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L’ancien Président de Ferrari, Luca di Montezemolo, estime que la saison 2020 de F1 rentrera inévitablement dans l’histoire une fois qu’elle aura débuté.

Avec les multiples reports et annulations en ce début d’année en raison de la crise sanitaire mondiale, la saison 2020 de F1 n’a toujours pas débuté.

La Formule 1 prévoit de démarrer la saison 2020 au mois de juillet en Autriche et espère pouvoir disputer entre 15 et 18 courses d’ici la fin de l’année. Lorsqu’on lui demande ce qu’il pense d’une saison de F1 raccourcie, Luca di Montezemolo estime qu’elle n’en sera pas moins disputée pour autant.

« Il y aurait toujours un digne champion et ce serait une saison destinée à rentrer dans l’histoire, précisément en raison de caractère unique. » explique l’ancien Président de Ferrari au journal Il Resto Del Carlino.

« J’espère qu’il sera possible de redémarrer les moteurs, mais c’est identique avec la Série A [le championnat de foot italien]. Il faudra une garantie de sécurité et un huis clos, car je pense que ce sera le spectacle offert par le sport durant un moment. »

Concernant la Scuderia Ferrari, le contrat du quadruple champion du monde Sebastian Vettel arrive à expiration à la fin de cette année et l’annonce d’un renouvellement de l’Allemand tarde à venir.

Lorsqu’on lui demande s’il prolongerait le contrat de Sebastian Vettel s’il était encore à la tête de Ferrari, l’Italien répond : « Oui, parce que Seb est encore très rapide. Il a beaucoup d’expérience et je ne pense pas qu’il soit en manque de motivation. »

« De plus, sa présence serait également utile pour Leclerc, qui est extrêmement talentueux, mais doit encore confirmer sa position après une splendide saison. Il aura donc beaucoup de pression sur lui. »

Le capitaine Tom Moore a accepté l’invitation du pilote de F1 Lando Norris pour visiter les installations de l’équipe McLaren à Woking.

Le pilote McLaren Lando Norris a contacté le capitaine Tom Moore au cours du week-end dernier pour le féliciter d’avoir recueilli plus de 30 millions de Livres pour aider les personnels soignants au Royaume-Uni.

Devenu un vrais héro national, le capitaine Tom Moore a effectué une marche caritative en déambulateur dans son jardin en réalisant 100 tours de son jardin en pleine crise sanitaire du coronavirus.

Jamais à court d’idée, le « Captain Tom » a également participé à une reprise de « You’ll never walk alone », la chanson fétiche des supporters de foot anglais. Avec 82 000 exemplaires vendus en seulement une semaine, le titre est devenu numéro 1 des charts au Royaume-Uni.

Le pilote McLaren Lando Norris a pu féliciter directement le capitaine Tom lors d’un entretien vidéo durant lequel le pilote britannique a lancé une invitation au vieil homme.

« C’est un honneur de vous parler. Je suis sûr qu’on vous l’a dit à plusieurs reprises déjà, mais de mon côté et chez McLaren, nous souhaitons vous féliciter pour tout ce que vous avez fait. » a déclaré le Britannique Lando Norris.

« C’est un honneur pour moi de parler à quelqu’un comme vous, le capitaine Tom, qui a accompli des choses que très peu de personnes peuvent réussir à réaliser au cours de leur vie. »

« A 99 ans, 100 ans le 30 avril, c’est une grande réussite. Nous aimerions vous inviter éventuellement chez McLaren pour une petite tournée, une grande tournée, tout ce que vous voulez, de toute notre installation. »

Le capitaine Tom, qui fête donc ses 100 printemps ce jeudi 30 avril, a révélé qu’il avait hâte de parler avec le jeune Lando Norris en tant que fan de l’équipe McLaren, et a donc joyeusement accepté l’invitation.

« Rien ne me ferait plus plaisir que ça. » a répondu le capitaine Tom. « Ce serait absolument phénoménal pour moi de rencontrer l’équipe McLaren parce que je suis un fan de McLaren depuis très longtemps et je le serai toujours. »

« Je suis la F1 et McLaren depuis des années et tu va de mieux en mieux. J’espérais que cette année tu allais faire encore mieux. » poursuit le capitaine Tom.

« Nous espérions. » lui répond alors Norris. « J’espère qu’avec votre contribution et tout ce que vous avez fait nous pourrons revenir à la course de façon normale. »

« C’est bon d’entendre que vous suivez la Formule 1. Nous allons faire en sorte de revenir en tant qu’équipe et de gagner des courses et de faire un bon spectacle pour vous. C’est notre objectif. »

« Ce n’est pas très facile et nous allons devoir travailler aussi dur que vous l’avez fait. Mais j’espère qu’à l’avenir – peut-être à la fin de cette année – nous pourrons essayer de le faire. »

Le capitaine Tom a poursuivi : « Je me souviens lorsque McLaren était au sommet, et je suis certain que c’est là que vous allez revenir. Si vous continuez à piloter comme vous l’avez fait, vous serez bientôt le meilleur pilote. »

« Ce fut un plaisir de vous parler. » a jouté Lando Norris. « Il y a encore beaucoup de gens comme vous que nous admirons, qui nous inspirent et qui peuvent nous rendre meilleurs non seulement pour nous-mêmes, mais aussi pour l’équipe et le monde entier. »

« Ce fut un plaisir pour moi de vous parler aussi. Merci. » conclut le capitaine Tom.

Toto Wolff a bien voulu expliquer pourquoi il a choisi d’investir dans le capital d’Aston Martin et explique qu’il ne sera pas sur tous les GP en 2020.

Il y a quelques jours, le patron de l’équipe Mercedes a confirmé avoir pris une participation au capital du constructeur britannique Aston Martin, ce qui a déclenché les rumeurs les plus folles, suggérant que Wolff s’apprêtait à quitter l’écurie du constructeur allemand à la fin de l’année pour rejoindre la future équipe d’usine Aston Martin F1, qui prendra forme en 2021.

Interrogé pour comprendre pourquoi il avait décidé de prendre une participation au capital d’Aston Martin, l’Autrichien a réaffirmé qu’il ne s’agit que d’un placement personnel.

« Les actions sont très basses en ce moment et la nouvelle gamme de produits est excellente. » explique Wolff à Ostereich.

« Il s’agit d’un investissement financier personnel dans un constructeur automobile qui n’a rien à voir avec la Formule 1. Après le coronavirus, il y aura à nouveau un temps normal, les gens achèteront de nouveau des voitures. »

Concernant la saison 2020 de Formule 1 qui n’a toujours pas débuté, Toto Wolff explique qu’il ne sera pas présent sur tous les Grands Prix cette année.

« Pour 2020, je suis team manager de l’équipe Mercedes, même si je vais diviser mon temps différemment et que je ne serai pas présent à chaque course. Je veux faire ma part du travail pour que Lewis remporte son septième titre. »

Lorsqu’on lui demande dans quelle mesure il pense qu’un début de saison en Autriche au mois de juillet est réaliste, le boss de l’équipe Mercedes répond : « Tout le monde est pris dans ce dilemme du coronavirus. »

« Si les décideurs autrichiens trouvent un concept pour accueillir le début de la saison en toute sécurité, ce serait une nouvelle extrêmement positive pour la Formule 1 et pour l’Autriche. »

Esteban Ocon estime que les pilotes n’auront pas de « joker » cette année au championnat dans le cas d’une saison 2020 raccourcie.

La F1 souhaite débuter sa saison 2020 au mois de juillet en Autriche avec deux courses à huis clos sur le Red Bull Ring et espère pouvoir disputer au moins 15 Grands Prix d’ici la fin de l’année.

Initialement, la saison 2020 de Formule 1 était composée de 22 courses, mais après de multiples reports et annulations en raison de la crise de coronavirus, la catégorie reine du sport automobile ne disputera sans doute pas plus de 18 courses cette année.

Pour le pilote Renault Esteban Ocon, le fait qu’il y a ait moins de courses au championnat va signifier que les pilotes n’auront pas le droit à l’erreur et se devront de marquer un maximum de points à chaque Grand Prix.

« Au plus nous pouvons en faire, au mieux ce serait pour le championnat du monde. » déclare Esteban Ocon à Sky Sports.

« Mais je conviens qu’avec 10 bonnes courses ou plus, si nous le pouvons, ce serait toujours valable. Il y aurait suffisamment de courses, et ce serait la même chose pour tout le monde pour déterminer qui est le meilleur et qui ne l’est pas au final. »

« Mais il n’y aura pas de joker ! Il n’y aura pas de place pour l’abandon. Il sera important de terminer toutes les courses, de marquer tous les points disponibles et de parvenir à l’arrivée. »

L’avis du pilote Renault est finalement le même que Sebastian Vettel, qui considère qu’un championnat du monde de F1 raccourci ne signifie pas pour autant un championnat au rabais.

« Évidemment, nous avons eu moins de courses dans le passé et plus de courses aujourd’hui. Mais je ne pense pas que cela fasse une grande différence. » estime le pilote Ferrari.

« Une saison est une saison, qu’elle fasse 10, 15, 20 ou 25 courses. Vous devez toujours être le pilote le plus constant. Chaque course est importante. Au final, un championnat restera un championnat. »

La F1 rediffuse ce mercredi 29 avril le Grand Prix d’Europe 1999 disputé sur le circuit allemand du Nürburgring.

Au terme de cette course très animée (pluie et abandons nombreux), c’est le Britannique Johnny Herbert qui s’imposera finalement au volant de la Stewart-Ford, bien que cette monoplace n’était clairement pas la favorite avant le début du week-end.

Dès le départ du Grand Prix d’Europe 1999, un gros accident a lieu pour Pedro Diniz au volant de sa Sauber-Petronas. La pluie s’invite ensuite dès le 20° tour de course, ce qui poussera plusieurs leaders à passer au stand pour changer de gommes, ce qui fut finalement une grave erreur puisque la piste est restée sèche.

Johnny Herbert, au volant de sa Stewart-Ford, reste en piste et remonte dans le classement depuis sa quatorzième position de départ.

Ensuite, plusieurs pilotes rencontreront des problèmes mécaniques, ce qui permettra une nouvelle fois à Herbert de remonter dans la hiérarchie. Il se retrouve très vite en tête de la course et franchira la ligne d’arrivée à cette position.

Ce Grand Prix d’Europe 1999 sera rediffusé ce mercredi soir à partir de 20h00 (heure de Paris) sur les différents canaux de communication de la F1 : YouTube, Facebook ou F1.com.

Le pilote McLaren Lando Norris admet que le retour à la compétition pourrait être un vrai choc pour le corps des pilotes.

Pendant le confinement, les pilotes de F1 continuent de s’entraîner physiquement, mais le manque de sensations et surtout l’absence de Forces G sur certains muscles du corps, signifient que le retour à la compétition pourrait être un vrai choc estime le Britannique.

« Je me suis concentré sur les choses sur lesquelles je peux me concentrer, c’est-à-dire mon entraînement physique, en essayant de continuer après les tests de pré-saison. » explique le pilote McLaren au site de la F1.

« Lorsque vous recommencez à piloter, cela peut être un choc pour le corps. Il faut être capable de passer de rien – même pas faire des tests, piloter une F3 ou n’importe quelle voiture de ce genre – c’est littéralement passer d’une voiture de série, et même ça je ne l’ai pas fait beaucoup, à sauter dans l’une des voitures les plus rapides du monde, encaissant X quantité de Forces G à chaque virage. C’est un grand choc… »

« Le corps change et s’adapte au pilotage d’une voiture. Vous pouvez faire tout l’entrainement du monde que vous voulez à la maison avec les exercices sur le cou, mais les mouvements que vous ressentez dans une Formule 1 ne peuvent pas être reproduits à l’identique à l’entrainement. »

« C’est un choc pour le corps de tout le monde. Vous pouvez être l’un des gars les plus aptes en Formule 1, mais c’est toujours dur pour le corps humain. »

Le pilote Ferrari Charles Leclerc collabore avec la Croix Rouge monégasque pour aider à la lutte contre le coronavirus en principauté.

Le pilote de Formule 1 Charles Leclerc a participé cette semaine aux livraisons d’équipements pour le centre Hospitalier Princesse Grâce de Monaco, ainsi qu’ à la livraison de friandises pour tous les bénévoles de la Croix Rouge.

En cette période de confinement, le jeune pilote Ferrari est très actif pour aider à lutter contre la pandémie de coronavirus, puisqu’il a lancé un mini championnat virtuel de F1 il y a quelque jours avec l’aide d’autres pilotes pour récolter des fonds.

Au total, les pilotes ont réussi à récolter 71305 dollars [65 500 euros environ], alors que ce championnat virtuel a été organisé en seulement trois jours.

C’est Charles Leclerc qui a remporté ce mini championnat avec 90 points marqués. Le pilote monégasque a devancé Luca Albon [71 points] et son petit frère Arthur Leclerc [59 points].

SOLIDAIRE – @Charles_Leclerc, pilote monégasque de formule 1, a participé avec notre équipe logistique aux livraisons d’équipements au CHPG et à la distribution de friandises pour nos bénévoles.@monaco__info @hopitalMonaco @MairieMonaco #merci #engagement #solidarité #covid19 pic.twitter.com/kWYe3Gmfic

— Croix-Rouge monégasque (@croixrougemc) April 28, 2020

Ce lundi, la F1 a présenté un premier aperçu de ce à quoi pourrait ressembler le calendrier de la saison 2020 en Formule 1.

Chase Carey, le PDG de la F1, a confirmé ce lundi l’intention de la catégorie reine du sport automobile de débuter sa saison 2020 en Autriche au début du mois de juillet (du 3 au 5 juillet).

Si pour l’instant cela ne reste qu’un simple objectif, nos confrères allemands du Bild affirment pour leur part que la F1 fera une double étape à Spielberg, à Silverstone et à Budapest.

Toujours selon le Bild, le second Grand Prix de Hongrie serait organisé le mercredi, trois jours après la course principale, alors que Monza, Spa et Zandvoort, en plus de Monaco, Barcelone et la France ne feraient tout simplement pas partie du calendrier en 2020.

En suivant la logique du Bild, la F1 se rendrait le 6 septembre en Azerbaïdjan après la seconde course de Budapest, puis Singapour et Sotchi.

En octobre, la Formule 1 débarquerait en Chine, puis se rendrait au Japon sur le tracé de Suzuka, avant de se diriger le 25 octobre aux Etats-Unis à Austin. Direction ensuite Mexico le 1er novembre, puis le Grand Prix du Brésil une semaine plus tard.

Enfin, la catégorie reine pourrait se rendre au Vietnam le 22 novembre, avant de terminer sa saison 2020 dans le Golfe avec les Grands Prix de Bahreïn et d’Abou Dhabi les 6 et 13 décembre.

La saison 2020 idéale de la F1

Le PDG de l’équipe McLaren a mis au défi le directeur de Ferrari de prouver son éthique en dévoilant les détails de l’accord passé entre Ferrari et la FIA.

En début d’année, la FIA a annoncé avoir passé un « accord secret » avec l’équipe Ferrari, après avoir conclu une longue enquête sur une possible violation de la réglementation autour de l’unité de puissance de l’écurie italienne lors de la saison 2019.

A la suite de son enquête, la FIA a admis ne pas avoir suffisamment d’éléments à charge pour prouver que Ferrari a utilisé son moteur de façon illégale en 2019 et a donc trouvé un accord dont les termes resteront secret.

Après cette annonce, les sept équipes de la grille non motorisées par Ferrari ont décidé de contre-attaquer en publiant un communiqué dans lequel elles se disaient « choquées » par cet accord.

Mais à la suite des propos tenus par Mattia Binotto au journal The Guardian la semaine dernière,  qui parlait du « devoir éthique  » de Ferrari de s’occuper de son personnel à la suite d’une pression pour faire baisser le plafond budgétaire de la F1, Brown met désormais le directeur de l’écurie de Maranello au défi de dévoiler les détails de l’accord secret passé avec la FIA.

« Je suis tout à fait en faveur qu’il y ait des devoirs éthiques. » a déclaré Zak Brown, le directeur de McLaren, cité par Reuters.

« Dans le sens de l’éthique, je pense qu’il serait formidable si Mattia [Binotto], partageait avec nous, tout comme la FIA s’est portée volontaire pour partager, les détails derrière l’accord secret au sujet de la violation présumée de la réglementation autour de leur moteur. »

Les sept équipes non motorisées par Ferrari avaient organisé une réunion de crise à Melbourne lors de la première manche de l’année. Mais en raison de l’annulation de l’épreuve, cette réunion n’a jamais eu lieu.

Lewis Hamilton et Toto Wolff sont revenus sur le succès de leur relation au sein de l’équipe Mercedes en F1.

Depuis son arrivée chez Mercedes F1 en 2013, Lewis Hamilton a remporté cinq championnats du monde pilotes et a toujours eu une relation très sincère avec son boss, l’Autrichien Toto Wolff.

Dans le cadre d’un entretien accordé à Sky Sports, les deux hommes sont revenus un peu plus en détail sur leur partenariat gagnant-gagnant.

« Nous étions comme des aimants, nous nous sommes rapprochés. J’avais besoin de Toto pour faire ce qu’il a fait avec l’équipe et il avait besoin de moi pour faire ce que je fais dans la voiture. » explique le sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton.

« Nous sommes tellement similaires dans nos personnalités. » estime le pilote Mercedes, qui a insisté sur le fait qu’il avait trouvé un « ami » mais aussi un « collègue » avec Wolff.

« Nous sommes tous les deux têtus et massivement entraînés. Mes objectifs dans la vie sont de gagner et je veux que les gens qui sont autour de moi aient le même [objectif]. Et c’est le cas pour Toto. »

« La communication est vraiment importante. Nous pouvons constater qu’aujourd’hui dès qu’il y a un problème nous prenons le téléphone et nous le réglons immédiatement. »

« Parfois, je remarque aussi que Toto est à terre et j’essaie de le relever. C’est ce que font les coéquipiers. »

Une relation transparente

Pour le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, le succès de la relation avec le sextuple champion du monde de F1 réside dans le fait que tout est transparent entre eux.

« Les stars du sport, le gars qui est assis dans la voiture ou celui qui frappe un ballon, ont un rôle bien différent du mien. » explique l’Autrichien.

« Mais les niveaux de stress sont très similaires et les responsabilités sont également similaires. Nous savons qu’un bon [message] sur Whatsapp peut vous aider à retrouver une bonne trajectoire. »

« Bien-sûr, il peut y avoir des désaccords, c’est une chose naturelle. Nous avons des désaccords, mais nous n’avons jamais eu de crise ou quelque chose comme ça. »

« Nous avons toujours été très transparents l’un envers l’autre. Je pense que c’est pour cette raison que la relation est aussi saine. »

Pour James Allison, Lewis Hamilton possède une caractéristique particulière qui fait de lui l’un des plus grands champions de la F1.

Invité à répondre à quelques questions sur la chaîne YouTube de l’équipe Mercedes, le directeur technique de l’écurie du constructeur allemand, James Allison, a insisté sur le fait que Lewis Hamilton faisait preuve d’une intégrité remarquable.

« J’ai eu la chance de travailler avec des gens qui ont eu la plus haute intégrité et je pense que c’est une caractéristique de Lewis. » explique James Allison.

« Il est l’un des pilotes les plus âgés de la grille, il pilote toujours comme l’un des plus jeunes, mais dans une carrière faite de nombreux championnats et de nombreuses victoires, vous aurez du mal à trouver un moment sur la piste où il fait quelque chose de laid. »

« Vous le verrez faire beaucoup de choses à couper le souffle, vous le verrez faire des choses courageuses, mais vous ne le verrez jamais faire des choses grossières, des auto tamponneuses ou toute sorte d’artifice dans sa façon de piloter. » 

« J’espère juste qu’il réussira à garder cela pour le reste de sa carrière de pilote, parce que c’est un record tout à fait irréprochable, et je pense que parmi plusieurs champions du monde, il est sans précédent d’avoir autant de succès sans qu’il y ait la moindre ombre de mauvaise sportivité qui plane au dessus de lui. Je pense que c’est juste impressionnant. »

Âgé désormais de 35 ans, le natif de Stevenage continue d’impressionner par ses performances en piste et James Allison s’attend à ce que le Britannique continue sur sa lancée encore quelques années.

« Je pense qu’il arrive à un moment où les pilotes ont encore une science de la course très solide, mais ce petit dernier quelque chose de spécial en qualifications commence à leur glisser entre les doigts. »

« Mais je pense que l’une des choses les plus intéressantes à propos de Lewis est que ce petit quelque chose est toujours bien présent. »

« Je pense aussi qu’il est doté de talents physiques extraordinaires pour accompagner son dévouement mental, ce qui est assez bizarre. »

Lewis Hamilton a déjà remporté six championnats du monde en Formule 1 : cinq avec l’équipe Mercedes et un avec l’écurie McLaren.

Le directeur de Pirelli met en garde la F1 sur les conséquences en cas de décisions trop hâtives pour débuter absolument la saison 2020.

La Formule 1 a annoncé ce lundi vouloir débuter la saison 2020 au mois de juillet en Autriche avec des premières courses se déroulant à huis clos.

Débuter la saison 2020 avec le Grand Prix d’Autriche reste pour le moment un objectif pour la catégorie reine et rien n’est encore gravé dans le marbre, mais le patron de Pirelli prévient tout de même sur les risques encourus si le sport reprenait trop rapidement.

« La Formule 1 prévoit de reprendre la saison cet été. Je serais ravi que cela se produise, parce que cela voudrait dire que nous avons réussi à vaincre le virus. » explique Mario Isola, le directeur de Pirelli, cité par l’agence de presse DPA.

« Mais l’essentiel désormais est d’éviter de prendre des décisions hâtives afin de ne pas être pris dans une seconde vague d’infection. »

« Nous ne courons pas en ce moment, mais tous les jours je peux voir des gens dont les problèmes sont bien plus importants [Isola est bénévole pour la Croix Rouge en Italie en plus de ses fonctions chez Pirelli]. »

Le calendrier idéal de la saison 2020 selon la F1

Le groupe Sauber a dévoilé une nouvelle stratégie de développement durable qui guidera la philosophie de son organisation pour la décennie.

Le Groupe Sauber, qui est composé de trois entités – Sauber Motorsport AG, Sauber Engineering AG et Sauber Aerodynamik AG a été à l’avant-garde de la recherche de durabilité depuis près d’une décennie.

L’entreprise a déjà mis en œuvre de nombreuses initiatives pour réduire son impact environnemental et favoriser des changements positifs au sein des communautés.

Parmi les initiatives passées et en cours, le groupe a décidé d’alimenter le siège social de Hinwil avec des énergies renouvelables produites sur site et à compenser pleinement les émissions de CO2 de l’équipe, y compris les vols des employés, grâce à des projets de reboisement et de protection des forêts.

Mais d’autres initiatives ont été lancées par l’entreprise comme la création d’un des plus grands parcs photovoltaïques de Suisse, situé au-dessus des parkings du siège social à Hinwill. Ce parc génère suffisamment d’énergie pour alimenter plus de 40 foyers par an.

Sur la piste lors des Grands Prix de F1, l’équipe Alfa Romeo sépare les consommables de la voie des stands pour recyclage et les déchets alimentaires pour la conversion en énergie ou les dons à des œuvres caritatives locales.

« Le groupe Sauber ne vit pas dans une bulle, mais il fait partie du tissu culturel, social et environnemental de notre région et du reste du monde. » nous explique Frederic Vasseur, le directeur de l’équipe Alfa Romeo Racing.

« La responsabilité sociale et écologique a toujours joué un rôle important dans notre culture d’entreprise – nous avons des résultats tangibles à démontrer pour nos efforts jusqu’à présent. »

« Cependant, il reste encore beaucoup à faire et nous nous félicitons de l’engagement de la Formule 1 à se joindre à nous alors que notre société augmente les enjeux et s’engage dans une mission visant à rendre notre entreprise pleinement durable. »

Toutes ces initiatives regroupées (et bien d’autres encore) permettent au groupe Sauber, en collaboration avec des partenaires tels que Carbon-connect (programmes de reboisement, compensation carbone), ABB (mobilité électrique et efficacité énergétique) et Save the Children (projets communautaires), de poursuivre ses objectifs de neutralité carbone et de développement social en passant à des sources d’énergie renouvelables pour ses installations et en mettant en œuvre des politiques internes favorisant l’inclusion sociale et la diversité.

Les mesures prises à ce jour, ainsi que celles prévues pour la décennie menant à 2030, contribueront également aux objectifs de développement durable tels qu’exprimés dans les 17 objectifs de développement durable des Nations Unies.