Rosberg imagine d’éventuels échanges entre Verstappen et Mercedes

Nico Rosberg estime que des discussions pourraient avoir lieu en coulisses entre Max Verstappen et Mercedes, malgré la probable prolongation de George Russell au sein de l’écurie de Brackley. Le champion du monde 2016 n’écarte pas l’idée que l’équipe allemande puisse toujours être à l’affût d’une opportunité, en particulier si Verstappen devenait disponible.

Russell, auteur d’une saison solide jusqu’à présent, semble conforter sa position en tant que pilier de l’écurie. Toutefois, les rumeurs d’un intérêt persistant de Mercedes pour le quadruple champion du monde alimentent les spéculations. Le directeur de l’équipe, Toto Wolff, avait déjà tenté d’attirer Verstappen au début de sa carrière, avant que le Néerlandais ne rejoigne Red Bull via Toro Rosso en 2015.

Depuis, Verstappen s’est imposé comme une référence du plateau, et bien que sous contrat avec Red Bull jusqu’à fin 2028, son avenir continue d’attiser les convoitises. Avec l’émergence prometteuse du jeune Kimi Antonelli dans les rangs de Mercedes, c’est potentiellement George Russell qui pourrait voir sa place remise en question si une opportunité liée à Verstappen se présentait.

« Red Bull n’est pas stupide », a déclaré Rosberg à Sky Germany. « Ils ont payé une fortune à Max et l’ont engagé pour plusieurs années. Je ne pense pas qu’il puisse simplement s’enfuir. Mais on ne peut pas le forcer à rester. S’il veut partir, il faudra l’accepter à un moment donné. »

Si Russell, qui a rejoint l’équipe en 2022 et dont le contrat expire à la fin de l’année, ne semble pas préoccupé par l’absence de prolongation de son contrat actuel, Rosberg pense toutefois que Wolff pourrait employer une tactique dilatoire.

« D’un autre côté, il y a aussi la situation de George Russell chez Mercedes », a-t-il déclaré. « Il y a un certain retard, car Toto Wolff devrait en fait le signer maintenant. C’est son pilote numéro un, ses performances cette saison sont à nouveau exceptionnelles. Il y a peut-être des discussions en coulisses avec le camp Verstappen. »

FIA – Carlos Sainz Sr renonce à briguer la présidence, ouvrant la voie à la réélection de Ben Sulayem

Carlos Sainz Sr a annoncé qu’il ne se portera pas candidat à la présidence de la FIA, mettant un terme aux spéculations sur une éventuelle opposition à Mohammed Ben Sulayem lors des élections prévues en décembre prochain.

Le double champion du monde des rallyes et figure respectée du sport automobile avait sérieusement envisagé de se présenter face au président sortant, dont le mandat a été marqué par plusieurs polémiques internes. Son éventuelle candidature était perçue comme crédible par de nombreux acteurs du paddock, d’autant qu’il lui aurait fallu constituer une équipe complète — incluant un vice-président et plusieurs adjoints — avant le scrutin.

Mais le soutien affiché à Ben Sulayem par plusieurs fédérations nationales membres de la FIA, notamment durant le Grand Prix d’Espagne, a considérablement réduit les marges de manœuvre pour une alternative crédible. Étant donné que ce sont ces associations qui désignent le président, l’élan nécessaire pour bâtir une campagne solide semblait désormais hors de portée.

Dans un communiqué, Sainz Sr a officialisé son retrait, évoquant « des circonstances actuelles peu propices à la préparation d’une candidature sérieuse ». Il a également souligné sa volonté de rester concentré sur ses engagements en compétition, notamment sa participation continue au Rallye Dakar.

Cette décision ouvre la voie à une réélection quasi certaine de Mohammed Ben Sulayem à la tête de la Fédération internationale de l’automobile.

Déclaration complète de Carlos Sainz Sr

« Je souhaite par la présente confirmer publiquement que j’ai finalement décidé de ne pas me présenter à la présidence de la FIA lors des élections de cette année.
J’ai travaillé dur ces derniers mois pour comprendre en profondeur la situation de la FIA ainsi que les exigences et les complexités inhérentes à un projet aussi important.
Après mûre réflexion, j’en suis arrivé à la conclusion que les circonstances actuelles ne sont pas idéales pour préparer ma candidature.
De plus, j’ai réalisé que me présenter à la présidence compromettrait considérablement ma préparation pour le Dakar et je ne souhaite pas affaiblir mon engagement envers Ford et mon équipe.
Ces préoccupations m’ont donc incité à être réaliste et à renoncer à ma candidature à la FIA
pour l’instant. Malgré mon retrait de cette course, ma passion pour le service et le leadership dans le monde du sport automobile reste intacte, et je continue de croire que l’organisation a besoin de changements importants, qui, je l’espère sincèrement, seront abordés dans les années à venir.
La course automobile et la mobilité ont été toute ma vie, et je suivrai de près les développements futurs avec beaucoup d’intérêt.
Je continuerai à soutenir mon sport et à contribuer de toutes les manières possibles à l’amélioration de la mobilité des usagers de la route à travers le monde.
Enfin, je tiens à remercier sincèrement tous ceux qui m’ont adressé des messages de soutien, d’encouragement et de conseils au cours des dernières semaines.
Ils m’ont conforté dans ma volonté de poursuivre mes objectifs actuels et futurs, et je vous en suis profondément reconnaissant.
Merci. »

F1 – Un programme d’essais hivernaux inédit pour préparer le grand tournant technique de 2026

Les préparatifs pour la saison 2026 de Formule 1 débuteront exceptionnellement tôt la saison prochaine, avec un programme de tests hivernaux élargi, organisé sur cinq jours à Barcelone dès le mois de janvier. Selon nos informations, les essais se dérouleront du lundi 26 au vendredi 30 janvier sur le circuit de Catalogne, dans le cadre d’une refonte technique majeure de la discipline.

Face à l’ampleur des changements attendus – aussi bien au niveau du châssis que du groupe motopropulseur – la F1 prévoit un total de neuf journées d’essais pour permettre aux équipes d’aborder sereinement cette nouvelle ère. Ce nombre, triplé par rapport aux trois jours de tests autorisés en 2025, reflète l’ambition et la complexité du nouveau règlement.

À Barcelone, chaque équipe ne pourra toutefois rouler que trois jours sur les cinq prévus, avec deux jours de pause imposés, afin de gérer au mieux l’alternance et de prévenir les risques liés aux conditions climatiques. L’expérience de 2018, marquée par une tempête de neige en Catalogne, reste en mémoire.

Les nouvelles monoplaces de 2026 seront propulsées par des unités hybrides redessinées, intégrant des systèmes électriques plus puissants capables de générer jusqu’à 350 kW, fonctionnant avec des carburants 100 % durables, et sans MGU-H – un composant supprimé du règlement.

Après cette première série de tests en Espagne, les équipes mettront le cap sur Bahreïn pour deux autres sessions classiques de trois jours, prévues du 11 au 13 février, puis du 18 au 20 février sur le circuit international de Sakhir.

La saison s’ouvrira officiellement le 8 mars avec le Grand Prix d’Australie, à Melbourne. L’année 2026 marquera également l’arrivée de deux nouveaux acteurs sur la grille : Cadillac, qui fera ses débuts avec un moteur Ferrari, et Audi, désormais propriétaire de Sauber, qui alignera une structure complète et sa propre motorisation. Ces deux entités rejoindront Ferrari, Mercedes, Red Bull Powertrains et Honda – de retour en tant que motoriste – tandis que Renault se retirera de la compétition à l’issue de la saison 2025.

Sergio Perez estime que Red Bull regrette son départ

Sergio Perez a affirmé que Red Bull regretterait la décision de l’avoir écarté à l’issue d’une saison 2024 compliquée. Le pilote mexicain, en difficulté pour exploiter pleinement le potentiel de sa monoplace, avait quitté l’écurie de Milton Keynes en fin de saison, au terme d’une campagne en demi-teinte.

Son remplacement par Liam Lawson n’a pas apporté les résultats escomptés. Le Néo-Zélandais n’a disputé que deux Grands Prix avant d’être remplacé à son tour par Yuki Tsunoda. Malgré ces ajustements, les performances de la seconde voiture sont restées en retrait, obligeant Red Bull à compter quasi exclusivement sur Max Verstappen dans la lutte en tête du championnat.

Aujourd’hui en retrait du paddock, Perez, 35 ans, observe la situation avec un certain recul. Selon lui, les difficultés persistantes rencontrées par ses successeurs alimentent le sentiment de regret au sein de l’équipe quant à la gestion de son duo de pilotes.

« Non », a répondu Perez à Dede el Paddock lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que Red Bull lui devait des excuses. « Je veux dire, en fin de compte, c’est comme ça que fonctionne ce sport. Ils ont pris certaines décisions en raison de la pression immense qu’ils ont eux-mêmes contribué à créer. Mais je sais, au fond de moi, qu’ils le regrettent. Et je le sais de source très sûre. Mais que pouvez-vous faire ? Vous passez à autre chose. C’est difficile. J’ai de très bons amis là-bas, et les gens pourraient penser que je me réjouis de ce qui s’est passé, mais ce n’est pas le cas. »

« La vérité, c’est que Max mérite tout le succès qu’il connaît », a déclaré Perez. « C’est un pilote incroyable, et très peu de gens comprennent sa façon de travailler. Il est exceptionnel. »

« Nous avions une excellente équipe. Au final, elle s’est lentement effondrée, mais nous avions vraiment quelque chose de spécial, pendant l’une des périodes les plus compétitives de la F1 », a-t-il ajouté. « Nous n’avons pas dominé une époque comme Mercedes, qui disposait d’un énorme avantage en termes de moteur. Dans notre cas, l’écart de performance était minime, et nous avons quand même construit une équipe très performante. C’est quand Adrian est parti que les problèmes ont vraiment commencé. »

Quand les points de pénalité de Verstappen expirent-ils ?

Le Grand Prix d’Autriche, ce week-end, marque un dernier écueil pour Max Verstappen, qui, après le Canada où il se trouvait déjà sur le fil, devra impérativement éviter de se voir pénalisé en points sur sa Super Licence de pilote F1. Si le Hollandais venait à se retrouver dans une situation en piste amenant les commissaires sportifs de la FIA à lui ôter des points, il se verrait alors suspendu pour le GP suivant, en Grande-Bretagne.

Max Verstappen est encore dans la lutte pour le titre mondial face aux pilotes McLaren, Oscar Piastri et Lando Norris, même s’il ne dispose pas depuis le début de saison du package le plus compétitif. Reste que le pilote Red Bull, par sa régularité et sa vitesse, demeure une menace constante pour quiconque brigue le titre de champion du monde de F1. L’un de ses principaux atout, néanmoins, qu’est son agressivité hors-norme au volant, devra encore être particulièrement contenue sur le Red Bull Ring, pour le GP à domicile de son employeur.

Quand les points de pénalité ont-ils été introduits ?

En 2014, la FIA a mis en place un système de points de pénalité. À ce jour, le seul pilote à avoir été suspendu pour une course en raison de points de pénalité est l’ancien pilote Haas Kevin Magnussen. En septembre 2024, Magnussen a purgé une suspension d’une course et a manqué le Grand Prix d’Azerbaïdjan après avoir accumulé 12 points de pénalité en 12 mois.

Quand les points de Verstappen expirent-ils ?

Les points expirent 12 mois après leur attribution. Les deux premiers des 11 points de Verstappen expirent le 30 juin, un jour après le Grand Prix d’Autriche de ce mois-ci.

Ensuite, aucun de ses neuf points restants n’expirera avant le 27 octobre, un jour après le Grand Prix de Mexico.

Deux points : 30 juin 2025 – un jour après le Grand Prix d’Autriche

Deux points : 27 octobre 2025 – un jour après le Grand Prix de Mexico

Un point : 1er novembre 2025 – six jours après le Grand Prix de Mexico

Un point : 1er décembre 2025 – un jour après le Grand Prix du Qatar

Deux points : 8 décembre 2025 – un jour après le Grand Prix d’Abu Dhabi

Red Bull – Arvid Lindblad fera ses débuts en EL1 au Grand Prix de Grande-Bretagne

Helmut Marko a confirmé la présence d’Arvid Lindblad en première séance d’essais libres lors du Grand Prix de Grande-Bretagne. Le jeune Britannique, membre du programme Red Bull, s’apprête à effectuer ses débuts en Formule 1 à seulement 17 ans, devenant ainsi le plus jeune pilote à participer à une session officielle depuis Max Verstappen.

Red Bull a obtenu une dérogation exceptionnelle à la réglementation de la FIA, qui impose normalement un âge minimum de 18 ans pour obtenir une super licence. Lindblad, qui fêtera ses 18 ans en août, bénéficie ainsi d’un statut rare au sein du paddock.

Dans un entretien accordé au Kleine Zeitung, Marko a précisé que le jeune pilote « a passé une demi-journée dans la voiture lundi en Italie », dans le cadre de sa préparation en amont du week-end de course. Il fera sa première apparition officielle lors de son Grand Prix national à Silverstone, même si le conseiller Red Bull n’a pas encore indiqué s’il prendra le volant d’une monoplace de l’équipe principale ou de la structure sœur, Racing Bulls.

« Il sera également dans la voiture pour les essais de vendredi à Silverstone », a ajouté Marko. « Il se distingue par sa force mentale et sa confiance en soi ; son mélange suédo-indien (pilote sous licence britannique) est clairement très bon pour le sport automobile. »

Les écuries de F1 sont tenues d’accorder quatre séances de FP1 aux pilotes débutants. Red Bull a déjà fait courir Ayumu Iwasa à Bahreïn en début d’année. Si Lindblad se prépare peut-être à devenir pilote à plein temps, Marko a déclaré que les débuts précoces du pilote de F2 étaient une conséquence du fait que Max Verstappen était dangereusement proche d’une suspension avec 11 points sur sa super licence.

« Nous nous préparons au cas où quelque chose arriverait vraiment à Max Verstappen concernant ses points de pénalité », a ajouté Marko. « Nous avons actuellement deux pilotes de réserve : Lindblad et Ayumu Iwasa, dont le calendrier de Formule 1 entre en conflit avec ses apparitions au Japon. Nous avions même conclu un accord avec une autre équipe pour certaines courses ; à un moment donné, un pilote de réserve était même prévu pour trois équipes. Ce n’est pas si facile de trouver quelqu’un qui soit en pleine forme. C’est pourquoi Lindblad est au volant aujourd’hui. »

Pierre Gasly interpelle Alpine sur l’importance d’avoir un bon châssis en 2026 pour l’arrivée du moteur Mercedes

Pierre Gasly a lancé un appel clair à Alpine : l’écurie devra être prête à concevoir un châssis à la hauteur du moteur Mercedes, dont elle bénéficiera à partir de 2026. Le Français exhorte son équipe à relever ce défi technique afin de pleinement exploiter les performances attendues de cette nouvelle unité de puissance.

Alpine abandonnera en effet les moteurs Renault au terme de la saison 2025, à la suite des difficultés rencontrées depuis le gel du développement imposé en 2022. Incapable de combler les faiblesses structurelles de son bloc, Renault a décidé de cesser la production de moteurs à Viry-Châtillon à la fin du cycle réglementaire actuel.

Les rumeurs laissent entendre que les motorisations Mercedes, développées à Brixworth, pourraient dominer la nouvelle ère technique de la Formule 1. Dans ce contexte, Gasly souligne l’importance pour Alpine d’assumer pleinement sa responsabilité en matière de conception du châssis, afin de tirer parti de ce changement stratégique.

« Les [nouvelles] réglementations offrent des opportunités beaucoup plus importantes et des récompenses potentiellement beaucoup plus importantes, et nous devons nous concentrer là-dessus », a expliqué Gasly aux médias. « Vu la façon dont les gars travaillent à l’usine, tout le monde est très confiant et optimiste quant à la mise au point de la voiture, mais en même temps, nous n’aurons pas la réponse avant d’avoir mis la voiture en piste. Certes, [le fait d’avoir un moteur Mercedes] nous donne confiance, mais rien ne garantit qu’ils auront le meilleur moteur l’année prochaine, c’est juste que ces dernières années, ils semblaient être parmi les meilleurs. Ensuite, en ce qui concerne le châssis, nous savons que nous avons du travail à faire. Nous avons un châssis assez bon, mais cela ne signifie pas que nous ne pouvons pas faire mieux. Nous avons des idées pour l’améliorer, mais nous n’avons pas pu toutes les intégrer dans la voiture de cette année. Je fais confiance au processus, je sais que nous faisons la une des journaux et que les gens ne voient peut-être pas tout ce qui se passe au sein de l’équipe, et que les changements les plus visibles ne sont pas toujours ceux qui ont le plus d’impact, mais ce sont ceux qui font le plus de bruit. »

 

Sebastian Vettel confirme être en pourparlers avec Red Bull pour un retour en F1

Sebastian Vettel a confirmé être en pourparlers avec Red Bull dans le cadre d’un éventuel retour en Formule 1, cette fois-ci dans une fonction autre que celle de pilote. Le quadruple champion du monde, qui a pris sa retraite à l’issue de la saison 2022, envisage une nouvelle implication au sein de l’écurie avec laquelle il a connu ses plus grands succès entre 2010 et 2013.

Depuis la fin de sa carrière en piste, Vettel s’est engagé publiquement sur des sujets tels que l’environnement, la santé mentale et les droits humains. Il est désormais évoqué comme un successeur potentiel du Dr Helmut Marko, actuel responsable du programme de jeunes pilotes chez Red Bull, un poste stratégique qu’il pourrait occuper à l’avenir.

Âgé de 82 ans, Marko dirige ce programme depuis de nombreuses années. À 37 ans, Vettel, premier pilote issu de cette filière à avoir remporté un titre mondial, pourrait incarner une relève naturelle. Présent à plusieurs reprises dans le paddock ces derniers mois, l’Allemand semble écarter définitivement l’idée d’un retour à la compétition, se concentrant désormais sur une contribution en coulisses.

« Il y a eu quelques gros titres récemment, mais je m’entends toujours très bien avec Helmut, et nous échangeons également sur le sujet », a déclaré Vettel à l’ORF. « Ce n’est pas encore très intense ni très approfondi, mais c’est peut-être quelque chose où je pourrais jouer un rôle, mais sous quelle forme, cela reste à voir. Mais je dois admettre que je n’ai pas été très proche de la F1 ces dernières années, mais je pense que Marko sait ce qu’il fait, et quoi qu’il arrive, on peut toujours apprendre beaucoup de lui. »

« Marko est irremplaçable, restons-en là. Il a beaucoup apporté à l’équipe depuis 2005, et ce n’est peut-être pas le but de quelqu’un de le remplacer. Il a dit à plusieurs reprises qu’il allait s’arrêter, mais il est toujours là, et j’aimerais qu’il reste encore longtemps, mais il partira à un moment donné, et il le sait. C’est un réaliste brutal qui sait très bien juger les choses, et il saura quand le moment sera venu. »

Programme et horaires du Grand Prix de F1 d’Autriche 2025

La Formule 1 s’apprête à disputer son onzième rendez-vous de la saison 2025 avec le Grand Prix d’Autriche, programmé du vendredi 27 au dimanche 29 juin. L’épreuve se déroulera sur le circuit du Red Bull Ring, situé à Spielberg, en Styrie.

Retrouvez le programme complet et les horaires du GP d’Autriche de Formule 1

Date Séance Horaires Chaine
Vendredi Essais Libres 1 13:30 – 14:30 Canal+ Sport
  Essais Libres 2 17h00 – 18h00 Canal+ Sport
Samedi Essais Libres 3 12H30 – 13H30 Canal+ Sport
  Qualifications 16h00 – 17h00 Canal+ Sport
Dimanche Grand Prix 15h00 Canal+

Voici le calendrier officiel F1 2026 tel qu’annoncé par Liberty Media

Le calendrier officiel du championnat du monde de Formule 1 2026 est désormais officiel, suite à une ratification des dates proposées par Liberty Media à la Fédération Internationale de l’Automobile. Les calendriers F1, F2 et F3 sont donc désormais intégralement connus, tout comme celui de la Formule E.

Le calendrier F1 2026 compte quelques changements avec la disparition du GP d’Emilie Romagne, qui se tenait ces derniers temps sur le tracé d’Imola. Il voit aussi apparaitre la manche espagnole dans la capitale de Madrid, sur le nouveau tracé urbain qui vient ainsi compléter la présence en Espagne du Circuit de Catalogne, qui demeure pour l’heure au calendrier. 

La saison F1 2026 débutera du 6 au 8 mars 2026 sur le circuit de l’Albert Park, en Australie, et prendra fin du 4 au 6 décembre avec l’ultime épreuve de la saison, à Abou Dhabi. Au total, 24 GP seront au programme pour la F1 en 2026.

Andy Cowell mobilise Aston Martin autour d’un projet commun pour l’avenir

À la tête d’Aston Martin depuis le début de l’année, Andy Cowell a réaffirmé son engagement à fédérer l’ensemble de l’écurie autour d’un objectif clair : redevenir un acteur majeur du championnat du monde de Formule 1.

Installée à Silverstone, l’équipe britannique traverse une saison 2025 compliquée, marquée par des performances en retrait. Elle pointe actuellement à la huitième place du classement des constructeurs.

Pour redresser la barre, Aston Martin a recruté Adrian Newey, figure emblématique de la conception en F1. Le Britannique a été chargé de piloter le département technique de l’écurie. Toutefois, son travail se concentre exclusivement sur la monoplace de 2026, développée selon un nouveau règlement technique qui entrera en vigueur cette année-là.

En attendant, Cowell met l’accent sur la cohésion interne. « Mon objectif est de rassembler l’équipe et les partenaires autour d’une vision commune », a-t-il déclaré, soulignant la nécessité d’un engagement collectif pour bâtir un avenir compétitif.

« Il s’agit de rassembler tout le monde », a déclaré Cowell à Sky F1. « Il s’agit de comprendre les systèmes qui composent une voiture de course et de s’assurer que chacun connaît sa place dans le puzzle. Tout le monde se fixe des objectifs ambitieux et exigeants, et nous nous efforçons de les atteindre. »

Le Britannique souhaite mettre à profit son expérience acquise chez les Flèches d’argent et transposer cette culture chez Aston Martin.

« C’est ce que nous avons fait lorsque Mercedes est arrivée en tant qu’équipe d’usine, en collaboration avec Brackley et Brixworth », a-t-il déclaré. « Nous avons connu un grand succès à partir de 2014. Nico a remporté plusieurs courses et un championnat ! Nous essayons simplement de faire la même chose ici. Nous essayons de rassembler tout le monde à Silverstone, chez Aramco, Valvoline et Honda pour jouer un rôle très important dans cette aventure. »

Max Verstappen dévoile un nouveau casque pour les prochains Grands Prix

À l’approche d’un enchaînement de Grands Prix marqués par une forte présence de ses supporters, Max Verstappen a présenté un nouveau design de casque qu’il portera durant une partie de l’été. Le pilote Red Bull arborera une version bleu marine et orange de son casque à l’occasion des épreuves en Autriche, en Belgique et aux Pays-Bas.

Ces trois courses ont une résonance particulière pour le Néerlandais : elles représentent respectivement la manche à domicile de son écurie, son pays natal et sa nationalité. Pour les Grands Prix de Grande-Bretagne et de Hongrie, il reviendra à son habituel casque aux couleurs du drapeau néerlandais.

Le lion emblématique figurant au sommet du casque reste inchangé, tandis que la teinte bleu marine s’harmonise davantage avec la livrée de la Red Bull RB21.

Verstappen arrive au Red Bull Ring avec un retard de 43 points sur Oscar Piastri, actuel leader du championnat, et 21 unités derrière Lando Norris. Autre enjeu pour le quadruple champion du monde : il devra faire preuve d’une extrême prudence en piste. Avec 11 points de pénalité déjà enregistrés sur sa super licence FIA – sur un maximum de 12 –, tout nouvel incident pourrait entraîner une suspension. Un risque qui s’allégera à l’issue de la course en Styrie, deux points devant alors être retirés de son total.

Ralf Schumacher estime que McLaren mise désormais sur Oscar Piastri pour le titre

Selon Ralf Schumacher, McLaren aurait fait le choix de concentrer ses efforts sur Oscar Piastri dans la course au championnat du monde 2025. L’ancien pilote de Formule 1 a affirmé, dans une déclaration à Sky Germany, que l’écurie britannique aurait pris cette décision « en interne », à la suite du Grand Prix du Canada.

La course à Montréal a été marquée par un accrochage entre les deux pilotes McLaren dans les derniers tours. En lutte pour la quatrième place au 67e tour, Lando Norris a percuté l’arrière de la monoplace de son coéquipier, contraignant le Britannique à l’abandon sur le circuit Gilles Villeneuve.

Avant le Grand Prix d’Autriche prévu ce week-end, Piastri devance désormais Norris de 22 points au classement des pilotes. Pour Ralf Schumacher, cet écart traduit une dynamique en faveur du pilote australien. Il a également critiqué les performances de Norris, estimant que ce dernier présente « trop de faiblesses » et « commet trop d’erreurs ».

Ces propos relancent le débat sur la hiérarchie interne chez McLaren, alors que les deux pilotes continuent de se battre régulièrement aux avant-postes.

« Je pense qu’il a été décidé en interne que Piastri est l’homme sur lequel l’équipe va se concentrer pour le championnat du monde », a déclaré Schumacher. « Lando montre trop de faiblesses et commet trop d’erreurs, notamment sa manœuvre insensée dans le dos d’Oscar au Canada. Il s’est excusé, ce qui montre qu’il est quelqu’un de bien. Mais cela ne sert à rien, car les gens bien gagnent rarement des titres. »

Ralf Schumacher a souligné que Norris était « une fois de plus » plus rapide que Piastri, même si le résultat n’était pas en faveur du pilote britannique.

« C’est le moment le plus difficile, car il a un peu perdu son sang-froid », a ajouté Schumacher. « Il faut lui reconnaître une chose, il était une fois de plus plus rapide que Piastri. Il n’a pas réussi à le faire en qualifications, mais en course, il a comblé son retard et a tout simplement été meilleur. Il a toujours la vitesse, surtout en course. Norris a cette sensibilité quand il s’agit du stress sur les pneus. À l’époque d’Alain Prost, on aurait dit ‘le professeur’. Le seul problème, c’est dans la tête de Lando. »

GP d’Autriche : Dino Beganovic au volant de la Ferrari lors des EL1

Ferrari a confirmé la participation de Dino Beganovic à la première séance d’essais libres du Grand Prix d’Autriche. Le jeune pilote suédois, issu de la Ferrari Driver Academy, prendra place dans la SF-25 habituellement pilotée par Charles Leclerc, sur le circuit du Red Bull Ring.

Beganovic, 21 ans, retrouvera ainsi le baquet de la Scuderia après une première apparition en FP1 plus tôt cette saison à Bahreïn, où il avait déjà remplacé le pilote monégasque. Actuellement dixième du classement général en Formule 2, le Suédois poursuit son intégration progressive au sein de l’écurie italienne.

Ce roulage à Spielberg permettra à Ferrari de remplir la moitié de son quota réglementaire de séances d’EL1 dédiées aux rookies pour la saison en cours. Les deux sessions restantes devront être accomplies avec la monoplace qui sera confiée à Lewis Hamilton en 2025.

Membre du programme junior de Ferrari depuis 2020, Beganovic s’est classé sixième du championnat FIA F3 à deux reprises, en 2023 et 2024. Il est le premier pilote confirmé pour une apparition en FP1 ce week-end en Autriche.

Liberty Media finalise l’acquisition du MotoGP avec le feu vert de Bruxelles

Le rachat du MotoGP par Liberty Media est désormais officiel. La société américaine, déjà propriétaire de la Formule 1, a obtenu l’approbation de la Commission européenne pour finaliser l’acquisition de Dorna Sports, détenteur des droits commerciaux de la catégorie reine du sport motocycliste.

Initialement annoncée en avril 2024, l’opération avait été soumise à un examen minutieux de la part des autorités européennes de la concurrence, soucieuses de s’assurer qu’elle ne contrevienne pas aux règles antitrust. Après plusieurs mois d’analyse, Bruxelles a donné son aval, ouvrant la voie à une finalisation de l’accord d’ici au 3 juillet 2025.

À l’issue de cette opération, Liberty Media prend le contrôle de 84 % des parts de Dorna Sports. Les dirigeants actuels conservent 16 % du capital et continueront de piloter l’organisation. Carmelo Ezpeleta, PDG de Dorna depuis 1998, reste aux commandes du MotoGP.

« Nous sommes très heureux que la Commission européenne ait approuvé la transaction », a réagi M. Ezpeleta. « C’est une étape déterminante qui confirme un avenir encore plus prometteur pour le MotoGP. »

L’arrivée de Liberty Media s’inscrit dans une volonté d’accélérer le développement international de la discipline, en s’appuyant sur une stratégie visant à élargir la base de fans à l’échelle mondiale. « Liberty est le meilleur partenaire possible pour notre sport », a ajouté Ezpeleta, soulignant l’ambition de « créer encore plus de valeur pour les fans, les partenaires commerciaux et les concurrents ».

Avec cette acquisition, Liberty Media renforce son influence dans le paysage du sport mondial, en ajoutant une nouvelle discipline de premier plan à son portefeuille.

Toto Wolff revient sur les débuts difficiles d’Hamilton chez Ferrari : « Une phase d’adaptation inévitable »

Toto Wolff, directeur de l’écurie Mercedes, a suggéré que les débuts poussifs de Lewis Hamilton chez Ferrari ne sont pas une surprise, soulignant que le Britannique a souvent eu besoin de temps pour pleinement exploiter son potentiel en début de saison.

Pour sa première année sous les couleurs de la Scuderia Ferrari après plus d’une décennie passée chez Mercedes, Hamilton peine à s’imposer dans le nouveau cadre. En 2025, il n’a toujours pas décroché de podium, malgré les attentes élevées qui entouraient son transfert historique vers Maranello.

Ce scénario rappelle, selon Wolff, les difficultés rencontrées par le septuple champion du monde lors du début de l’ère des nouvelles réglementations techniques en 2022, où ses performances avaient connu un net recul.

Le dirigeant autrichien a reconnu qu’un tel changement d’environnement nécessite une période de rodage : « Il faut toujours du temps pour s’adapter à une nouvelle structure, une nouvelle façon de travailler. Cela a été le cas par le passé, et cela l’est encore aujourd’hui. »

« On n’oublie pas si vite comment piloter », a déclaré Wolff à Bloomberg Hot Pursuit en évoquant ses difficultés. « En 2021, il était excellent. Puis le règlement a changé et cela est devenu un peu plus difficile, mais il continuait à performer à un très haut niveau. Ce n’est pas en changeant d’équipe que l’on perd soudainement ses compétences. Tout le monde a besoin d’une période d’adaptation. La voiture est différente, son ADN est différent, et il faut commencer à travailler avec une nouvelle équipe d’ingénieurs. Ensuite, il faut s’impliquer dans le développement continu de la voiture afin qu’elle corresponde à son style de conduite. C’est une équipe entièrement italienne, et lui, c’est un Britannique qui a été parachuté là-dedans. Et ça prend du temps. De plus, on a remarqué que Lewis avait tendance à avoir besoin de trouver ses marques en début de saison, puis à être très performant en deuxième partie de saison. Alors, ne sous-estimez jamais Lewis Hamilton. »

Esteban Ocon assure ne tirer « aucune satisfaction » des difficultés d’Alpine

Esteban Ocon a tenu à mettre les choses au clair concernant la situation actuelle d’Alpine, affirmant qu’il ne tire « aucun plaisir » des difficultés rencontrées par son ancienne écurie, malgré la détérioration de leurs relations avant son départ.

Le pilote français, qui avait rejoint l’équipe d’Enstone en 2020, y a connu des moments forts, notamment sa victoire au Grand Prix de Hongrie 2021. Mais la fin de collaboration s’est tendue, notamment après une collision remarquée avec son coéquipier Pierre Gasly à Monaco en 2024. Quelques semaines plus tard, son transfert chez Haas pour la saison 2025 était officialisé.

Ocon n’avait d’ailleurs pas disputé la dernière manche de la saison à Abu Dhabi, afin de participer aux essais post-saison avec sa nouvelle équipe. Aujourd’hui sixième au championnat avec Haas, il observe depuis les contre-performances d’Alpine, lanterne rouge chez les constructeurs, après un début de saison marqué par un changement de pilotes entre Jack Doohan et Franco Colapinto.

Interrogé sur le sort de son ancienne équipe, Ocon a réfuté toute idée de ressentiment : « Ce n’est jamais agréable de voir une écurie en difficulté, surtout une équipe avec laquelle on a partagé autant. »

Lorsqu’il a été interrogé par certains médias pour savoir si les difficultés d’Alpine le faisaient sourire, Ocon a répondu : « On ne sourit jamais en voyant quelqu’un en difficulté. Pour moi, il était très clair que je voulais venir ici depuis très longtemps. J’ai pris ma décision, il était clair que nous ne visions pas les mêmes objectifs avec l’équipe et que j’avais besoin d’un nouveau défi, car nous n’allions pas avancer ensemble. Nous n’étions pas d’accord sur beaucoup de choses. »

« Et, oui, ils ont été rapides à Bahreïn et sur certains circuits. Ils vont également travailler sur eux-mêmes. En une course, on peut rattraper son retard. Donc, même s’ils sont derniers pour l’instant, cela ne signifie pas qu’ils finiront là. Nous devons donc garder un œil sur tout le monde et faire de notre mieux de notre côté. Mais oui, je me sens vraiment bien ici. Comme je l’ai dit, Alpine aura toujours une place spéciale dans mon cœur. »

Isack Hadjar assume son tempérament, mais adapte sa communication en course

Réputé pour son franc-parler et ses messages parfois virulents à la radio, Isack Hadjar reconnaît avoir ajusté son comportement depuis son arrivée en Formule 1, sans pour autant renier sa personnalité.

Le pilote français de l’écurie Racing Bulls, auteur d’un début de saison remarqué, admet qu’il surveille désormais davantage ses propos à la radio, conscient de leur diffusion potentielle par la FOM. « On ne peut pas effacer qui l’on est, mais on peut apprendre à se contrôler », a-t-il confié, soulignant un effort de modération sans changement fondamental dans son approche.

Hadjar, dont les performances solides en 2025 l’ont placé en bonne position pour une éventuelle promotion chez Red Bull en 2026, pourrait remplacer Yuki Tsunoda si le Japonais ne parvient pas à redresser la tendance. En attendant, le rookie tricolore continue de faire ses preuves tout en affinant son comportement dans un environnement où chaque mot est scruté.

« Je continue de crier et d’insulter, mais je n’appuie tout simplement pas sur le bouton de la radio, donc personne ne le sait », a expliqué Hadjar aux médias. « J’ai toujours le même caractère, ce n’est pas quelque chose que l’on peut effacer, mais oui, je n’appuie tout simplement pas sur le bouton de la radio. Dans la voiture, j’ai clairement fait des progrès avec mon pouce, mais je n’ai jamais été le genre de pilote à sortir de la voiture et à jeter des objets sur qui que ce soit. Je suis en colère contre moi-même, et jusqu’à présent, je pense que vous avez vu un pilote cool, et ça me va. »

Ferrari : Fred Vasseur déconcerté par les rumeurs autour du départ de Charles Leclerc

Sous pression, Fred Vasseur ne cache pas son incompréhension face aux spéculations persistantes sur l’avenir de Charles Leclerc en Formule 1. Le directeur de la Scuderia, régulièrement visé par les critiques des médias italiens ces dernières semaines, a tenté de clarifier la situation lors du Grand Prix du Canada.

Alors que des rumeurs font état d’un possible départ du Monégasque, voire de tensions internes, Vasseur s’est montré désarmé : « Je ne sais pas ce que nous devrions faire pour mettre fin à ces bruits. » En parallèle, les spéculations autour d’une rencontre entre John Elkann, président de Ferrari, et Christian Horner, patron de Red Bull, n’ont fait qu’alimenter les incertitudes. Ce dernier a toutefois nié tout projet de départ vers Maranello.

Interrogé sur sa propre position à la tête de l’équipe et sur son influence sur les perspectives de ses pilotes, Vasseur a profité de l’occasion pour évoquer le cas Leclerc, sans toutefois apporter d’élément de nature à faire taire les rumeurs. Dans une période délicate pour Ferrari, la stabilité du duo Vasseur-Leclerc reste plus que jamais scrutée.

« C’est un bon exemple pour parler de Charles », a-t-il déclaré aux médias. « Charles a un contrat à long terme avec nous. Depuis le début de la saison, il répète dans toutes ses interviews qu’il veut rester chez Ferrari. Il veut gagner avec Ferrari. Son avenir est chez Ferrari. Mais chaque lundi, nous avons un article qui dit : « Charles partira l’année prochaine », « Charles va… ». À un moment donné, je ne sais plus quoi faire. Je suis désolé, je ne peux pas répéter la même chose chaque week-end. Mais c’est comme ça. »

Bottas laisse entendre une possible arrivée chez Cadillac F1

Valtteri Bottas a semé le doute quant à son avenir en Formule 1 dans une vidéo diffusée sur ses réseaux sociaux, en lien avec le projet Cadillac F1, porté par General Motors. Dans cette séquence, on le voit découvrir un SUV de la marque américaine, avant qu’une remarque ne soit lancée à propos les « beaux sièges » du véhicule.

Lorsque la conversation évoque la présence de « deux sièges libres », le Finlandais — vainqueur de dix Grands Prix — se tourne vers la caméra et répond avec un sourire : « Pas encore ». Un commentaire énigmatique, interprété par beaucoup comme un clin d’œil à une possible officialisation prochaine.

Considéré comme l’un des pilotes les plus expérimentés en marge de la grille actuelle, Bottas est régulièrement associé au projet Cadillac depuis que la FIA a donné son feu vert à son entrée en F1 en 2026. Si Sergio Perez a un temps été pressenti pour occuper l’un des deux baquets, son nom circule désormais du côté d’Alpine, ce qui pourrait ouvrir la voie à une titularisation de Bottas.

La perspective de voir le Finlandais au départ du Grand Prix d’Australie 2026 sous les couleurs de Cadillac semble désormais de plus en plus crédible — peut-être aux côtés d’un jeune talent ou d’un pilote américain, comme initialement envisagé par l’écurie.