Alpine assure qu’il n’y a aucune clause Mercedes dans le contrat d’Ocon

Le PDG d’Alpine Laurent Rossi a expliqué pourquoi la signature d’un contrat de trois ans avec Esteban Ocon a été une décision relativement « facile » à prendre.

A la veille du Grand Prix de France, l’équipe Alpine a annoncé le reconduction du contrat du pilote frnaçais Esteban Ocon pour trois années supplémentaires, ce qui veut dire qu’en théorie le Normand sera un pilote Alpine jusqu’à la fin 2024.

Lorsqu’on a demandé à Laurent Rossi pourquoi Alpine avait décidé de prolonger Ocon pour trois années, le manager français a répondu : « IL est très bon dans les réglages, il me rappelle beaucoup Alain [Prost]. »

« Il est très doué pour tirer le maximum de la voiture et ça se voit. Il le prouve constamment. Il est sacrément rapide aussi, vous lui donnez n’importe quelle voiture et il est rapide, il le montre à chaque qualification. »

« Esteban est un pilote du top dix, donc nous ne commettons aucune erreur [en le prolongeant]. Pour moi, c’est une évidence, cela fait partie d’un long voyage et Esteban s’intègre bien dans ce moule. »

Lorsqu’on lui a demandé plus tard s’il pensait qu’Ocon était du calibre de Max Verstappen et Charles Leclerc – qui ont tous deux signé de longs contrats avec leurs équipes Red Bull et Ferrari jusqu’en 2023 et 2024 respectivement – ​​Rossi a répondu: « Je vois Esteban avoir ce potentiel. Il doit encore le faire, mais je le vois avoir ce potentiel. »

« Quand il était plus jeune, il a couru contre [Verstappen et Leclerc] et régulièrement – ​​je ne dirais pas tout le temps, mais il était compétitif et au même niveau… Donc pour moi, oui, il a beaucoup de potentiel que nous voulons exploiter  chez Alpine. »

« C’est aussi une période réglementaire de trois ans qui s’ouvre l’année prochaine. » a ajouté Rossi.

« On a assez vu Esteban, on sait qu’il est bon. Je ne veux pas être à nouveau à la recherche d’un autre pilote après deux ans. Le passé récent montre que cela ne se passe jamais vraiment dans le bon sens. Vous avez un bon pilote, vous voulez le garder, donc je pense que c’est bon pour nous, bon pour lui. »

Enfin, Laurent Rossi a souhaité mettre fin à toute idée selon laquelle Esteban Ocon – dont la carrière est gérée par Mercedes – pourrait retourner dans le giron de la firme à l’étoile.

« Il n’y a aucune référence à Mercedes dans son contrat. C’est un pilote géré par Mercedes, c’est à peu près tout. Il est constamment sous leur direction, mais il n’y a pas de telle clause pour Mercedes… le retirer de l’équipe. Il reste avec nous pendant les trois prochaines années. »

Ferrari confirme avoir stoppé le développement de la SF21

Le directeur sportif de la Scuderia Ferrari, Laurent Mekies, a confirmé que la SF21 pilotée par Charles Leclerc et Carlos Sainz cette saison ne sera plus du tout développée à partir du Grand Prix de France.

L’écurie italienne a pris la décision de ne plus apporter la moindre mise à jour sur la SF21 pour le reste de la saison afin de concentrer toutes ses ressources sur le développement de la monoplace 2022.

« Du point de vue du développement de la voiture, nous avons déjà pris nos décisions. Tout est désormais tourné vers 2022. » a confirmé Laurent Mekies, directeur sportif de la Scuderia Ferrari, ce vendredi au Castellet.

« Il n’y aura plus de mise à niveau à venir pour améliorer les faiblesses de la SF21. Cependant, vous pouvez toujours travailler sur les problèmes simplement en les comprenant mieux, et si vous les comprenez mieux – c’est soit parce que vous les corrélez mieux, soit parce que vous comprenez simplement quelles sont les raisons pour lesquelles nous performons un peu moins dans de telles conditions. »

« Cela peut ouvrir la porte à des solutions que vous pourrez appliquer. C’est pourquoi pour nous – même si la voiture est la même que pour les courses précédentes – c’est toujours un bon défi de venir ici [au Castellet] après quelques courses où nous avons profité de beaucoup de virages à basse vitesse. Nous allons pouvoir voir si nous avons pu améliorer quelque chose, si nous avons mieux compris, c’est comme ça que nous essayons de nous battre chaque week-end. »

Avant le Grand Prix de France, la Scuderia Ferrari occupe la troisième place au classement des constructeurs, deux points devant McLaren.

GP de France – EL2 : Verstappen devant les deux Mercedes

C’est le pilote Red Bull Max Verstappen qui a signé le meilleur temps de la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de France en 1.32.872 (Tendres).

Le Néerlandais devance de huit millièmes la Mercedes de Valtteri Bottas (Mediums) et de deux dixièmes l’autre Mercedes pilotée par Lewis Hamilton (Tendres).

Derrière, Fernando Alonso (+0,458), Charles Leclerc (+0,678), Esteban Ocon (+0,813), Pierre Gasly (+0,824), Carlos Sainz (+0,826), Kimi Raikkonen (+0,814) et Lando Norris (+0,950) complètent le top dix de cette séance.

Pas d’événement majeur à vous signaler durant cette séance d’essais libres relativement monotone ce vendredi après-midi au Castellet.

Attention aux bordures jaunes !

Comme ce matin lors des EL1, plusieurs pilotes – dont Max Verstappen – sont allés toucher les fameuses bordures jaunes placées derrière le vibreur du virage numéro 2, ce qui a une nouvelle causé pas mal de dégâts sur les monoplaces.

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Le pilote Red Bull a endommagé sa monoplace sur ces bordures, tout comme Valtteri Bottas plus tôt dans la journée.

La présence de ces bordures jaunes derrière certains vibreurs font beaucoup parler ici dans le paddock du Castellet et il ne serait pas surprenant de les voir disparaître pour la suite du week-end et il s’agira très certainement d’un point chaud ce vendredi soir lors du traditionnel briefing des pilotes.

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La prochaine séance de roulage programmée au Castellet sera la troisième et dernière séance d’essais libres du week-end qui débutera ce samedi 19 juin à 13h00 (heure de paris) et qui sera évidemment à suivre en direct sur F1only.fr tout comme les qualifications programmées à 15h00.

Tableau des temps

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Revivez les EL2 du Grand Prix de France

Septième manche du championnat du monde de F1, le Grand Prix de France se déroule du 18 au 20 juin sur le circuit Paul Ricard au Castellet.

Ce vendredi 18 juin, deux séances d’essais libres sont au programme [EL1 et EL2] avec une grande nouveauté cette année puisqu’elles ne dureront qu’une heure (contre 1h30 auparavant).

Ce samedi 19 juin, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de France [EL3] à 13h00 (heure de Paris) avant de participer à la séance de qualifications programmée à 15h00 (heure de Paris).

Ce dimanche 20 juin, le départ du Grand Prix de France sera donné à 15h00 et la course sera évidemment çà suivre en direct sur F1only.fr.

Les EL2 du GP de France en direct 


L’avenir de Pierre Gasly en F1 est entre les mains de Red Bull

Le Français Pierre Gasly a indiqué cette semaine au Castellet qu’il n’avait pas encore parlé de son avenir avec Red Bull mais que des discussions devraient débuter prochainement.

Pierre Gasly fait partie des pilotes de la grille les plus en vue en ce moment, notamment parce que le Français signe depuis le début de l’année de très bons résultats pour son équipe – dont un podium lors de la dernière course disputée à Bakou – sans parler de sa victoire l’an dernier au Grand Prix d’Italie à Monza.

Sous contrat jusqu’à la fin de cette saison avec AlphaTauri, Gasly n’a finalement que très peu d’options pour l’année prochaine puisque la seule véritable opportunité pouvait être l’équipe Alpine à laquelle le Français était lié depuis quelques semaines, mais cette dernière a annoncé ce mercredi la prolongation du contrat d’Esteban Ocon pour trois années supplémentaires.

Le plus simple serait donc de reconduire le contrat de Pierre Gasly chez AlphaTauri pour 2022, mais le pilote français – malgré son excellent travail -n’est pas le seul sur la liste des prétendants à un baquet chez AlphaTauri puisque les jeunes pilotes du giron Red Bull (Yuri Vips, Liam Lawson ou encore Jehan Daruvala) frappent également à la porte de la F1.

Pas simple donc, d’autant que la décision finale reviendra évidement à Red Bul qui pourrait également décider de faire revenir Pierre Gasly au sein de son équipe aux côtés de Max Verstappen si jamais les performances de Sergio Perez ne sont pas suffisantes cette année.

Quoi qu’il en soit, Gasly n’a pas d’autre choix que d’attendre le début des discussions avec son employeur, ces dernières devraient d’ailleurs débuter dans les prochaines semaines.

« Je pense qu’il est encore un peu tôt de mon côté. Les choses sont entre les mains de Red Bull et au final c’est à eux de décider si nous continuons ensemble ou si je continue avec AlphaTauri ou avec Red Bull ou d’autres options. » a déclaré Pierre Gasly ce jeudi au Castellet.

« C’est quelque chose dont nous n’avons pas vraiment parlé pour le moment, je suppose que nous verrons cela dans les semaines ou les mois à venir pour voir ce que nous voulons faire. »

Jusqu’à présent, Pierre Gasly a marqué 31 points depuis le début de la saison 2021 et occupe la huitième place au classement des pilotes.

L’équipe Red Bull à l’amende ce vendredi au Castellet

L’équipe Red Bull a écopé d’une amende ce vendredi au Castellet après que son pilote Sergio Perez a été flashé en excès de vitesse dans la voie des stands lors de la première séance d’essais libres du Grand Prix de France.

Le Mexicain a été flashé à la vitesse de 76,5 km/h ce vendredi matin dans la voie des stands, alors que la vitesse y est limitée pour tout le week-end à 60 km/h.

Pour cet excès de vitesse de plus de seize kilomètre heure tout de même, l’équipe Red Bull Racing a écopé d’une amende de 1000 euros.

GP de France – EL1 : doublé Mercedes devant Red Bull

C’est le pilote Mercedes Valtteri Bottas qui a signé le meilleur temps de la première séance d’essais libres du Grand Prix de France en 1.33.448 (Tendres).

Le Finlandais devance de trois dixièmes son coéquipier Lewis Hamilton (Tendres) et la red Bull de Max Verstappen pour quatre dixièmes (Tendres).

Derrière, Sergio Perez (+0,745), Esteban Ocon (+0,881), Daniel Ricciardo (+1,196), Fernando Alonso (+1,245), Pierre Gasly (+1,251), Lando Norris (+1,259) et Yuki Tsunoda (+1,399) complètent le top dix de la séance.

Schumacher dans le mur 

Dès les premières minutes de la séance, le pilote Haas Mick Schumacher a envoyé sa monoplace dans le mur de pneus au virage 3. L’Allemand a dû repasser par le garage pour des vérifications et reprendra finalement la piste un peu plus tard.

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Vettel dans le mur 

Quelques minutes plus tard, c’est au tour de Sebastian Vettel d’aller toucher le mur après avoir perdu l’arrière de sa monoplace à l’entrée du virage 11 à cause d’une rafale de vent.

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L’Allemand a dû rentrer au garage à faible allure pour permettre à ses mécaniciens de réparer son Aston Martin endommagée à l’arrière.

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Bottas endommage sa Mercedes 

Valtteri Bottas a endommagé sa Mercedes à deux reprises ce matin en passant sur les boudins jaunes placés derrière le vibreur au virage 2.

Le Finlandais a dû rentrer à chaque fois au garage pour permettre à ses mécaniciens de réparer sa monoplace endommagée au niveau du fond plat. Mercedes a d’ailleurs indiqué à la FIA que ces vibreurs causaient trop de dommages sur les monoplaces et il n’est donc pas impossible que les boudins jaunes disparaissent pour la suite du week-end.

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Rendez-vous cet après midi sur F1only.fr pour suivre la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de France en direct qui est programmée à 15h00 (heure de Paris).

Tableau des temps

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Revivez les EL1 du Grand Prix de France 2021

Septième manche du championnat du monde de F1, le Grand Prix de France se déroule du 18 au 20 juin sur le circuit Paul Ricard au Castellet.

Ce vendredi 18 juin, deux séances d’essais libres sont au programme [EL1 et EL2] avec une grande nouveauté cette année puisqu’elles ne dureront qu’une heure (contre 1h30 auparavant).

Ce samedi 19 juin, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix de France [EL3] à 13h00 (heure de Paris) avant de participer à la séance de qualifications programmée à 15h00 (heure de Paris).

Ce dimanche 20 juin, le départ du Grand Prix de France sera donné à 15h00 et la course sera évidemment çà suivre en direct sur F1only.fr.

Les EL1 du GP de France en direct 


Crevaisons à Bakou : Pirelli dédouane les équipes de F1

L’un des grands sujets de conversation dans le paddock depuis le GP d’Azerbaïdjan est les éclatements de pneus survenus sur la Red Bull de Max Verstappen et l’Aston Martin de Lance Stroll dans la ligne droite principale à Bakou.

À la veille du Grand Prix de France, Pirelli a révélé par le biais d’un communiqué publié cette semaine qu’il n’y avait « aucun défaut de production ou de qualité » sur aucun des pneus « ni aucun signe de fatigue ou de délaminage ».

Au lieu de cela, Pirelli a déclaré que les défaillances étaient dues à « une rupture circonférentielle sur le flanc intérieur, qui peut être liée aux conditions de fonctionnement du pneu », le constructeur italien ayant convenu avec la FIA d’un nouvel ensemble de protocoles pour surveiller les conditions de fonctionnement pendant un week-end de course.

Sans surprise donc, les pneus Pirelli sont toujours au centre des discussions ce week-end au Grand Prix de France et Max Verstappen a indiqué ce jeudi en conférence de presse que son équipe n’avait rien à se reprocher après l’éclatement du pneu arrière gauche sur sa Red Bull à Bakou, contrairement à ce que qu’a laissé entendre Pirelli dans son court communiqué cette semaine, le Néerlandais insistant sur le fait que le manufacturier italien devrait communiquer plus clairement sur cette question.

« Pour moi, c’était assez vague (les explications de Pirelli cette semaine), mais la seule chose que je peux dire c’est que du côté de l’équipe je pense qu’elle a fait tout ce qu’elle aurait dû faire. » a déclaré Verstappen.

« Ils [Red Bull] ont suivi toutes les directives concernant les pressions des pneus, donc il n’y avait rien à trouver. Nous allons augmenter la pression des pneus ce week-end, je suis certain que nous le ferons, cela a sûrement quelque chose à voir avec ce qu’il s’est passé à Bakou, mais ce serait aussi bien de savoir si tout ça (les crevaisons) étaient liées à la pression des pneus. » 

« Pirelli devrait juste un peu plus parler, ce serait un peu plus facile à comprendre. Je pense que l’explication que nous avons obtenue jusqu’à présent n’était pas suffisante parce que l’équipe n’a rien fait de mal. »

Ayant entendu les critiques de Max Verstappen, le directeur de Pirelli, Mario isola, a donné un peu plus d’explications ce jeudi soir concernant l’éclatement des pneus à Bakou et a révélé que d’autre coupures ont été détectées sur l’un des pneus montés sur la monoplace de Sebastian Vettel après la course.

« Au début de notre enquête, l’idée était qu’il y avait des débris qui ont coupé les pneus, car nous avions évidemment la preuve avec d’autres pneus avec des coupures sur la bande de roulement. » a expliqué Mario Isola ce jeudi au Castellet.

« Ensuite, lorsque nous avons finalisé l’enquête, nous avons découvert que la défaillance n’était pas liée aux coupures que nous avons trouvées, non seulement sur le pneus de la voiture d’Hamilton, mais aussi sur un pneu de Sebastian Vettel. »

« Ces coupures étaient certainement dues à des débris, mais les débris n’étaient pas assez tranchants pour couper la construction. »

« Ce qui s’est passé à Bakou, c’est simplement que les conditions de course attendues [c’est-à-dire les conditions dans lesquelles les voitures se déplaçaient] étaient différentes par rapport aux conditions de fonctionnement réelles, ce qui a créé les crevaisons. Les échecs étaient une coupure circonférentielle sur l’épaule intérieure. »

« Quand vous avez beaucoup d’énergie dans les pneus, avec une pression inférieure à celle attendue, le résultat est que sur le flanc, vous avez ce que nous appelons des ondes stationnaires et les ondes stationnaires mettent beaucoup d’énergie dans l’épaule du pneu et à un certain point le pneu a cassé, et c’est ce qui s’est passé et c’est la raison pour laquelle nous avons eu cette situation à Bakou. »

« Dans ce cas, nous n’avons pas atteint les bonnes conditions non pas parce que les équipes faisaient quelque chose contre le règlement, mais parce qu’elles recherchaient, comme d’habitude, la performance, et cela a créé un scénario différent de ce à quoi nous nous attendions. Mais nous n’avons pas dit [dans le communiqué de presse de mardi] que les équipes ont fait quelque chose qui n’est pas autorisé dans le règlement. »

Il est bon de noter que pour le Grand Prix de France Pirelli a demandé à toutes les équipes de relever les pressions de pneus.

Juan Manuel Correa de retour à la Sauber Academy

L’Americain Juan Manuel Correa rejoint le parcours de développement des pilotes Sauber pour la saison 2021.

Le pilote de 21 ans, qui participe au Championnat de F3 avec ART Grand Prix, connaît très bien l’équipe de Hinwil, pour avoir testé l’une des voitures de l’équipe en 2019. Cet essai, qui s’est déroulé au Paul Ricard, le même site qui accueillera la manche du calendrier F3 de ce week-end a donné à Juan Manuel un premier aperçu des machines de Formule 1 et a représenté une grande opportunité d’apprentissage pour le pilote équatorien-américain.

S’étant bien intégré à l’équipe et ayant eu la chance de travailler avec les ingénieurs et les équipages des pilotes de course Kimi Räikkönen et Antonio Giovinazzi, Juan Manuel correa , qui évoluait en F2 à l’époque, a impressionné par son éthique de travail et son talent inné, apportant le test à une fin réussie avec 62 tours à son actif.

Sa progression dans la série junior a été interrompue par une horrible blessure lors d’un accident lors du tragique Grand Prix de Belgique plus tard dans la saison, mais, après une récupération « miraculeuse », Juan Manuel Correa est de retour sur la piste et prêt à reprendre son voyage – avec l’Académie Sauber à ses côtés.

« C’est très spécial d’être de retour avec la Sauber Academy : c’est le programme junior de l’équipe avec laquelle j’étais en 2019, lorsque j’ai eu mon premier et unique test de F1, et c’est un sentiment formidable de retravailler avec eux. » a déclaré Correa.

« Je suis très heureux de montrer la marque de l’Académie sur ma voiture et mon casque dès ce week-end en France et j’ai hâte d’aider l’équipe en cas de besoin, que ce soit dans la simulation ou ailleurs. »

« Je suis très reconnaissant à ART et Sébastien Philippe, et bien sûr à Fred Vasseur, pour tout le soutien qu’il m’a apporté, et à tous les autres chez Sauber, de Beat Zehnder à tous ceux qui ont été absolument incroyables et tellement solidaires depuis mon accident. et tout au long de ma convalescence. C’est un honneur d’être de retour avec cette équipe. »

Pierre Gasly et Esteban Ocon avec un casque spécial au GP de France

Les deux pilotes français Esteban Ocon et Pierre Gasly ont dévoilé ce jeudi leur casque à la décoration spéciale pour le Grand Prix de France, septième manche du championnat du monde de F1 qui se dispute du 18 au 20 juin sur le circuit Paul Ricard.

Pour le pilote Alpine Esteban Ocon – qui a été récemment prolongé pour trois saisons, soit jusqu’à la fin 2024 – le drapeau tricolore est bien présent sur le dessus et l’arrière du casque, tandis qu’une tour Eiffel dorée prend place au milieu du casque.

Pour Pierre Gasly, le drapeau tricolore français prend encore plus de place sur son casque avec plusieurs rappels de son numéro de course [le 10], ainsi que son logo personnel.

Si les deux pilotes français courent à domicile ce week-end, c’est également le cas de l’équipe Alpine qui a décidé d’afficher fièrement les couleurs de la France sur l’aileron avant de l’A521 tout au long du week-end.

GP de France : A quelle heure sont programmés les EL1 et EL2 ce vendredi ?

Les pilotes de F1 seront en piste ce vendredi 18 juin sur le circuit Paul Ricard au Castellet pour les deux premières séances d’essais libres du Grand Prix de France 2021, septième manche du championnat du monde.

Ce vendredi, la première séance d’essais libres [EL1] est programmée à 11h30 (heure de Paris), tandis que la deuxième séance [EL2] débutera à 15h00 (heure de Paris).

Ce samedi 19 juin, les pilotes participeront à la troisième et dernière séance d’essais libres du GP de France [EL3] à 12h00 (heure de Paris), avant de participer à la séance de qualifications du Grand prix de France programmée à 15h00 (heure de Paris).

Enfin dimanche 20 juin, le départ du Grand Prix de France 2021 sera donné à 15h00 (heure de Paris). Toutes les séances du week-end seront évidemment à suivre en direct sur F1only.fr.

Pour suivre en direct la première séance d’essais libres du Grand prix de France, cliquez sur ce lien pour accéder au live.

Pour suivre en direct la deuxième séance d’essais libres du Grand Prix de France, cliquez sur ce lien pour accéder au live 

Horaires GP France 

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Bottas dément une nouvelle fois les rumeurs sur son avenir en F1

Le début de saison compliqué de Valtteri Bottas avec Mercedes cette année a conduit à de nombreuses spéculations selon lesquelles 2021 pourrait être la dernière année pour le Finlandais au sein de l’équipe du constructeur allemand.

Valtteri Bottas n’a pas réussi à marquer le moindre point lors de trois des six courses déjà disputées cette saison, le pilote Mercedes ayant connu deux abandons (Imola et Monaco) et un manque de rythme inexpliqué dans les rues de Bakou il y a quelques jours.

Ce jeudi au Grand Prix de France, Bottas a admis que sa situation était loin d’être idéale, mais le Finlandais dit qu’il se concentre pour retrouver une certaine compétitivité.

« Tout ce que nous voulons [chez Mercedes] c’est gagner, c’est notre objectif à chaque course et si nous ne gagnons pas, ce n’est confortable pour personne et cela nous fait travailler encore plus dur. » a déclaré Bottas.

« Et maintenant, si je repense à ce début de saison, qui est loin d’être idéal pour de nombreuses raisons et de nombreux événements malheureux, ce n’est jamais un sentiment confortable quand vous n’avez pas la saison que vous aimeriez avoir. »

« Mais c’est comme ça, tout dans la vie et le sport monte et descend. Je sais que les hauts sont en route, les bons moments, et l’équipe le sait aussi. J’ai le soutien de l’équipe, ce qui facilite les choses. »

« Nous avons à nouveau tout analysé depuis la dernière course qui s’est mal passée et l’équipe est désormais pleinement concentrée sur cette triplette. Ce n’est que la septième manche des 23, donc il y a encore un long, long chemin à parcourir, mais pour le moment, en tant qu’équipe, nous ne sommes pas au top, mais nous visons à l’être. »

Bottas a également été invité à clarifier une rumeur selon laquelle il avait déjà été informé par le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, qu’il ne concourrait pas pour l’équipe en 2022, Bottas répondant : « Avec Toto, nous parlons souvent, c’est normal pour nous, et on s’est parlé comme d’habitude ces derniers temps mais je ne peux pas le confirmer – du moins personne ne me l’a dit ! »

« Alors ouais, ce n’est pas vrai, c’est de la spéculation mais ce genre de spéculations ne sont pas faites de faits, elles sont faites pour les clics, et c’est comme ça que ça se passe… »

Pour rappel, Valtteri Bottas est sous contrat avec Mercedes jusqu’à la fin de cette saison 2021.

Leclerc s’attend à un « retour à la réalité » pour Ferrari au Castellet

Après deux pole positions consécutives – à Monaco et en Azerbaïdjan – Charles Leclerc dit que Ferrari s’attend à lutter ce week-end en France alors que la F1 revient sur un circuit plus conventionnel, après deux courses sur des pistes urbaines.

A la veille du Grand Prix de France, septième manche du championnat 2021 de F1, le Monégasque estime que Ferrari doit s’attendre à un « retour à la réalité » ce week-end.

« Je pense que ce sera un peu un retour à la réalité. Cela fait déjà deux week-ends : à Monaco, nous ne nous attendions pas à être aussi compétitifs, à Bakou, nous ne nous y attendions certainement pas, et nous nous attendions à un retour à la réalité à Bakou – mais en fait, je pense que ce week-end va malheureusement être LE week-end où nous reviendrons à la réalité et où nous aurons un peu plus de mal par rapport aux deux derniers week-ends. » a déclaré Leclerc ce jeudi au Castellet.

« J’espère vraiment que nous ne serons pas en dehors des points, mais bon, j’ai l’impression que nous allons être la troisième ou quatrième équipe à la lutte avec McLaren et AlphaTauri. »

« Ce sont toujours les mêmes équipes avec lesquelles nous nous battons, et nous devrions avoir un peu plus d’écart par rapport aux meilleures équipes qui sont Mercedes et Red Bull. »

Du côté de Carlos Sainz, l’Espagnol a fait écho aux commentaires de Leclerc, mais a déclaré qu’il se concentrait sur la maîtrise de la Ferrari et non sur la place de la Scuderia dans une bataille serrée en milieu de peloton.

« Je pense que nous allons être là où nous devrions être à peu près chaque week-end – un peu comme à Barcelone d’une certaine manière. » a déclaré Sainz.

« Pour être honnête, je suis plus concentré sur moi-même que sur les performances de la voiture en ce moment, parce que je pense qu’il y a encore beaucoup plus à obtenir de moi-même, donc je ne le concentre pas trop sur les autres. »

Avant le Grand Prix de France, la Scuderia Ferrari occupe la troisième place au championnat du monde des constructeurs, deux points devant McLaren.

Schumacher doit retrouver de la confiance avec Mazepin

Le pilote Haas Mick Schumacher a indiqué ce jeudi au Grand prix de France qu’il avait besoin de retrouver une certaine confiance envers son coéquipier Nikita Mazepin après un incident survenu dans les derniers tours du Grand Prix d’azerbaïdjan.

A Bakou, Mazepin se trouvait devant Mick Schumacher dans le dernier tour de course lorsque l’Allemand a tenté un dépassement sur son coéquipier dans la ligne droite principale. Mais à ce moment-là, Nikita Mazepin a dirigé sa monoplace vers la droite de la piste et a tassé dangereusement Schumacher vers le mur de béton en bord de piste.

Finalement, Schumacher franchira la ligne d’arrivée devant son coéquipier, mais le pilote Haas a exprimé sa colère à la radio immédiatement en disant que Mazepin avait essayé de le « tuer ».

Mais bien que le directeur de l’équipe Haas, Guenther Steiner, ait déclaré après la course en Azerbaïdjan que tout était clarifié en interne, les deux pilotes ont semblé en désaccord sur l’incident lorsqu’ils ont affronté les médias avant le Grand Prix de France ce jeudi au Castellet.

« Je pense que la confiance se construit et qu’elle peut certainement être rétablie. » a déclaré Schumacher devant les médias ce jeudi à propos de son coéquipier.

« Evidemment pour le moment, je ne sais pas trop à quoi m’attendre dans un duel, mais au final, je suis sûr qu’après les discussions que nous avons eues avec l’équipe, tout devrait être mis en place pour construire cette confiance de nouveau. »

« Sur le moment, c’était plutôt déroutant, d’une certaine manière, parce que je ne m’y attendais pas du tout, surtout entre coéquipiers. Évidemment, je comprends que c’est un dernier tour, nous nous battons tous, mais si vous donnez l’aspiration, qu’il ne vous reste plus beaucoup de batterie, la seule façon d’arrêter quelqu’un est de l’effrayer ou le pousser contre le mur et de toute évidence, il a essayé de le faire. »

« En toute honnêteté, j’ai gardé les pieds sur terre, et j’ai quand même réussi, mais je pense quand même que c’était inattendu et je pense que c’est pourquoi j’ai eu une si forte réaction par la suite. »

Pour sa part, Mazepin a laissé entendre que Schumacher avait réagi de manière excessive à une simple mauvaise communication entre coéquipiers, déclarant aux médias : « Il n’y a eu aucun incident. Les deux voitures sont revenues aux stands avec des ailerons avant et la peinture était aussi polie qu’avant la course, donc j’aimerais voir cela d’une manière assez positive. » a déclaré le Russe.

« Je pense que nous avons eu un petit malentendu entre nous. » a-t-il ajouté. « Je pensais qu’il choisirait la ligne intérieure puis il a choisi la ligne extérieure, et quand j’ai vu qu’il s’y engageait, je me suis retiré, car au final, nous ne nous battons pour aucun point et le résultat de l’équipe est la priorité pour moi. »

Schumacher a confirmé qu’une réunion avait eu lieu au lendemain de la course de Bakou entre le directeur de l’équipe Haas Guenther Steiner, l’ingénieur de course en chef de l’équipe Ayao Komatsu et Mazepin lui-même, Schumacher ayant indiqué que Mazepin s’est excusé auprès de lui.

Crevaisons à Bakou : Max Verstappen défend son équipe

Max Verstappen affirme que Pirelli ne peut pas blâmer Red Bull ou Aston Martin pour les crevaisons de pneus subies par les deux équipes à Bakou lors de la dernière course, le Néerlandais insistant sur le fait que le manufacturier italien devrait communiquer plus clairement sur cette question.

Cette semaine, Pirelli, le manufacturier unique de la F1, a rendu ses conclusions à la suite de l’enquête menée après les deux crevaisons suspectes survenues sur la Red Bull de Max Verstappen et l’Aston Martin de Lance Stroll au GP d’Azerbaïdjan.

Selon Pirelli, aucun défaut de fabrication n’a été détecté sur les pneumatiques en question et la firme italienne penche plutôt sur l’hypothèse d’une mauvaise utilisation des pneus par les deux équipes concernées, et ce, malgré le respect par ces dernières des paramètres prescrits avant la course.

Suite aux résultats de son analyse, Pirelli a immédiatement mis en place une nouvelle procédure d’utilisation de ses gommes et qui prendra effet à partir du Grand Prix de France, septième manche du championnat du monde de F1 et qui consistera notamment à augmenter les pressions de pneus.

Interrogé ce jeudi au Castellet sur le sujet, Max Verstappen a insisté sur le fait que son équipe n’avait rien fait de mal à Bakou.

« Bien-sûr, ils (Pirelli) ont expliqué qu’ils n’avaient pas d’outils de mesure durant la course, mais nous leur avons donné nos pressions de pneus et elles étaient dans les limites qui avaient été fixées. » a expliqué Verstappen ce jeudi en conférence de presse du GP de France.

« Si ces limites ne sont pas correctes, nous ne pouvons rien y faire, nous suivons simplement ce qui est possible de faire dans les règles. Si cela signifie que nous devons augmenter la pression nous le ferons – tout le monde augmentera la pression. »

« Mais ils disent qu’ils n’avaient pas les bonnes mesures, mais nous les leur avons données après la course et il a été démontré que nous n’avions rien fait de mal là-bas. Et aussi, Aston Martin n’a rien fait de mal. »

« Donc, je pense qu’ils ne peuvent pas nous blâmer et je pense qu’ils doivent d’abord regarder de leur côté. Ils ont déjà augmenté les pressions le vendredi et le samedi à Bakou, donc peut-être que ça veut dire quelque chose, peut-être que ce n’était pas assez. Nous allons augmenter la pression ici, j’espère que ça suffira. »

« Pour moi, c’était assez vague (les explications de Pirelli cette semaine), mais la seule chose que je peux dire c’est que du côté de l’équipe je pense qu’elle a fait tout ce qu’elle aurait dû faire. »

« Ils ont suivi toutes les directives concernant les pressions des pneus, donc il n’y avait rien à trouver. Nous allons augmenter la pression des pneus ce week-end, je suis certain que nous le ferons. cela a sûrement quelque chose à voir avec ce qu’il s’est passé à Bakou, mais ce serait aussi bien de savoir si tout ça (les crevaisons) étaient liées à la pression des pneus. »

« Pirelli devrait juste un peu plus parler, ce serait un peu plus facile à comprendre. Je pense que l’explication que nous avons obtenue jusqu’à présent n’était pas suffisante parce que l’équipe n’a rien fait de mal. »

Un retour chez Red Bull n’a jamais été une option pour Vettel

Le désormais pilote Aston Martin Sebastian Vettel a révélé ce jeudi en conférence de presse du GP de France qu’un retour chez son ancienne écurie Red Bull Racing après avoir été remercié par Ferrari à la fin de la saison 2020 n’a jamais été à l’ordre du jour.

Lorsque la Scuderia Ferrari a annoncé l’an dernier qu’elle ne prolongerait pas le contrat du quadruple champion du monde après 2020, des spéculations sur un éventuel retour de l’Allemand chez Red Bull Racing à partir de 2021 ont émergé mais Sebastian Vettel a révélé ce jeudi au Castellet qu’il n’avait jamais envisagé un retour à Milton Keynes et qu’il était très heureux que Sergio Perez ait été choisi par Red Bull.

« Non, je ne regrette pas et je pense que cela n’a jamais été une option. » a répondu Vettel.

« Évidemment, j’ai décidé de prendre une nouvelle direction et de rejoindre une nouvelle équipe avec Aston Martin pour un nouveau voyage et j’en suis très heureux »

« Et en toute honnêteté, et je le dis vraiment du fond du cœur, je suis très heureux que Checo [Perez] ait obtenu un bon baquet parce qu’il le mérite. Il l’a montré non seulement avec sa victoire (à Bakou), mais il l’a montré au cours des 10 dernières années ou quelque chose comme ça qu’il mérite d’être dans une super voiture. »

Le pilote allemand a également eu quelques mots pour l’équipe avec laquelle il a décroché ses quatre titres mondiaux en Formule 1 et qui mène actuellement le championnat du monde des constructeurs devant Mercedes.

« Je suis heureux que Red Bull ait une super voiture pour deux raisons : premièrement, je connais évidemment une grande partie de l’équipe, mais aussi pour Checo (Perez) qui doit apprécier le fait d’arriver à une course en sachant qu’il a une voiture avec laquelle il peut se battre pour la victoire. »

« Nous avons tous été témoins de ce qui s’est passé dans le passé – il n’avait pas une voiture gagnante – donc c’est génial pour lui. »

Hamilton révéle que Mercedes n’a pas déplacé le « bouton magique » sur son volant

Au GP d’Azerbaïdjan, Lewis Hamilton a commis une erreur dans les derniers tours de course en touchant invonlontairement le bouton de répartition des freins de sa monoplace, l’obligeant à tirer tout droit au premier virage.

Cette erreur lui a couté très cher puisque le pilote Mercedes n’a pas réussi à profiter de l’abandon de Max Verstappen (son principal rival) pour marquer des points importants pour le championnat. Le septuple champion du monde terminera finalement la course en dehors du top dix.

Lorsqu’on a demandé à Lewis Hamilton ce jeudi en conférence de presse du Grand Prix de France s’il avait commis cette erreur parce qu’il se sentait sous pression, le pilote Mercedes a répondu : « Et bien Max n’était pas en course à ce moment-là, donc ce n’était certainement pas la pression de Max. »

« Je ne considère même pas cela comme une erreur. Vous ne pouvez pas toujours être parfait, et une erreur est de sortir de la piste en ratant votre point de freinage ou en heurtant un mur. »

« C’était une erreur non forçée, quelque chose qui était là et qui aurait pu se produire à n’importe quel moment et cela nous a malheureusement couté assez cher. Mais nous avons appris de l’expérience et nous avançons. »

Lorsqu’on lui a demandé si Mercedes avait finalement déplacé le fameux bouton sur son volant avant le Grand Prix de France, Hamilton a expliqué qu’une solution temporaire a été trouvée.

« Nous ne l’avons pas déplacé, nous avons juste mis une protection autour pour nous assurer de ne plus le toucher accidentellement à l’avenir, mais c’est pour du court terme. »

« Evidemment, ce n’est pas simple de modifier un volant ou de déplacer des boutons, mais nous cherchons une solution pour du long terme. »

Avant le Grand Prix de France, Lewis Hamilton occupe toujours la deuxième place au championnat du monde des pilotes, quatre points derrière Max Verstappen.

« Les deux dernières courses ont définitivement été très difficiles pour nous dans l’ensemble en tant qu’équipe. » a ajouté le Britannique.

« Mais j’ai vraiment hâte de revenir sur une piste sur laquelle nous ne serons probablement pas aussi affectés par les températures des pneus par exemple. »

« Cela a été bon pour nous dans le passé ici, mais je prévois un week-end difficile, naturellement. De toute évidence, les Red Bulls ont montré un rythme sérieux au cours des courses précédentes, ainsi que sur des pistes plus conventionnelles comme Barcelone. »

Plusieurs virages sous surveillance au Paul Ricard ce week-end

Ce week-end au Grand Prix de France, la FIA veillera une nouvelle fois au respect des limites de piste sur un tracé plus permissif que les deux circuits précédemment visités par la F1 (Monaco et Bakou) dont les limites de piste étaient matérialisées par des murs.

Ce week-end au Paul Ricard, les virages 1, 2, 3, 5, 8 et 9 seront sous surveillance avec l’obligation pour les pilotes de respecter certaines régles mises en place par la direction de course pour rejoindre la piste en toute sécurité sous peine de sanction.

Pour les virages 1 et 2 : « Tout pilote qui ne parvient pas à négocier le virage 2 en utilisant la piste, et qui passe complètement à droite de la première borne jaune fluo, doit rester complètement à la droite de la borne jaune fluo et rejoindre la piste en traversant les deux rangées de blocs dans l’échappatoire en passant à droite du premier et à gauche du second. »

Pour les virages 3 à 5 : « Tout pilote qui ne parvient pas à négocier le virage 4 en utilisant la piste, et qui passe complètement à gauche de la borne jaune fluo au sommet du virage, doit rester complètement à gauche de la borne jaune fluo et rejoindre la piste en roulant à gauche du bloc dans l’échappatoire avant le virage 5. »

Pour les virages 8 et 9 : « Tout pilote allant tout droit au virage 8 doit rejoindre la piste en passant par les quatre rangées de blocs dans la voie d’évacuation, à gauche du premier, à droite du second, à gauche du troisième et à droite du quatrième. »

« Chaque fois qu’une voiture ne parvient pas à négocier les virages 1-2 ou les virages 3-5 et/ou les virages 8-9 en utilisant la piste comme décrit ci-dessus, les équipes seront informées via la messagerie officielle. »

« À la troisième occasion où un pilote ne parvient pas à négocier les virages 1-2 ou les virages 3-5 et/ou les virages 8-9 en utilisant la piste pendant la course, il lui sera présenté un drapeau noir et blanc, toute autre « coupe » sera ensuite signalée aux commissaires. »

« Dans tous les cas détaillés ci-dessus, le pilote ne doit rejoindre la piste que lorsqu’il peut le faire en toute sécurité et sans en tirer un avantage durable. »

Valtteri Bottas reçoit un nouveau châssis pour le GP de france

Le pilote mercedes valtteri Bottas a confirmé ce jeudi en conférence de presse du Grand Prix de France que son équipe a mis à sa disposition un nouveau châssis pour la septième manche de la saison 2021 de F1 qui se déroule du 18 au 20 juin sur le circuit Paul Ricard au Castellet.

Selon le Finlandais, ce changement de châssis est prévu depuis quelques temps déjà en interne et fait partie d’un plan de rotation mis en place par Mercedes.

« Un nouveau châssis sera monté sur ma monoplace ce week-end. Il n’y a rien de cassé, Il s’agit d’une rotation normale des composants. » a confirmé Bottas ce jeudi au Castellet.

Bien que le pilote finlandais a insisté sur le fait qu’il s’agit d’un changement déjà programmé, on ne peut oublier qu’il suspectait un problème sur sa monoplace lors de la dernière épreuve disputée à Bakou il y a quinze jours après s’être qualifiè en dixième position sur la grille de départ.

« Je suis tellement loin du rythme et je ne sais pas pourquoi. Je n’ai aucune explication. » expliquait bottas à bakou après les qualifications.

« En fait, je perds dans tous les virages. Si je pousse plus fort, je suis dans le mur. C’est donc la limite, c’est vraiment étrange. »

« En venant ici (Bakou), je pensais que l’on se battrait au front, Lewis est à l’avant dans le combat, et je devrais l’être aussi. Je n’ai aucune explication, je pense que quelque chose ne va pas [avec la voiture]. »

Interrogé pour savoir s’il savait pourquoi il n’avait pas un bon feeling avec sa monoplace lors des dernières couyrses, bottas a répondu : « Ce n’est jamais très agréable lorsqu’on n’a pas un bon feeling avec sa voiture. »

« Mais cela fait partie de ce sport. Il y a beaucoup de hauts et de bas, cela dit, toute l’équipe me soutient. »

Nouveau châssis donc pour Valtteri Bottas ce week-end pour le Grand Prix de France sur un tracé plus conventionel que les deux derniers tracés visités par la F1 (Monaco et Bakou).