Red Bull prendra sa décision concernant Sergio Pérez à la fin de la saison

Helmut Marko s’est une nouvelle fois exprimé sur la situation plus que précaire de Sergio Pérez chez Red Bull, mettant en suspens la poursuite de leur collaboration en 2025.

Red Bull et Sergio Pérez sont liés contractuellement jusqu’à la fin de la saison 2026. En effet, au mois de juin dernier, les deux parties se sont entendues afin de poursuivre l’aventure. Une aventure pas très heureuse aux vues des récents déboires du pilote mexicain en Grand Prix. Pour rappel, le dernier podium de Sergio Pérez en F1 remonte au Grand Prix de Chine en avril dernier, sa dernière victoire au Grand Prix d’Azerbaïdjan 2023 et il accuse aujourd’hui un retard de 204 points sur Max Verstappen au Championnat du monde des pilotes.

Des performances qui en plus de faire chuter le Mexicain au classement des pilotes, pénalisent grandement Red Bull dans sa course au titre constructeurs. L’écurie autrichienne, longtemps leader de ce championnat, a aujourd’hui été dépassée par McLaren et se voit même menacée par Ferrari.

Helmut Marko, conseiller de Red Bull en F1, a déclaré qu’une décision sera prise à l’issue de la saison afin de déterminer si Sergio Pérez courra avec l’équipe en 2025.

Cette déclaration fait suite à de nombreuses rumeurs envoyant Sergio Pérez à la retraite à la fin de la saison et même pour certains, à l’arrivée du prochain Grand Prix.

Ces spéculations se sont intensifiées après que Christian Horner, le directeur de Red Bull, a reconnu que le retour en F1 de Liam Lawson en fin de saison visait à évaluer sa capacité à s’intégrer à l’équipe principale.

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Une réunion cruciale en fin de saison

Parallèlement, Helmut Marko a intensifié la pression sur Sergio Pérez en rappelant que son contrat ne lui assurait pas automatiquement une place aux côtés de Verstappen pour la saison 2025.

Pérez a peut-être un contrat, mais la Formule 1 est une méritocratie”, a déclaré Marko à F1 Insider. “Si les performances ne sont pas bonnes, même les contrats sont inutiles.

Une réunion devrait donc se tenir en fin de saison afin de déterminer qui sera le coéquipier de Max Verstappen en 2025.

À la fin de la saison, nous nous assiérons ensemble et nous déciderons qui sera le meilleur coéquipier pour Verstappen chez Red Bull”, a conclu Helmut Marko.

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Pérez Sr affirme que “Sergio deviendra champion du monde”

Sergio Pérez, pilote de l’écurie Red Bull, a reçu le soutien inconditionnel de son père, qui croit de toutes ses forces dans les chances de son fils de devenir un jour Champion du monde de Formule 1.

Sergio Pérez va pouvoir s’appuyer sur le soutien de son père et de tout un peuple ce week-end, à l’occasion du Grand Prix de Mexico City. En effet, vivant une saison plus que moyenne, le pilote mexicain voit son nom être associé à des rumeurs l’envoyant à la retraite en fin de saison ou même dès l’arrivée du Grand Prix de ce week-end.

Toutefois, ce que de nombreuses personnes oublient, c’est que Sergio Pérez a été prolongé par Red Bull au cours de l’année et devrait donc courir avec l’écurie autrichienne en 2025. Cependant, l’adage le rappelle bien, les contrats sont faits pour être cassés. Le dernier podium de Sergio Pérez en F1 remonte au Grand Prix de Chine en avril dernier, sa dernière victoire au Grand Prix d’Azerbaïdjan 2023 et il accuse aujourd’hui un retard de 204 points sur Max Verstappen au Championnat du monde des pilotes. De son côté, Red bull semble tester plusieurs options en ayant rappelé Liam Lawson chez Visa Cash App RB.

S’adressant au journal mexicain Récord+, Sergio Pérez a reçu le soutien de son père :

Le meilleur de Checo Pérez est encore à venir. Je suis sûr qu’en temps voulu, Checo aura les armes et les outils pour se battre pour le Championnat du monde.”

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Il persiste et signe que son fils sera un jour sacré Champion du monde de Formule 1.

Je suis très enthousiaste et je peux dire que Checo sera champion du monde.

Sergio Pérez est monté à deux reprises sur le podium de son Grand Prix national, lors des éditions 2021 et 2022. Malheureusement pour lui, et alors que de nombreux fans le voyaient remporter l’édition 2023, sa course s’est arrêtée au premier virage, victime d’un accrochage avec Charles Leclerc.

Martin Brundle demande a ce que les règles de course soient “sérieusement modifiées”

Martin Brundle, commentateur pour la télévision britannique estime qu’il faut apporter de « sérieuse modification » aux règlementations de la FIA après la controverse entourant la bataille Norris-Verstappen en toute fin du Grand Prix des États-Unis.

Pour rappel, Lando Norris a complété son dépassement sur Max Verstappen en dépassant les limites de piste. Toutefois, le pilote Red Bull n’avait pas vraiment laissé d’autres choix possibles au pilote McLaren. À quelques secondes de passer la ligne d’arrivée en troisième position, Lando Norris a finalement écopé d’une pénalité de cinq secondes, le reléguant en quatrième place, derrière Max Verstappen.

Dans sa chronique d’après course sur Sky Sports F1, Brundle a dénoncé les infrastructures des circuits modernes que la F1 utilise.

“Nous avons vu lors du GP d’Autriche qu’une simple bande de gravier et d’autres éléments du circuit peuvent dissuader les pilotes de sortir de la piste, sans avoir de hauts trottoirs qui peuvent dangereusement propulser les voitures en l’air”, a-t-il déclaré. « Cela coûte de l’argent de remplacer et de remettre en état ces éléments pour les courses de motos, mais à l’échelle de la F1, ce n’est pas cher.

Les tracés des circuits et les sorties de piste créent les problèmes, et les règles de conduite toujours plus complexes ne parviennent pas à gérer tous les problèmes inévitables et variés. Ne vous contentez pas de blâmer les commissaires, ce n’est pas juste et cela ne résoudra pas le problème. Les règles de conduite ont besoin d’une sérieuse révision et d’une grande simplification.

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Et le “Let them race” dans tout ça ? 

Martin Brundle pointe également du doigt des incohérences dans les décisions, prenant en exemple le cas Bottas-Russell et se rappelle avec nostalgie du temps où l’on demandait aux commissaires de laisser les pilotes courir, le fameux “let them race”.

“Je ne sais pas ce qu’il est advenu de l’approche ‘laissez-les courir’ d’il y a quelque temps, qui fonctionnait raisonnablement bien”, a-t-il ajouté. “En ce qui me concerne, si vous dépassez une voiture à l’intérieur d’un virage, tout en conservant le contrôle de la monoplace, et en restant dans les limites de la piste, alors vous avez gagné le virage et vous pouvez prendre la ligne de course normale à la sortie, et c’est au pilote qui a été dépassé de céder, de ne pas appuyer sur l’accélérateur et de sortir inévitablement de la trajectoire.

“George Russell a écopé d’une pénalité déraisonnable pour cette raison à Austin, car les directives devaient être appliquées. Comme d’autres l’ont fait. Si Russell a été pénalisé pour avoir fait sortir Valtteri Bottas au large, Verstappen n’aurait-il pas dû être pénalisé pour avoir fait sortir Norris au large dans le même virage ?”, a conclu Martin Brundle. 

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Tsunoda montera-t-il bientôt à bord de la Red Bull ?

Yuki Tsunoda va-t-il enfin avoir la chance de piloter une Red Bull ? Helmut Marko ouvre la porte à un essai, mais il y a un “mais”.

En effet, Red Bull, par la voix de Helmut Marko, son conseiller spécial, a révélé que l’écurie avait “quelques plans” pour les essais d’après-saison à Abu Dhabi. Des essais attendus de longue date par le pilote japonais puisque ce dernier est en F1 depuis le début de la saison 2021.

Aujourd’hui, plusieurs pilotes se bousculent au portillon de chez Red Bull afin d’obtenir un test à bord d’une de leur monoplace. La firme autrichienne fait aujourd’hui rouler en tant que pilotes titulaires Max Verstappen et Sergio Pérez, cependant ce dernier enchaine les week-ends noirs et sa place semble de plus en plus compromise. Il faut tout de même préciser que pour le moment, Sergio Pérez dispose d’un contrat avec Red Bull pour la saison prochaine.

Yuki Tsunoda aimerait bien avoir une chance de montrer aux dirigeants de Red Bull ce qu’il est capable de faire avec l’une des meilleures monoplaces du plateau. Mais il n’est pas le seul, Liam Lawson, de retour en F1 à la place de Daniel Ricciardo, peut également prétendre à ce test, tout comme Isack Hadjar, pilote de F2.

Le pilote japonais “espère” que les responsables de Red Bull “changeront d’avis”, quant à ses chances de toucher du doigt une Red Bull, et qu’ils lui donnent le volant de la RB20.

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Tsunoda, Hadjar, Lawson ? qui aura la chance de tester la RB20 ? 

Honda est également entré dans les négociations et a même demandé à Christian Horner, le patron de l’équipe Red Bull, de faire rouler Tsunoda dans une Red Bull moderne.

Koji Watanabe, le responsable des activités de course de Honda, a déclaré : “En ce qui concerne Tsunoda, notre objectif est qu’il travaille dur et qu’il obtienne une place chez Red Bull Racing. Nous pensons qu’il en a le talent.

“Bien sûr, les décisions concernant les pilotes relèvent en dernier ressort de l’équipe, mais en tant que partenaire, nous avons demandé avec insistance que Tsunoda ait la possibilité de conduire et de tester une voiture Red Bull. Nous voulons au moins lui donner l’occasion de montrer ses capacités.”

“J’en ai également parlé directement avec Christian. Il n’a pas exclu cette possibilité. Rien n’a encore été décidé, mais je pense que nous devons procéder correctement.”

Red Bull ne ferme pas la porte et Helmut Marko a laissé entendre qu’il pourrait être dans la voiture lors des essais d’après-saison d’Abu Dhabi.

Nous avons des projets pour Abu Dhabi, oui”, a-t-il déclaré à Motorsport. “Mais”, a-t-il ajouté, “nous avons plusieurs pilotes, vous savez. Nous avons [Isack] Hadjar, par exemple, et maintenant nous avons Liam Lawson”, a conclu le conseiller de l’écurie Red Bull.

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Wolff affirme que le T-tray utilisé par Red Bull est un dispositif “scandaleux”

Toto Wolff, directeur de l’écurie Mercedes en F1 persiste et signe, le T-tray découvert dans la Red Bull en amont du Grand Prix des États-Unis est un dispositif scandaleux, et l’allemand espère que la FIA réouvrira une enquête.

Le Grand Prix des États-Unis a démarré sur les chapeaux de roue, en effet au lendemain d’une enquête ouverte par la FIA, Red Bull a reconnu avoir monté sur sa monoplace un dispositif lui permettant d’ajuster la hauteur de caisse, un dispositif pouvant être actionné alors même que la voiture est sous parc fermé, ce qui est interdit.

De nombreux directeurs d’écurie comme Zak Brown et Toto Wolff sont montés au créneau, pointant du doigt une possible triche de l’écurie autrichienne. Mais après investigation, la FIA a décidé de clore l’enquête.

Nikolas Tombazis, responsable des questions relatives aux monoplaces à la FIA, avait alors déclaré :

Est-ce que je peux affirmer avec une totale certitude qu’il n’y a jamais eu d’irrégularités ? Non. Est-ce que je peux dire que l’affaire est close ? Oui, totalement.

Mais, comme le rapporte Motorsport.com, Toto Wolff espère que la FIA va de nouveau se pencher sur la RB20.

Mon opinion est que, d’après ce que j’ai vu et ce que j’ai entendu, c’est scandaleux. Nous concevons tous des pièces qui sont aux normes de la F1 et qui répondent aux spécifications les plus élevées dans le cadre des règlements”, a-t-il déclaré. “Parfois, pour des choses comme l’élasticité aérodynamique, vous essayez probablement d’aller aussi loin que possible, mais il y a d’autres choses en général et certaines pièces dont on peut se demander pourquoi elles existent.

“Pourquoi concevoir une telle chose et y apposer deux marques pour deux positions ?”

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Vers une réouverture de l’enquête de la FIA ? 

Red Bull a démontré aux officiels de la FIA, sous l’œil des caméras de télévision au Texas, que son dispositif était conforme à la réglementation.

Wolff s’est moqué de l’effort de la firme autrichienne pour montrer comment le dispositif était actionné : “J’aime vraiment ça quand ils mettent ce vrai balai dans la voiture pour démontrer que c’est le seul moyen pour que ça change (de position) ! Je me demande combien de temps il leur a fallu pour l’inventer.

Toto Wolff a-t-il raison ? La FIA doit-elle à nouveau examiner la Red Bull ? S’il assure ne pas parler au nom de la FIA il conclut en déclarant “que les dirigeants de la FIA vont se pencher sur la question et se demander ce qu’ils vont faire de tout cela.

La F1 enchaîne rapidement avec le Grand Prix du Mexique ce week-end. Lors de la course précédente, Max Verstappen, pilote de l’écurie, Red Bull a renforcé son avance au championnat des pilotes, portant désormais son écart à 54 points sur Lando Norris.

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Revivez la bataille Verstappen-Norris à travers leurs échanges radio

Si vous avez passé le week-end dans une grotte, alors vous avez probablement manqué la controverse autour du dépassement de Lando Norris sur Max Verstappen dans les derniers tours du Grand Prix des États-Unis.

Le pilote McLaren pensait avoir fait le plus dur en dépassant la Red Bull de Max Verstappen, mais la direction de course a décidé de lui infliger une pénalité de cinq secondes pour avoir complété son dépassement en dehors des limites de piste.

Depuis, la FIA a dévoilé les échanges radio entre les deux pilotes ainsi que leurs ingénieurs respectifs.

Tour 52 : Norris passe Verstappen

Verstappen : « Il m’a dépassé en dehors de la piste ».

Norris : « Je pense que j’étais devant à l’apex, faites-moi savoir si vous pensez le contraire. »

Joseph (McLaren) : « Nous pensons que tu étais devant à l’apex. »

Tour 53 : Norris coupe agressivement la trajectoire devant Verstappen dans le virage 1.

Verstappen : « Il faut qu’il rende la position ».

Lambiase (Red Bull) : « Nous sommes sur le coup Max. Nous le savons. Et nous avons aussi vu le mouvement au freinage dans le [virage] 1. »

Tour 54 : Norris détient une avance de 1,7 seconde sur Verstappen.

Lambiase : « Les commissaires regardent ça, Max. »

Joseph : « Donc notre opinion est : vous étiez devant à l’apex, les deux voitures sont sorties de la piste. »

Norris : « Oui, il est également sorti de la piste. Donc c’était clair. »

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Tour 55 : Norris sort large dans le dernier virage.

Lambiase : « Max aussi, Lando a dépassé les limites de la piste. Je m’attends à une pénalité rien que pour ça, donc continue de tout donner. »

Tour 56 : McLaren avertit son pilote quant aux limites de piste.

Joseph : « Alors, Lando, nous avons eu notre troisième infraction, concernant les limites de la piste, et je sais que tu le sais. Donc plus de dépassement de limites. Plus jamais. »

Drapeau à damier : Norris écope d’une pénalité de cinq, ce qui le fait passer de la troisième à la quatrième place.

Norris : « Eh bien, je suppose que j’ai reçu une pénalité de cinq secondes ? »

Joseph : « Oui, ils t’ont donné cinq secondes à la fin pour avoir quitté la piste et pris l’avantage. Je ne sais pas trop pourquoi. »

Norris : « Ah oui, alors j’aurais dû retourner derrière lui, n’est-ce pas ? »

Horner : « Bien joué, mon pote, tu as bien roulé. Nous n’avons pas été aussi compétitifs que nous aurions dû l’être dans le deuxième relais, mais tu mérites ce podium aujourd’hui. »

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Verstappen : « Argh ! Mon Dieu ! C’était une course difficile. Oui, j’ai tout essayé. Avec la défense, au moins c’était amusant. C’est juste un peu bizarre qu’on puisse doubler en dehors de la piste. »

Lambiase : « Eh bien, vous ne pouvez pas. Et la FIA a rectifié le tir, alors voilà. »

Liam Lawson est un “homme d’avenir” selon Helmut Marko , quid de Sergio Pérez ?

Liam Lawson a fait un retour plus que remarqué en F1. Celui qui est venu remplacer Daniel Ricciardo chez Visa Cash App Racing Bull (VCARB) a marqué des points au championnat et dans le cœur des dirigeants de Red Bull.

Liam Lawson le sait, il est actuellement observé de près par Red Bull et force est de constater qu’il n’a pas failli à sa mission tout au long du week-end de course du Grand Prix des États-Unis. Il ne s’est pas laissé marcher dessus par Fernando Alonso, il a performé en qualifications et en course sprint et enfin, il a marqué des points à l’arrivée de la course principale alors qu’il s’élançait depuis la 19e place sur la grille de départ. De quoi satisfaire Helmut Marko, conseiller spécial auprès de l’écurie Red Bull en F1 qui voit en Lawson un “homme d’avenir”.

« Ses débuts ont été excellents”, a déclaré Marko à Sky Deutschland. “Cela s’est déjà vu en Q1, où il a réalisé le troisième meilleur temps. Il a contrôlé la course à tout moment et a effectué de très bons dépassements. Il faut mettre les jeunes dans la voiture et cela fonctionne. C’est définitivement un homme d’avenir.

Les performances de Liam Lawson ont également été remarquées par Christian Horner, le directeur de l’écurie Red Bull.

Je pense qu’il a réalisé un grand prix exceptionnel. Il est parti de la 19e place, a terminé dans les points, a fait de superbes dépassements, il peut donc être satisfait”, a conclu le Britannique.

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Face aux bons résultats de Liam Lawson, sont mis en évidence les failles de Sergio Pérez, en grand danger chez Red Bull. Le Mexicain a une nouvelle fois vécu un week-end compliqué, encore une fois distancé par son coéquipier chez Red Bull, Max Verstappen. Ses récents déboires ont même fait naitre des bruits de couloirs, évoquant un possible départ en retraite du pilote à l’issue de son Grand Prix national, le Grand Prix de Mexico City le week-end prochain.

C’est une rumeur”, a assuré Helmut Marko. “Il dit lui-même qu’il n’y a rien de vrai là-dedans”, avant d’ajouter : “Voyons voir, mais il doit améliorer ses performances.”

Red Bull sous la menace de Ferrari

Alors que le titre constructeur semble s’éloigner pour Red Bull, c’est maintenant sa deuxième place au classement qui est menacée par Ferrari. Selon Christian Horner, le retour aux affaires de Ferrari vient du fait que l’écurie italienne peut compter sur les performances de ses deux pilotes.

Ils ont été très, très forts”, a-t-il déclaré aux médias. “Ils ont deux pilotes qui se battent aux avant-postes. McLaren aussi, leurs pilotes, il n’y a pas un grand déficit entre eux. C’est donc là que nous avons vraiment besoin que Checo entre en jeu pour le Championnat des constructeurs.”

J’espère que le soutien qu’il recevra au Mexique lui donnera un coup de pouce”, a conclu Christian Horner

Ferrari ne compte aujourd’hui plus que huit points de retard sur Red Bull.

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Pérez regrette de ne pas avoir eu le même package que son coéquipier à Austin

Ce week-end à Austin, Sergio Pérez a encore une fois vécu des jours compliqués, loin des performances de son coéquipier chez Red Bull, Max Verstappen.

Sergio Pérez a affirmé, après le Grand Prix des États-Unis, avoir roulé avec un package différent de celui de Max Verstappen, son voisin de garage chez Red Bull. Alors que triple Champion du monde a remporté la course sprint puis a sécurisé une solide troisième place à l’arrivée de la course principale, Sergio Pérez n’a pu faire mieux qu’une P9 en sprint et une septième place en Grand Prix

À l’arrivée du Grand Prix, Sergio Pérez a tenu à faire la lumière sur la situation et sur ses performances.

Nous n’avons pas tout à fait le même package, mais je ne sais pas exactement à quel point. C’était juste assez loin”, a déclaré Perez à Sky Sports F1. “C’est un week-end où nous avons eu du mal. Rien ne s’est vraiment mis en place durant le week-end. Nous avons progressé au niveau des réglages, mais le rythme n’était pas très bon. Nous devons donc analyser les réglages en profondeur.

Red Bull aurait donc uniquement apporté des modifications sur le plancher et le capot moteur de la RB20 de Max Verstappen. De son côté, Sergio Pérez ne sait pas encore aujourd’hui s’il bénéficiera de ses améliorations lors du prochain Grand Prix, devant son public.

Après la course de dimanche, Perez a révélé qu’il ne disposait pas du nouveau package d’amélioration, monté sur la RB20 que son coéquipier Max Verstappen.

Nous ne le savons pas encore”, a-t-il déclaré. “Nous sommes assez serrés sur les pièces et comme nous sommes encore en train d’apprendre sur cette nouvelle spécification de plancher, il se peut que nous devions attendre un peu plus longtemps avant de les obtenir.

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Sergio Pérez fait de son mieux

Sergio Pérez compte aujourd’hui 204 points de retard sur Max Verstappen, leader du Championnat du monde des pilotes. Le manque de rythme de Sergio Pérez va probablement faire manquer à Red Bull le titre des constructeurs, et peut être même sa deuxième place au classement. Le Mexicain, qui est sous pression pour conserver son siège chez Red Bull pour la saison prochaine, a vu Liam Lawson performer au volant de la Visa Cash App Racing Bull, ce qui ne présage rien de bon pour le pilote mexicain.

Je fais du mieux que je peux et c’est ce qui compte vraiment”, a conclu le pilote Red Bull.

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McLaren estime inutile de demander un droit de révision à la FIA

Qu’elle soit injuste ou non, la pénalité infligée à Lando Norris lors du Grand Prix des Etats-Unis ayant eu pour conséquence de voir le pilote anglais perdre la troisième place du podium au profit de son adversaire direct dans la course au titre, Max Verstappen, ne sera plus contestée par l’équipe McLaren.

Le team anglais a fait savoir de manière élaborée en quoi son interprétation des circonstances de course ayant mené à la pénalité de Norris, amené hors-piste par un Verstappen qui défendait sur un dépassement de la McLaren, différait largement de l’interprétation faite par les commissaires à la fois de la situation et du règlement sportif.

Néanmoins, Andrea Stella, directeur de l’équipe McLaren, souhaite désormais mettre cet épisode derrière et se concentrer sur les dernières épreuves de la saison, au terme desquelles le team peut encore briguer les deux couronnes mondiales 2024.

McLaren pourrait disposer d’un droit de révision de la décision prise par la FIA. Pour cela, il lui faudrait présenter d’ici jeudi une pièce significative et pertinente, qui n’aurait pas été évaluée par les commissaires lors de leur prise de décision initiale.

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Au-delà du fait que McLaren estime que la décision des commissaires n’avait absolument pas besoin d’être prise si hâtivement pendant la course et que les pilotes auraient dû être entendus après la course, il semble qu’aucun élément ne sera soumis par l’équipe anglaise, qui estime que les commissaires disposaient déjà, au moment de leur décision, de tout ce qui était nécessaire pour ne pas charger Norris, voire pénaliser Verstappen. 

« Je pense qu’il n’existe pas de nouvelles preuves pertinentes », estime ainsi Andrea Stella. « Les uniques preuves que nous avons utilisées jusqu’à présent pour évaluer notre interprétation, en désaccord avec les commissaires, sont déjà disponibles ! »

 « Si l’on ouvrait un droit de révision, je ne pense pas qu’il sera couronné de succès. Il n’est pas nécessaire d’avoir de nouvelles preuves. Il s’agit juste une question d’interprétation… »

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Verstappen : “McLaren se plaint de beaucoup de choses ces derniers temps”

Max Verstappen est revenu sur le moment où Lando Norris l’a dépassé hors piste au virage 12 alors que les deux hommes se battaient pour la troisième place.

Après plusieurs tours à batailler sans réussir à passer la Red Bull, Norris a voulu saisir l’opportunité au tour 52 lorsqu’il s’est retrouvé devant Verstappen au moment de freiner pour aborder le virage 12.

Le Néerlandais a toutefois défendu ardemment comme à son habitude, repoussant son freinage et emmenant au large la McLaren. Norris à l’extérieur a alors poursuivi son dépassement tout en étant en dehors des limites de la piste.

Pour Max Verstappen, il n’y a pas de débats à avoir sur cette situation sachant que les règles sont claires.

“Je pense que c’est très clair : vous ne pouvez pas dépasser en dehors de la ligne blanche”, a indiqué Verstappen en conférence de presse. “Je veux dire que j’ai été sanctionné pour cela ici aussi en 2017, je crois. J’ai donc perdu mon podium comme ça”.

Verstappen fait ici référence à son dépassement sur Kimi Räikkönen en 2017 dans le dernier tour à l’intérieur des virages 16 et 17, où il avait, à l’image de Norris ce dimanche, perdu son podium.

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Verstappen : “En dehors de la ligne blanche, vous ne pouvez pas dépasser”

“Donc je suis resté calme, j’ai essayé de faire du mieux que je pouvais après ça pour amener la voiture jusqu’à la fin parce que ce n’était pas facile avec les pneus et la situation dans laquelle je me trouvais”, poursuit-il. “Mais oui, dans l’ensemble, j’ai vraiment apprécié la bataille que nous avons eue.”

Interrogé par ailleurs sur la version que McLaren pourrait défendre concernant cet incident, à savoir qu’il est, lui aussi, sorti de la piste et a poussé Norris dehors, Verstappen a partagé son désaccord avec cette version avant d’adresser une pique à l’écurie britannique. 

“Ils se plaignent de beaucoup de choses ces derniers temps, mais c’est très clair dans le règlement”, rétorque Verstappen. “En dehors de la ligne blanche, vous ne pouvez pas dépasser. J’ai déjà été sanctionné pour cela par le passé.”

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Verstappen : “Je n’ai poussé personne dehors”

Max Verstappen pensait avoir réalisé l’envol parfait en dépassant Lando Norris dans le premier tour du premier virage, c’était sans compter les Ferrari qui semblaient voler ce week-end à Austin.

Le pilote Red Bull a finalement été le quatrième pilote à franchir la ligne d’arrivée, avant de récupérer la troisième place de Lando Norris, pénalisé par la direction de course.

C’était une course assez difficile. Je n’ai jamais vraiment eu le rythme pour attaquer”, a déclaré Max Verstappen après la course. “J’ai juste beaucoup sous-viré, j’ai eu du mal à freiner, ce qui a rendu la défense très difficile.

Il y a quelque chose qui n’a pas fonctionné aujourd’hui, il va falloir que l’on comprenne pourquoi. Je ne sais pas pourquoi, mais on n’avait pas d’adhérence sur le train avant, ça m’a couté beaucoup de temps.

À chaque fois que quelqu’un tentait une manœuvre, je ne pouvais pas freiner aussi tard. La bataille a été rude. J’ai fait tout ce que j’ai pu pour le garder derrière moi. Au final, monter sur le podium est un excellent résultat.”

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Interrogé sur la pénalité reçue par Lando Norris, Max Verstappen a déclaré qu’il ne voulait pas s’éprendre sur le sujet.

J’ai mon opinion, mais je n’ai pas besoin de la donner ici. Je laisse les commissaires faire leur travail.

Mais questionné par Canal +, le triple Champion du monde a bien voulu en dire un peu plus.

Non je n’ai poussé personne dehors, on ne s’en est même pas touché. J’ai essayé de prendre le virage, mais j’étais en train de bloquer, c’est la course.

Max Verstappen quitte Austin avec 57 points d’avance sur Lando Norris et voit de plus en plus se dessiner l’esquisse d’une quatrième couronne mondiale.

Norris dénonce les décisions “peu constantes” de la FIA

Lando Norris, qui s’était élancé depuis la première place sur la grille de départ du Grand Prix des États-Unis, a vécu une course compliquée.

Relégué en quatrième place dès la sortie du premier virage, Lando Norris a cravaché pendant toute la course pour revenir sur max Verstappen son rival au Championnat des constructeurs. Toutefois, le pilote McLaren, tout comme le pilote Red Bull, ont terminé leur virage en dehors des limites de pistes. Placé sous investigations par la direction de piste, Lando Norris a finalement reçu cinq secondes de pénalité, le privant de la troisième marche du podium. Une décision de la FIA qui ne manquera pas de faire, encore une fois, débat.

“Je ne sais pas quoi dire, j’ai demandé à l’équipe ce qu’il en pensait (de mon dépassement)”, a déclaré Norris au micro de Canal+. “En considérant que Max était également sorti de la piste, il m’a poussé en dehors alors que j’étais devant au moment de freiner. S’il était resté sur la piste … OK, mais là les décisions de la FIA sont peu constantes.

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Interrogé sur le fait qu’il aurait peut-être dû rendre la place à Max Verstappen, Lando Norris a déclaré qu’il n’en avait pas eu le temps.

Il est impossible de savoir. Ils ne peuvent évidemment pas se décider en quelques tours, donc ce n’est évidemment pas une décision facile, sinon elle serait venue un peu plus tôt”, a déclaré le pilote McLaren à Sky Sports F1. “J’ai essayé. Il est aussi sorti de la piste. Donc, s’il sort de la piste, il est clair qu’il y est allé beaucoup trop fort et qu’il a pris l’avantage en faisant ce qu’il a fait. Mais ce n’est pas moi qui fixe les règles, alors…

Si ce week-end les yeux étaient tournés vers Lando Norris et Max Verstappen, ce sont finalement les Ferrari de Charles Leclerc et de Carlos Sainz qui ont fait le plein de points (30 pour Leclerc et 25 pour Sainz).

On était un peu dans la bataille, mais les Ferrari étaient rapides depuis le début du week-end, on les sous-estime depuis un moment. Ils ont fait un bon travail, il y a de belles batailles et il faut rester concentrer !”, a conclu le pilote McLaren.

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Course – Leclerc emmène un doublé Ferrari à Austin, Norris pénalisé sur le fil

Charles Leclerc est allé décrocher à Austin son troisième succès de la saison, devançant son coéquipier chez Ferrari Carlos Sainz et la Red Bull de Max Verstappen. Liam Lawson et Franco Colapinto dans les points.

Le fantastique envol de Charles Leclerc

Lando Norris, qui s’élançait depuis la première place sur la grille de départ n’est pas parvenu à passer en tête, gêné par Max Verstappen. Opportuniste, Charles Leclerc qui était resté à l’intérieur est allé prendre la tête de la course. Le Monégasque s’élançait pourtant depuis la quatrième position sur la grille de départ. Max Verstappen deuxième, a dû protéger sa position face à un Carlos Sainz déchaine

Liam Lawson et Lewis Hamilton se sont eux aussi parfaitement envolés, grappillant chacun 5 places. Alors que le septuple champion du monde était remonté en 12e position, il a perdu le contrôle de sa Mercedes et est allé bloquer sa monoplace dans un bac à gravier. La voiture de sécurité a été contrainte d’entrée en piste pour laisser le temps aux commissaires de dégager la W15.

Après cinq tours, Charles Leclerc menait le Grand Prix, devançant Max Verstappen, Carlos Sainz, Lando Norris et Oscar Piastri. Alors que les pilotes étaient toujours derrière la voiture de sécurité, Lando Norris faisait savoir à son ingénieur que Max Verstappen n’avait visiblement pas l’intention de prendre le premier virage au moment du départ.

Leclerc enfonce le clou

Charles Leclerc à relancer la course au sixième tour. Auteur d’un très beau départ, Pierre Gasly est parvenu à conserver sa sixième place, alors que son coéquipier, Esteban Ocon se retrouvait en fond de classement après un accrochage au départ.

Alors qu’il était troisième, Carlos Sainz rapportait à son ingénieur qu’il perdait de la puissance et qu’il sentait une forte odeur d’essence dans son cockpit. Un peu plus loin dans le peloton, on a pu assister à une belle manœuvre de dépassement de Liam Lawson sur Fernando Alonso, les deux pilotes ne se sont pas lâchés du week-end.

Après 15 tours, Leclerc menait toujours les débats et comptait une avance de plus de six secondes sur son premier poursuivant, Max Verstappen. C’est à peu près à ce moment de la course que l’ont assisté aux premiers passages aux stands, la plupart des pilotes passant aux pneus durs.

Alors qu’il réalisait un très bon début de course, Pierre Gasly a vu de nombreuses places lui passer sous le nez, la faute à un arrêt aux stands en près de sept secondes … dommage pour Alpine qui ne peut pas se permettre de perdre aussi facilement des positions et donc des points.

Charles Leclerc continuait à accentuer son avant sur Max Verstappen, comptant jusqu’à 11 secondes d’avance avant que ce dernier ne passe aux stands à l’entame du 26e tour. Le triple Champion du monde est ressorti en piste cinq secondes derrière Carlos Sainz (qui s’était déjà arrêté). Charles Leclerc est venu couvrir la stratégie de Verstappen en rentrant aux stands un tour plus tard. Reparti avec des pneus durs, l’objectif était donc de ne faire qu’un arrêt lors de cette course.

Ne s’étant toujours pas arrêtés, Lando Norris et Oscar Piastri faisaient course en tête. Toutefois, l’Australien a rapidement vu Charles Leclerc revenir dans ses rétroviseurs, pour ensuite le dépasser.

Lando Norris a finalement plongé aux stands à l’entame du 32e tour, chaussant lui aussi des pneus durs, imité un tour plus tard par Oscar Piastri. Après la valse des arrêts aux stands, Charles Leclerc menait toujours la course devant son coéquipier Carlos Sainz. Suivaient alors Max Verstappen, Lando Norris et Oscar Piastri, sur des pneus plus frais que les pilotes qui devançaient les McLaren.

Leclerc remporte le Grand Prix des États-Unis

Au 41e tour, George Russell fut le dernier pilote à rentrer aux stands, pour évidemment chausser les pneus durs.

En difficulté avec ses pneus “je ne peux ni freiner ni attaquer avec ces pneus”, Max Verstappen troisième voyait Lando Norris revenir sur lui à grandes enjambées. Lando Norris est même parvenu à revenir dans la zone DRS de la Red Bull, à un peu plus de 10 tours de la fin de cette course. Le podium commençait gentiment à se dessiner avec les deux Ferrari et la McLaren de Lando Norris.

C’est à dix tours de la fin du Grand Prix de Lando Norris est allé porter une première attaque sur Max Verstappen. SI le Batave a chèrement défendu sa position sur plusieurs virages et plusieurs tours, il a finalement dû s’incliner à 4 tours de la fin du Grand Prix. Effectuant sa manœuvre en dehors des limites de piste, Lando Norris a finalement reçu une pénalité de 5 secondes, permettant à Max Verstappen de reprendre la troisième place.

Le point du meilleur tour n’aura pas été attribué aujourd’hui, car il est revenu à Esteban Ocon. Le pilote Alpine est allé ravir ce point qui appartenait jusqu’ici à franco Colapinto, pilote Williams et écurie concurrente d’Alpine au Championnat des constructeurs.

Imperturbable et impérial à Austin, Charles Leclerc est allé franchir en premier la ligne, emmenant un doublé Ferrari.

Le classement du Grand Prix des États-Unis

PPilote Equipe
1Charles LeclercFerrari
2Carlos SainzFerrari
3Max VerstappenRed Bull
4Lando NorrisMcLaren
5Oscar Piastri McLaren
6George RussellMercedes
7Sergio PérezRed Bull
8Nico HülkenbergHaas
9Liam LawsonVCARB
10Franco ColapintoWilliams
11Kevin MagnussenHaas
12Pierre GaslyAlpine
13Fernando Alonso Aston Martin
14Yuki TsunodaVCARB
15Lance StrollAston Martin
16Alex AlbonWilliams
17Valtteri BottasSauber
18Esteban OconAlpine
19Guanyu ZhouSauber
Ab.Lewis Hamilton Mercedes

Verstappen : “Peu importe d’où vous vous élancez si votre rythme de course est le meilleur”

Vainqueur de la course sprint, Max Verstappen a signé le deuxième temps des qualifications, derrière son rival au Championnat, Lando Norris.

Lors des trois derniers Grands Prix des États-Unis, le pilote qui s’élançait depuis la seconde marque sur la grille de départ a toujours viré en tête au premier virage, de bon augure pour Max Verstappen, le pilote Red Bull. Toutefois, Max Verstappen n’est pas très adepte des chiffres et des statistiques et préfère rester pragmatique.

La position de départ n’a pas vraiment d’importance. Si votre rythme de course est meilleur, vous pouvez dépasser ici, car cette piste est bonne pour la course”, a déclaré Verstappen à Sky Sports F1. “L’année dernière, je suis parti P6 [et j’ai gagné]. J’espère juste que je pourrai être dans la bagarre.”

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La course sprint de samedi nous a donné un bref aperçu de ce à quoi pourrait ressembler la course principale. Une lutte entre Lando Norris et Max Verstappen, sans oublier deux Ferrari prêtes à sauter sur la moindre occasion. De son côté, Max Verstappen retient une chose de cette course sprint, il peut de nouveau se battre.

Les dernières courses, j’ai eu l’impression d’avoir les mains liées dans le dos et de ne pas pouvoir me battre, alors j’espère que ce sera différent demain. Je pense que nous avons rendu la voiture plus stable. Vous pouvez donc attaquer un peu mieux les virages ”, a-t-il conclu.

Si Max Verstappen ne pourra pas vraiment compter sur l’aide stratégique de son coéquipier Sergio Pérez, Lando Norris aura lui un allié de taille. En effet, Oscar Piastri, cinquième sur la grille de départ, aura comme mission d’aider Lando Norris à Austin. En décalant sa stratégie, Piastri pourrait à un moment donné de la course, se retrouver devant un Max Verstappen qui ressort des stands. Il pourrait alors casser le rythme de course du pilote Red Bull.

Une chose est sure, cette course sera animée et il ne faudra pas la manquer. On se donne donc rendez-vous à 21 h !

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La FIA met fin à la controverse autour du T-tray de la Red Bull

La FIA a décidé de clore l’affaire entourant le T-tray de la Red Bull. Aucune investigation supplémentaire ne sera faite sur le dispositif de variation de hauteur du plancher de la RB20.

L’affaire est née en amont du Grand Prix des États-Unis, la FIA avait décidé d’inspecter les monoplaces autrichiennes qui était capables de modifier le réglage de la hauteur de caisse, entre les qualifications et la course.

Après avoir examiné de près les RB20 de Sergio Pérez et de Max Verstappen, la FIA ne juge pas utile de procéder à de plus amples investigations.

Nikolas Tombazis, responsable des questions relatives aux monoplaces à la FIA, a déclaré :

Est-ce que je peux affirmer avec une totale certitude qu’il n’y a jamais eu d’irrégularités ? Non. Est-ce que je peux dire que l’affaire est close ? Oui, totalement”, comme le rapporte Motorsport.com.

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Il est compliqué de démontrer après coup ce qui s’est passé dans le passé, et nous ne pensons pas être en mesure d’enquêter sur un événement remontant à deux ans”, a-t-il affirmé. “En règle générale, lorsque nous décidons de soumettre une affaire aux commissaires ou au tribunal, nous cherchons à avoir des preuves solides, et non des éléments reposant uniquement sur des rumeurs ou des suppositions.

Tombazis a déclaré qu’il n’était pas réaliste de penser que l’analyse des images de vidéosurveillance du garage que la FIA enregistre chaque week-end permettrait de trouver des preuves de la modification de l’appareil par l’équipe.

Les gens peuvent examiner certains aspects de la voiture, mais la question est de savoir si cela est faisable facilement”, a-t-il ajouté. “Si vous devez démonter toute la carrosserie et effectuer de nombreuses manipulations, cela sera évidemment capté par les caméras. Mais pour quelque chose de si rapide et simple, je ne pense pas qu’il soit réaliste de vérifier cela avec des caméras ou des images virtuelles, etc.

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Lando Norris conserve la troisième place de la course sprint

Lando Norris a été placé sous enquête pour avoir piloté de manière erratique dans le dernier tour de la course sprint. Après examen des commissaires de courses, le pilote britannique a finalement conservé sa troisième position.

Alors qu’il s’élançait depuis la quatrième position sur la grille de départ, le pilote McLaren a rapidement viré à la deuxième place dès le premier virage. Malgré ce bon départ, il n’a jamais réellement pu rivaliser avec Max Verstappen, qui a remporté la course et augmenté son avance au championnat à 54 points.

Dans les ultimes tours de la course sprint, Norris a rencontré des problèmes avec ses pneus, permettant à Carlos Sainz et Charles Leclerc de le rattraper. Le pilote espagnol l’a finalement dépassé dans le premier virage du dernier tour. Quelques hectomètres plus loin, au virage 15, Lando Norris et Charles Leclerc ont évité l’accrochage de peu. Cette manœuvre de défense du Britannique a entrainé l’ouverture d’une enquête pour conduite erratique.

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Leclerc a immédiatement exprimé son mécontentement à la radio concernant la défense de Norris. Lors de la conférence de presse post-course, Norris a reconnu que l’enquête était justifiée : “Oui, celle où il faut freiner et tourner tout le long. C’est logique, honnêtement”, a-t-il conclu.

Au final, les commissaires de piste n’ont pas jugé bon de sanctionner le pilote McLaren.

Il ne semblait pas y avoir de changements significatifs de direction au freinage, et le mouvement au virage 15 était un mouvement de défense légitime de la part du pilote de la voiture 4.

Lando Norris, qui rêve toujours du titre mondial, va devoir hausser le rythme lors de la séance de qualification du Grand Prix des États-Unis s’il veut avoir une chance de battre Max Verstappen.

Sprint – Verstappen intouchable à Austin, Sainz brillant deuxième

Max Verstappen a remporté la course sprint du Grand Prix des États-Unis, devant Carlos Sainz et Lando Norris. Les deux Haas terminent dans les points.

La bataille des Ferrari

Alors qu’il s’élançait depuis la première place sur la grille de départ de la course sprint, Max Verstappen est parvenu à conserver l’avantage. Le meilleur départ a été à mettre à l’actif de Lando Norris qui est passé de la quatrième à la deuxième place de ce classement. En fin de premier tour, George Russell est parvenu à conserver sa troisième place face à un Charles Leclerc très offensif.

Par la suite, on a pu assister à une superbe bataille entre Charles Leclerc P4 et Carlos Sainz P5. L’Espagnol a tenté une première puis une seconde fois, de dépasser son voisin de garage, sans succès. Carlos Sainz ne laissait aucun répit à son coéquipier, se montrant très offensif sur plusieurs freinages.

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Toujours en tête de la course, Max Verstappen, détenteur du meilleur tour en course, faisait tout son possible pour décrocher Lando Norris et le placer en dehors de la zone du DRS. Derrière ce top 5 très nerveux, Lewis Hamilton, Kevin Magnussen et Yuki Tsunoda complétaient le top 8.

Au 5e tour de la course, Carlos Sainz est parvenu à trouver l’ouverture sur Charles Leclerc. La bataille entre les deux pilotes Ferrari a permis à George Russell de creuser une avance de 1,6 seconde. Le Britannique, au volant de sa Mercedes a décidé de hausser le ton à cet instant de la course, revenant dans l’échappement de la McLaren de Lando Norris.

Dans le milieu du peloton, Liam Lawson a défendu sa position avec hargne face à Fernando Alonso. Ce dernier a par la suite déclaré à son ingénieur que ce que faisait le pilote Visa Cash App était “idiot”.

Russell dépassé par les deux Ferrari

Au neuvième tour de cette course sprint, Carlos Sainz est allé piquer à l’intérieur d’un virage pour prendre les devants sur George Russell.

À la mi-course, Max Verstappen menait toujours les débats devant Lando Norris, Carlos Sainz, George Russell, Charles Leclerc, Lewis Hamilton, Kevin Magnussen et Nico Hülkenberg.

Inspiré par la manœuvre de son coéquipier, Charles Leclerc est lui aussi allé prendre l’avantage sur la Mercedes de George Russell.

À cet instant de la course, Oscar Piastri, qui était remonté à la 12e place, s’est vu infliger une pénalité de cinq secondes pour avoir forcé Pierre Gasly à passer en dehors de la piste.

Yuki Tsunoda, qui se verrait bien prendre le volant de Sergio Pérez chez Red Bull a défendu sa position avec force, livrant une très belle bataille avec le pilote mexicain. Toutefois, la VCARB du pilote japonais ne lui a pas permis de faire le poids face à la Red Bull de Pérez.

Victoire de Max Verstappen, Lando Norris part à la faute

À cinq tours de la fin de cette course, Max Verstappen devançait Lando Norris de plus de deux secondes.

Plaçant ses deux monoplaces dans le top 8, Haas parvenait provisoirement à prendre la sixième place de VCARB au classement des constructeurs. Une très belle performance des Haas à domicile.

À un tour de la fin de cette course, Lando Norris est allé bloquer les roues au premier virage, ouvrant la porte à Carlos Sainz. Charles Leclerc a lui aussi tenté sa chance quelques tours plus tard sur la McLaren, sans succès.

Max Verstappen a franchi en premier la ligne d’arrivée, prouvant qu’il est bien de retour aux affaires.

Le classement de la course Sprint du Grand Prix des États-Unis

Pos.Pilote Equipe
1Max VerstappenRed Bull
2Carlos SainzFerrari
3Lando NorrisMcLaren
4Charles LeclercFerrari
5George RussellMercedes
6Lewis Hamilton Mercedes
7Kevin MagnussenHaas
8Nico HülkenbergHaas
9Sergio PérezRed Bull
10Oscar Piastri McLaren
11Yuki TsunodaVCARB
12Franco ColapintoWilliams
13Lance StrollAston Martin
14Pierre GaslyAlpine
15Esteban OconAlpine
16Liam LawsonVCARB
17Alex AlbonWilliams
18Fernando Alonso Aston Martin
19Guanyu ZhouSauber
20Valtteri BottasSauber

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Le départ « caché » de Ricciardo était “son choix” – Racing Bull

Daniel Ricciardo a fait ses adieux à la F1 à l’arrivée du Grand Prix de Singapour. Si sa carrière en F1 a été marquée par son pilotage bien évidemment, elle a également été marquée par sa bonne humeur et son sourire… alors, pourquoi avoir raccroché les gants de cette façon ?

Selon Peter Bayer, le PDG de l’écurie Visa Cash App Racing Bull (VCARB) en F1 a déclaré au micro de Sky Germany que Daniel Ricciardo n’a pas voulu faire de “joyeux” adieux à Singapour. Peter Bayer affirme que l’écurie lui a pourtant demandé à plusieurs reprises s’il voulait faire quelque chose en particulier.

Du point de vue de la communication commerciale, cela aurait pu être organisé différemment. Je pense aussi que les adieux auraient été différents s’il avait couru jusqu’à la fin de la saison, par exemple. Ce qui est important pour nous, en tant qu’équipe, c’est que nous avons communiqué de manière très transparente et très, très ouverte et honnête avec Daniel et que Daniel n’a pas voulu cela non plus. Nous lui avons reparlé le mercredi avant la course et il nous a dit : ‘Non, restons discrets’. Nous lui avons ensuite parlé à nouveau le samedi soir, à 2 heures du matin à Singapour, et il a dit : ‘Non, je veux juste faire la course, et ceux qui sont importants pour moi le savent, et pour les autres…’ Comme je l’ai dit, nous aurions pu faire un grand feu d’artifice, mais ce n’était pas ce que nous voulions”.

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Malgré cette éviction en cours de saison, Peter Bayern entretient toujours des rapports cordiaux avec l’ancien pilote de F1.

Nous l’avons eu au téléphone avant-hier. Il est heureux, il va bien, il est en paix. Il est content de la façon dont ça s’est passé.”

Le PDG de l’écurie n’exclut cependant pas de revoir Daniel Ricciardo à l’issue de la saison. Pour le moment, il préfère laisser le pilote australien profiter de sa famille et de ses amis.

On verra bien. Soyons surpris. Pour l’instant, il se concentre sur lui-même, ses amis, sa famille, et il est heureux et satisfait. Je trouve aussi que c’est très bien que les pilotes réagissent comme ça. Daniel a beaucoup contribué à faire de ce sport ce qu’il est aujourd’hui. Et nous l’avons célébré en conséquence. Mais comme je l’ai dit, l’histoire de Singapour est ce qu’elle est”, a conclu Peter Bayer.

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“Bibgate” – Frédéric Vasseur assure “faire confiance” à la FIA

Frédéric Vasseur, directeur de la Scuderia Ferrari déclare “faire confiance” à la FIA, après que cette dernière a mis en lumière une potentielle entorse au règlement de la part de Red Bull.

En amont du Grand Prix des États-Unis et après une inspection faite par la FIA, Red Bull a reconnu que la RB20 était équipée d’un dispositif permettant d’ajuster la hauteur de la suspension même dans le parc fermé, entre les qualifications et la course. Cela constituerait une grave infraction au règlement technique.

Le Français à la tête de Ferrari affirme faire pleinement confiance à la FIA qui a effectué des contrôles sur la pièce litigieuse présente sur la RB20. Selon Red Bull, le dispositif n’a pas été utilisé et n’est pas accessible lorsque la voiture est entièrement assemblée. Sur ce point, Frédéric vasseur rappelle tout de même qu’il s’agirait “clairement d’une tricherie” si Red Bull avait actionné ce dispositif sous parc fermé.

Nous devons faire confiance à la FIA sur ce point”, a déclaré Vasseur à Sky Sports F1. « Je ne veux pas faire de commentaires sur des rumeurs, et je ne sais pas ce qui s’est passé parce que je ne suis pas dans l’équipe, donc je ne sais pas s’ils l’ont utilisé ou non. Mais s’ils l’utilisent, c’est clairement de la triche, ce n’est pas une zone grise.

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C’est le jeu en F1, jouer avec la limite du règlement, se placer dans cette fameuse “zone grise” ou, “si rien ne l’interdit alors on peut le faire.

Nous avons eu des tonnes de zones d’ombre depuis le début de la saison, mais si c’est le cas, ce ne serait pas du tout une zone d’ombre… nous devons faire confiance à la FIA”, a conclu Frédéric Vasseur.

Les Ferrari de Frédéric Vasseur, pilotées par Charles Leclerc et Carlos Sainz s’élanceront ce soir depuis la troisième et la cinquième place sur la grille de départ de la course sprint. Une belle opération pour la firme italienne, seule écurie du top 4 à avoir réussi à placer ses deux monoplaces dans le top 5. Si le titre pilote semble inaccessible pour Charles Leclerc et Carlos Sainz, Ferrari peut encore rêver de la seconde place au classement des constructeurs et pourquoi pas de la couronne mondiale.

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Piastri pense que les autres écuries “sont un peu plus fortes“ à Austin

La qualif sprint d’Oscar Piastri ne s’est pas déroulée comme il le souhaitait. Alors qu’il vise encore des victoires en cette fin de saison, le pilote australien devra s’élancer depuis le fond de la grille de départ de la course sprint, en 16e position.

Oscar Piastri a pensé un temps réussir à s’extraire de la SQ1, cependant, en dépassant les limites de piste, il a vu son ultime temps être annulé. Dans le virage 19, le pilote de la McLaren n’est pas parvenu à garder au moins une roue du bon côté de la ligne, annihilant ses chances de passer en SQ2. Heureusement pour lui, il pourra se rattraper lors de la séance qualificative du Grand Prix.

Nous avons fait quelques erreurs dans le dernier secteur, mais dans l’avant-dernier virage, j’ai essayé d’aller un peu trop vite”, a déclaré Piastri. “C’est dommage, mais ce qui est bien avec les week-ends de sprint, c’est que nous avons une autre chance [samedi].”

Son voisin de garage, Lando Norris, est quant à lui parvenu à signer le quatrième temps de la séance à 0,250s de son rival pour le titre, Max Verstappen.

Revenant sur sa contreperformance à l’issue de la qualif sprint, Oscar Piastri a prévenu son écurie que les autres équipes semblaient plus performantes ce week-end.

La voiture va bien, mais elle n’est peut-être pas aussi forte que lors des dernières courses, mais je ne pense pas que ce soit parce que nous sommes plus faibles. Je pense que les autres écuries sont peut-être un peu plus fortes, alors on verra bien.”

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McLaren vise toujours le titre constructeur

McLaren est toujours en tête du classement des constructeurs avec une avance de 41 points sur Red Bull.

Nous sommes toujours bien dans la lutte, nous ne sommes donc pas à des kilomètres derrière, mais c’est peut-être un peu plus difficile pour nous que lors des autres week-ends.”

Lucide, oscar Piastri sait que ce sera compliqué pour lui de remonter dans le top 8 lors de la course sprint.

Ce sera difficile [de marquer des points] de là où nous sommes, mais nous essaierons et nous verrons ce que nous pouvons faire”, a conclu le pilote McLaren.

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