Verstappen s’impose à Bakou, Piastri abandonne

Max Verstappen a dominé le Grand Prix d’Azerbaïdjan, tandis qu’Oscar Piastri a abandonné dès le premier tour. Un coup dur pour McLaren, qui voyait Lando Norris en position d’en profiter, mais le Britannique n’a terminé que septième après un arrêt raté.

Déjà loin en qualifications, l’Australien a connu un nouveau calvaire. Parti neuvième, il a effectué un faux départ avant de s’immobiliser en anti-calage, repartant bon dernier. Quelques virages plus loin, il a bloqué ses roues au freinage et heurté violemment une barrière, contraint à l’abandon. Dans la manœuvre, Fernando Alonso a écopé de cinq secondes pour départ anticipé. La voiture de sécurité est intervenue jusqu’au 4e tour, relançant la course derrière Verstappen.

George Russell, malade durant le week-end, a résisté et terminé deuxième à 14,6 secondes du vainqueur. Carlos Sainz, sur une Williams compétitive, a complété le podium. Il s’agit de son premier top 3 depuis Abu Dhabi l’an dernier, sa dernière course chez Ferrari. Derrière eux, Kimi Antonelli a signé une solide quatrième place, devançant Liam Lawson (5e) et Yuki Tsunoda (6e).

Bien placé pour limiter les dégâts au championnat, Norris a vu sa course basculer au stand : un changement de pneu avant droit trop lent (4,1s) l’a relégué derrière Lawson et Leclerc. Bloqué dans le train DRS, il n’a jamais pu reprendre les positions perdues et a dû se contenter de la septième place. Hamilton (8e) et Leclerc (9e) ont complété le top 10 devant Isack Hadjar.

Après son succès en Italie, le Néerlandais enchaîne pour la première fois depuis 15 mois. Il a signé un sixième grand chelem (pole, victoire, meilleur tour et tous les tours en tête), reprenant 25 points à Piastri et réduisant son retard à 69 unités, avec 199 points encore en jeu. Pour McLaren, la frustration est grande : l’écurie devra attendre Singapour pour valider un deuxième titre constructeurs consécutif, une première depuis 34 ans.

Classement du championnat F1 2025 après le Grand Prix d’Azerbaïdjan à Bakou

Consultez le classement complet du championnat de F1 après le Grand Prix d’Azerbaïdjan 2025, qui s’est déroulé sur le circuit urbain de Bakou.

PPilote Equipe Points
1L. NorrisMcLaren357
2O. PiastriMcLaren356
3M. VerstappenRed Bull321
4G. RussellMercedes258
5C. LeclercFerrari210
6L. HamiltonFerrari146
7K. AntonelliMercedes97
8A. AlbonWilliams73
9N. HülkenbergSauber41
10I. HadjarVCARB39
11C. SainzWilliams38
12F. AlonsoAston Martin37
13O. Bearman Haas32
14L.StrollAston Martin32
15L. LawsonVCARB30
16E. OconHaas28
17Y. TsunodaRed Bull28
18P. GaslyAlpine20
19G. BortoletoSauber19
20F. ColapintoAlpine0
21J. DoohanAlpine0

PEquipe Points
1McLaren 678 (Champion)
2Ferrari356
3Mercedes355
4Red Bull 346
5Williams111
6Racing Bulls72
7Aston Martin69
9Haas62
8Sauber60
10Alpine20

Classement et résultat du Grand Prix d’Azerbaïdjan

Découvrez les résultats complets du Grand Prix de Formule 1 d’Azerbaïdjan 2025, qui s’est déroulé sur le circuit urbain de Bakou !

Résultat du Grand Prix d’Azerbaïdjan

# Pilote Écurie Écart
1
 
Max VERSTAPPEN

 
Red Bull LAP 51
2
 
George RUSSELL
Mercedes +14.609
3
 
Carlos SAINZ
Williams +19.199
4
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes +21.760
5
 
Liam LAWSON
Racing Bulls +33.290
6
 
Yuki TSUNODA
Red Bull +33.808
7
 
Lando NORRIS
McLaren +34.227
8
 
Lewis HAMILTON
Ferrari +36.310
9
 
Charles LECLERC
Ferrari +36.774
10
 
Isack HADJAR
Racing Bulls +38.982
11
 
Gabriel BORTOLETO
Stake +67.606
12
 
Oliver BEARMAN
Haas +68.262
13
 
Alexander ALBON
Williams +72.870
14
 
Esteban OCON
Haas +77.580
15
 
Fernando ALONSO
Aston Martin +78.707
16
 
Nico HULKENBERG
Stake +80.237
17
 
Lance STROLL
Aston Martin +96.392
18
 
Pierre GASLY
Alpine 1T
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1T
20
 
Oscar PIASTRI
McLaren DNF

Classement et résultats des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Azerbaïdjan 

Découvrez les résultats complets de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de Formule 1 d’Azerbaïdjan 2025 à Bakou !

Classement des Essais Libres 2 du Grand Prix d’Azerbaïdjan 

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:41.293 S
2
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:41.367 S
3
 
George RUSSELL
Mercedes 1:41.770 S
4
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:41.779 S
5
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:41.891 M
6
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:41.902 S
7
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:41.989 M
8
 
Esteban OCON
Haas 1:42.167 S
9
 
Alexander ALBON
Williams 1:42.177 S
10
 
Lando NORRIS
McLaren 1:42.199 S
11
 
Carlos SAINZ
Williams 1:42.255 M
12
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:42.295 S
13
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:42.443 M
14
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:42.444 M
15
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:42.561 M
16
 
Pierre GASLY
Alpine 1:42.674 M
17
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:42.771 S
18
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:42.820 S
19
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:42.967 S
20
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:43.322 M

GP d’Azerbaïdjan : Classement et résultats des Essais Libres 1

Découvrez les résultats complets de la première séance d’essais libres du Grand Prix de Formule 1 d’Azerbaïdjan 2025 à Bakou !

Classement des Essais Libres 1 du Grand Prix d’Azerbaïdjan

# Pilote Écurie Chrono Pneus
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:42.704 S
2
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:43.014 S
3
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:43.256 S
4
 
George RUSSELL
Mercedes 1:43.257 S
5
 
Alexander ALBON
Williams 1:43.563 S
6
 
Yuki TSUNODA
Red Bull 1:43.738 S
7
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:43.790 S
8
 
Carlos SAINZ
Williams 1:43.859 S
9
 
Liam LAWSON
Racing Bulls 1:43.903 S
10
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:43.975 S
11
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:43.985 S
12
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:43.986 S
13
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:44.087 S
14
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:44.087 S
15
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:44.139 S
16
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:44.151 S
17
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:44.329 S
18
 
Esteban OCON
Haas 1:44.439 S
19
 
Franco COLAPINTO
Alpine 1:45.299 S
20
 
Pierre GASLY
Alpine 1:45.418 S

Charles Leclerc croit aux chances de victoire de Ferrari à Bakou

Charles Leclerc veut croire à une surprise ce week-end au Grand Prix d’Azerbaïdjan. Le pilote monégasque estime que Ferrari peut viser la victoire sur le tracé urbain de Bakou, où il s’est montré redoutable en qualifications depuis plusieurs saisons.

Depuis 2021, Leclerc est invaincu en pole position sur le circuit de 6,003 km, avec quatre départs consécutifs en tête de la grille. Pourtant, il n’a jamais converti cet avantage en victoire, la course se révélant plus compliquée pour la Scuderia, notamment en termes de rythme.

Cette année encore, McLaren apparaît comme le grand favori, tandis que Red Bull arrive à Bakou avec des certitudes après la victoire de Max Verstappen à Monza. Ferrari, de son côté, n’a pas semblé en mesure de se battre pour la victoire lors de la majeure partie de la saison.

Malgré tout, Leclerc refuse d’écarter totalement ses chances. « J’ai toujours ce sentiment », a-t-il confié aux médias. « Il repose principalement sur mes nombreuses années ici, où la plupart du temps nous n’étions pas les favoris sur le papier, et où nous avons finalement décroché la pole position. »

Même si la victoire s’annonce difficile, Leclerc considère Bakou comme l’un des rares circuits où Ferrari peut encore espérer briller en 2025. Son défi reste désormais de convertir la vitesse sur un tour en un résultat solide sur la durée de course.

« Mais cela ne signifie pas que nous pouvons gagner le dimanche. Encore une fois, la pole position vous place dans la meilleure position possible pour commencer la course. Mais cela ne signifie pas nécessairement que nous aurons le rythme de course, et c’est ce qui nous a manqué ces dernières années. Je n’ai pas beaucoup d’espoir que cette année soit très différente. Je pense que McLaren sera l’équipe la plus forte avec Red Bull, car je pense qu’à Monza, ils ont définitivement trouvé quelque chose qui semble très bien fonctionner. »

« Donc oui, ça ne va pas être facile, mais parmi les endroits où je pense que nous avons un peu plus de chances, je reste convaincu que Bakou en fait partie. »

Laura Villars devient la première femme candidate à la présidence de la FIA

La pilote automobile suisse Laura Villars est entrée dans l’histoire en devenant la première femme à se porter candidate à la présidence de la FIA. À 28 ans, elle rejoint le président sortant Mohammed Ben Sulayem et l’ancien commissaire de F1 Tim Mayer dans la course à l’élection prévue en décembre 2025 à Tachkent, en Ouzbékistan.

Née en août 1997, Villars possède une solide expérience en Formule 3 et Formule 4. Elle participe actuellement à la Ligier European Series, une compétition pour prototypes.

En annonçant sa candidature, elle a déclaré :

« La FIA doit redevenir la fédération des clubs et des titulaires de licence. Mon ambition est une gouvernance plus démocratique, plus transparente, plus responsable et ouverte aux femmes et aux nouvelles générations. »

Un programme en cinq points

1. Renforcer le programme « Women in Motorsport » : initiatives comme Girls on Track, mentorat, et création d’une académie des jeunes leaders de la FIA.
2. Soutenir les clubs grâce à des consultations régulières et une gouvernance participative.
3. Améliorer la transparence dans la gestion financière et la prise de décision.
4. Introduire un label « FIA Eco-Performance » pour récompenser les meilleures initiatives en matière de durabilité.
5. Positionner la FIA comme référence mondiale en mobilité durable et sécurité routière.

Avec sa candidature, Laura Villars veut incarner un changement de génération et de culture, misant sur la diversité et l’innovation pour façonner l’avenir du sport automobile.

Veux-tu que je prépare aussi un comparatif rapide des trois candidats à la présidence FIA 2025 (Villars vs Ben Sulayem vs Mayer) pour donner une vision d’ensemble aux lecteurs ?

Red Bull et Ferrari introduisent des évolutions techniques à Bakou

Red Bull et Ferrari ont présenté de légères améliorations techniques pour le Grand Prix d’Azerbaïdjan, dans l’espoir de réduire l’écart qui les sépare de McLaren, véritable référence de la saison 2025.

Depuis le début du championnat, McLaren domine largement avec 12 victoires en 16 courses. Red Bull s’est offert un troisième succès à Monza lors de la manche précédente, tandis que Ferrari attend toujours de décrocher sa première victoire cette année.

Pour tenter de se rapprocher à Bakou, Red Bull a redessiné son aileron afin d’accroître la charge, tandis que Ferrari a choisi d’élargir la sortie de refroidissement de ses conduits de frein avant, une solution destinée à optimiser la gestion thermique sur le tracé urbain.

En tête du championnat, McLaren pourrait sceller le titre constructeurs dès ce week-end, mais l’équipe britannique n’a annoncé aucune nouveauté technique pour l’épreuve. La même stratégie conservatrice est adoptée par Aston Martin, Alpine, Haas, Williams et Stake.

Mercedes a, pour sa part, introduit une modification mineure de son aileron avant, avec une corde réduite sur l’un des volets. De son côté, Racing Bulls a procédé à une évolution de ses conduits de frein avant et arrière, dans le but d’améliorer le refroidissement.

Alors que la saison entame son dernier tiers et qu’un changement majeur de réglementation se profile pour 2026, la tendance générale est au ralentissement du développement des monoplaces actuelles, les écuries préférant concentrer leurs ressources sur l’année prochaine.

F1 – Sergio Pérez confirme son premier test avec Cadillac

Sergio Pérez a officialisé sa participation à son premier test avec Cadillac F1, alors que l’écurie se prépare pour ses débuts en Formule 1 en 2026.

Le pilote mexicain de 34 ans mènera le projet de la nouvelle équipe américaine aux côtés de Valtteri Bottas. Ensemble, ils totalisent plus de 500 départs en Grand Prix, offrant à Cadillac un duo immédiatement compétitif et expérimenté pour son arrivée dans la discipline.

Cadillac disposant de bases opérationnelles aux États-Unis et au Royaume-Uni, Pérez alternera entre les deux continents dans le cadre de son programme de préparation. Lors d’un événement organisé par les Los Angeles Dodgers, il a confirmé qu’il se rendrait en Angleterre la semaine prochaine pour poursuivre les préparatifs de la saison et prendre le volant d’une monoplace de Formule 1.

Le premier roulage de Pérez se fera au volant d’une ancienne Ferrari, Cadillac étant un client du constructeur italien pour ses débuts en 2026. Les dates exactes de cet essai n’ont toutefois pas encore été communiquées.

« La semaine prochaine, je serai à Charlotte et en Angleterre », a déclaré Perez. « Pour moi, il est important de piloter cette année, en particulier pour mon cou, afin que mon corps s’adapte à nouveau à ce qui va se passer en 2026. Je m’entraînerai sur le simulateur et il est prévu que je teste une voiture de F1. »

Charles Leclerc pourrait battre un record peu enviable à Bakou

Charles Leclerc pourrait entrer dans les livres d’histoire ce week-end à Bakou… mais pas de la manière qu’il espère. Le pilote Ferrari est sur le point de battre un record vieux de 59 ans, détenu par la légende Jim Clark, à moins qu’il ne parvienne enfin à transformer sa domination en qualifications en victoire en course.

Depuis 2021, Charles Leclerc y est intouchable en qualifications à Bakou, avec quatre pole positions consécutives. Pourtant, cette suprématie ne s’est jamais concrétisée le dimanche. En 2024, son nouvel échec a égalé le record de Clark : quatre pole positions consécutives sur un même Grand Prix sans victoire.

Clark avait établi ce triste record à Monaco, avec des poles entre 1962 et 1964, puis en 1966, sans jamais s’imposer. Son meilleur résultat fut une quatrième place en 1964, et il avait même manqué l’édition 1965 pour courir et remporter les 500 Miles d’Indianapolis.

Leclerc, lui, a connu plus de réussite en course que l’Écossais. Depuis 2021, il a terminé quatrième, puis a subi une panne moteur en 2022, avant de monter sur le podium à deux reprises : troisième en 2023, puis deuxième derrière Oscar Piastri en 2024. Le Monégasque avait aussi signé la pole pour la course sprint en 2023, terminant deuxième derrière Sergio Perez.

Si Leclerc décroche samedi une cinquième pole consécutive en Azerbaïdjan et échoue une nouvelle fois à convertir cet avantage en victoire, il battra le record vieux de près de six décennies. Une statistique dont il se passerait volontiers, lui qui rêve enfin de lever les bras sur les rives de la mer Caspienne.

Le plus de pole positions consécutives sans victoire sur un même circuit

#

Pilote

Grand Prix

Poles

1er

Jim Clark

Monaco

4

1er

Charles Leclerc

Azerbaïdjan

4

3e

René Arnoux

Autriche

3

3e

Nelson Piquet

Autriche

3

3e

Nelson Piquet

Grande-Bretagne

3

3e

Graham Hill

Belgique

3

3e

Rubens Barrichello

Brésil

3

 

Une vente exceptionnelle à 26 millions de dollars pour une Ferrari Daytona SP3

L’édition 2025 de la vente RM Sotheby’s de Monterey a tenu toutes ses promesses, confirmant son statut parmi les enchères automobiles les plus attendues de l’année. En deux soirées intenses, la maison a totalisé 165,3 millions de dollars, avec un taux de vente impressionnant de 87 %. Pas moins de 1 411 enchérisseurs venus de 46 pays se sont affrontés, et 37 voitures ont dépassé le million, dont six au-dessus des 5 millions et deux au-delà des 10 millions.

Sans surprise, Ferrari s’est imposée comme la véritable star du week-end. Le lot phare, une Ferrari Daytona SP3 “Tailor Made” de 2025, a été adjugé à 26 millions de dollars, établissant la meilleure enchère de la Monterey Car Week. Plus qu’un simple modèle rare, cet exemplaire est unique : numéroté “599+1” par rapport aux 599 produits officiellement, il arbore une livrée bicolore mêlant carbone apparent et Giallo Modena. Son caractère exclusif et son état quasi neuf expliquent pourquoi une voiture récente a pu surpasser des classiques de collection.

Cette Daytona n’était pas seule à attirer les projecteurs. Deux autres Ferrari ont largement contribué au spectacle : une F40 LM de 1993 préparée par Michelotto et une F50 de 1995 en Giallo Modena, ex-Ralph Lauren, l’un des deux exemplaires connus dans cette configuration. À elles trois, ces icônes de Maranello ont généré plus de 46 millions de dollars, soit près de la moitié de la valeur cumulée du top 10.

Les Ferrari modernes se sont également distinguées : une LaFerrari Aperta de 2017 a trouvé preneur à 6,7 millions de dollars, tandis qu’un autre exemplaire de 2015 s’est envolé à 5,2 millions. Les modèles historiques n’ont pas été en reste, avec une 250 GT Cabriolet Série I de 1958 et une 375 Plus Spyder de 1955 également cédées à 5,2 millions.

Si sept voitures du top 10 portaient le cheval cabré, quelques légendes d’avant-guerre se sont fait une place : une Mercedes-Benz 500 K Special Roadster de 1935 a atteint 5,34 millions, et une Duesenberg Model J Torpedo Phaeton de la même année s’est vendue 4,4 millions. Enfin, une icône plus récente, la RUF CTR1 “Yellowbird” Lightweight de 1989, a clôturé le classement.

Au-delà des chiffres, cette vente confirme une tendance forte : les Ferrari, qu’elles soient classiques ou modernes, s’imposent désormais comme de véritables actifs de placement. La rareté, la provenance et la personnalisation deviennent les clés de records toujours plus spectaculaires.

Les horaires de départ des Grands Prix de F1 en 2026

Toutes les heures de départ de chaque Grand Prix de F1 en 2026.

Horaires F1 2026 (Heure française)

Grand Prix

Heure locale

Heure française

Grand Prix d’Australie

15:00

05:00

Grand Prix de Chine

15:00

08:00

Grand Prix du Japon

14:00

07:00

Grand Prix de Bahreïn

18:00

17:00

Grand Prix d’Arabie Saoudite

20:00

19:00

Grand Prix de Miami

16:00

22:00

Grand Prix du Canada

16:00

22:00

Grand Prix de Monaco

15:00

15:00

Grand Prix de Barcelone

15:00

15:00

Grand Prix d’Autriche

15:00

15:00

Grand Prix de Grande-Bretagne

15:00

16:00

Grand Prix de Belgique

15:00

15:00

Grand Prix de Hongrie

15:00

15:00

Grand Prix des Pays-Bas

15:00

15:00

Grand Prix d’Italie

15:00

15:00

Grand Prix d’Espagne

15:00

15:00

Grand Prix d’Azerbaïdjan

15:00

13:00

Grand Prix de Singapour

20:00

14:00

Grand Prix des États-Unis

15:00

21:00

Grand Prix du Mexique

14:00

21:00

Grand Prix du Brésil

14:00

18:00

Grand Prix de Las Vegas

20:00

05:00

Grand Prix du Qatar

19:00

17:00

Grand Prix d’Abu Dhabi

17:00

14:00

Leclerc-Ferrari, McLaren… quand la pression menace les plus beaux mariages

Dans un sport où la gloire se mêle à la tension permanente, la Formule 1 a souvent montré que même les alliances les plus solides peuvent finir par se fissurer. Charles Leclerc et Ferrari pourraient-ils être les prochains à vivre ce scénario ? C’est la question soulevée par plusieurs observateurs, alors que la Scuderia peine toujours à renouer avec son lustre passé.

Depuis le dernier titre mondial décroché par Kimi Räikkönen en 2007, Ferrari vit dans un cycle frustrant de presque-victoires et de désillusions. Leclerc, figure de proue de l’équipe depuis 2019, a démontré un talent brut et une capacité rare à extraire le maximum de sa monoplace, même dans des situations difficiles. Pourtant, l’écart avec Red Bull demeure, et chaque saison manquée ajoute un poids supplémentaire sur les épaules du Monégasque comme sur celles de l’équipe. Jusqu’à quand acceptera-t-il d’attendre un projet réellement capable de le porter vers la couronne mondiale ?

La réflexion ne concerne pas uniquement Ferrari. Chez McLaren, la réussite retrouvée avec Lando Norris et Oscar Piastri pourrait, paradoxalement, devenir une source de tension. Les deux jeunes talents se poussent mutuellement vers le haut, mais cette émulation pourrait vite tourner à la rivalité ouverte si l’un des deux se sent désavantagé. L’histoire de la F1 est riche de ces duels internes — de Prost/Senna chez McLaren à Hamilton/Rosberg chez Mercedes — qui finissent par menacer l’équilibre d’une équipe.

Car il existe bien paradoxe propre à la F1 : la réussite engendre elle-même une pression redoutable. Être au sommet signifie devoir y rester, voire faire encore mieux. Les attentes des pilotes, des sponsors et du public deviennent alors parfois impossibles à satisfaire, conduisant à des ruptures inattendues.

Ainsi, Leclerc pourrait un jour regarder ailleurs si Ferrari ne parvient pas à franchir un cap décisif. De la même manière, McLaren devra gérer avec doigté un duo explosif, sous peine de voir l’un de ses protégés céder aux sirènes d’un rival mieux armé.

La Formule 1 n’est pas seulement une affaire de vitesse et de technologie : c’est aussi un jeu d’équilibres fragiles, où la pression de la victoire façonne les relations autant qu’elle les détruit. Ferrari et McLaren sont aujourd’hui à la croisée de ces dynamiques. Reste à savoir si elles sauront transformer cette tension en carburant, plutôt qu’en bombe à retardement.

Oliver Bearman affiche son ambition de rejoindre Ferrari à long terme

Le rookie pilotant pour Haas, Oliver Bearman, a réaffirmé que son objectif ultime en Formule 1 restait de piloter un jour pour Ferrari.

Le Britannique de 20 ans dispute actuellement sa première saison complète en F1 après trois apparitions remarquées en 2024. Sa première course avait eu lieu de manière inattendue au Grand Prix d’Arabie saoudite, lorsqu’il avait remplacé Carlos Sainz, contraint au forfait pour raisons médicales. Sa performance solide au volant de la Scuderia avait alors attiré l’attention du paddock.

Il avait ensuite pris part à deux autres Grands Prix avec Haas, à Bakou puis au Brésil, avant d’être confirmé comme titulaire au sein de l’écurie américaine pour 2025.

Membre de longue date de la Ferrari Driver Academy, Bearman reconnaît que sa trajectoire idéale l’emmènerait à Maranello. Toutefois, le jeune pilote insiste sur le fait qu’il ne se fixe pas de calendrier précis pour obtenir ce baquet convoité. « Pour l’instant, mon rôle est de donner le maximum avec Haas », a-t-il expliqué, soulignant que ses performances actuelles restent sa priorité.

« Bien sûr, c’est mon objectif dans la vie », a déclaré Bearman aux médias. « J’ai eu un avant-goût de cela lorsque j’ai été appelé l’année dernière et c’est ma motivation dans la vie, d’espérer pouvoir un jour y parvenir. Je me concentre sur mon travail ici, et il n’y a pas vraiment de communication entre moi et Ferrari », a-t-il déclaré. « Mon travail consiste à montrer ce dont je suis capable et à ne laisser aucun choix aux équipes. C’est mon travail, faire de mon mieux. Et c’est un long chemin à parcourir. Cela ne se fait pas du jour au lendemain. »

« Mais je ne me fixe pas de délai, rien de tout cela. Je me concentre simplement sur ce que je fais, j’essaie de m’améliorer car je vois encore beaucoup de marge de progression au sein de cette équipe et je veux aussi tirer le meilleur parti de moi-même de manière plus régulière. Je vois encore une grande trajectoire devant moi, ce qui est une bonne chose, et cela signifie que plus je me concentre sur moi-même, mieux tout ira. »

Sondage F1 – Quel pilote remportera le Grand Prix d’Azerbaïdjan 2025 ?

La F1 a terminé son tour européen et défait ses valises ce week-end en Azerbaïdjan, plus précisément à Bakou. Il s’agit là de la 17e manche du Championnat du monde de F1 2025 et il pourrait bien être terre de sacre pour McLaren. En effet, la firme britannique pourrait remporter le titre des constructeurs dès ce dimanche. 

Oscar Piastri arrive en position de leader du Championnat du monde des pilotes, avec déjà sept succès à son actif. Il est suivi au classement par son coéquipier chez McLaren, Lando Norris. Max Verstappen, vainqueur en Italie, comptabilise trois victoires et George Russell, une seule. 

La saison passée, Oscar Piastri s’était imposé dans les rues de la capitale azerbaïdjanaise, devant Charles Leclerc et George Russell. 

Ferrari : « L’objectif de l’équipe est de terminer deuxième »

Fred Vasseur a clarifié l’ordre des priorités de Ferrari pour la fin de la saison de F1. Le directeur de la Scuderia a reconnu que McLaren est désormais quasiment intouchable dans la course au championnat des constructeurs, et que l’objectif principal reste de consolider la deuxième place au classement, plutôt que de viser coûte que coûte une première victoire.

Ferrari est la seule équipe du top 4 encore privée de succès cette année. Sa dernière victoire remonte à presque un an, lorsque Carlos Sainz s’était imposé au Grand Prix du Mexique. Malgré des progrès perceptibles depuis la pause estivale, confirmés par une meilleure compétitivité lors des deux dernières manches, les résultats ne reflètent pas encore l’évolution de la SF-24. La pression grandit donc sur l’équipe de Maranello.

À l’approche du Grand Prix d’Azerbaïdjan, Vasseur reste cependant confiant quant aux chances de Charles Leclerc et Lewis Hamilton de briller sur le tracé urbain de Bakou. Le Monégasque y avait frôlé la victoire l’an dernier, et Ferrari estime pouvoir y être performante. « Je pense que nous avons quelques circuits où nous sommes censés être en bonne forme, à commencer par le prochain », a expliqué Vasseur. « Mais oui, c’est sûr, notre objectif principal reste le championnat. »

La situation est claire : McLaren n’a besoin que de neuf points d’avance supplémentaires sur Ferrari à Bakou pour s’adjuger un deuxième titre consécutif, et ce, avec sept courses encore à disputer. Dans ce contexte, Vasseur insiste sur la nécessité de garder une vision globale : engranger régulièrement de gros points et consolider la deuxième position au championnat, même si cela signifie repousser l’attente d’un retour sur la plus haute marche du podium.

« L’objectif est désormais de terminer deuxième du championnat », a-t-il déclaré. « McLaren est sur une autre planète ; nous nous battons avec Red Bull et Mercedes. » En précisant les priorités de Ferrari pour le reste de la saison, Vasseur a clairement indiqué quel résultat était le plus important. « L’objectif de l’équipe est de terminer deuxième », a-t-il réitéré, avant de préciser l’ordre des priorités pour le Cheval Cabré : « Le premier objectif est de terminer deuxième, puis de remporter des courses. »

Vasseur annonce un accord imminent sur l’avenir des moteurs en F1

Le directeur de Ferrari, Fred Vasseur, a confirmé que la Formule 1 est proche d’un accord concernant les futures réglementations moteurs, alors même que la nouvelle génération de groupes motopropulseurs n’a pas encore été testée en conditions réelles.

Dès la saison prochaine, la F1 introduira un système inédit combinant une batterie plus puissante et une répartition équitable de l’énergie entre la partie thermique et électrique, le tout alimenté à 100 % par des carburants durables.

Cette évolution technique a déjà provoqué de grands bouleversements : Renault s’apprête à quitter la F1 à la fin de l’année, tandis qu’Audi se lancera officiellement dans la discipline, Honda fera son retour et Red Bull développera pour la première fois son propre moteur en partenariat avec Ford.

Mais les inquiétudes persistent. Plusieurs acteurs du paddock redoutent une baisse sensible des performances, avec des temps au tour rallongés par l’importante part d’économie d’énergie intégrée dans le concept. Ces doutes ont relancé les débats autour de l’introduction d’une nouvelle motorisation pour la décennie à venir.

Les cinq constructeurs actuellement engagés devaient rencontrer la F1 et la FIA la semaine dernière afin de discuter des prochaines étapes, mais la réunion a finalement été reportée. Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, milite pour un retour aux moteurs V8, adaptés aux carburants 100 % durables, dès 2029 ou 2030. Toutefois, tout changement a été repoussé à l’horizon 2031, date de la prochaine révision réglementaire.

Interrogé sur cette proposition, Fred Vasseur a tenu à se montrer optimiste : « Nous sommes proches d’un accord », a-t-il assuré, confirmant que les discussions avancent rapidement.

« Par rapport aux précédents changements de réglementation, nous sommes assez [loin] en avance », a déclaré Vasseur. « Nous avons des discussions parce que ce n’est pas un choix facile. Je pense que nous pouvons trouver un projet commun assez rapidement, disons. Mais nous ne sommes pas pressés de prendre une décision aujourd’hui ou demain. À l’usine, tout le monde se concentre sur 2026, et même si nous trouvons un accord demain, nous ne commencerons pas à travailler [dessus]. Nous devons faire les bons choix. Il y a plusieurs points sur lesquels je pense que nous pouvons trouver un accord entre tous les constructeurs de PU, la FIA et la Formule 1. Dans l’intérêt de la F1, il est logique de discuter et de trouver ce type d’accord. »

Vasseur estime que Ferrari a réduit l’écart sur McLaren

Le directeur de la Scuderia, Fred Vasseur, s’est montré optimiste quant aux progrès de Ferrari après le Grand Prix d’Italie, affirmant que l’équipe avait « comblé son retard » sur McLaren.

À Monza, Charles Leclerc et Lewis Hamilton ont terminé respectivement quatrième et sixième, des résultats en apparence modestes mais jugés encourageants par le patron français. Qualifiés en quatrième et cinquième position, les deux pilotes ont profité d’une bonne dynamique entamée depuis la reprise estivale. La pénalité infligée à Hamilton à Zandvoort a compliqué ses chances, mais les performances affichées lors des deux dernières manches confirment, selon Vasseur, que Ferrari est « en meilleure forme ».

Malgré ces signes positifs, un constat demeure : Ferrari est la seule des quatre écuries de pointe à ne pas encore avoir remporté de Grand Prix cette saison. La régularité de ses résultats lui permet toutefois de conserver la deuxième place du championnat constructeurs. Avec 20 points d’avance sur Mercedes et 41 sur Red Bull, la Scuderia reste sous pression. Un Verstappen retrouvé, après son éclatant succès à Monza, pourrait encore relancer Red Bull dans la bataille pour cette place d’honneur.

Vasseur préfère néanmoins retenir le positif. Il souligne que Ferrari n’était qu’« à un dixième de la première ligne » en qualifications, un écart qu’il juge révélateur des progrès accomplis. « Même si vous jouez différemment avec le mode moteur ou le carburant, cela montre que nous sommes là », a-t-il confié à la presse.

« Nous parlons de trois ou quatre kilos de carburant, ce que nous ne saurons jamais. Mais il est également vrai que, même en course, l’écart avec McLaren est minime. »

Soulignant les faibles écarts lors des qualifications et des trois séances d’essais, le Français a toutefois insisté sur le fait qu’il restait encore du travail à faire.

« C’était également l’écart le plus faible en FP3, l’écart le plus faible en qualifications et EL1 », a-t-il ajouté. « Je pense que nous étions en meilleure forme ce week-end. Pas assez, car ils sont devant nous, mais je pense qu’au moins, nous avons réduit l’écart. »

Business – La puissance de la proximité et la passion dans les deals F1

L’authenticité est un cliché courant sur les canaux numériques, mais elle s’applique plus que jamais à la création d’une campagne de sponsoring réussie. Il est fréquent de voir des contenus peiner à atteindre leur objectif lorsque les sponsors les recouvrent de logos, de génériques de fin ou, pire encore, d’introductions.

Ce phénomène est amplifié dans les contenus verticaux courts, qui prospèrent grâce à des taux de visionnage élevés. Nous sommes conditionnés à passer les publicités dès que possible, et les contenus trop marqués par une marque sont rapidement ignorés.

Tout ce qui concernait la collaboration entre la Formule 1 et Lego à Miami était vraiment divertissant et authentique. L’activation était centrée sur les voitures Lego elles-mêmes, mais pendant un événement déjà prévu dans le programme de la journée de course. C’était tout ce qu’il fallait pour promouvoir la marque et créer un contenu vraiment captivant.

Le plaisir des pilotes était évident. « C’était le défilé des pilotes le plus amusant que nous ayons jamais eu, avec quelques manœuvres risquées, c’était très amusant », a déclaré le pilote Ferrari Lewis Hamilton. Il a également filmé et publié une vidéo TikTok avec son coéquipier Charles Leclerc, qui a généré plus de 14 millions de vues, ce qui en fait la vidéo la plus vue sur son compte à ce jour.

TikTok est le lieu naturel des « contenus amusants », il n’est donc pas surprenant que Hamilton ait publié exclusivement sur cette plateforme, car son audience correspond à celle du marché cible de Lego. Avec 25 % des utilisateurs de TikTok âgés de moins de 19 ans, le contenu, la marque et la plateforme se complètent clairement.

On ne sait pas si Lego avait consciemment anticipé ce niveau de promotion, mais si c’est le cas, c’était une décision judicieuse. Ce type de contenu permet non seulement d’élargir l’audience de Lego, mais aussi d’attirer de jeunes fans vers la Formule 1.

Les précédents partenariats de la Formule 1 avec Hot Wheels et Super Mario témoignent de sa volonté de toucher un public plus jeune, mais le partenariat avec Lego devrait encore évoluer, et le nouveau partenariat avec Disney ajoute une nouvelle dimension.

Bien que les détails de la participation de Mickey et ses amis soient encore inconnus, même une présence minimale lors de certains Grands Prix, sous la forme de zones thématiques réservées aux fans ou de produits dérivés collaboratifs, pourrait créer un contenu à fort impact pour les réseaux sociaux et susciter la curiosité des jeunes téléspectateurs.

L’expérience de Disney en matière d’intégration de personnages dans le sport en direct suggère que cela apportera à la fois un intérêt divertissant et une valeur commerciale.

Ferrari sur le point de perdre deux ingénieurs moteurs

Au lendemain du Grand Prix d’Italie, des médias italiens annoncent un séisme technique chez Ferrari. Selon Autoracer et Corriere dello Sport, deux figures majeures du département moteur de Maranello s’apprêtent à rejoindre Audi : Wolff Zimmermann et Lars Schmidt.

Zimmermann, chef de projet moteurs, est reconnu pour son rôle d’innovateur en F1. Son départ représenterait un coup dur stratégique pour la Scuderia, même si Enrico Gualtieri, responsable du programme moteur 2026, continue de superviser l’ensemble. Schmidt, ingénieur en chef chargé du développement des performances des moteurs à combustion interne, devrait également suivre la même trajectoire.

Le duo rejoindrait ainsi Mattia Binotto, ancien directeur de Ferrari parti fin 2023 et désormais en charge du projet Audi F1. Le constructeur allemand, qui reprendra l’écurie Stake cet hiver, prépare activement son arrivée dans la discipline avec une stratégie centrée sur le renforcement de son département moteur.

Si la date exacte de leur intégration n’est pas encore confirmée, ces transferts soulignent l’ambition d’Audi et la volonté de Binotto de s’entourer d’hommes de confiance. Pour Ferrari, la perte de Zimmermann et Schmidt marque un tournant délicat, malgré une continuité assurée par Gualtieri.