les simulateurs, pour discuter avec les ingénieurs. Ça donne très peu de latitude pour faire autre chose. »

Fernando Alonso au Dakar en 2020

Le pilote espagnol, qui a pris sa retraite de la F1 à a fin de la saison 2018, est actuellement en pleine préparation pour le Dakar 2020 avec le constructeur japonais Toyota.

Le double champion du monde a bouclé deux journées de tests en Pologne la semaine dernière et participera à une course hors championnat ce week-end en Afrique du Sud de Lichtenburg 400, les 13 et 14 septembre prochains.

Initialement prévu pour se dérouler près de Harrismith, l’événement a été déplacé en raison de la sécheresse anormale de la saison, ce qui présentait un risque élevé d’incendie.

Alonso n’écarte pas l’idée d’un retour en F1 en 2021

Récemment, le double champion du monde a déclaré que les prochains changements de réglementation prévus pour 2021 en catégorie reine du sport automobile pourraient bien lui donner l’envie de revenir.

« On verra. Je dois continuer à découvrir quelques défis différents de la Formule 1 et que je dois terminer. Ils ne sont pas encore terminés, comme l’Indy 500 et quelques autres choses. » a déclaré Alonso le week-end dernier à Monza.

« Avec la nouvelle réglementation de 2021, je pense que c’est un bon mélange et nous pourrons y trouver peut-être une formule 1 différente de celle que nous voyons maintenant. »

« Les raisons pour lesquelles j’ai quitté la Formule 1 l’année dernière sont toujours présentes avec une domination d’une équipe et des courses un peu trop prévisibles, mais en 2021, ces choses peuvent être changées et c’est peut-être une bonne occasion [pour revenir]. »

Lorsqu’on lui demande s’il est en contact avec des équipes, le pilote espagnol a répondu : « Toujours ».

Pneus : stratégie agressive pour les pilotes Red Bull à Singapour

Pirelli, le manufacturier unique de la Formule 1, a dévoilé les choix de pneus de chaque pilote pour le Grand Prix de Singapour, quinzième manche de la saison de F1.

Sans grande surprise, ce sont les pneus Tendres qui ont la côte à Singapour, sur un tracé urbain non permanent et sur lequel les pilotes n’ont que très peu de marge avant de taper un mur.

Grands favoris pour le Grand Prix de Singapour, les pilotes de l’équipe Red Bull Racing ont choisi 10 trains de pneus Tendres, tout comme les deux pilotes Renault et les deux pilotes Racing Point.

Du côté de chez Mercedes, les pilotes de l’équipe du constructeur allemand ont décidé d’opter pour un train de pneus durs de plus que Ferrari, alors que Charles Leclerc et Sebastian Vettel auront à leur disposition un train de pneus Médiums de plus que les pilotes Mercedes.

Notez que les deux pilotes Red Bull ont également choisi un train de pneus durs supplémentaires par rapport aux pilotes Ferrari.

Les choix de pneus des pilotes pour le GP de Singapour

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Le circuit du Mugello va se porter candidat pour accueillir la F1 à partir de 2025

Le circuit du Mugello, situé non loin de Florence en Italie, souhaite se porter candidat pour accueillir la Formule 1 à partir de 2025.

Le tracé, qui accueille déjà des courses de MotoGP, compte présenter une demande auprès de la F1 pour accueillir la manche italienne du championnat du monde.

Pour l’instant, le Grand Prix d’Italie se dispute sur le circuit de Monza, et le tracé a signé un accord de cinq années supplémentaires la semaine dernière, ce qui veut dire que la F1 restera à Monza au moins jusqu’en 2024.

« Le premier objectif sera de renouveler l’accord avec le MotoGP pour la nomination du Grand Prix d’Italie. » a expliqué Paolo Poli, le directeur du circuit du Mugello.

« Mais dans cinq ans, nous envisagerons également de présenter une demande en vue de l’introduction de la Formule 1 en Toscane. »

« C’est une affaire plus importante, parce qu’il sera nécéssaire d’avoir des partenariats au niveau national comme Monza l’a fait en signant l’accord avec la F1 pour les années à venir. »

« Il convient de rappeler que contrairement aux autres circuits italiens, le Mugello n’est pas géré par l’État. Ici, de 2006 à 2016, Ferrari a fait d’énormes investissements pour relever la qualité des infrastructures et le professionnalisme de ceux qui y travaillent, afin de se présenter à des clients du monde entier à un niveau toujours plus élevé. »

Brawn : « la priorité de Ferrari est de redonner confiance à Vettel »

Ross Brawn, a déclaré qu’il était « essentiel » pour Ferrari de redonner confiance à Sebastian Vettel dans le cas où la Scuderia devait disputer le titre mondial en 2020.

Sebastian Vettel a lentement mais sûrement dérivé dans l’ombre de son coéquipier Charles Leclerc, fort de deux victoires d’affilée entre la Belgique et l’Italie.

Pour ne rien arranger, le pilote allemand a commis une énorme erreur au Grand Prix d’Italie en partant à la faute tout seul et en percutant la Racing Point de Lance Stroll.

Le quadruple champion du monde a écopé pour cela d’une pénalité de dix secondes et de trois points sur son permis. Pour Ross Brawn, la priorité pour Ferrari est désormais de redonner confiance à Vettel.

« Vettel est clairement l’un des grands de notre sport, mais en cette période difficile, il a vraiment besoin du soutien de l’équipe pour regagner la confiance qui semble lui faire défaut pour le moment. » a déclaré Brawn.

« Cela, en plus de poursuivre le développement de la voiture, doit être une priorité pour Mattia Binotto dans les prochaines semaines. »

« Ce ne sera pas facile, mais c’est essentiel surtout en ce qui concerne 2020. Cependant, ce qui s’est passé dans la course est dû à lui seul. »

« Sebastian a fait deux erreurs au sixième tour en faisant un tête à queue, puis en percutant Stroll. Ces erreurs sont encore pires à la lumière de la double victoire de Leclerc à Spa et Monza. »

« C’est un fait inévitable que, quel que soit le pilote et quelles que soient les qualités de l’équipe, votre premier rival est toujours votre coéquipier. »

« Dans une certaine mesure, Sebastian vit ce qu’il a ressenti chez Red Bull lors de sa dernière année là-bas, en 2014, quand il s’est retrouvé face à Daniel Ricciardo, un jeune pilote au rythme incroyable. »

Une Ferrari victorieuse, un contrat de cinq ans et une Alfa Romeo dans les points : jackpot pour le GP d’Italie

Le président de l’Automobile Club d’Italia ne pouvait pas cacher sa joie dimanche dernier après la victoire de Ferrari à Monza.

Neuf ans après la dernière victoire de Ferrari sur ses terres, Charles Leclerc a redonné le sourire à toute une nation dimanche dernier en remportant le Grand Prix d’Italie 2019, qui restera à jamais une édition très spéciale pour les tifosi.

Le président de l’ACI ne pouvait pas cacher sa joie non plus avec la victoire de Ferrari, la neuvième place de l’Alfa Romeo pilotée par l’Italien Antonio Giovinazzi et la signature quelques jours plus tôt d’un contrat de cinq ans avec la F1.

« Charles Leclerc et la Scuderia Ferrari ont procuré une immense joie aux fans du Cavallino. » a déclaré Angelo Sticchi Damiani, le président de l’Automobile Club d’Italia.

« Pour l’Automobile Club d’Italie, c’est une double satisfaction de voir un pilote triompher lors d’une édition spéciale du Grand Prix d’Italie qui a fêté ses 90 ans, un pilote qui a grandi avec l’aide de l’ACI. »

« Une autre raison de notre fierté est de voir un pilote italien comme Antonio Giovinazzi prendre la neuvième place dans le temple de la vitesse au volant d’une Alfa Romeo qui est toujours dans le cœur des tifosi en Formule 1. »

« La foule océanique sous le podium magique de Monza est pour nous la meilleure récompense. Nous sommes heureux et fiers de lui avoir donné cinq autres années d’émotions dans le plus ancien, le plus rapide et le plus beau circuit de Formule 1. »

Binotto souligne la « courageuse » stratégie de Ferrari au Grand Prix d’Italie

Mattia Binotto, le patron de la Scuderia Ferrari, estime que la victoire de Charles Leclerc dimanche dernier au Grand Prix d’Italie a été rendue possible grâce à une bonne stratégie.

Selon Mattia Binotto, le choix de Ferrari de chausser les gommes dures sur la monoplace de Charles Leclerc a été la bonne décision en raison de la forte dégradation des pneus Médiums dimanche dernier à Monza.

Le pilote monégasque a dû se défendre contre les attaques incessantes de Lewis Hamilton en course, qui avait pour sa part des pneus Médiums montés sur sa Mercedes. Mais rapidement, le pilote britannique ne pouvait plus suivre le rythme en raison d’une forte dégradation de ses gommes.

Leclerc pour sa part avait les pneumatiques durs montés sur sa Ferrari, et c’est grâce à ce choix tactique que le pilote Ferrari a réussi à se défendre en piste selon Mattia Binotto.

« Bien-sûr il a très, très bien piloté. Depuis la pause estivale il pilote de manière fantastique. » reconnaît Mattia Binotto.

« Nous avons pu voir qu’il a fait très peu d’erreurs [au Grand Prix d’Italie], mais c’est aussi en partie grâce à l’équipe qui, je pense, a adopté une bonne stratégie – nous avons mis les pneus durs – ce qui à mon avis était le bon choix. »

« Nous savions que l’usure des pneus aurait été critique, les pneus tendres à l’arrière étaient presque terminés dès le premier relais et nous pensions que le meilleur moyen de le protéger était de lui chausser les pneus Durs. »

« Mais nous nous devions d’avoir un bon rythme, parce que je pense que c’était une décision courageuse, mais la bonne décision. »

Lando Norris n’est pas surpris des progrès réalisés par Renault F1

Le pilote McLaren Lando Norris n’est pas surpris du bon résultat obtenu par Renault au Grand Prix d’Italie le week-end dernier.

A Monza, l’équipe Renault a signé son meilleur résultat depuis 2008 avec les quatrième et cinquième places obtenues par ses deux pilotes à l’arrivée du Grand Prix d’Italie.

Ce bon résultat a permis à l’équipe du constructeur français de revenir dans le match au championnat et occupe désormais la cinquième position au classement à seulement 18 points de l’équipe McLaren.

McLaren pour sa part a connu deux week-ends difficiles avec deux abandons au Grand Prix de Belgique, un abandon de Carlos Sainz au Grand Prix d’Italie et seulement un point marqué par Lando Norris grâce à sa dixième position à Monza.

Interrogé pour savoir s’il était inquiet des progrès réalisés par Renault au cours des deux dernières courses, Lando Norris espère juste que les prochains Grands Prix seront plus favorable à McLaren.

« Pas tellement, je tiens à dire que cette piste [Monza] leur convient mieux que celle de Singapour. » a déclaré Lando Norris après le Grand Prix d’Italie.

« Ils ont toujours été très rapides, ils ont eu un ou deux week-ends où ils n’ont pas semblé forts, mais ils ont pris de bons points, c’est désormais à nous de rebondir. »

Red Bull choisira le futur coéquipier de Max Verstappen en novembre

Helmut Marko, le conseiller motorsport de Red Bull, a confirmé qu’une décision sera prise en interne après le GP des Etats-Unis pour savoir qui pilotera aux côtés de Max Verstappen en 2020.

L’Autrichien a dores et déjà écarté la piste Sebastian Vettel, bien que des rumeurs ont récemment suggéré que le pilote allemand pourrait faire son retour chez Red Bull en 2020, malgré le fait que le pilote Ferrari est sous contrat avec la Scuderia l’an prochain.

« Je n’ai aucune idée du futur de Vettel, nous avons passé ensemble de merveilleuses années, mais nous avons maintenant quatre pilotes. Vettel ne nous intéresse pas. » a déclaré Helmut Marko à Speedweek.

A l’heure actuelle, c’est bien le pilote Red Bull Alex Albon qui fait office de candidat idéal pour travailler aux côtés de Max Verstappen en 2020. En tout cas, Helmut Marko assure que le Thaïlandais réalise de bons débuts chez Red Bull.

« Il s’intègre bien dans l’équipe et il a immédiatement fait bonne impression. Il fait ce que nous attendons de lui. Il était complétement là dès la première course [en Belgique]. »

En revanche, Marko a nié que les origines thaïlandaises d’Albon aient joué un rôle dans sa promotion chez Red Bull cette année : « Sa promotion n’a rien à voir avec les copropriétaires thaïlandais de Red Bull. Nous  avons fait notre choix nous-mêmes. »

Enfin pour conclure, Helmut Marko a confirmé que Pierre Gasly allait être de nouveau jugé sur ses performances d’ici la fin de l’année, alors qu’une décision concernant le futur coéquipier de Max Verstappen sera prise après le Grand Prix des Etats-Unis au mois de novembre.

« Il [Gasly] doit nous montrer sa performance, il a besoin d’être cohérent. Après le Grand Prix des Etats-Unis, nous évaluerons qui pilotera où en 2020. »

Il reste donc quatre Grands Prix à Daniil Kvyat, Pierre Gasly et Alex Albon pour prouver qu’ils méritent d’être aux côtés de Max Verstappen en 2020.

Vidéo : Canal+ vous offre le podium du Grand Prix d’Italie en intégralité

Les abonnés de Canal+ sont restés frustrés ce dimanche pour le Grand Prix d’Italie au moment où l’hymne national de la Scuderia Ferrari allait retentir.

En effet, les abonnés à Canal+ ont eu la mauvaise surprise de se voir priver de la fin du podium au Grand Prix d’Italie ce dimanche.

Pour se faire pardonner, Canal+ vous offre sur son compte Twitter l’intégralité de l’hymne italien sur le podium du Grand Prix d’Italie en compagnie du vainqueur de la course, Charles Leclerc, et des milliers de Tifosi.

Le podium du Grand Prix d’Italie 2019

Piero Ferrari sur Charles Leclerc : « Mon père l’aurait beaucoup aimé »

En remportant la seconde victoire de sa carrière au volant d’une Ferrari à Monza sur les terres de la Scuderia, Charles Leclerc a frappé un grand coup dimanche dernier en Italie.

A peine une semaine après sa toute première victoire en F1 au Grand Prix de Belgique, le Monégasque Charles Leclerc a réitéré sur les terres de Ferrari à Monza ce dimanche devant des Tifosi aux anges.

Piero Ferrari, le fils du Commandatore [Enzo Ferrari] a rendu le plus beau des hommages au jeune pilote Ferrari en assurant que son père aurait beaucoup aimé ce jeune garçon au talent incroyable.

« Mon père l’aurait beaucoup aimé, il a été génial, il ne pouvait pas faire mieux. » a déclaré Piero Ferrari, fils d’Enzo Ferrari (le fondateur de la Scuderia Ferrari) après le Grand Prix d’Italie.

« Nous avions beaucoup de pression dans les stands, mais il a su comment se comporter. C’est agréable de voir un jeune homme qui réussit à gagner dès sa première saison [avec Ferrari]. »

Dimanche dernier, Charles Leclerc est définitivement entré dans le cœur des Tifosi et a pu en profiter sur le spectaculaire podium du circuit de Monza grâce à sa seconde victoire de l’année.

Au championnat, Charles Leclerc est désormais quatrième avec 182 points inscrits depuis le début de la saison et à seulement trois points de Max Verstappen.

Audience F1 : Record historique pour Canal+ avec le Grand Prix d’Italie

Canal+ a signé un record historique d’audience dimanche dernier avec la diffusion exclusive pour la France du Grand Prix d’Italie.

Vous étiez plus de 1,17 millions de téléspectateurs dimanche à regarder le Grand Prix d’Italie et la victoire de Charles Leclerc sur Canal+, le diffuseur officiel de la F1 en France.

Il s’agit de la seconde meilleure performance historique pour la chaîne cryptée pour une course de Formule 1 sur son antenne depuis que le groupe détient les droits pour la discipline.

Le Grand Prix d’Italie  affichait une part d’audience record de 40% sur les abonnés, alors qu’un pic à 1,33 millions de téléspectateurs a été enregistré à 16h28.

Pas de diffusion sur TF1 en face

Ces excellents chiffres sont très certainement liés au fait que la chaîne TF1 ne diffusait pas le Grand Prix d’Italie ce dimanche, contrairement au Grand Prix de Belgique la semaine dernière, là aussi remporté par le Monégasque Charles Leclerc.

Cette année, le Grand Prix d’Italie ne faisait pas partie des quatre courses diffusées par la première chaîne de France, TF1 n’ayant acquis les droits de diffusion que pour le Grand Prix de Monaco, le Grand Prix de France, le Grand Prix de Belgique et le Grand Prix des Etats-Unis [qui sera d’ailleurs diffusé par TMC à 20h50 le 3 novembre prochain].

Officiel : L’équipe Haas stoppe son partenariat avec Rich Energy

L’équipe Haas a annoncé ce lundi avoir mis un terme à son partenariat commercial avec la société Rich Energy.

L’équipe américaine a annoncé aujourd’hui mettre un terme à son partenariat avec Rich Energy, sponsor principal de l’écurie depuis le début de la saison, avec un effet immédiat.

« Haas F1 Team et la société Rich Energy ont amicalement mis un terme à leur partenariat dans le championnat du monde de Formule 1 avec effet immédiat. » peut-on lire dans un court communiqué envoyé par l’équipe.

« Bien qu’ils aient bénéficié d’une notoriété substantielle grâce à cette collaboration avec Haas en 2019, le processus de restructuration de l’entreprise signifie qu’ils doivent revoir leur stratégie globale. »

« Haas F1 Team et Rich Energy ont donc conclu que la fin de leur partenariat était la meilleure issue possible pour les deux parties. Haas voudrait remercier expressément les actionnaires de Rich Energy et leur souhaiter le meilleur pour la suite. »

La fin de ce partenariat entre l’écurie Haas et la société Rich Energy veut dire que la livrée de la monoplace pilotée par Romain Grosjean et Kevin Magnussen devrait être différente pour le prochain Grand Prix prévu à Singapour la semaine prochaine, même si la logique voudrait que l’équipe ne retire que les logos de Rich Energy.

Très critique dans ses vidéos, Rosberg a lui-même toujours détesté se faire critiquer par d’anciens pilotes

Nico Rosberg admet qu’il devrait peut-être penser à changer de ton dans ses Vlogs qu’il poste après chaque Grand Prix sur sa chaîne YouTube.

Le champion du monde 2016 a critiqué plusieurs pilotes depuis le début de l’année et certains d’entre eux lui ont directement répondu ces dernières semaines, comme Max Verstappen jeudi dernier dans le cadre du Grand Prix d’Italie.

Le pilote Red Bull n’a pas du tout apprécié les critiques de Nico Rosberg, qui affirmait un peu plus tôt cette année que le Néerlandais avait un côté narcissique.

De plus, après le Grand Prix de Belgique, où Verstappen a dû abandonner dès le premier tour après avoir percuté l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen, Nico Rosberg en a remis une couche en affirmant qu’il était beaucoup trop agressif.

Interrogé jeudi dernier à Monza sur les propos tenus par Nico Rosberg concernant sa personne, Max Verstappen a tenu à répondre à l’Allemand.

« Je me fiche complétement de ce qu’il a dit dans son podcast, Villeneuve a lui aussi fait la même chose, et je le considère un peu comme un nouveau Villeneuve. » a déclaré Verstappen.

« Peut-être qu’il veut simplement attirer plus de téléspectateurs sur sa chaîne sur laquelle il est souvent très critique. Je l’ai même trouvé un peu extrême plus tôt cette année lorsqu’il a dit que j’étais narcissique. »

« Il n’a jamais été crédible en tant que pilote, c’est un peu ça son problème. Il n’a jamais eu de charisme. Je ne sais pas quel est son but, ni s’il veut rester au centre de l’attention, ni si c’est pour l’argent, mais dans ce cas là il aurait dû continuer à courir. Il aurait alors pu gagner plus qu’avec sa chaîne YouTube. »

Nico Rosberg va changer de ton

L’ancien pilote Mercedes admet qu’il est peut-être allé un peu trop loin et promet désormais de changer de ton dans ses prochaines vidéos, lui qui n’a jamais supporté les critiques d’anciens pilotes lorsqu’il était encore en activité.

« L’une des choses que je détestais le plus lorsque j’étais encore un pilote actif, c’était de faire face aux critiques des journalistes qui étaient d’anciens pilotes. » a explique Nico Rosberg.

« Dans mon cas, c’était souvent David Coulthard. Cela me rendait fou, c’était vraiment horrible. Mais j’apprécie donner ces analyses, et en même temps, j’ai beaucoup de respect pour les pilotes. »

« Ainsi, comme je l’ai déjà dit, j’ai toujours détestée ce sentiment d’être confronté aux critiques d’anciens pilotes, c’est pourquoi je devrai peut-être changer quelque chose. »

« Je ne veux pas que mes anciens collègues, pour qui j’ai beaucoup de respect, entendent ce genre de commentaires. Je vais donc devoir changer mon ton. »

Sebastian Vettel lance un débat sur la hauteur des cockpits en F1

Le pilote Ferrari Sebastian Vettel lance un débat sur la hauteur des cockpits en Formule 1, qu’il juge trop haute.

Dimanche dernier au Grand Prix d’Italie, le pilote Ferrari Sebastian Vettel a commis une grossière erreur de pilotage, l’obligeant à revenir sur la piste de façon très dangereuse.

L’Allemand a quitté la piste à l’entrée de la chicane Ascari sur le circuit de Monza et s’est retrouvé en travers en plein milieu de la piste lorsqu’il a voulu repartir.

En effectuant sa manœuvre pour reprendre le sens de la marche, Vettel a percuté la Racing Point de Lance Stroll qui arrivait sur sa gauche à faible allure, ce qui a eu pour conséquence de faire partir la monoplace du Canadien en tête à queue également.

Sebastian Vettel assume pleinement son erreur

La quadruple champion du monde a largement assumé son erreur et ne remet en aucun cas sa responsabilité dans cet incident, mais le pilote allemand lance un débat concernant la hauteur des cockpits en Formule 1, assurant qu’il n’avait pas vu la Racing Point de Lance Stroll arriver sur sa gauche.

« J’ai commis une erreur et j’ai perdu la voiture. » a expliqué Sebastian Vettel après le Grand Prix d’Italie où il a finalement terminé à plus d’un tour des leaders.

« Bien-sûr, après cela je savais que ma course serait légèrement différente. En revenant [sur la piste], je savais qu’il y avait un écart [avec la voiture suiveuse], mais j’ai lutté pour sortir [de la pelouse]. Je pense que j’étais coincé dans l’herbe. »

« J’ai perdu de l’élan et ça a pris plus de temps que prévu. Ce n’était certainement pas l’idéal, mais lorsque j’ai regardé à gauche, j’ai été gêné parce que nous avons un cockpit qui est très haut. Je n’ai pas pu voir Lance. »

« J’aime toujours ce que je fais, mais bien-sûr, lorsque vous faites quelque chose de mauvais, vous ne pouvez pas être heureux. »

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Une visibilité limitée

Afin de baisser le plus bas possible le centre de gravité, les pilotes sont en position allongée dans leur cockpit [avec les jambes en l’air].

Au cours des dernières années, de nouveaux  appendices aérodynamiques sont apparus tout autour du cockpit des pilotes, ce qui a obligé les équipes à adopter un appui tête assez massif pour éviter au maximum les turbulences aéro autour de la tète du pilote.

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C’est justement cet appui tête qui pose le plus gros problème, puisque les pilotes ne peuvent désormais plus faire pivoter leur tête sur le côté. Ils ne peuvent que regarder devant eux et poser leur regard sur les minuscules rétroviseurs qui sont à leur disposition.

De plus, depuis deux saisons maintenant, le système de protection de la tête du pilote [le Halo] a également fait son apparition au dessus du cockpit des pilotes, ce qui ajoute un autre obstacle à la visibilité lorsqu’on se trouve dans un cockpit de F1.

Max Verstappen se verrait bien cohabiter avec Charles Leclerc chez Ferrari

Max Verstappen assure qu’il se fiche complétement de la couleur de sa voiture, l’essentiel pour le Hollandais étant d’avoir entre les mains une machine capable de gagner.

Interrogé par nos confrères de La Gazzetta en Italie, l’actuel pilote Red Bull Max Verstappen n’écarte pas l’idée de rejoindre un jour la Scuderia Ferrari, mais à la seule condition que la monoplace soit capable de remporter le championnat.

« Beaucoup de pilotes disent rêver de courir pour Ferrari. Je dis juste que je veux courir avec la voiture la plus rapide possible. » a déclaré Max Verstappen.

« Si c’était le cas d’une voiture rouge, alors j’adorerais être en rouge, tout comme en gris ou même en bleu. Ferrari est une grande marque, mais un pilote ne cherche qu’à gagner au final. »

Sur la possibilité de rejoindre Ferrari un jour aux côtés de Charles Leclerc, Max Verstappen assure qu’il pourrait cohabiter sans problème avec le pilote monégasque.

« Nous pourrions cohabiter en tant que coéquipiers. Nous nous respecterions certainement. » souligne Max Verstappen.

« Charles et moi voulons tous les deux gagner, alors, je ne nie pas le fait qu’il pourrait y avoir quelques tensions, mais nous n’arriverions jamais au niveau de ce que nous avons pu voir avec Nico [Rosberg] et Lewis [Hamilton] chez Mercedes. »

Pour l’instant, le pilote Red Bull est encore sous contrat avec son équipe jusqu’à la fin de la saison 2020.