Valtteri Bottas 6e au classement général du Rallye Artic Lapland

Le pilote Mercedes Valtteri Bottas a terminé à la 6e place du classement général du Rallye Artic Lapland 2021 au volant d’une Citroën DS3 WRC de l’équipe Nolla Racing.

Le Finlandais, qui faisait équipe avec Timo Rautiainen, a terminé dans le top 6 à plus de trois minutes du vainqueur de cette 56e édition du Rallye Artic Lapland, épreuve comptant pour le championnat de Finlande des Rallyes.

« C’est bien d’être sur la ligne d’arrivée. J’ai encore beaucoup appris sur le Rallye et j’ai beaucoup apprécié les spéciales. » a déclaré le pilote de l’équipe Mercedes en Formule 1 à l’arrivée du Rallye.

« Nous avons terminé 6e au général du Rallye Artic Lapland 2021 avec Timo. C’est notre troisième arrivée consécutive sur le Rallye Artic. »

« C’était vraiment amusant, mais très difficile. Je tiens juste à remercier Timo, PH Sport et Nolla, ainsi que toutes les personnes impliquées pour cette semaine incroyable. »

Sans surprise,  Juho Hänninen s’est largement imposé sur cette épreuve du Rallye Artic Lapland. Au volant d’une Toyota Yaris légèrement différente de celle alignée par l’équipe officielle la semaine prochaine sur le Monte-Carlo.

Aston Martin prévoit la livraison de sa nouvelle usine à l’été 2022

Ayant initialement prévu d’ouvrir sa nouvelle usine au milieu de 2021, Aston Martin a confirmé que ses plans avaient été repoussés de 12 mois – l’équipe étant maintenant prête à dévoiler sa nouvelle installation en août 2022.

L’une des premières actions majeures de Lawrence Stroll lorsqu’il a repris l’équipe Force India en 2018 a été d’annoncer des plans pour une nouvelle installation pour l’équipe, qui doit se contenter jusqu’à présent de l’usine construite à l’origine pour accueillir l’équipe Jordan F1.

Mais, tout comme le règlement 2021, l’arrivée du Covid a contraint Racing Point / Aston Martin à retarder d’un an leurs plans.

« Les plans se poursuivent, mais la ligne et le calendrier ont changé à cause du Covid. » a confirmé le directeur de l’équipe Aston Martin, Otmar Szafnauer au site de la Formule 1.

« Nous en sommes actuellement à la phase de conception et tous les départements obtiennent leur avis pour s’assurer qu’elle (l’usine) soit la plus efficace possible et qu’elle soit conforme à l’objectif et qu’elle soit lancée et ouverte en août 2022. »

Pendant ce temps, malgré les retards, Szafnauer a également confirmé que la future usine – qui sera toujours installée sur le site d’origine, en face du circuit de Silverstone – serait construite selon la même conception que celle qu’ils avaient initialement prévue, et conformément à ce que Szafnauer avait dit à l’époque, c’est à dire qu’elle ne serait « pas extravagante mais adaptée à l’objectif. »

« C’est toujours le plan initial. Nous devons nous assurer de la dimensionner correctement. Je suis certain qu’avec le plafond budgétaire, nous savons tous quels compromis nous devons faire pour rester en deçà du budget. »

« Le plan de l’usine est que si, pour une raison quelconque, à l’avenir, le plafond budgétaire change, l’usine est évolutive. Mais rien n’a beaucoup changé en raison du plafond budgétaire. »

L’équipe Aston Martin se prépare désormais pour le début de la saison 2021 de F1 et dévoilera sa nouvelle monoplace au mois de mars depuis le siège du constructeur britannique à Gaydon.

Mercedes attend la saison 2022 « avec impatience »

Bien que l’équipe Mercedes pourrait perdre sa suprématie à partir de la saison 2022 en raison de l’introduction de la nouvelle réglementation, le patron de l’équipe du constructeur allemand insiste sur le fait que tous ces changements motiveront davantage ses troupes.

A partir de la saison 2022, la Formule 1 vivra une véritable révolution avec l’introduction de nouvelles règles technique et sportive visant à rendre le sport plus spectaculaire et un peu plus imprévisible que ces dernières années.

Après une domination totale depuis le début de l’ère hybride en 2014 (sept titres consécutifs constructeurs et pilotes pour Mercedes), l’équipe de Brackley pourrait donc perdre son statut de favori en 2022, mais cela n’inquiète absolument pas Toto Wolff, bien au contraire.

« Il y a des facteurs qui jouent contre nous, mais cela nous motive énormément. » explique Toto Wolff dans un entretien accordé à Motorsport-Total.

« Nous pensons que nous avons une très bonne organisation. Nous acceptons les changements. Nous l’avons toujours fait dans le passé. L’organisation attend donc avec impatience 2022. »

Mais avant le changement de règles de 2022, l’équipe championne du monde en titre devra d’abord confirmer sa suprématie en 2021, alors qu’un plafond budgétaire fixé à 145 millions de dollars par équipe a été introduit cette année, ce qui pourrait causer quelques problèmes aux plus grandes organisations habituées à travailler avec des moyens colossaux par rapport aux petites structures.

Selon l’Autrichien, la saison 2021 sera donc « un défi considérable » avant « un tremblement de terre majeur » en 2022.

« Ce sera une année intéressante pour nous, car nous devons nous positionner différemment par rapport à avant en raison du plafond budgétaire. »

Dernière ligne droite pour les filles du programme Girls On Track

La semaine prochaine, nous connaitrons le nom de la jeune fille qui deviendra la toute première femme à obtenir un contrat d’une année au sein de la Ferrari Driver Academy et une saison complète dans le championnat de Formule 4.

Après des mois de sélection et d’évaluation avec le programme Girls On Track, il est désormais temps pour les experts de la Ferrari Driver Academy d’analyser toutes les données des jeunes filles ayant participé à ce programme cette année.

Cette semaine, les filles étaient à Maranello pour compléter leur programme avec deux jours sur la piste de Fiorano au volant d’une F4, ce qui fut pour les quatre pilotes une occasion unique de s’immerger dans la famille Ferrari et de bénéficier d’une richesse incommensurable de connaissances et de tutorat de la part de l’équipe la plus emblématique du sport et de son académie de formation de pilotes.

Les pilotes – Julia Ayoub, 15 ans; Antonella Bassani, 14 ans; la Française Doriane Pin et Maya Weug, toutes deux âgées de 16 ans – ont également eu une visite inattendue du nouveau pilote Ferrari, Carlos Sainz.

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L’Espagnol, qui était à l’usine pour sa première rencontre avec sa nouvelle équipe, a tenu à rencontrer les jeunes femmes et a pris le temps de se rendre sur le circuit de Fiorano pour apporter son soutien et ses encouragements aux candidates.

En s’associant à la Scuderia Ferrari et à son Académie pour ce programme de quatre ans, la Commission FIA Women in Motorsport a pu développer une voie solide et à long terme pour soutenir les jeunes femmes dans leur parcours dans le sport automobile. Désormais, une seul pilote sélectionnée est sur le point de marquer l’histoire en devenant la toute première étudiante de l’Académie après la première édition des FIA Girls on Track – Rising Stars.

L’annonce, organisée conjointement par Michèle Mouton (présidente de la commission Women in Motorsport), et Laurent Mekies (directeur sportif de Ferrari) et Marco Matassa (responsable de la FDA), et avec les quatre pilotes, aura lieu en direct le 22 janvier prochain à 16h30.

Stoffel Vandoorne s’engage dans le projet H24

En 2024, l’Endurance va prendre un nouveau tournant avec l’introduction d’une catégorie électrique-hydrogène aux 24 Heures du Mans.

Pour développer les prototypes basés sur ce nouveau mode d’énergie, la Mission H24 a été lancée pour engager des voitures aux 24 heures du Mans 2024 avec comme objectif principal d’atteindre zéro émission carbone.

Le pilote français Norman Nato, actuellement engagé dans le championnat de Formule E, avait déjà été choisi par H24 Racing, équipe dirigée par Jean-Michel Bouresche, pour mettre au point ce prototype de voiture hydrogène.

Il est désormais rejoint par l’ex-pilote McLaren en Formule 1 et actuel pilote de réserve Mercedes, Stoffel Vandoorne.

Le Belge, également présent avec Mercedes dans le championnat de Formule E, est satisfait de rejoindre ce projet : « Je suis très heureux de rejoindre MissionH24 et l’équipe H24Racing. »

« J’ai plusieurs raisons d’être enthousiaste : d’abord, participer à ce programme novateur qui construit l’un des futurs du sport automobile est une chance pour un pilote passionné d’innovations comme moi. »

« Rendre la propulsion électrique-hydrogène compétitive en Endurance, c’est un défi sportif et technologique comme je les aime. Je suis impatient de m’installer au volant du nouveau prototype H24. » précise Vandoorne.

« Stoffel Vandoorne et Norman Nato constituent le duo dont nous avions besoin pour accentuer le développement de performance de nos prototypes. » commente Jean-Mchel Bouresche.

« Ils sont parmi les pilotes les plus rapides du monde en circuit. Ce sont également des garçons qui aiment travailler en équipe, avec les techniciens. »

« Nous savons donc que, grâce à eux, nous serons en permanence aux limites de ce que peut livrer la voiture. » conclut-il.

Carlos Sainz déjà au travail dans le simulateur Ferrari

L’Espagnol Carlos Sainz a débuté son travail avec Ferrari au siège de la marque italienne à Maranello en Italie où le pilote madrilène a pu pour la première fois tester sa monoplace 2021 dans le simulateur.

Si Carlos Sainz – qui a rejoint l’équipe Ferrari cette saison – a déjà pu se rendre à Maranello au mois de décembre avant les fêtes de fin d’année, sa première journée de travail avec l’écurie italienne a réellement débuté cette semaine.

Le nouveau coéquipier de Charles Leclerc a pu rencontrer cette semaine les personnes avec lesquelles il travaillera tout au long de l’année, tandis qu’il a pu pour la toute première fois tester la monoplace qu’il pilotera cette saison en Formule 1…mais dans le simulateur.

« Bonjour à tous, je suis finalement à Maranello. Hier j’ai déjà commencé à travailler avec toute l’équipe, j’ai encore beaucoup de gens à connaître, de nouveaux noms, c’est encore un peu difficile de tous les mémoriser. » explique Sainz dans un italien parfait dans une vidéo publiée par l’équipe Ferrari ce vendredi.

« J’ai eu une réunion de six heures et demie, c’est encourageant de voir tout le monde travailler dur cette année. »

« Aujourd’hui, finalement je vais dans le simulateur pour tester la voiture pour la première fois. Nous allons ensuite continuer à travailler la semaine prochaine pour boucler les préparatifs. »

En parallèle, Carlos Sainz devrait participer à un essai privé sur la piste de Fiorano au volant d’une monoplace vieille de deux saisons avant les essais hivernaux programmés au mois de mars à Bahreïn.

Valtteri Bottas sait que la saison 2021 sera cruciale pour son avenir

Le Grand Prix de Sakhir l’an passé aura laissé des traces à plus d’un titre au sein de l’équipe Mercedes.

Privée de son champion du monde Lewis Hamilton, l’équipe allemande avait alors fait appel au pilote Williams, George Russell, pour le remplacer.

Le jeune britannique n’aura raté la pole position face à son nouvel équipier, Valtteri Bottas, que pour 26 millièmes de seconde avant de voir la victoire lui échapper le lendemain suite à une succession d’événements malchanceux, enrhumant au passage son voisin de garage dans une manœuvre de dépassement audacieuse en milieu de course.

Valtteri Bottas a bien conscience que cette performance du jeune britannique risque bien de lui coûter son baquet dans un avenir plus ou moins proche : « Je sais que je ne vais pas avoir 15 saisons avec Lewis pour essayer de le battre. » a-t-il confié dans les colonnes d’Autosport.

« Je sais que je dois vraiment essayer de le faire en 2021. Bien sûr, je regarde toujours vers l’avant et je sais qu’il y aura des opportunités. Mais dans ce sport, il n’y aura pas des millions d’opportunités. »

Une approche différente pourrait peut-être lui permettre d’atteindre enfin son but : « J’ai vraiment envie d’essayer d’autres choses. J’ai l’impression que cela peut être le bon moment pour le faire. »

Mais le Finlandais ne veut surtout pas rentrer dans un jeu psychologique avec Lewis Hamilton et souhaite conserver la bonne entente qui règne entre les deux hommes : « Je pense que la force de notre équipe est justement de travailler en équipe. »

« Nous pouvons bien sûr nous battre durement, mais nous pouvons aussi en rester là. Au final, en travaillant ensemble, c’est l’équipe qui en tire le bénéfice. »

« Il n’y aura donc pas de dissimulation de données ou quoi que ce soit. L’esprit d’équipe dans les sports d’équipe est souvent sous-estimé. »

« Je pense qu’il est vraiment important de maintenir la motivation et de ne pas avoir de conflits. »

Bottas fait ainsi allusion au comportement de Nico Rosberg qui, pour remporter le titre pilote en 2016, était rentré dans une guerre psychologique avec Lewis Hamilton.

« Bien entendu, durant mon parcours chez Mercedes, beaucoup ont suggéré que je devienne un Nico Rosberg. Mais je ne suis pas un Nico Rosberg. Je préfère de loin parler sur la piste. » ajoute Bottas.

« Je suis persuadé que cela pourrait ennuyer Lewis, mais cela gaspillerait mon énergie et il risquerait d’être encore plus énervé et de piloter encore plus vite. »

« Donc je pense que mon approche est la bonne et je veux gagner de cette manière. » conclut le Finlandais.

McLaren et Mercedes s’entendent à merveille selon Andreas Seidl

Pour les saisons à venir, McLaren a choisi de se passer des unités de puissance fournies par Renault pour se tourner vers Mercedes.

Ce choix devait correspondre avec l’évolution du règlement technique qui devait intervenir en 2021. Mais les complications liées à la crise sanitaire ont forcé la FIA et la Formule 1 à repousser cette révolution à 2022.

Cette situation n’est pas pour avantager McLaren qui va devoir utiliser des jetons de développements durant l’intersaison pour pouvoir intégrer le bloc propulseur Mercedes dans la nouvelle MCL35M.

Mais l’expérience et la bonne entente des deux entités facilitent le processus : « C’est évidemment un grand défi de passer au bloc propulseur Mercedes pour la saison à venir. » a confié Andres Seidl, Team principal de l’équipe McLaren, au site officiel de la F1.

« Mais je dois dire que je suis très heureux des progrès que nous constatons. Je dirais que la construction de la monoplace se déroule très bien. » poursuit-il.

« La relation avec le personnel de Mercedes a commencé sur de très bonnes bases. Il y a un bon dialogue et de très bons échanges techniques. J’en suis très heureux. »

« Le fait de changer de moteur se fait évidemment en parallèle avec les développement aérodynamique auxquels nous devrons faire face l’année prochaine, notamment sur l’arrière de la monoplace, afin d’aider Pirelli. »

« Je dirais que nous sommes sur la bonne voie et qu’il n’y a rien d’alarmant pour le moment. L’expérience récente de McLaren dans les adaptations de nouvelle motorisation nous donne un certain savoir faire. » conclut Seidl.

La saison à venir verra également l’arrivée de Daniel Ricciardo au sein de l’équipe, associé à Lando Norris qui va entamer sa troisième saison complète dans la discipline.

Max Verstappen a été obligé de mettre sa frustration de côté en 2020

La saison 2020 de Max Verstappen peut sembler mitigée. Même si le Néerlandais est monté 11 fois sur le podium en 17 Grands Prix, il n’a remporté que 2 victoires et 1 pole position.

Un bilan insuffisant pour pouvoir prétendre à jouer le titre mondial face aux Mercedes. Le fait de voir les flèches d’argent ainsi dominatrices en début de saison a généré de la frustration chez le pilote Red Bull : « Au départ j’étais frustré ». a-t-il confié à David Coulthard dans une interview pour le site officiel de la F1.

« Vous vous sentez frustré par rapport à ça [jouer le titre] parce que vous avez cet espoir de dire ‘cela va arriver, cela va arriver’ et finalement, chaque année, cela ne se produit pas. »

« Mais cette année [en 2020] je me suis dis : je peux être frustré de ne jamais gagner, mais peut être devrais-je voir les choses d’une manière différente. »

« Je dois juste essayer de faire de mon mieux, d’extraire le meilleur de moi-même et de trouver cela agréable. C’est ce que j’essaye de faire désormais. »

« Je ne pense pas que l’on puisse faire une saison entière en étant frustré tout le temps. »

Avec 5 abandons et quelques occasions manquées la saison passée, la frustration n’a pas seulement envahi Max Verstappen, mais également son père, qui s’est confié sur la saison de son fils dans une interview réalisée par le sponsor CarNext.com.

« Au début de la saison j’étais…je ne dirais pas en colère, mais plutôt déçu. » précise ainsi Jos Verstappen.

« Tous les ans vous entendez toujours la même histoire qui dit que Red Bull peut gagner le championnat et au final ça n’arrive jamais. »

« J’étais vraiment un peu en colère contre ça, que cela n’arrive toujours pas. »

« La bonne chose c’est que nous pouvons en parler avec Raymond [Vermeulen, le manager de Max Verstappen] et Raymond en parle ensuite à Helmut [Marko, le conseiller de Red Bull] et nous essayons ensemble de trouver des solutions. » conclut Jos Verstappen.

En 2021 Max Verstappen sera associé au pilote mexicain Sergio Pérez qui a quitté l’écurie Racing Point en ayant remporté sa première victoire en Formule 1 lors du Grand Prix de Sakhir.

Ricciardo ne serait pas contre une participation à l’Indy 500 et aux 24 heures du Mans avec McLaren

Après avoir passé deux saisons avec l’équipe Renault, Daniel Ricciardo a choisi de partir chez McLaren à compter de la saison 2021.

Le pilote australien bénéficiera du moteur Mercedes au sein de l’écurie basée à Woking, qui a terminé la saison 2020 à la troisième place du championnat constructeurs.

Mais outre la Formule 1, McLaren est également engagée dans d’autres disciplines du sport automobile et notamment en Indycar.

On se souvient d’ailleurs que Fernando Alonso, alors sous contrat avec McLaren, s’était aligné aux mythiques 500 miles d’Indianapolis.

Daniel Ricciardo pourrait-il alors tenter la même aventure avec sa nouvelle équipe ? La réponse n’est pas si évidente : « C’est vrai que ça sonne plutôt pas mal. Mais j’avoue que les ovales me font un peu peur. » a confié le pilote australien cité par Speedweek.

« L’Indy ça serait cool, mais il faudrait peut être que je fasse des essais avant. J’ai trouvé la performance de Fernando [Alonso] assez impressionnante et je me suis imaginé comment y arriver à sa place. »

« Peut-être que j’essaierai un jour. Enfin, je veux dire, tourner quatre fois à gauche par tour, ça n’a pas l’air si compliqué que ça. » s’amuse Ricciardo.

McLaren envisage également un retour à moyen terme en Endurance et plus particulièrement aux 24 heures du Mans.

L’écurie britannique avait d’ailleurs remporté l’épreuve mancelle en 1995 avec un équipage composé du Français Yannick Dalmas avec à ses côtés JJ. Letho et Masanori Sekiya.

Là encore, Daniel Ricciardo reste ouvert à la possibilité de s’aligner un jour sur cette épreuve : « Certains de mes collègues ont déjà essayé ça. »

« L’idée de partager la voiture avec les mêmes pilotes me plaît bien. En tant que pilote de Grand Prix, vous ne mettez pas toutes vos cartes sur la table, mais au Mans, vos devez partager tous vos secrets avec vos collègues. »

« Je pense qu’une telle collaboration serait formidable. Participer aux 24 heures du Mans me pousserait également à la limite d’un point de vue mental et physique. » conclut le pilote australien.

 

Mick Schumacher est prêt à faire ses débuts en F1

La saison 2021 verra le retour du nom de Schumacher en Formule 1. Mick, le fils de Michael va en effet faire ses débuts dans la discipline reine du sport automobile avec l’équipe américaine Haas.

En attendant le début de la saison, qui a été repoussé au 28 mars avec le Grand Prix de Bahreïn suite au report de la manche australienne, le pilote allemand continue de s’entraîner : « Bien entendu, j’attendais avec impatience la première manche en Australie. »

« Mais du coup, il me reste un petit peu plus de temps pour me préparer encore mieux. » a confié le pilote Haas à nos confrères allemands de Speedweek.

Le champion en titre de Formule 2 ne néglige pas pour autant sa préparation physique : « Je commencerai la saison parfaitement préparé. »

« Actuellement, je suis dans une phase de préparation qui consiste à construire les bases de ma saison. Les changements au calendrier ne modifient pas mon programme. C’est la même chose pour tout le monde de toute façon. »

Même si les restrictions de déplacement dues à la pandémie de Covid-19 empêchent le jeune allemand de se rendre au siège de l’écurie Haas, basé à Kanapolis aux Etats-Unis, et à l’usine de Banbury en Grande Bretagne, il reste néanmoins en contact avec l’équipe : « Je communique toujours beaucoup avec l’équipe, notamment grâce à la vidéoconférence. »

Après s’être séparée de Romain Grosjean et Kevin Magnussen, l’équipe Haas alignera un duo de pilotes néophytes en 2021 avec Nikita Mazepin au coté de Mick Schumacher.

Alpine et Lotus ont signé un partenariat technique

Dans le cadre du développement de la Business Unit Alpine, le Groupe Renault et le Groupe Lotus ont signé un protocole d’accord (MoU) pour étudier un certain nombre de domaines de coopération, dont le développement conjoint d’une voiture de sport électrique.

Les équipes Alpine et Lotus mèneront une étude de faisabilité complète pour l’ingénierie, la conception et le développement conjoints d’une voiture de sport VE en tirant parti des ressources, de l’expertise et des installations des entités respectives en France et au Royaume-Uni.

Alpine et Lotus exploreront également le développement d’une offre de services conjointe combinant leur expertise en ingénierie. Une collaboration visant à tirer parti de la plate-forme de sport automobile d’Alpine couvrant la Formule 1 à la Formule E et à l’Endurance est également à l’étude.

« La signature de ce protocole d’accord avec Lotus montre l’approche allégée et intelligente que nous mettons en œuvre dans le cadre de la nouvelle stratégie de marque Alpine. » nous explique Laurent Rossi, directeur général d’Alpine.

« Les deux marques ont un héritage incroyable et nous sommes très heureux de commencer ce travail ensemble, des solutions d’ingénierie sur mesure au développement d’une voiture de sport VE de nouvelle génération. »

« Cette collaboration ainsi que notre transformation marquent le début d’une nouvelle ère dans laquelle nous porterons le nom et la gamme Alpine vers le futur. »

« Nous mettons la F1 au cœur de notre activité, en tirant parti de notre expertise interne et de nos meilleurs partenaires tels que Lotus pour injecter à nos voitures des performances, une technologie et une motorisation de pointe. »

Dans le cadre de cet accord, la marque Alpine pourrait bien faire son entrée en Formule E aux côtés de Lotus dans un proche avenir, même s’il est encore un peu trop tôt pour connaître les tenants et les aboutissants de cette relation naissante.

Rappelons tout de même que Renault a une grande expérience de la Formule E avec pas moins de cinq titres décrochés, tandis que le groupe Renault continue d’être impliqué dans la catégorie 100% électrique grâce à sa collaboration aux cotés de Nissan.

Autre point intéressant, le départ prochain des constructeurs BMW et Audi, ce qui offrirait à Alpine/Lotus une opportunité de s’engager en Formule E.

Charles Leclerc testé positif au Covid-19

Le pilote Ferrari Charles Leclerc et l’équipe Ferrari ont annoncé ce jeudi que le pilote monégasque a été testé positif au Covid-19 et a donc immédiatement été placé à l’isolement.

« Le pilote de la Scuderia Ferrari, Charles Leclerc, a été testé positif au COVID-19. » confirme l’équipe italienne ce jeudi.

« Conformément aux protocoles de l’équipe, Charles est testé régulièrement et hier, le résultat de son dernier test est revenu positif. »

« Charles nous a immédiatement prévenu et a informé toutes les personnes avec lesquelles il était en contact étroit ces derniers jours. »

« Il se sent actuellement bien avec des symptômes légers et s’auto-isole désormais chez lui à Monaco. »

Charles Leclerc pour sa part a expliqué sur ses réseaux sociaux qu’il avait été en contact avec un cas positif sans le savoir ces derniers jours.

« Je me fait régulièrement testé en accord avec le protocole de mon équipe. Malheureusement, j’ai appris que j’ai été en contact avec un cas positif et j’ai immédiatement été placé à l’isolement […] » a expliqué Leclerc pour rassurer ses fans. »

« Je me sens bien et j’ai de légers symptomes. Je reste à l’isolement chez moi à Monaco en accord avec les règles sanitaires locales. Restez en sécurité et prenez soin de vous. »

Charles Leclerc est devenu le cinquième pilote de Formule 1 à avoir été testé positif au Covid-19 après Sergio Perez, Lance Stroll, Lando Norris et Lewis Hamilton.

Les Grands Prix virtuels de F1 de retour en 2021

Après l’énorme succès rencontré en 2020 par les Grands Prix de F1 virtuels (bien aidé par un premier confinement et le report du début de la saison de F1 à juillet), la Formule 1 a décidé de relancer la compétition virtuelle pour une série de trois courses consécutives.

Les Grands Prix virtuels reviendront le 31 janvier 2021 pour trois événements consécutifs où les dix équipes de la grille s’affronteront pour une œuvre caritative représentées par des anciens pilotes de F1, des pilotes actuels ou encore des célébrités et des joueurs de la série F1 Esports.

Le format a été modifié depuis les événements de l’année dernière, car les pro gamers participeront désormais à une course de sprint de cinq tours pour déterminer l’ordre de la grille de départ pour la course principale, où les duos des équipes s’affronteront ensuite à 50% de la distance de course pour obtenir des points pour le classement général.

Le classement du championnat par équipe sera suivi à travers les événements et déterminera comment les prix seront ensuite distribués aux organismes de bienfaisance désignés.

« C’est fantastique de voir la F1 Esports Series 2020 battre des records d’audience et d’engagement après un brillant championnat où nous avons vu des courses compétitives et un spectacle élevé à chaque événement. » explique Julian Tan, responsable des initiatives commerciales numériques et des sports électroniques auprès de la Formule 1.

« Nous avons dû nous adapter à la manière nous avons opéré pour la série Pro en raison de la pandémie, mais nous sommes ravis de voir que cela n’a pas affecté le plaisir des spectateurs pour l’action. »

« 2020 a été une année difficile pour tout le monde, mais nous avons hâte d’apporter plus d’enthousiasme aux fans en 2021, à commencer par le retour des Grands Prix virtuels alors que nous accueillons certains des visages qui en ont fait une expérience si spéciale l’année dernière, tout en invitant de nouveaux aussi, tout cela au nom de la charité. »

La Formule 1 fournira plus de détail concernant ces trois courses dans les prochains jours (horaires, circuits, pilotes…)

Sainz : « j’ai toujours pensé que Ferrari pouvait être une équipe pour moi »

En 2021, Carlos Sainz va courir pour la prestigieuse équipe Ferrari. Même si cette dernière a connu une campagne 2020 des plus compliquées – sa plus mauvaise saison depuis 1980 – elle continue de faire rêver tous les pilotes de la grille.

« Piloter un jour pour Ferrari est dans la tête et les rêves de tous les pilotes de Formule 1. Il est très difficile de dire non à cela. » a ainsi confié Sainz dans les colonnes de crash.net.

Le pilote espagnol était depuis longtemps convaincu qu’il se sentirait à son aise au sein de la Scuderia : « J’étais assez convaincu qu’en tant qu’équipe italienne, et vu que je me suis toujours senti à l’aise avec Toro Rosso…en fait, j’ai toujours pensé que Ferrari pouvait être une équipe pour moi. »

« De toute façon, d’un point de vue sentimental, conduire pour l’écurie la plus titrée de l’histoire de la Formule 1 est le rêve de tous les pilotes de la discipline. »

L’ex-pilote McLaren se sent déjà comme chez lui à Maranello : « J’ai eu des échanges positifs avec les gens là bas. J’y ai vu de la bonne humeur et des personnes prêtes à se battre pour réussir un vrai retour au premier plan. »

« Tout le monde pousse à fond et vous pouvez déjà constater qu’il y a eu des progrès. Ils ont clairement développé la voiture et vous pouvez constater que l’équipe est déjà en bien meilleure position qu’il y a six ou sept mois. »

« J’espère que nous pourrons franchir la prochaine étape ensemble et que je pourrais également les aider à continuer dans ce sens et à trouver encore plus de performance avec la voiture. »

« Clairement, je ne serais pas venu chez Ferrari si je n’avais pas eu un bon pressentiment. »

Alpine présentera la livrée définitive de sa F1 en février

Ce jeudi 14 janvier, le groupe Renault a présenté son plan stratégique « Renaulution » visant à réorienter la stratégie du groupe Renault de la course au volume à la création de valeur.

Durant cette conférence de presse virtuelle, Laurent Rossi, nouveau directeur général d’Alpine, a dévoilé la monoplace de la saison 2021 de F1, ainsi qu’une livrée provisoire.

Rossi a affirmé que la marque Alpine cherchera à décrocher des podiums dès 2021, avant de monter en puissance lors de la saison 2022 lorsque les nouvelles réglementations seront introduites en Formule 1.

« La course va rester au cœur de la marque, nous allons renouveler notre engagement à la Formule 1 avec les nouvelles réglementations 2022. » a annoncé Laurent Rossi ce jeudi.

« Nous voulons viser le podium de façon cohérente. 2021 sera une année de transition comme pour toutes les écuries, mais la montée vers le sommet a déjà commencé et nous allons défendre l’équipe Alpine avec nos propres pilotes. »

Rossi a également rappelé que la marque Alpine – qui réunira les voitures Alpine, Renault Sport Cars et Renault Sport Racing – devra être rentable d’ici à 2025 y compris avec les investissements dans le sport automobile.

Antony Villain, Directeur du Design Alpine, nous a également expliqué que : « Certains éléments graphiques structurants resteront sur la livrée de course et d’autres vont évoluer. »

« L’emblème Alpine “oversize” et son approche graphique tricolore est le premier symbole fort de l’identité de la marque en compétition. »

« Le bleu, le blanc et le rouge font référence aux couleurs des drapeaux français et anglais, ce qui est très important à nos yeux. De nombreuses déclinaisons sur l’ensemble des activités en compétition restent à venir. »

« Donner une identité forte et spécifique à la Formule 1 mais aussi à l’ensemble du programme compétition d’Alpine est une évidence et une chance. »

« En plaçant le sport automobile au centre de notre démarche, l’identité graphique est clé. La livrée présentée ce jour est la première évocation de la nouvelle identité de l’écurie Alpine F1 Team. »

L’histoire derrière la livrée noire de la F1 d’Alpine

Ce jeudi 14 janvier, Alpine a présenté sa monoplace pour la saison 2021 habillée de sa livrée noire hivernale éphémère (la livrée définitive sera présentée en février).

Cette livrée noire (provisoire) est un hommage au prototype l’Alpine A500 F1 de 1975 qui marquait les prémices de l’aventure Renault en Formule 1.

Cette monoplace était destinée à évaluer le moteur turbo et diverses solutions techniques avant que le constructeur Renault ne se lance finalement en Formule 1 en tant qu’équipe d’usine.

Avant de s’engager pleinement en Formule 1, Renault souhaitait le faire avec un concept novateur, l’utilisation du moteur turbo, mais le constructeur français n’avait pas les finances nécessaires pour concourir en F1 et également en endurance où la marque était déjà engagée.

A l’époque, le pétrolier ELF a donc pris en charge le développement d’une monoplace pour étudier le moteur turbo, qui développait après deux moteurs expérimentaux pas moins de 525 chevaux au banc, bien plus que ceux engagés alors en Formule 1.

Pour valider ce moteur, Renault avait besoin d’une voiture laboratoire se rapprochant le plus possible d’une Formule 1 et c’est Alpine qui réalisera le châssis d’une monoplace destinée à tester le moteur Renault turbocompressé.

L’Alpine A500 est donc née en 1975 et arborait une livrée toute noire, permettant à Renault d’engranger de l’expérience lors de tests privés avec cette monoplace équipée de pneus radiaux Michelin (une première à l’époque).

Grâce à ces essais, Renault a réussi à mettre au point son turbo et à réduire son temps de réaction, tandis que les développements continueront jusqu’en 1977 avant que Renault Sport ne naisse et reprenne les études A500 à son compte.

En 1976, l’engagement de Renault en Formule 1 est alors acté et la voiture construite sur la base de l’A500 est mise en production en 1977 et est dévoilée au public quelques mois plus tard et sera baptisée Renault RS01.

La F1 2021 d’Alpine baptisée A521

C’est une révolution chez Renault, ou plutôt une Renaulution ! Ce matin, le constructeur français a profité d’une conférence de presse en ligne présentant sa stratégie dans les années à venir, pour dévoiler la nouvelle monoplace Alpine qui participera à la saison 2021 de Formule 1.

Si la livrée noire (en hommage à la A500), agrémentée des trois couleurs du drapeau français sur le capot moteur, n’est que provisoire, la monoplace est bien celle qui sera alignée sur les grilles de départ en 2021.

Confiée à Fernando Alonso et Esteban Ocon, cette nouvelle monoplace a été baptisée A521 et devrait être officiellement présentée en février, en présence des deux pilotes et de la direction sportive (aucune date n’a encore été dévoilée).

On sait depuis quelques jours désormais que Cyril Abiteboul ne fait plus partie du groupe Renault et que Laurent Rossi aura en charge la direction générale d’Alpine.

L’ambition d’Alpine en Formule 1 est de rapidement atteindre le sommet de la discipline, comme l’a une nouvelle fois précisé Rossi ce jeudi : « Nous voulons viser le podium de façon cohérente. »

« La saison 2021 sera une année de transition comme pour toutes les écuries, mais la montée vers le sommet a déjà commencé et nous allons défendre l’équipe Alpine avec nos propres pilotes. »

Renaulution : La F1 sera au cœur du projet Alpine

Ce jeudi 14 janvier, le groupe Renault a présenté son plan stratégique « Renaulution » visant à réorienter la stratégie du groupe Renault de la course au volume à la création de valeur.

Ce plan stratégique sera structuré en trois phases lancées en parallèle a annoncé aujourd’hui le PDG du Groupe Renault, Luca De Meo lors d’une conférence de presse :

  • La phase « Résurrection », qui s’étendra jusqu’en 2023, se concentrera sur le redressement de la marge et de la génération de liquidités,
    • La phase « Rénovation », qui se poursuivra jusqu’en 2025, verra le renouvellement et
    l’enrichissement des gammes, contribuant à la rentabilité des marques,
    • La phase « Révolution », qui démarrera en 2025, fera basculer le modèle économique du Groupe vers la technologie, l’énergie et la mobilité, faisant du Groupe Renault un précurseur dans la chaîne de valeur des nouvelles mobilités.

Le plan Renaulution permettra de restaurer la compétitivité du Groupe Renault en :

• allant au-delà du plan 2o221, en améliorant l’efficacité de l’ingénierie et de la production, pour réduire les coûts fixes et améliorer les coûts variables dans le monde,

• tirant parti des atouts industriels actuels du Groupe et de son leadership électrique en Europe,

• s’appuyant sur l’Alliance pour accroître notre force de frappe en termes de produits, d’activités et de technologies,

• accélérant les services de mobilité, ceux dédiés à l’énergie et ceux relatifs aux datas,

• améliorant la rentabilité via 4 business units différenciées, fondées sur des marques pleinement responsables, centrées sur les clients et les marchés.

Une nouvelle organisation mettra en œuvre ce plan : les fonctions, avec l’ingénierie au premier plan, sont responsables de la compétitivité, des coûts et du délai de mise sur le marché. Les marques pleinement responsables, gèrent leur rentabilité.

En cohérence avec cette organisation axée sur la valeur, l’entreprise ne mesurera plus ses performances au travers des parts de marché et des ventes, mais en fonction de la rentabilité, la génération de liquidités et l’efficacité des investissements.

Le Groupe Renault dotera ses quatre business units d’une identité et d’un positionnement forts. Cette nouvelle organisation permettra de créer un portefeuille de produits rééquilibré et plus rentable avec 24 lancements d’ici 2025 – dont la moitié dans les segments C/D – et au moins 10 véhicules électriques.

Cette nouvelle organisation axée sur la valeur et cette offensive produits permettront d’améliorer les prix et le mix produits selon le PDG du Groupe, Luca De Meo.

Parmi ces quatre business units, l’une d’entre-elle sera entièrement tournée sur la marque Alpine qui réunira les voitures Alpine, Renault Sport Cars et Renault Sport Racing au sein d’une nouvelle entité à part entière qui se consacrera au développement de voitures de sport exclusives et innovantes.

La Formule 1 sera au cœur du projet Alpine à travers un engagement pleinement renouvelé en championnat, tandis que le groupe Renault aura pour objectif d’être rentable en 2025 en incluant les investissements dans le sport automobile.

Le groupe Renault a également annoncé le développement d’une voiture de sport électrique nouvelle génération avec Lotus.

Lors de cette présentation, des images d’une livrée provisoire (photo d’illustration de cet article) de la future Alpine F1 ont également été dévoilées et sur lesquelles ont peut apercevoir les couleurs du drapeau tricolore français apposé sur une livrée noire, tandis que le mois prochain, Alpine présentera la livrée définitive de la monoplace 2021.

« La course va rester au cœur de la marque, nous allons renouveler notre engagement à la Formule 1 avec les nouvelles réglementations 2022. » a annoncé Laurent Rossi ce jeudi.

« Nous voulons viser le podium de façon cohérente. 2021 sera une année de transition comme pour toutes les écuries, mais la montée vers le sommet a déjà commencé et nous allons défendre l’équipe Alpine avec nos propres pilotes. »

 

Chez Aston Martin, Vettel et Stroll vont se compléter

Le directeur de l’équipe Aston Martin, l’Américain Otmar Szafnauer, se dit extrêmement ravi du duo de pilotes qu’il aura à sa disposition cette année en F1 pour le retour tant attendu du constructeur britannique en catégorie reine.

Née des cendres de l’équipe Racing Point, l’écurie Aston Martin a déjà fait couler beaucoup d’encre avant même le début de la saison 2021, notamment parce que Lawrence Stroll, le propriétaire d’Aston Martin, a réussi à s’offrir les services d’un quadruple champion du monde pour 2021.

L’Allemand Sebastian Vettel – qui a quitté la Scuderia Ferrari fin 2020 après six années passées à Maranello – fera équipe cette année avec le Canadien Lance Stroll, ce qui enchante particulièrement le directeur de l’écurie, qui estime avoir l’un des meilleurs duo de pilotes de la grille.

« C’est extrêmement excitant pour tout le monde dans l’équipe. Avec Sebastian [Vettel], nous avons un quadruple champion du monde qui a fait ses preuves en aidant les équipes à devenir des équipes gagnantes et en lice pour le championnat. » nous explique Szafnauer.

« C’est pourquoi c’est une signature si importante pour nous. Il apporte une mentalité gagnante et nous apprendrons tous sans aucun doute beaucoup de lui au cours de ce voyage. »

« Avec Lance [Stroll], nous avons un jeune pilote talentueux et travailleur qui a connu sa meilleure campagne à ce jour l’année dernière et qui a vraiment fait des progrès dans tous les domaines. »

« On sait que si on lui donne les bons outils, il est plus que capable d’aider l’équipe à atteindre ses objectifs. »

« Nous pensons également que Sebastian va faire ressortir le meilleur de Lance, avec Lance poussant fortement Sebastian en retour, nous sommes donc ravis de notre line-up 2021. C’est un mélange idéal d’expérience, de savoir-faire gagnant et de talent brut. »

L’équipe Aston Martin dévoilera la livrée de sa monoplace 2021 au mois de mars depuis le siège du constructeur britannique à Gaydon.