Fred Vasseur revient sur “l’émouvante” dernière journée de Carlos Sainz avec Ferrari

Fred Vasseur est revenu en détail sur la dernière journée en rouge de Carlos Sainz. La saison prochaine, le pilote espagnol courra sous les couleurs de Williams.

Pour marquer la fin de cette histoire, Carlos Sainz et son père, Carlos Sainz Sr, ont eu l’occasion de rouler ensemble sur le légendaire circuit de Fiorano à Maranello, au volant de Ferrari de 2022. Ce geste symbolique a marqué avec classe la fin de son histoire avec la Scuderia.

Le départ de Sainz intervient après l’annonce, le 1er février dernier, que Lewis Hamilton, septuple champion du monde, le remplacera chez Ferrari à partir de 2025. Le 17 décembre a ainsi marqué la dernière journée de Sainz avec l’équipe italienne avant qu’il ne rejoigne officiellement Williams.

Nous avons fait nos adieux à Carlos, et il a fait quelques tours avec la voiture, son père aussi”, a déclaré Fred Vasseur, directeur de la Scuderia Ferrai.

“C’était la meilleure façon de les remercier tous pour ce qu’ils ont fait pour l’équipe, et aussi Carlos Senior.”

Fred Vasseur a tenu à souligner l’engagement sans faille de Carlos Sainz tout au long de sa dernière saison avec la Scuderia Ferrari. L’Espagnol savait pourtant qu’il ne roulerait plus en rouge la saison suivante, mais a continué à donner de sa personne pour aider la firme italienne.

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Le pilote espagnol a brillé en remportant deux importantes victoires, d’abord en Australie, puis à Mexico.

Je pense qu’avec Carlos, nous avons eu au moins deux bonnes saisons”, a ajouté Vasseur. “Le moment le plus émouvant de la saison pour moi a probablement été à Melbourne, lorsqu’il a remporté la course après son opération [il avait été opéré de l’appendicite seulement 15 jours auparavant].”

“L’année dernière, c’est lui qui a décroché la pole position à Monza et la victoire à Singapour. Sa contribution a été très importante pour l’amélioration de l’équipe.”

“Je sais que la situation n’a pas été facile pour lui lorsque j’ai dû l’appeler en février. Vous pouvez imaginer que c’était une situation difficile. Mais il a su garder la même approche toute l’année, être très professionnel, très dévoué, se battre jusqu’au dernier virage du dernier tour de la dernière course.”

“C’était [les adieux de mardi] un peu émouvant. Même pour le père, c’était émouvant”, a conclu le directeur de la Scuderia Ferrari.

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Red Bull officialise Liam Lawson comme coéquipier de Max Verstappen

Red Bull a confirmé l’arrivée de Liam Lawson aux côtés de Max Verstappen pour la saison 2025 de F1. Le Néo-Zélandais de 22 ans, issu de l’écurie sœur Racing Bulls, prendra la place de Sergio Perez, dont le départ a été acté ce mercredi après une saison décevante.

Liam Lawson, qui ne compte que 11 courses en F1 à son actif, a disputé six épreuves en fin de saison 2024 en remplacement de Daniel Ricciardo. En 2023, il avait déjà suppléé l’Australien blessé lors de cinq Grands Prix.

Le jeune pilote a marqué des points en 2024 dès sa première course aux États-Unis, avant de récidiver au Brésil avec une autre arrivée dans le top 10.

Le fait d’être annoncé comme pilote Oracle Red Bull Racing est un rêve de toute une vie pour moi, c’est quelque chose que j’ai voulu et pour lequel j’ai travaillé depuis l’âge de huit ans”, a déclaré Lawson.

Jusqu’à présent, j’ai vécu une expérience incroyable. Je tiens à remercier chaleureusement toute l’équipe de VCARB pour son soutien. Les six dernières courses ont joué un rôle essentiel dans ma préparation à cette nouvelle étape. Je tiens également à remercier Christian, Helmut et toute la famille Red Bull pour avoir cru en moi et m’avoir donné cette opportunité.”

Je suis très enthousiaste à l’idée de travailler aux côtés de Max et d’apprendre d’un champion du monde. J’ai hâte de commencer !

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Yuki Tsunoda restera chez Racing Bulls 

Red Bull a finalement décidé que Liam Lawson était le meilleur candidat pour relever le défi de taille que représente l’affrontement avec le quadruple champion du monde Verstappen. De son côté, Yuki Tsunoda restera chez Racing Bulls.

Les performances de Liam au cours de ses deux passages chez Visa Cash App Racing Bulls ont démontré qu’il n’est pas seulement capable d’obtenir de bons résultats, mais qu’il est aussi un vrai pilote, qui n’a pas peur de se battre avec les meilleurs et de finir en tête”, a déclaré Christian Horner, directeur de Red Bull.

Son arrivée s’inscrit dans la longue histoire de l’équipe en matière de promotion au sein du programme Red Bull Junior et il suit les traces de pilotes vainqueurs de championnats et de courses tels que Sebastian Vettel et, bien sûr, Max Verstappen.”

Il ne fait aucun doute que courir aux côtés de Max, quatre fois champion et sans aucun doute l’un des plus grands pilotes jamais vus en F1, est une tâche intimidante, mais je suis sûr que Liam peut relever ce défi et fournir des résultats exceptionnels pour nous l’année prochaine”, a conclu le directeur d’écurie.

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Une clause contractuelle d’Alex Albon pourrait le faire revenir chez Red Bull

Selon Ted Kravitz, journaliste pour Sky Sports, le contrat d’Alex Albon avec Williams inclurait une clause lui permettant de quitter l’écurie de Grove pour rejoindre Red Bull. L’information a été dévoilée lors du podcast F1 du diffuseur, alimentant les spéculations sur un éventuel retour du pilote thaïlandais dans l’écurie autrichienne.

Si j’ai bien compris, il existe une clause de sortie dans le contrat Williams d’Albon qui lui permet de partir si Red Bull vient à nouveau frapper à sa porte”, a déclaré Kravitz.

Williams aurait pu faire courir Franco Colapinto et Carlos Sainz.

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“Albon est tellement plus âgé et plus sage et sait comment gérer Max et toute la situation, et je ne sais pas pourquoi ils n’ont pas fait cela.”

De son côté, Alex Albon a réaffirmé son intention de s’inscrire dans la durée avec l’écurie Williams. Lors de l’annonce de sa prolongation de contrat, le pilote a souligné qu’il considérait son avenir avec l’équipe comme un véritable projet à long terme, témoignant de sa confiance dans le développement de l’écurie.

C’est un projet à long terme auquel je crois vraiment et dans lequel je veux jouer un rôle clé. C’est pourquoi j’ai signé un contrat pluriannuel”, a déclaré le pilote de 28 ans.

Avec l’annonce du départ de Sergio Pérez de Red Bull, un baquet est libre chez Red Bull pour la saison 2025 de Formule 1. Cependant, Liam Lawson semble être le pilote le mieux placé pour venir épauler Max Verstappen au sein de l’écurie autrichienne.

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Qui pour remplacer Sergio Pérez chez Red Bull ?

Le baquet laissé vacant par Sergio Pérez chez Red Bull devrait revenir à Liam Lawson, qui avait remplacé Daniel Ricciardo au sein de l’écurie sœur, VCARB, à partir du Grand Prix des États-Unis.

À seulement 22 ans et après 11 départs en F1, le Néo-Zélandais semble avoir convaincu les dirigeants de Red Bull pour épauler Max Verstappen en 2025. Liam Lawson s’est distingué en marquant des points lors des Grands Prix des États-Unis et du Brésil, consolidant sa position face à Yuki Tsunoda, son coéquipier chez VCARB. Bien que Yuki Tsunoda ait dominé Liam Lawson en qualifications lors de leurs six courses communes, le potentiel affiché par Lawson le place en tête de liste pour ce poste convoité.

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De son côté, Yuki Tsunoda, qui a pourtant roulé à bord de la Red Bull lors des essais d’après saison, voit s’envoler ses espoirs de rouler un jour pour l’écurie mère. Soutenu par Honda, le Japonais devrait être associé la saison prochaine à un rookie français.

En effet, si Liam Lawson rejoint le garage Red Bull, alors la place laissée vacante chez VCARB devrait revenir au vice-champion de F2, Isack Hadjar.

Red Bull a indiqué qu’une annonce officielle concernant sa composition complète pour la saison 2025 sera faite “en temps voulu”.

Red Bull officialise le départ de Sergio Pérez

La séparation entre Sergio Pérez et Red Bull, largement pressentie, a été officialisée ce mercredi. Cette annonce intervient après une saison marquée par des performances en demi-teinte pour le pilote mexicain.

Une déclaration de l’équipe a été publiée : “Après quatre saisons réussies ensemble, et à la suite de la conclusion de la plus longue saison de F1 de l’histoire, Sergio Perez et Red Bull Racing ont conclu un accord pour se séparer en 2025. ”

“Checo a rejoint Red Bull Racing pour la saison 2021 et, au cours des quatre saisons et des 90 départs en course avec l’équipe, le pilote mexicain a connu la période la plus fructueuse de ses 13 années en F1. ”

“En plus de remporter cinq victoires, dont celle du Grand Prix de Monaco et deux victoires au Grand Prix d’Azerbaïdjan qui lui ont valu la réputation de ‘roi des rues en F1’, Checo a aidé l’équipe à remporter deux titres de champion du monde des constructeurs, en 2022 et 2023.”

“En tant que vice-champion à son propre titre l’année dernière, il a également permis à l’équipe de remporter son premier doublé au classement des pilotes.

Red Bull a déclaré que sa liste de pilotes pour 2025 sera annoncée en temps voulu.

Sergio Pérez, une saison 2024 en enfer

La position de Sergio Pérez chez Red Bull était devenue insoutenable. Alors que Max Verstappen célébrait un quatrième titre mondial consécutif, Sergio Pérez n’a apporté que 152 points sur les 589 inscrits par l’écurie autrichienne, terminant à une modeste huitième place au classement des pilotes.

Le Mexicain de 34 ans a enchaîné 18 courses consécutives sans figurer parmi les cinq premiers, une série noire qui a largement contribué à la chute de Red Bull à la troisième place du championnat des constructeurs. Lors des trois dernières manches de la saison, Sergio Pérez n’a marqué qu’un seul point.

Face à cette situation plus que critique, Red Bull a décidé de rompre son contrat avec Sergio Pérez, mettant ainsi un terme à leur collaboration avec deux ans d’avance.

De son côté, Sergio Pérez a tenu à remercier sa désormais ancienne écurie, se rappelant les records battus et les bons souvenirs passés au sein de la firme autrichienne. 

Je suis incroyablement reconnaissant pour les quatre années passées avec Oracle Red Bull Racing et pour l’opportunité de courir avec une équipe aussi extraordinaire”, a déclaré Perez. “Piloter pour Red Bull a été une expérience inoubliable et je chérirai toujours les succès que nous avons remportés ensemble.”

“Nous avons battu des records, franchi des étapes remarquables et j’ai eu le privilège de rencontrer tant de personnes incroyables tout au long de mon parcours. Un grand merci à tous les membres de l’équipe, qu’il s’agisse de la direction, des ingénieurs et des mécaniciens, de la restauration, de l’hôtellerie, de la cuisine, du marketing et de la communication, ainsi qu’à tous ceux qui travaillent à Milton Keynes, à qui je souhaite le meilleur pour l’avenir.”

“Ce fut également un honneur de courir aux côtés de Max en tant que coéquipier pendant toutes ces années et de partager notre succès. Je remercie tout particulièrement les fans du monde entier, et surtout les fans mexicains, pour leur soutien indéfectible au quotidien. Nous nous reverrons bientôt. Et n’oubliez pas… N’abandonnez jamais.”

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“Merci Checo” – Christian Horner

Christian Horner, directeur de l’équipe Red Bull, a ajouté : “Je voudrais remercier Checo pour tout ce qu’il a fait pour Oracle Red Bull Racing au cours des quatre dernières saisons.”

“Dès son arrivée en 2021, il a prouvé qu’il était un membre extraordinaire de l’équipe, nous aidant à remporter deux titres des constructeurs et notre premier doublé au championnat des pilotes. Ses cinq victoires, toutes sur des circuits urbains, ont également été une marque spectaculaire de sa détermination à toujours repousser les limites.”

“Même si Checo ne courra plus pour l’équipe la saison prochaine, il restera un membre extrêmement populaire de l’équipe et un élément précieux de notre histoire. Merci, Checo.

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Doriane Pin de retour en F1 Academy avec Prema Racing pour 2025

Doriane Pin, talent prometteur du Team Junior de Mercedes, fera son retour en F1 Academy en 2025, avec pour objectif de décrocher le titre après une remarquable deuxième place cette saison.

La pilote de 20 ans continuera à défendre les couleurs de Prema Racing, l’une des écuries les plus compétitives du championnat. Forte de son expérience et de ses performances acquises en 2024, elle se positionne comme l’une des grandes favorites pour la prochaine saison.

En parallèle de son engagement en F1 Academy, Doriane Pin participera également au championnat européen de Formule Régionale. Elle complétera un programme déjà bien chargé avec quelques apparitions sur certaines manches du championnat de F4 des Émirats Arabes Unis en début de saison.

Je suis très enthousiaste à l’idée de poursuivre cette aventure avec l’équipe Mercedes-AMG PETRONAS F1 Team et les Iron Dames l’année prochaine”, a déclaré Doriane Pin

La Française Doriane Pin débute sa saison en F1 Academy à Djeddah

Après avoir été vice-championne de la F1 Academy lors de ma première saison, je suis extrêmement motivée à l’idée de décrocher le titre de championne du monde des pilotes en 2025. Je vais m’efforcer de m’améliorer au cours de l’hiver et j’espère pouvoir réaliser une saison encore plus forte l’année prochaine”, a conclu la pilote tricolore.

Doriane a connu une première saison très réussie en monoplace”, a déclaré Gwen Lagrue, conseiller en développement des pilotes de l’équipe Mercedes-AMG PETRONAS F1. “Elle a remporté quelques succès notables et terminer deuxième au classement général pour sa première saison dans la catégorie est une superbe réussite. Compte tenu des progrès qu’elle a réalisés cette année et de l’expérience qu’elle possède désormais, nous sommes convaincus que Doriane peut se battre pour le titre de la F1 Academy en 2025.

Kimi Antonelli : des débuts en F1 chez Mercedes sous haute pression

L’ancien pilote de F1 Karun Chandhok a mis en garde Andrea Kimi Antonelli : malgré l’absence probable de Mercedes dans la lutte pour le titre en 2025, le jeune prodige italien sera scruté de près lors de ses débuts en Formule 1.

Andrea Kimi Antonelli, présenté comme le “prochain Max Verstappen” par Toto Wolff, fera son entrée dans la catégorie reine en lieu et place de Lewis Hamilton, septuple champion du monde. Ce dernier a quitté Mercedes pour rejoindre la Scuderia Ferrari en 2025. Une place de choix donc pour le jeune pilote, mais la pression sera également forte sur ses épaules, car il devra répondre aux attentes d’une équipe habituée à l’excellence.

Bien que Mercedes puisse décider de concentrer ses efforts sur la saison 2026, année d’une nouvelle ère réglementaire, cette stratégie pourrait ne pas alléger complètement la pression sur Antonelli. Le défi reste immense pour le pilote qui vient de la F2, qui devra évoluer sous les projecteurs dans une équipe de premier plan, succédant à l’un des plus grands noms de l’histoire de la F1.

Si ce contexte offre à l’Italien une opportunité de développement à long terme, Karun Chandhok insiste sur le fait qu’Antonelli devra prouver rapidement qu’il mérite sa place dans une discipline où les places sont chères et peuvent rapidement revenir à plus fort que vous.

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De fait, Karun Chandhok pense qu’il devra être immédiatement performant, quelle que soit la compétitivité de Mercedes.

Que vous conduisiez pour l’équipe qui a terminé 10e du championnat ou pour l’équipe qui est en tête de la grille, je pense qu’il y a une différence entre les deux. En tant que débutant en F1, il n’y a nulle part où se cacher”, a déclaré Chandhok sur le podcast Sky F1.

Selon l’ancien pilote de F1, le jeune pilote italien sera forcément comparé à Lewis Hamilton et à ses fantastiques débuts en F1 chez McLaren, mais aussi à Oscar Piastri qui brille lui aussi chez McLaren.

Pour Kimi Antonelli, le fait qu’il arrive en tant que débutant, mais dans une équipe de premier plan signifie que l’on attend de lui qu’il se montre à la hauteur, comme Lewis l’a été lorsqu’il est arrivé chez McLaren et qu’il a décroché neuf podiums d’entrée de jeu. Oscar Piastri l’a également démontré ces deux dernières années.”

“Les attentes à l’égard des débutants sont élevées. Vous ne pouvez pas vous contenter de dire ‘je suis là pour apprendre’. Cette excuse n’existe plus avec des pilotes comme Verstappen, Leclerc, Russell, Lewis avant eux. Ces recrues ont tout simplement relevé la barre des attentes”, a conclu l’ancien pilote de F1.

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Fernando Alonso a toujours soif de titres en F1, selon Flavio Briatore

N’en déplaise à certaines personnes Fernando Alonso sera sur la grille de la F1 en 2025 et en 2026, avec Aston Martin. Selon son manager, Flavio Briatore, l’Espagnol a toujours soif de titre et de victoire et pourrait bien prendre sa retraite sur un troisième sacre.

Le natif d’Oviedo va donc collaborer avec Adrian Newey, qui rejoindra Aston Martin en 2025 en tant que partenaire technique principal. Ce renfort stratégique s’ajoutera aux forts investissements d’Aston Martin, qui deviendra l’équipe d’usine Honda en 2026 grâce à un partenariat moteur exclusif avec la marque japonaise.

Tout comme dans le monde du casino en ligne france, où la stratégie et l’anticipation peuvent faire la différence, Alonso devra miser sur ses compétences pour surmonter les défis à venir. À 45 ans, Alonso poursuivra donc sa carrière en Formule 1, repoussant une fois de plus les limites dans un sport dominé par une nouvelle génération de pilotes. Pour rappel, la saison prochaine, Fernando Alonso partagera la grille avec six voire sept pilotes n’étant pas nés lorsqu’il a débuté sa carrière en F1.

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Flavio Briatore, proche du pilote espagnol, s’est dit confiant quant à la capacité de Fernando Alonso à continuer de surprendre et à rivaliser au plus haut niveau dans un environnement toujours plus compétitif.

Fernando est l’exception”, a déclaré Briatore. “Je suis son manager depuis 22 ans. Il a de l’argent, mais pas d’enfants. Et il a toujours faim.”

“S’il termine 14e, il veut être 13e. Quelqu’un d’autre de son âge ferait son travail dans les règles de l’art s’il ne s’agissait que de la 14e place.”

“J’ai maintenant deux impressions en tête. D’une part, j’espère que Fernando pourra prendre un nouveau départ avec Adrian Newey chez Aston Martin en 2026, mais d’autre part, il court contre Alpine.”

“Mais tout de même, un titre de champion du monde en guise d’adieu ne serait-il pas une magnifique histoire ?” a conclu Flavio Briatore.

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Carlos Sainz fait ses adieux à Ferrari lors d’une journée spéciale à Fiorano

Carlos Sainz a célébré la fin de sa collaboration avec Ferrari lors d’une journée mémorable sur le circuit de Fiorano.

Accompagné de son père, Champion du monde des rallyes, Carlos Sainz Jr a passé une dernière journée unique avec sa désormais ancienne écurie.

Ce mardi, le pilote espagnol a pris le volant de la Ferrari F1-75, monoplace qui avait permis à l’écurie de décrocher la deuxième place au championnat des constructeurs en 2022. Au volant de cette monoplace, le futur pilote Williams avait décroché sa première victoire en F1 ainsi que neuf pole positions. Partageant la piste avec son père, les deux hommes ont offert un spectacle émouvant, célébrant une étape importante de la carrière de Carlos Sainz Jr.

Cet événement représente un ultime adieu à Ferrari avant son départ pour Williams, prévu en 2025. Après plusieurs saisons avec l’écurie italienne, Sainz s’apprête à entamer un nouveau chapitre de sa carrière en Formule 1, laissant derrière lui des souvenirs marqués par sa collaboration avec la Scuderia.

 
 
 
 
 
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Tel fils, tel père ! Grazie Scuderia Ferrari”, a écrit Sainz sur son Instagram, qui accompagnait une vidéo de lui et de son père pilotant sur la piste de Fiorano.

La saison prochaine, Carlos Sainz pilotera chez Williams aux côtés d’Alex Albon et aura la lourde tâche de ramener la firme britannique sur le devant de la scène. 

Mika Häkkinen se réjouit de voir McLaren dominer la F1

Lando Norris et Oscar Piastri ont offert à McLaren le titre de Champion du monde des constructeurs, un titre qui avait été remporté pour la dernière par l’écurie de Woking en 1998.

L’année 1998 reste gravée dans l’histoire de McLaren comme une saison d’exception. Sous la direction de Ron Dennis, l’équipe avait dominé la saison grâce à la légendaire MP4/13, conçue par Adrian Newey. Pilotée par Mika Häkkinen et David Coulthard, la monoplace avait remporté pas moins de neuf victoires. Depuis, le titre des constructeurs avait toujours échappé à McLaren, même si la firme britannique avait vu l’un de ses pilotes remporter le titre des pilotes en 2008 (Lewis Hamilton).

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Ces dernières années, McLaren a traversé une période difficile, marquée par des performances décevantes. Il y a dix ans, ce manque de résultat avait conduit à un changement de direction, avec l’arrivée de Zak Brown comme PDG. Ce nouveau PDG a initié un projet de reconstruction ambitieux.

Ce travail de longue haleine a permis à McLaren de renouer avec la victoire en 2021, avant de prendre cette année sur la plus place du classement des constructeurs devant son rival de toujours, la Scuderia Ferrari.

S’exprimant à Abu Dhabi pour PlanetF1.com, Mika Häkkinen a salué le retour au sommet de son ancienne équipe

Je pense que tous ceux qui travaillent dur, qui prennent les bonnes décisions et qui jouent bien en équipe, c’est ce qui compte”, a-t-il déclaré. “Les gens ont besoin de recevoir quelque chose pour leur travail acharné.”

Nous avons travaillé dur. La direction a pris les bonnes décisions et les mécaniciens ont fait un travail fantastique. Aujourd’hui, McLaren fait ce genre de travail.”

“Le genre de travail que fait McLaren en ce moment les rendra plus forts et ils se sentiront encore mieux dans la réussite de McLaren”, a conclu l’ancien pilote de F1.

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Daniel Ricciardo : une retraite confirmée malgré l’intérêt de Cadillac ?

Daniel Ricciardo semble avoir définitivement tourné la page de la Formule 1, malgré l’intérêt que lui porte Cadillac, future écurie de F1 en 2026.

À en juger par une récente réponse adressée à un fan, l’Australien a véritablement raccroché les gants ainsi que le casque. Daniel Ricciardo a quitté la discipline reine après le Grand Prix de Singapour, au terme d’une saison en demi-teinte. Ses résultats avec VCARB ont poussé Red Bull à le remplacer par Liam Lawson pour les dernières manches de la saison 2024.

L’arrivée potentielle d’une 11e équipe sur la grille en 2026, portée par l’alliance entre Cadillac et Andretti, ouvre la porte à deux nouvelles arrivées sur la grille, faisant naître l’idée d’un nouveau retour de Daniel Ricciardo en Formule 1.

Lors d’un bref échange avec un fan ce week-end, l’ancien pilote du giron Red Bull a pratiquement confirmé sa retraite avec une réponse en trois mots, mettant fin aux spéculations.

Si Cadillac s’intéresse réellement à lui, cette porte semble désormais close. Daniel Ricciardo, figure emblématique et apprécié du paddock, semble prêt à laisser derrière lui une carrière marquée par huit succès en Grands Prix.

Un fan a demandé donc demandé à Daniel Ricciardo : “Pas de Cadillac ?”, ce à quoi l’ancien pilote de F1 a répondu : “Non, j’en ai fini.

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Quels pilotes pour Cadillac ?

Mario Andretti, conseiller de Cadillac, a reconnu que l’écurie souhaitait enrôler un jeune pilote américain comme Colton Herta, aux côtés d’un pilote ayant une forte expérience de la F1.

“Vous parlez des candidats – il [Herta] est certainement l’un de ceux qui sont pris en considération”, a-t-il déclaré à NBC Sports. “Je pense qu’il faut garder ces options ouvertes, car il y aura toute une saison prochaine où nous ne serons pas des joueurs.

“Il y a plus de pilotes disponibles que d’équipes pour le moment. Dix équipes, cela semble beaucoup, mais il y a beaucoup plus de pilotes, beaucoup plus de talent.

“De notre point de vue, je pense qu’au début, le jeu consisterait à avoir un pilote expérimenté – peu importe sa nationalité – et ensuite un jeune talent américain. Tels sont les objectifs pour l’instant.”

Il est déjà difficile de se projeter sur la saison 2025, alors 2026 semble être à des années-lumière. Quels seront les pilotes libres à cet instant ? Une écurie aura-t-elle fait le choix de se séparer d’un de ses pilotes au profit de la jeunesse ? Impossible à dire !

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Sergio Pérez sera bientôt fixé sur son avenir avec Red Bull en F1

Helmut Marko, conseiller spécial de Red Bull Racing en F1 , a confirmé que l’écurie annoncera très prochainement sa décision au sujet du coéquipier de Max Verstappen pour la saison 2025. Selon ses déclarations, l’annonce devrait intervenir “dans les prochains jours”, après des mois de spéculations autour de l’avenir de Sergio Pérez.

Red Bull aurait organisé une réunion dans la foulée du Grand Prix d’Abou Dhabi, pour discuter de la situation du pilote mexicain. Cette saison, Sergio Pérez a peiné à convaincre, accumulant les contre-performances et les crashs pendant une grande partie de l’année.
De fait, alors que Max Verstappen a brillé, son écurie a perdu le titre des constructeurs, remporté par McLaren.

Preuve d’une fin de saison compliquée, le dernier podium de Sergio Pérez remonte au Grand Prix de Chine, en avril 2024. Cette série de mauvais résultats a poussé Red Bull à envisager une modification de son duo de pilote en cours de saison. Selon plusieurs sources, l’écurie aurait sérieusement réfléchi à remplacer Sergio Pérez par Daniel Ricciardo, revenu dans le giron Red Bull avec VCARB. Bien que le mexicain ait conservé son volant jusqu’à la fin de la saison, son avenir semble désormais plus qu’incertain.

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Dans sa dernière intervention pour Speedweek, Helmut Marko a également répondu à une déclaration de Nico Rosberg, selon laquelle Red Bull serait obligée de payer 16 millions de dollars à Sergio Pérez pour mettre fin à son contrat. L’Autrichien a totalement rejeté cette information, tout en restant énigmatique sur les discussions internes.

L’annonce imminente devrait mettre fin aux spéculations et clarifier la composition du duo de pilotes de Red Bull pour 2025. Reste à savoir si Sergio Pérez conservera son siège ou si Red Bull choisira un nouveau visage pour épauler Max Verstappen… peut-être Liam Lawson ?

“Nous annoncerons dans les prochains jours la composition de l’équipe de pilotes pour l’année prochaine”, a déclaré Helmut Marko. “Il y a beaucoup de spéculations à ce sujet, y compris des rumeurs sur d’éventuelles indemnités de transfert, ce qui est complètement absurde.”

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Verstappen sans filtre sur sa relation avec Mercedes, Wolff, Ferrari, Aston Martin…

Max Verstappen a accordé une longue interview au service de streamingViaplay, qui diffuse par ailleurs la Formule 1 aux Pays-Bas. Le Quadruple Champion du monde de Formule 1 y a notamment évoqué en longueur le flirt opéré par Mercedes et Toto Wolff à son égard, alors que l’équipe anglo-allemande a tenté de s’attribuer ses services sur fond d’affaire Horner, pour finalement échouer dans cette tentative de débauchage et faire place à Kimi Antonelli aux côtés de George Russell en 2025.

« Oui, je comprends cela », a répondu Verstappen, interrogé sur le travail de destabilisation de Red Bull opéré dans sa propre mesure par Toto Wolff . « Vous voulez avoir le pilote le plus rapide dans votre voiture. Et bien sûr, il y avait beaucoup de choses à faire. Ils ont dû faire un choix pour un nouveau pilote. »

« Les grandes équipes sont toujours intéressantes », a poliment poursuivi Verstappen au sujet de la période durant laquelle Mercedes l’a activement courtisé. « Mais d’un autre côté, je suis aussi dans une très grande équipe. J’ai donc connu beaucoup de succès avec eux. Je m’y sens également comme dans une deuxième famille. Ce sont des considérations que l’on ne peut pas prendre comme ça, trop vite, pour partir. Ce n’est pas comme si je me réveillais et que je me disais ‘oui, l’année prochaine, c’est fini’. Et je ne suis pas quelqu’un qui passe de gauche à droite très rapidement de toute façon. Il faut donc bien réfléchir à ce genre de choses – si on veut le faire. »

Il semble que la conversation avec le clan Verstappen se soit surtout fait entre Toto Wolff et Jos Verstappen, le père de Max, ainsi que son management. De son côté, Verstappen estime qu’il n’a « pas vraiment » entretenu de conversation avec le responsable d’équipe autrichien.

« Bien sûr, nous nous parlons toujours. Et je ne mens pas sur le fait que nous nous sommes assis ensemble. Ce n’est pas un problème en soi, je pense. Mais en fin de compte, j’aime vraiment l’endroit où je suis. »

Ces discussions ont même permis à Verstappen de replacer clairement là où il se sentait au sein du team tout en pouvant apporter un levier supplémentaire et du poids à ses exigences pour demeurer au coeur du projet Red Bull.

« Je pense que nous avons eu des conversations très constructives. Oui, je pense que tout le monde a toujours été très honnête et ouvert les uns envers les autres. Mais d’un autre côté, je suis aussi très loyal envers mon équipe et je m’y sens chez moi. Il n’y a donc pas grand-chose à faire pour l’instant. Je suis encore très jeune, donc beaucoup de choses peuvent encore se produire à l’avenir. Et pour moi, il n’y a pas que la Formule 1. Après cela, j’ai aussi envie de faire beaucoup de choses et j’y réfléchis. Quels sont les bons partenaires pour cela ? Alors oui, ce sont des choses auxquelles je pense, mais je ne dois pas nécessairement prendre une décision à ce sujet maintenant ».

Et d’ajouter que Wolff a également vu l’opportunité de venir nourrir la relation pour le moins glaciale entretenue avec Horner. 

« C’est toujours le cas », estime-t-il lorsqu’il lui est demandé si le directeur de Mercedes a tenté de voler la vedette à son rival. « Les patrons d’équipe, c’est toujours le cas. Il ne s’agit pas seulement des pilotes, mais aussi des règles. Chaque année, il y a toujours un sujet sur lequel vous vous chamaillez. »

Les chemins de Mercedes et Verstappen se croiseront peut-être plus tard, après même la carrière F1 de celui qui domine la discipline depuis de nombreuses saisons.

« J’ai plusieurs objectifs après la Formule 1. L’endurance, ma propre équipe… Il y a beaucoup de choses en jeu. Et bien sûr, il faut qu’il y ait un programme à la fin. Et avec qui allez-vous le faire ? Ce sont bien sûr aussi des conversations que j’ai. Beaucoup d’équipes : Mercedes, Ferrari, Aston Martin, vous savez [sont intéressantes], cela n’a rien à voir avec la Formule 1 elle-même. Red Bull, bien sûr, fait aussi beaucoup de choses en dehors de la Formule 1. Je garde donc toutes les options ouvertes et, à la fin, je choisirai ce que je pense être le mieux. »

Même avec Sainz, Volwes estime que Williams va encore « reculer un peu » en 2025

Déterminé à être dans le rythme dès 2026, James Vowles admet cependant que Williams pourrait bien faire face à une année 2025 difficile.

Passée à la neuvième place finale du classement 2024 des équipes après avoir subi le coup de fouet d’Alpine en toute fin de saison et sans être parvenue à battre Haas et VCARB, l’équipe anglaise n’a donc finalement devancé que Stake Sauber, et a donc notablement reculé depuis sa septième position de 2023.

La fin de saison a été particulièrement difficile pour le team, qui a maintes fois rappelé l’impact énorme des crashs à répétition de fin de saison de ses pilotes comme facteur dans sa capacité à fournir un matériel performant sur les ultimes manches.

James Vowles a cependant aussi régulièrement dit que les objectifs du team ne se portaient pas sur le court terme et qu’il avait en tête un challenge bien plus durable avec Dorlington Capital, l’investisseur derrière la structure.

Ainsi, l’accent est de manière assumée déjà mis sur un bond en avant significatif dans le cadre de la nouvelle réglementation 2026, qui pourrait donc aussi compromettre la saison 2025, en dépit du fait que l’équipe s’offre une recrue de choix avec Carlos Sainz pour venir rejoindre Alex Albon.

“C’est le message qu’Alex et Carlos savent tous les deux : 2025 sera une lutte, je pense”, déclare Vowles, sans détours, à Autosport. “Ce n’est pas que nous allons aller de l’avant, nous allons plutôt reculer un peu”, estime-t-il ainsi. “Et si c’est le cas, cela me convient car cela signifie simplement que j’investis au bon rythme pour l’année 2026 par rapport à ceux qui m’entourent”.

“C’est ce qu’il faut en attendre”, insiste-t-il. “Nous allons faire un compromis sur l’année 2025 ans. Cela ne veut pas dire que nous serons dixièmes, mais ce sera une année difficile.”

Beaucoup de difficultés cumulées en 2024

Après une première saison impressionnante sous la direction de Vowles, 2024 a été difficile pour Williams, notamment au début, lorsque les pièces de rechange ont déjà manqué et qu’un certain nombre d’autres pièces se sont avérées trop lourdes. Et puis il y a bien entendu la problématique Logan Sargeant, bien loin du niveau requis pour atteindre les points en course.

“Je pense que nous avons eu de la chance de terminer septième l’année dernière”, modère Vowles pour justifier le résultat 2024. “RB était sacrément rapide à la fin de l’année [2023, et ce n’était vraiment qu’une question de décisions stratégiques, presque, qui a déterminé qui a terminé devant au championnat. Nous avons tout de même terminé septièmes.”

“Je pense que j’ai été assez ouvert en ce qui concerne notre surpoids”, ajoute-t-il en faisant référence à la voiture 2024.

“Nous essayons de faire des bonds”, dit-il à propos du plan pour les saisons à venir. “Pas des pas en avant, pas des avancées, pas des gains minimes, ou même marginaux, mais des bonds dans la technologie et dans ce que nous faisons. Ce faisant, nous allons nous prendre les pieds dans le tapis”, admet-il. “Cela ne me dérange pas, car nous ne pouvons pas désapprendre ce que nous avons appris.”

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Bottas “pas pressé” de sécuriser un rôle d’essayeur chez Mercedes

Lors du Grand Prix d’Abou Dhabi, Valtteri Bottas a possiblement disputé son tout dernier Grand Prix de Formule 1. Le pilote Finlandais de l’équipe Stake Sauber n’a pas fait ses adieux à la discipline reine, mais est conscient du fait que le prochain chapitre de sa carrière de pilote automobile pourrait bien prendre une forme très différente de celle qu’il a connue ces dernières années.

Bottas s’est essentiellement forgé son palmarès en Formule 1 en faisant équipe avec Lewis Hamilton durant les années de gloire de Mercedes, qui dominait le championnat durant les premières années de l’introduction de la motorisation V6 hybride, maitrisée à la perfection par la firme allemande qui avait lancé son programme de recherche et développement bien avant tout autre constructeur dans le domaine.

“Je pense que cette semaine, j’ai commencé à réaliser que je me rapprochais de la fin”, avouait Bottas à Abou Dhabi. “Je ne pense toujours pas qu’il soit garanti que ce soit ma dernière course, c’est mon sentiment.”

Bottas a conclu ce qui sera sans doute sa dernière saison en tant que titulaire F1 sans avoir inscrit le moindre point. Cela signifie qu’il n’a rallié l’arrivée d’aucune des 24 manches de cette saison dans les dix premiers, ni dans les positions permettant d’ouvrir le compteur lors de la poignée de courses Sprint de la saison.

Mercedes pourrait bien devenir le refuge de Bottas, en qualité de pilote d’essais et de développement. Le Finlandais est toujours porté en haute estime par le directeur de l’équipe, Toto Wolff, qui apprécie son éthique de travail avec les ingénieurs, comme il appréciait celle de Nico Rosberg, l’homme que Bottais avait remplacé au pied levé.

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“Je ne sais pas ce que je dois dire à ce sujet. Ce sport est amusant. Parfois, tout n’est pas logique mais, comme je l’ai déjà dit, je pourrais certainement faire le travail ”, estime Bottas, lorsqu’il lui est suggéré qu’il dispose des atouts pour briguer le poste, notamment de par son expérience. “Ils se concentrent toujours sur leurs pilotes juniors parce qu’ils ont beaucoup investi dans eux par le passé, c’est donc logique. Je ne peux pas dire grand-chose de plus”, poursuit-il cependant, conscient du fait que Mercedes se doit de vivre aussi dans l’après-Lewis Hamilton à compter de l’an prochain. “Il n’y a pas d’obstacles en tant que tels et nous avons tous les deux de l’intérêt, c’est juste qu’aucune des deux parties n’a été pressée de faire quoi que ce soit”, conclut-il cependant, laissant entendre que cela pourrait se faire.

La Finlande nourrit une grande histoire en F1, et particulièrement au cours de l’ère moderne. Le pays a toujours disposé d’un pilote sur la grille depuis de longues années, avec des pilotes comme Mika Häkkinen, Kimi Räikkönen, Heikki Kovalainen ou encore lui-même. Cela ne sera donc plus le cas en 2025.

“Oui, cela a été une bonne période pour les Finlandais et j’espère que quelqu’un les rejoindra bientôt. Je pense que le gars le plus proche pour le moment est Tuukka Taponen en F4 ; il sera en F3 l’année prochaine et ce sera une saison vraiment clé pour lui afin de prouver ce qu’il peut faire”, observe Bottas, qui semble donc s’exclure de l’équation.

Lando Norris revient sur ses propos et salue l’exploit de Max Verstappen au Brésil

Lando Norris a tenu à revenir sur ses déclarations controversées concernant la victoire de Max Verstappen au Grand Prix du Brésil.

Suite à l’exploit de celui qui n’était pas encore quadruple champion du monde à ce moment de la saison, le pilote britannique avait déclaré que ce triomphe relevait davantage de la chance que du talent. Le pilote McLaren faisait ici référence à un drapeau rouge tombé au moment idéal pour le pilote Red Bull.

Qualifié en 17e position sur la grille de départ du Grand Prix du Brésil, Max Verstappen a pourtant réalisé une remontée spectaculaire dans des conditions dantesques, prenant la tête lorsque ses rivaux s’arrêtaient aux stands pour chausser de nouveaux trains de pneus intermédiaires. L’interruption de course lui avait alors permis de changer de pneus sans perdre de temps, scellant ainsi une victoire considérée comme l’une des plus impressionnantes de sa carrière.

Ce succès décisif avait marqué un vrai tournant dans la saison, le Batave creusant l’écart sur Lando Norris dans la course au titre, qu’il remporta la semaine suivante à Las Vegas.

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Lors de la remise de son trophée de vice-champion du monde 2024, Lando Norris a voulu nuancer ses propos, saluant la performance de son rival et reconnaissant l’ampleur de l’exploit réalisé par son homologue de chez Red Bull.

Tout d’abord, je retire ce commentaire que j’ai fait là-bas, où j’ai dit que c’était de la chance, pas de talent”, a déclaré Lando Norris lors de la cérémonie de remise des prix de la FIA. “Vous savez comment les médias changent les choses.”

“Mais félicitations à Max [Verstappen]. Ce qu’il a fait cette année, ce qu’il a fait au Brésil, bien sûr, était incroyable. Je suis donc le premier à reconnaître une telle chose alors que c’est moi qui l’affronte”, a conclu le vice-champion du monde 2024.

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Juan-Pablo Montoya pense que Lewis Hamilton va “tout gagner” avec Ferrari

Juan Pablo Montoya estime que Lewis Hamilton “va tout gagner” assez rapidement avec La Scuderia Ferrari. L’ancien pilote de Williams et de McLaren pense que si Charles Leclerc pourrait initialement prendre l’avantage, le septuple champion du monde imposera rapidement sa suprématie.

Si la firme italienne n’est pas passée loin du titre des constructeurs en 2024, échouant de peu face à McLaren, l’arrivée de Lewis Hamilton chez Ferrari fait grandir les espoirs des Tifosi. Selon Juan-Pablo Montoya, Lewis Hamilton pourrait tout d’abord rencontrer des difficultés sous ses nouvelles couleurs, mais il estime que si Ferrari lui fournit une voiture compétitive, alors le septuple Champion du monde pourrait alors viser un nouveau titre mondial, en rouge cette fois-ci.

“Si Ferrari lui donne une bonne voiture, Lewis peut tout à fait redevenir champion. Mais il devra d’abord s’adapter, et Leclerc ne lui facilitera pas la tâche”, a déclaré l’ancien pilote Colombien.

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Lewis est suffisamment mûr pour comprendre qu’à court terme, il aura un peu de mal à apprendre le fonctionnement de Ferrari”, a déclaré le septuple vainqueur en Grand Prix à Instant Casino.

Charles va avoir l’impression de prendre le dessus. Mais après six ou sept courses, si la voiture est compétitive, Lewis gagnera tout”, a conclu le vainqueur de sept Grands Prix en F1.

Jenson Button voit Max Verstappen continuer à briller même après la F1

Jenson Button estime que Max Verstappen, tout jeune quadruple champion du monde de F1, continuera à accumuler les succès dans le sport automobile même après avoir quitté la Formule 1.

L’avenir de Max Verstappen en F1 reste incertain au-delà de 2028, date à laquelle son contrat avec Red Bull arrivera à son terme. Cependant, Jenson Button, qui a lui aussi continuer à rouler après la F1 est certain que le Batave poursuivra à gagner en sport automobile, quelle que soit la discipline.

Max est un vrai compétiteur. Je ne peux pas l’imaginer s’éloigner des circuits, même après la F1”, a déclaré l’ancien champion du monde.

Il y a deux types différents de pilotes de F1”, a déclaré Button au podcast F1 de Sky Sports. “Il y a les pilotes de F1 qui sont des pilotes de F1 et c’est tout ce qui compte pour eux, et quand ils se retirent, ils ne courront plus, ils iront s’asseoir sur une plage quelque part ou trouveront un autre travail qui les intéresse.”

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“Mais pour Max et d’autres comme moi, nous aimons la course automobile, et pas seulement la Formule 1, alors Max ne s’éloignera pas de la Formule 1 et ne s’éloignera pas de la victoire.”

“Il s’éloignera de la Formule 1 et ira courir [ailleurs]. Il a parlé de participer à des courses d’endurance, peut-être au Mans ou à Daytona, ou peut-être que ce sera juste des courses de simulation, qui sait, mais il sera toujours là pour se battre pour les victoires.”

“Cela ne va pas changer. C’est juste l’environnement qui va changer. La Formule 1 est le summum, vraiment, mais il y a beaucoup plus de pression sur vos épaules que dans d’autres catégories et beaucoup plus de regards sur vous.”

“Peut-être que ce sera son dernier contrat en F1, qu’il ira jusqu’au bout de son contrat avec Red Bull et qu’il partira ensuite, qui sait ? Mais il courra encore très longtemps, mais peut-être dans une autre capacité”, a conclu le Champion du monde 2009.

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Charles Leclerc est prêt à défier Lewis Hamilton et vise le titre mondial avec Ferrari

Charles Leclerc a clairement affiché ses ambitions pour la saison 2025. Associé à Lewis Hamilton chez Ferrari l’année prochaine, il vise le titre de Champion du monde des pilotes.

Après une saison 2024 prometteuse marquée par cinq victoires, Ferrari semble prête à renouer avec les sommets. L’écurie italienne a signé sa meilleure performance depuis 2018. En 2024, Ferrari a bataillé jusque dans le dernier Grand Prix de la saison, mais a finalement échoué face à McLaren pour seulement 14 points.

Fort d’une saison 2024 marquée par ses succès à Austin, mais surtout à Monaco et à Monza, Charles Leclerc estime être prêt à rivaliser avec Lewis Hamilton. Le Monégasque n’a pas caché son intention de défier le septuple champion du monde dans une lutte acharnée pour la couronne mondiale.

Dans l’ensemble, il y a eu beaucoup de moments positifs dans la saison, mais la deuxième ou la troisième place n’est pas ce que nous voulons, nous voulons gagner”, a-t-il expliqué lors du gala de remise des prix de la FIA.

« Mais la seconde moitié de la saison a été super positive et j’ai vraiment hâte d’être à l’année prochaine pour essayer de remporter ce titre. Je suis très motivé pour l’année prochaine, et évidemment la déception est encore fraîche de la dernière course, car nous nous sommes battus avec McLaren pour le titre des constructeurs jusqu’à la toute dernière course, mais ils ont juste fait un meilleur travail.”

“Ils méritent pleinement le titre et je les félicite, ainsi que Max. La saison a été très longue, mais j’ai réalisé certains de mes rêves.”

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“Il y a probablement un point fort, c’est Monaco. J’ai grandi à Monaco et je rêvais de devenir pilote Ferrari. C’est là que ma passion pour le sport automobile a commencé et le fait de pouvoir gagner à Monaco était très, très spécial, tout comme la victoire à Monza.”

“Un autre rêve inattendu était de pouvoir conduire avec mon jeune frère [Arthur] lors des essais libres 1 [à Abu Dhabi], ce qui a été un moment très spécial pour notre famille”, a conclu le pilote Ferrari.

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Flavio Briatore explique pourquoi Alpine a échoué à recruter Carlos Sainz

Flavio Briatore, nouveau conseiller spécial de l’écurie Alpine en F1, a récemment révélé pourquoi les négociations entre l’écurie française et Carlos Sainz n’ont pas abouti l’année dernière.

Libéré par Ferrari, Carlos Sainz était courtisé par plusieurs équipes du paddock, dont Alpine, Williams, et Audi. Finalement, le pilote qui sera remplacé par Lewis Hamilton chez Ferrari en 2025 a signé un contrat avec Williams, écartant les propositions d’Alpine et d’Audi.

Le principal problème entre Alpine et Carlos Sainz portait, selon Flavio Briatore, sur la durée de son contrat. Alors que l’écurie tricolore souhaitait un engagement à long terme, il semblerait que Carlos Sainz souhaitait garder la possibilité d’avoir une porte toujours ouverte en cas de meilleure opportunité. Carlos Sainz a donc préféré la flexibilité offerte par Williams. Il finalement a signé un contrat de deux ans, avec des options supplémentaires permettant une certaine liberté de mouvement.

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De son côté, Flavio Briatore a expliqué que ce type de contrat à court terme ne correspondait pas à la vision d’Alpine, qui espérait construire un projet solide sur plusieurs saisons avec un pilote expérimenté comme l’Espagnol. Cela a permis à Williams de remporter la bataille pour sa signature, où il évoluera aux côtés d’Alexander Albon avant de potentiellement explorer d’autres options en 2026.

J’ai parlé à Sainz”, a déclaré l’homme de 74 ans à la publication allemande Auto Motor und Sport. “Il était considéré comme intéressant pour nous, mais seulement pour quatre ans.”

“Cela n’a aucun sens de prendre un pilote comme Carlos pour un ou deux ans. Soit il croit en notre programme, soit il n’y croit pas.”

“Je n’ai pas besoin d’un pilote qui me coûte beaucoup d’argent et qui cherche à aller dans une autre équipe quand l’occasion se présente”, a conclu l’Italien.

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