Ferrari a inauguré l’Institut Sergio Marchionne en Italie

L’institut Sergio Marchionne, en hommage à l’ancien président de Ferrari, a été inauguré ce mercredi dans la ville d’Amatrice en Italie.

Cet institut reconstruit après le tremblement de terre qui a frappé l’Italie centrale en 2016, a été rebaptisé cette semaine en l’honneur de Sergio Marchionne, décédé en juillet 2018.

L’idée de nommer le centre scolaire en hommage à l’ancien président de Ferrari a été proposée par le doyen et les enseignants afin de rappeler que Sergio Marchionne a été l’une des figures fondamentales de la construction du bâtiment.

Sergio Marchionne a annoncé la décision d’aider les victimes du séisme en août 2016 en mettant aux enchères la 500e LaFerrari [le modèle Hypercar de la marque de Maranello].

Cet engagement s’est ensuite concrétisé, en accord avec la communauté locale, avec la reconstruction de l’école d’Amatrice à laquelle ont été alloués les 6,5 millions d’euros issus de la vente aux enchères de cette voiture d’exception.

Une valeur record jamais atteinte auparavant par une voiture du 21ème siècle et surtout un record de solidarité.

Lors de son discours, John Elkann, président de FCA et Ferrari, a annoncé que les relations avec l’Institut Sergio Marchionne se poursuivraient: Ferrari offrira aux meilleurs étudiants la possibilité de vivre une expérience de formation à Maranello, avec la possibilité pour les plus méritants de faire connaissance de plus près encore avec l’entreprise.

Ce lien a été également symbolisé par le don d’un moteur Ferrari qui est l’un des symboles les plus importants de la société au cheval cabré.

Babypod 20 : La technologie de la F1 au service de la médecine

Williams Advanced Engineering, l’activité de technologies et de services d’ingénierie du groupe Williams, a conçu et fabriqué un dispositif de transport pour nourrisson.

Les normes de sécurité de la Formule 1 se sont considérablement améliorées au fil des ans grâce à l’utilisation de cellules de survie du pilote en fibre de carbone extrêmement solides mais également très légères.

Travaillant en collaboration avec Advanced Healthcare Technology (AHT), Williams Advanced Engineering a conçu et fabriqué le Babypod 20 pour le marché du transport d’urgence pour les nourrissons.

Auparavant, cela nécessitait l’utilisation d’incubateurs lourds et encombrants, des dispositifs nécessitant non seulement une alimentation en électricité, mais également des véhicules spécialisés. Le Babypod 20 fournit l’environnement dont un bébé a besoin à un prix nettement inférieur à celui d’un incubateur de transport standard.

Légère et facile à manipuler, Babypod 20 peut être fixée à n’importe quel brancard de transport, que ce soit sur un chariot, dans une ambulance, une voiture ou même un hélicoptère.

Ces dispositifs de transport haute technologie en fibre de carbone, capables de résister à un crash de 20 G, ont été lancés dans les ambulances de soins intensifs utilisées à l’hôpital Great Ormond Street, situé à Londres en Angleterre.

Ils ont également été utilisés par le service de transport pour enfants, qui a également fourni des conseils sur les exigences de conception.

Daniel Ricciardo se fiche de perdre environ 3 secondes au tour en 2021

Avec l’introduction des nouvelles règles en 2021, les temps au tour pourraient sensiblement augmenter en Formule 1.

Avec des ailerons plus petits et des monoplaces plus lourdes, les pilotes devraient avoir plus de mal à trouver de l’appui dans les virages en 2021, ce qui nous donnera des vitesses de passage en courbes bien moins élevées qu’en 2019.

Selon les premières estimations, les Formule 1 devraient perdre environ 3 secondes au tour en 2021, ce qui ne dérange absolument pas Daniel Ricciardo, qui préfère avoir des courses serrées plutôt que des records en qualifications.

« Je m’en fiche, ça ne me dérange pas, l’une des années les plus amusantes que j’ai vécues en F1 était 2014 et les voitures étaient alors huit secondes plus lentes que maintenant. » révèle le pilote Renault.

« Tant que nous arrivons à courir durement et assez proches…lors d’une réunion à Austin, la FOM filmait une course de Karting sur la piste de Karting, et il y avait quelques batailles intéressantes et j’ai pris du plaisir à les regarder, même à 30 km/h. Mais dès que c’est serré, c’est assez excitant. »

« Je préfère avoir de bonnes courses, plutôt que des records du tour a la file indienne. Donc, trois secondes de moins, ça me va. »

« Bien-sûr idéalement nous devrions garder le même rythme ou même aller plus vite, mais nous voudrions toujours aller plus vite. Il ne faut pas se méprendre, et si nous devions choisir, j’opterais pour des temps plus lents avec de bonnes courses, plutôt que des temps plus rapides sans bonnes courses. »

Pirelli et McLaren testent les pneus 18 pouces au Paul Ricard

Le manufacturier unique de la Formule 1, Pirelli, est actuellement sur le circuit Paul Ricard dans le sud de la France pour tester les gommes 18 pouces 2021.

L’une des grosses nouveautés de la saison 2021 sera l’introduction des roues 18 pouces en Formule 1, alors que ces dernières seront déjà introduites dès l’an prochain en Formule 2.

Le manufacturier unique de la Formule 1 est sur le circuit Paul Ricard cette semaine pour deux journées d’essais [jeudi et vendredi] avec ces gommes 18 pouces et bénéficie de l’aide de l’équipe McLaren.

L’écurie britannique a fourni à Pirelli une monoplace aux spécifications 2019 mais légèrement modifiée pour pouvoir accueillir les roues de 18 pouces qui seront la norme dans un peu plus d’un an en catégorie reine du sport automobile.

C’est le pilote espagnol Carlos Sainz qui est au volant de cette McLaren MCL34 durant les deux journées de tests sur le Paul Ricard.

Ce ne sont pas les premiers essais avec les roues de 18 pouces pour Pirelli, puisque déjà au mois de septembre dernier, la firme milanaise a effectué des tests avec l’équipe Renault et le pilote de réserve Sergey Sirotkin au volant d’une RS18 [2018] modifiée pour l’occasion.

Notez que ces essais se déroulent à huis clos sur le Paul Ricard et que nous sommes donc tributaires des informations fournies par Pirelli.

Red Bull aborde 2020 avec confiance

Le patron de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner s’apprête à aborder la saison 2020 avec une grande confiance.

Depuis le début de l’année, Red Bull Racing a signé huit podiums [sept pour Verstappen et 1 pour Daniil Kvyat en Allemagne], ainsi que deux victoires en Autriche et en Allemagne.

Pour le patron de l’écurie de Milton Keynes, ces résultats sont plus qu’encourageants pour ce qui fut la toute première saison disputée avec un moteur Honda monté à l’arrière de la RB15 et qui a été tant critiqué au cours des dernières années.

Pour la saison 2020, Horner s’attend donc à ce que la RB16 [prochaine monoplace] soit compétitive dès le début de l’année, alors que les réglementations ne changeront pas cet hiver.

« La voiture a vraiment bien fonctionné lors des dernières courses et ce qui est très encourageant pour nous, c’est que les règlements seront stables l’an prochain. Tout ce que nous pouvons apprendre cette année sera présent sur la RB16 l’année prochaine. » a expliqué Christian Horner, le team principal de l’équipe Red Bull Racing.

Au championnat du monde des constructeurs, Red Bull Racing occupe la troisième position avec 366 points inscrits en dix-neuf courses et accuse un retard de 113 points sur la Scuderia Ferrari à deux courses de la fin de saison.

Ricciardo dévoile le point faible de Renault par rapport à McLaren

Daniel Ricciardo a souligné la plus grande faiblesse de l’équipe Renault par rapport à l’écurie McLaren.

Pour le pilote australien, McLaren est capable de mieux performer que Renault en qualifications, alors que l’équipe du constructeur français revient dans le match le dimanche en rythme de course.

Le week-end dernier au Grand Prix des Etats-Unis, Daniel Ricicardo s’est élancé depuis la neuvième position sur la grille de départ mais a réussi à franchir la ligne d’arrivée à la sixième place, devant les deux McLaren.

« En séparant qualifications et course, il semble que McLaren a plus de facilité pour extraire un bon temps au tour. » explique Daniel Ricciardo.

« Cette fenêtre dont nous parlons semble être un peu plus grande pour eux. De notre côté, en qualifications nous ne pouvons pas tirer le meilleur parti parce que nous risquons davantage de commettre des erreurs dans les réglages. »

« Mais en course, une fois que le rythme est rétabli et que vous n’êtes plus à la limite du pneu… notre fenêtre s’agrandit naturellement et nous sommes en mesure de revenir vers eux. »

« C’est encourageant, nous connaissons certaines des raisons. Même le vendredi [à Austin] je n’étais pas très fort sur les longs relais, donc, être le meilleur du reste et battre les deux McLaren, c’est vraiment encourageant. »

A deux courses de la fin de saison, Daniel Ricciardo occupe la neuvième place au classement des pilotes avec 46 points inscrits depuis le début de l’année.

Mercedes explique la sous-performance d’Hamilton en qualifs à Austin

Mercedes a révélé que la baisse soudaine de performance de Lewis Hamilton lors de la dernière phase des qualifications à Austin était due à un problème avec l’un des boutons de son volant.

A Austin, Lewis Hamilton n’a pas réussi à faire mieux qu’une cinquième position pendant les qualifications du Grand Prix des Etats-Unis au volant de sa Mercedes.

Plus habitué à la première ligne qu’ à la troisième, le pilote britannique a en réalité rencontré un problème lors de son tour rapide en Q3, comme l’explique James Vowles.

« Sous sa main droite il y a un bouton, et ce bouton ajuste le frein moteur. Normalement, il y a une sécurité, mais cette sécurité s’est accidentellement déconnectée. » explique James Vowles, stratège en chef chez Mercedes.

« A chaque fois qu’il tournait le volant, il a accidentellement modifié le frein moteur, ce qui lui a fait perdre de la performance vers la fin du tour. »

« L’un des mécaniciens l’a repéré immédiatement, à la seconde où la voiture est revenue [au stand]. Mais bien-sûr, son premier run était déjà compromis. »

« Pour le second run, vous avez pu voir que tout le monde avait ralenti. La piste était moins rapide [vent, température…] et Lewis n’a pas été en mesure de se battre à l’avant. Il a terminé cinquième sur la grille. »

Finalement, cela n’aura pas empêché Lewis Hamilton d’être titré une sixième fois dans sa carrière le lendemain en terminant la course à la seconde position.

Kevin Magnussen veut que son équipe s’inspire de ses résultats signés en 2018

Kevin Magnussen estime qu’un résultat tel que celui signé en 2018 doit rappeler à l’équipe qu’elle est capable de terminer plus haut.

L’an dernier, Haas F1 Team a terminé à la cinquième position au classement des constructeurs pour sa troisième année en Formule 1.

Selon Magnussen, son équipe doit garder en tête cette belle performance de 2018 pour aller de l’avant et tenter d’oublier la saison 2019 complètement ratée.

« Nous avons eu une année sabbatique cette année, ce qui n’est pas fantastique, mais nous avons terminé cinquième du championnat l’année dernière, ce qui n’était pas simple. » explique Kevin Magnussen.

« C’était une chose assez impressionnante à faire pour la troisième année de l’équipe. Toro Rosso ne l’a jamais fait, n’a jamais terminé cinquième, nous avons donc déjà terminé plus haut que Toro Rosso. »

« Très vite, les gens commencent à oublier ça, et même nous, nous en voulons toujours plus. Parfois, il est bon de s’arrêter et de regarder en arrière et de constater que nous avons vraiment bien réussi et que nous pouvons le faire à nouveau. »

« Nous sommes toujours en train d’apprendre des choses, mais nous sommes à un point où nous comprenons notre problème. »

« Nous testons des choses pour l’année prochaine. C’est vraiment un changement de cap et nous essayons bien sûr de tirer tout ce qui est en notre pouvoir pendant que la saison se poursuit. »

« Mais en termes de développement et de recherche, tout se passera l’année prochaine. Je suis très positif à ce sujet. »

Cette saison, l’écurie américaine occupe la neuvième position avec seulement 28 points marqués depuis le début de l’année. A deux courses de la fin de saison, Haas devrait au mieux espérer rattraper Alfa Romeo en huitième position avec sept points d’avance.

Les classements F1 2019 après Austin

Les classements F1 2019 après Austin

Charles Leclerc : « Vous devez toujours vous rappeler d’où vous venez »

Aujourd’hui au sommet de la F1 avec Ferrari, Charles Leclerc n’a jamais oublié qu’il avait débuté dans le sport automobile grâce au karting.

Le Monégasque a souhaité profiter de sa réputation grandissante pour créer sa propre marque de kart afin de contribuer au développement de la discipline auprès d’un public plus large.

C’est tout naturellement qu’il s’est tourné vers une grande marque italienne, bien établie dans le monde entier et réputée pour la qualité de sa production. Pour Charles Leclerc, Birel ART est le choix de son cœur et de sa tête.

« Vous devez toujours vous rappeler d’où vous venez. » a déclaré le pilote Ferrari Charles Leclerc.

« Je sais ce que je dois au karting: tout! C’est là que ma passion pour le sport automobile s’est établie, c’est là que j’ai appris les bases qui m’ont permis de progresser jusqu’au sommet de la pyramide et c’est aussi là que j’ai rencontré Quelques-unes des personnes importantes qui m’ont soutenue par la suite. »

« J’étais déterminé à faire quelque chose pour le karting depuis longtemps, et je pense que le moment est bien choisi. »

« Les compétences de Birel ART ont récemment été confirmées par un magnifique doublé au Championnat du Monde KZ. Je souhaitais que le châssis portant mon nom puisse très bien performer dans un large éventail de conditions. »

« Seule une grande usine comme Birel ART peut garantir une qualité de la production à grande échelle. »

Produit dans l’usine Birel ART de Lissone, près de Monza, où Charles Leclerc a décroché la deuxième victoire de sa carrière en F1, le châssis de Charles Leclerc comprend une gamme complète bientôt disponible pour les catégories location, bébé, mini, junior, KZ et Rotax.

Lewis Hamilton : « Seb et moi avons énormément de respect l’un pour l’autre »

Lewis Hamilton insiste sur le fait qu’une véritable relation d’amitié s’est créée au fil des années avec son adversaire Sebastian Vettel.

Le pilote Mercedes souligne à quel point le respect mutuel entre lui et le pilote Ferrari a été un élément important dans les luttes que se sont livrés les deux hommes ces dernières années en piste,

Bien que pour cette saison 2019 Sebastian Vettel n’a jamais été en mesure de se battre directement contre Lewis Hamilton pour le titre, les deux hommes ont déjà connu des situations conflictuelles en piste par le passé.

Mais au delà de cette rivalité sportive, les deux pilotes se sont toujours très appréciés en dehors de la piste et, le geste de Sebastian Vettel dimanche dernier à Austin qui est venu dans la cool room après la course pour féliciter Lewis Hamilton pour son sixième sacre, fut une autre preuve de ce respect mutuel.

« Seb [Vettel] et moi avons énormément de respect l’un pour l’autre. » a expliqué le sextuple champion du monde Lewis Hamilton.

« Je pense que ça a grandi avec le temps, nous avons été à la pointe du sport et nous apprécions tous les deux combien il est difficile individuellement de faire ce que nous faisons. »

« Au fil du temps, Seb a fait son travail à sa manière et je le fais à ma manière, et nous respectons cela l’un envers l’autre. Il n’y a pas de jugement, et je pense que les dures batailles que nous avons eues ensemble nous ont rapproché à cet égard. »

Charles Leclerc lance sa marque de Karting

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a lancé sa propre marque de Karting ce mercredi en association avec Birel Art.

Le pilote monégasque avait donné rendez-vous à ses fans sur les réseaux sociaux ce mercredi à 11h00 pétante pour l’annonce d’une grande nouvelle.

« Je suis très heureux d’annoncer que je vais maintenant avoir ma propre marque de Karting. » a écrit Leclerc sur son compte Twitter.

« J’ai commencé à courir il y a 18 ans en rêvant de la Formule 1, la plupart des meilleurs moments dans le sport automobile remontent au Karting, mais c’est aussi la catégorie dans laquelle j’ai le plus appris. J’ai vraiment hâte de voir cette beauté sur la piste. »

Le Karting « Charles Leclerc » arbore une déco spéciale reprenant le numéro de course du pilote Ferrari sur le réservoir, ainsi que les initiales du Monégasque sur la carrosserie.

Nico Hülkenberg qualifie de « Fake News » la rumeur l’envoyant en DTM chez BMW

Le pilote Renault Nico Hülkenberg a nié catégoriquement les dernières nouvelles concernant son avenir et plus particulièrement la rumeur selon laquelle il rejoindrait BMW en DTM en 2020.

L’Allemand quittera l’équipe Renault à la fin de la saison 2019 pour être remplacé par le Français Esteban Ocon l’an prochain au sein de l’équipe du constructeur français.

Depuis l’annonce de son départ au mois d’août, pas une semaine ne se passe sans qu’une nouvelle rumeur ne naisse concernant l’avenir d’Hülkenberg.

Une nouvelle fois, le pilote allemand a dû démentir la rumeur selon laquelle il rejoindrait l’an prochain l’équipe BMW en DTM et a répondu directement au média concerné via son compte Twitter.

« Merci pour pour la mise à jour de mon avenir. La prochaine fois vous ferez peut-être un peu moins d’agitation ? #FakeNews » peut-on lire sur le compte Twitter de Nico Hülkenberg.

1934, Renault bat des records avec sa Nervasport

En 1934, Renault bat des records avec sa Nervasport équipée d’un moteur huit cylindres et permet au constructeur français d’entrer dans l’âge d’or du sport automobile.

Une dizaine d’années après les records du monde établis par la Renault 40 CV, Louis Renault demande à ses équipes de travailler sur une nouvelle voiture à même d’affoler les chronomètres.

Mission accomplie avec la Nervasport, véhicule de records ! Le cahier des charges de la Nervasport des Records est assez simple : moteur de série prélevé sur la chaîne de montage, caisse soutenue par une armature en bois sur un châssis de série et une carrosserie ayant la vitesse pour unique objectif.Renault Nervasport

L’aérodynamique est confiée à un ingénieur spécialisé́ dans les profils d’avions de course et la filiation semble évidente tant la monoplace offre une ligne fuselée : long capot arrondi à son extrémité, arrière resserré… Alimenté par un moteur huit cylindres de 4 825 cm3, la Nervasport associe puissance et aérodynamisme.

Le 4 avril 1934, elle s’aligne sur la piste de Montlhéry pour un record d’endurance de 48 heures. Le record visé est de 6 300 kilomètres à une moyenne supérieure à 132 km/h.

Image
Au fil des relais de trois heures effectués par Roger Quatresous, Louis Fromentin, André Wagner et Georges Berthelon, ses quatre pilotes placés sous la responsabilité́ d’Auguste Riolfo, la Nervasport des Records boucle finalement 8 037 km à la moyenne de 167,445 km/h !

Sur la ligne d’arrivée, neuf records internationaux et trois records du monde – dont ceux de vitesse moyenne sur 4000 et 5000 miles – tombent dans son escarcelle et font entrer un peu plus Renault dans l’âge d’or du sport automobile.

Grosjean assure que Gene Haas comprend la situation compliquée de l’équipe Haas

Romain Grosjean estime que son patron Gene Haas, qui a déjà une expérience en NASCAR, comprend parfaitement la situation compliquée que vit l’équipe en 2019.

Bien que l’équipe Haas connait cette année sa pire saison en Formule 1 avec une monoplace complètement ratée, le Français Romain Grosjean estime que l’expérience de son patron du côté du NASCAR avec son écurie Stewart-Haas Racing aux Etats-Unis peut être un véritable atout.

Selon Grosjean, Gene Haas peut parfaitement comprendre que le sport automobile peut être cruel parfois et qu’une équipe peut se retrouver du jour au lendemain en bas de la grille pour différentes raisons.

« Je suis à peu près tous les résultats du NASCAR. C’est très excitant et l’équipe fonctionne bien cette année. Évidemment, les play-offs sont aussi très existants, mais je garde toujours un œil sur le Stewart-Haas Racing. » nous a expliqué Romain Grosjean.

« Avoir Gene Haas [patron de l’équipe Haas], qui connaît la course, savoir comment cela fonctionne, nous aide beaucoup. »

« Il comprend que les choses ne peuvent pas toujours aller directement comme nous le voudrions et il a été très utile dans la construction de notre équipe Haas [en F1]. De toute évidence, le NASCAR et la Formule 1 sont différents, mais il a une vue d’ensemble et cela nous aide beaucoup. »

Romain Grosjean a d’ailleurs pu tester une voiture de NASCAR le week-end dernier sur le circuit d’Austin en marge du Grand Prix des Etats-Unis et en a gardé un très bon souvenir.

« Franchement c’était top ! La voiture est agile, c’est surprenant d’ailleurs, y compris dans les portions rapides. Encore une fois, ça fait plus de 1800 kilos et il n’y a pas d’aileron, donc, sans surprise, ça va bouger un peu, mais c’est cool. »

« La boîte de vitesses m’a agréablement surpris, c’est une boîte 4 en H, ça passe tout seul et il n’y a même pas besoin de débrayer. »

« Cela faisait un moment que je voulais essayer la NASCAR, alors que normalement je leur dois une course par année en Cup sur routier ou ovale, mais je leur ait dit non. »

Tests pneus 2020: Pirelli rappelle que l’objectif n’était pas de fournir plus d’adhérence

Mario Isola, le directeur de Pirelli, n’accorde pas une grande valeur aux tests effectués par les équipes avec les gommes 2020 le week-end dernier sur le tracé du COTA à Austin.

Vendredi dernier lors des deux premières séances d’essais libres du Grand Prix des Etats-Unis, les pilotes on pu tester les pneus prototypes que Pirelli compte introduire l’année prochaine en F1.

Mais après une journée de roulage sur le circuit d’Austin, les retours des pilotes n’étaient pas très bons, pour ne pas dire désastreux. Mais Isola a laissé entendre que les équipes ne devraient pas oublier le fait que les pneus testés n’étaient pas forcément adaptés aux monoplaces 2019.

« Tout d’abord il faisait très froid pendant ce test. » explique Mario Isola dans un entretien accordé à nos confrères de GPToday.net

« Avec des températures basses et des courts relais, il était impossible de déterminer le niveau des nouveaux pneus, mais l’objectif n’était pas d’augmenter l’adhérence. »

« Le niveau d’adhérence devrait être à peu près le même, mais les pneus devraient se comporter de manière plus cohérente. C’est exactement ce que nous avons constaté lors des tests précédents, car la construction et les composés 2020 ont été testés à plusieurs reprises sur différentes voitures. »

« De façon générale, nous avons constaté que le pneu était plus cohérent. Il nous manque aussi un autre élément qui est la fenêtre d’exploitation et il n’était pas possible de l’apprendre ici. »

« L’autre point à garder à l’esprit est que les voitures sont optimisées pour les pneus 2019. Les nouveaux pneus, en particulier à l’arrière, ont un profil différent. Il est donc possible que les équipes aient perdu un certain nombre d’appuis en raison de l’installation de ces nouveaux pneus. »

Robert Kubica confirme de « nouvelles opportunités » pour 2020

Le Polonais Robert Kubica se veut confiant quant à son avenir en Formule 1 à partir de la saison prochaine.

L’actuel pilote Williams, qui quittera l’écurie britannique à la fin de la saison, confirme être en discussions avec une ou plusieurs équipes, mais le Polonais ne veut pas trop s’emballer et préfère attendre d’avoir signé un contrat.

On sait désormais que Robert Kubica est en pourparlers avec l’équipe américaine Haas, où il devrait assurer un rôle de pilote de réserve et participer à des séances dans le simulateur.

Robert Kubica bénéficie du soutien de la société PKN Orlen, ce qui facilité grandement les négociations avec une équipe comme Haas, qui n’a plus de sponsor titre depuis le départ de Rich Energy en cours de saison.

« Les choses vont assez bien, je dirais. Il y a probablement de nouvelles opportunités, ou des différentes, qui se sont révélées ces derniers temps. » a expliqué Kubica.

« Il faudra donc voir si nous pouvons tout mettre ensemble et si cela se produit, je peux avoir un mois de décembre bien et détendu, quelque chose de bon doit arriver, mais jusqu’à ce qu’il n’y ait pas de décision finale, nous devons rester réalistes. »

« Tant qu’il n’y a pas de signature de contrat, il vaut mieux rester réaliste. Pour une raison quelconque, ce pourrait être plus compliqué que je ne le souhaiterais, mais si c’est plus compliqué, cela signifie que de bonnes opportunités existent. »

« Je pense que ce serait plus un problème si les choses étaient faciles, parce que cela signifierait qu’il ne se passe rien. Nous devons donc encore attendre. »

Le pilote polonais a rappelé qu’en dépit des résultats médiocres de l’équipe Williams cette saison, son talent n’avait pas disparu du jour au lendemain.

« Bien que cette saison soit très décevante et que nous n’ayons pas fait de gros progrès au cours de l’année, les gens connaissent toujours ma valeur. »

« Il est donc possible que je puisse contribuer à aider certaines équipe, ce qui est un point positif. Certains estiment que je peux faire du bon travail, ce qui est très positif à voir, surtout après une année si décevante. »

Peter Windsor estime que Ferrari a gagné environ 70 chevaux avec le débit de carburant

Peter Windsor, ancien manager de l’équipe Williams et qui est également passé par la Scuderia Ferrari en tant que directeur, estime qu’il est évident que Ferrari a contourné la réglementation pour gagner de la puissance.

Selon Peter Windsor, la Scuderia Ferrari aurait gagné environ 70 chevaux en puissance pure grâce à ce contournement de la réglementation.

« Il est clair que Ferrari a fait quelque chose avec l’alimentation en carburant. Le nouveau règlement mesure le flux du carburant à un moment donné, mais cela ne s’est produit que lorsque la vitesse de la Ferrari était basse. Ils me l’ont expliqué, ce qui est difficile à croire, mais c’est vrai. » explique Peter Windsor.

Pour le Britannique, Ferrari a non seulement gagné de la vitesse dans les lignes droites, mais également de la puissance en sortie de virage, ce qui permet à la SF90 d’effectuer de belles relances.

« Ce qui est moins difficile à croire, c’est que cela n’a pas eu d’impact sur la puissance : environ 70 chevaux. Cela ne concerne pas seulement la vitesse de pointe, mais aussi l’accélération. »

« Peut-être est t-il préférable que cela ait été mis en lumière maintenant, plutôt qu’à la seconde course de la saison. Sinon, je pense qu’à chaque course nous aurions vu les deux Mercedes signer un doublé et avec Max Verstappen comme seul rival. »

Guenther Steiner n’en peut plus de cette saison 2019 cauchemardesque pour son équipe

Avec un abandon pour Kevin Magnussen et une quinzième place pour Romain Grosjean à Austin, le directeur de l’équipe Haas en a assez de cette saison 2019 interminable.

Toujours dans l’incompréhension la plus totale avec le comportement de sa monoplace, l’équipe américaine Haas n’en voit plus la fin cette année.

Le directeur de l’écurie, Guenther Steiner, admet qu’il ne souhaite plus qu’une seule chose désormais, que l’on sonne la fin de la saison 2019 et donc la fin d’un long cauchemar.

« Dieu merci ! » a déclaré Steiner lorsqu’on lui dit qu’il ne reste que deux courses avant la fin de la saison 2019.

« Je serais heureux s’il n’y en avait qu’une en fait. C’est vraiment difficile, comme vous pouvez le constater, nous n’avons rien… »

« Nous travaillons uniquement sur la défensive et c’est difficile. C’est comme avoir une équipe de football avec 11 défenseurs et personne en attaque, et tout le monde vous attaque et vous ne pouvez rien faire. »

« Nous essayons simplement de limiter les dégâts, et même quand tout le monde fait du bon travail, ça ne fonctionne pas et nous ne pouvons rien faire. Il est devenu évident que chaque stratégie que nous appliquons est fausse, nous sommes toujours en retrait dû à un manque de vitesse. »

Au championnat du monde des constructeurs, l’équipe Haas occupe la neuvième place avec 28 points marqués depuis le début de l’année.

Offrez-vous la Rodin FZED, une véritable Formule 1 !

Le constructeur Néo-Zélandais Rodin propose aux particuliers une véritable monoplace de Formule 1 équipée d’un moteur V8 de près de 700 chevaux.

Vous êtes un vrai fan de Formule 1 ? Vous rêvez d’avoir dans votre garage une monoplace capable de rouler à plus de 300 km/h ? Alors n’hésitez pas une seule seconde et contactez vite le conseiller commercial de votre agence bancaire pour lui demander de préparer environ 600 000 euros.

La Rodin FZED, basée sur la Lotus T125 présentée en 2011, est équipée d’un moteur Cosworth V8 d’environ 700 chevaux à 9200 t/M et, qui peut fonctionner avec de l’essence normale, alors que le poids de la monoplace sur la balance est d’environ 600 kilos.

Image

Outre le moteur Cosworth, vous disposerez d’une boîte de vitesses séquentielle à six vitesses Ricardo, de freins en carbone céramique Brembo, d’amortisseurs réglables à quatre directions d’Öhlins, et de roues OZ Racing équipées de pneus Avon.

Image

Le patron de la société, l’Australien David Dicker, lui-même pilote en Ferrari Challenge, a déclaré qu’il avait « des projets importants pour développer Rodin Cars dans le futur. » Rodin est considérée comme une entreprise sérieuse, spécialisée dans la construction de voitures de piste hautement performantes.

La Rodin FZED en vidéo :

McLaren « travaille dur » pour s’améliorer sur les arrêts au stand

L’équipe McLaren est bien consciente d’avoir perdu beaucoup de points cette année après quelques arrêts au stand ratés.

Le dernier arrêt au stand raté de McLaren fut au Grand Prix du Mexique, où un pistolet n’a pas serré la roue avant gauche sur la monoplace de Lando Norris, alors que le Britannique se battait à ce moment-là pour de gros points en piste.

Norris a été obligé de stopper sa monoplace au bout de la voie des stands en attendant que ses mécaniciens viennent le récupérer pour le pousser jusqu’à son emplacement et enfin serrer la roue concernée.

Au final, Lando Norris s’est retrouvé en fond de grille et a dû abandonner quelques tours plus tard sur décision de l’équipe.

Andreas Seidl explique que les arrêts au stand font partie des domaines dans lesquels McLaren devra impérativement s’améliorer pour espérer aller jouer le titre l’an prochain.

« Un domaine dans lequel notre équipe doit encore beaucoup s’améliorer ce sont les arrêts au stand. » explique Andreas Seidl, le team principal de McLaren à Crash.net.

« C’est domaine sur lequel nous travaillons très dur. Mais malheureusement, cela prend du temps, et cela fait partie des domaines dans lesquels nous travaillons pour devenir une meilleure équipe. »

« Nous devons aider l’équipe, en particulier les mécaniciens, en mettant à jour le matériel et les équipement autour de la voiture, simplement pour leur permettre de faire des arrêts de qualité et plus fiables. »

« La différence entre les trois meilleures équipes réside non seulement dans leurs performances en piste, mais également dans la manière dont elles réalisent, week-end après week-end, des résultats constants. »