Charles Leclerc a connu une « journée parfaite » au volant de la SF71-H

Avec plus de 100 tours au compteur au volant d’une Ferrari SF71-H pour sa première journée de classe en cette année 2021, Charles Leclerc s’est beaucoup amusé ce mardi sur la piste de Fiorano.

Le Monégasque a pu reprendre la piste au volant d’une F1 pour la première fois depuis la dernière course de la saison 2020 disputée à Abou Dhabi en décembre dans le cadre d’un test privé organisé par son équipe cette semaine en Italie.

« Remonter dans la voiture était super, en fait c’était génial! Revoir mes mécaniciens, mettre la combinaison de course, faire mon échauffement, mettre mon casque et enfin sauter dans la voiture et appuyer sur le bouton du démarreur… le son d’un moteur Ferrari est toujours magique. » a déclaré Leclerc après sa journée de roulage.

« La journée était tout simplement parfaite et nous avons accompli tout le travail que nous avions prévu de faire. »

« Je me suis vraiment amusé! Je passe maintenant la main à Carlos et je lui souhaite la meilleure des chances pour demain (ce mercredi). »

En effet, ce mercredi c’est au tour du nouveau pilote de l’écurie italienne, Carlos Sainz, de prendre le volant d’une monoplace rouge pour la première fois de sa carrière.

L’Espagnol va profiter de cette première journée de tests pour s’habituer aux procédures Ferrari et travailler avec ses nouveaux ingénieurs. Il sera de nouveau en piste ce jeudi.

La réalisation du documentaire sur Michael Schumacher est terminée

La réalisation du documentaire sur le septuple champion du monde Michael Schumacher, auquel participent sa femme et ses enfants, est désormais terminée a annoncé la réalisatrice, cependant, la présentation officielle du film a de nouveau été reportée.

Initialement prévue pour le 5 décembre 2019, la sortie du documentaire sur Michael Schumacher a déjà été reportée à la fin de l’année dernière, et on apprend aujourd’hui que la réalisation est désormais achevée en ce début d’année 2021.

« Le documentaire est terminé. » a révélé la réalisatrice et productrice du film, Vanessa Nöcker, dans des déclarations pour le journal allemand Express tout en avouant qu’il n’y avait encore aucune date précise de sortie officielle.

« Le Covid-19 a grandement compliqué la situation, en ce sens, nous ne pouvons pas donner de date de sortie pour le moment et nous demandons donc un peu de patience. »

Le documentaire, incluant des images rares et personnelles de la famille, sera une approche de la vie professionnelle de Schumacher mais, en même temps, il se concentrera sur ses aspects les plus personnels.

« Le documentaire est censé dépeindre la carrière incomparable de Michael, mais il montre aussi les multiples facettes d’un homme complexe. » a déclaré Sabine Kehm, représentante et attachée de presse de Michael Schumacher.

Les informations sur l’état de santé de Michael Schumacher, victime d’un accident de ski en 2013 à Méribel, sont toujours aussi rares. Seules des informations en provenance de l’attachée de presse de Schumacher, Sabine Kehm, sont considérées comme officielles.

Vidéo : les premières images de Sebastian Vettel chez Aston Martin

L’équipe Aston Martin a publié ce mardi les premières images officielles du quadruple champion du monde de F1 Sebastian Vettel avec ses nouvelles couleurs.

Le pilote allemand – qui a quitté la Scuderia Ferrari à la fin de la saison 2020 après six années passées à Maranello – s’est rendu à l’usine d’Aston Martin cette semaine pour faire connaissance avec ses nouveaux collaborateurs.

Au programme pour Vettel, visite du site, moulage du baquet, rencontre avec les équipes d’ingénieurs d’Aston Martin et séance photos avec ses nouvelles couleurs.

Peu d’informations ont filtré de cette visite, mais l’équipe a tout de même publié aujourd’hui une courte vidéo dans laquelle on peut voir le quadruple champion du monde arriver au volant de sa nouvelle voiture de fonction et tout habillé de vert.

https://twitter.com/i/status/1354126965519773696

Rentrée des classes studieuse pour Charles Leclerc ce mardi à Fiorano

Le Monégasque Charles Leclerc était de retour au volant d’une Ferrari ce mardi 44 tours jours après le dernier Grand Prix de la saison 2020 disputé à Abou Dhabi en décembre dernier.

Charles Leclerc – qui vient de terminer une période de quarantaine après avoir contracté le Covid-19 lors de ses vacances à Dubaï – était sur la piste de Fiorano ce mardi au volant d’une SF71-H de la saison 2018.

Leclerc a pu boucler plus de 100 tours de piste aujourd’hui et a complété un programme concocté par Ferrari et visant à travailler sur certains domaines spécifiques en vue de la préparation de la saison 2021 avant les essais hivernaux programmés du 12 au 14 mars à Bahreïn et au cours desquels les pilotes pourront enfin piloter la monoplace 2021.

Présent sur place, le nouveau pilote Ferrari Carlos Sainz a pu regarder son coéquipier rouler aujourd’hui avant de faire ses débuts très attendus au volant d’une Ferrari ce mercredi.

Carlos Sainz sera également en piste ce jeudi matin, tandis que dans l’après-midi, ce sera au tour de Mick Schumacher de la Ferrari Driver Academy qui court pour Haas F1 Team cette année.

L’Allemand pilotera également vendredi matin, après quoi le pilote d’essai de la Scuderia Callum Ilott prendra le relais pour l’après-midi et clôturera cette semaine de tests organisée par l’équipe italienne.

Robert De Niro et John Boyega annoncés dans un film sur la F1 produit par Netflix

Netflix, en association avec la société Tribeca Films et Buppies Production, va produire un film mettant en scène un jeune homme devenu star de la Formule 1 et impliqué dans la mafia.

The Formula, c’est le nom de futur film, vous plongera dans le monde de la Formule 1 et racontera l’histoire d’un jeune homme issu de la ville de Détroit obligé d’utiliser ses talents de pilote pour sauver sa famille sur fond de mafia.

John Boyega (qui devrait incarner le pilote de F1) et Robert De Niro seront les deux acteurs principaux, tandis que Gérard McMurray s’occupera de diriger et produire le film.

« C’est juste incroyable de voir cette idée dans ma tête enfin prendre vie, je vais l’écrire, la réaliser et la produire. » explique Gerard McMurray.

« Ma nouvelle société de production Buppies Production fait équipe avec Tribeca Films et Netflix pour vous proposer un film original qui s’appellera The Formula avec deux de mes acteurs préférés, John Boyega et Robert De Niro. »

« C’est l’histoire d’un jeune homme de Détroit qui devient une star international dans le monde de la Formule 1, sous la tutelle de son mentor, qui a des liens avec la mafia. »

Pour le moment, on ne sait pas quand et où débutera le tournage du film, ni même si la réalisation aura accès à certains Grands Prix de Formule 1.

 

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James Key : Ricciardo aidera McLaren grâce à sa détermination et son expérience

Le directeur technique de l’équipe McLaren, James Key, estime que l’Australien Daniel Ricciardo a beaucoup à apporter à l’écurie britannique et sera certainement capable d’aider l’équipe à réaliser son rêve de devenir à nouveau une « équipe de premier plan ».

Cette saison, Daniel Ricciardo a rejoint l’équipe McLaren en remplacement direct de l’Espagnol Carlos Sainz, qui est devenu pour sa part pilote titulaire chez Ferrari aux côtés de Charles Leclerc.

Interrogé sur le podcast de Formule 1 F1 Nation pour savoir quelle serait l’ampleur du vide que le départ de Sainz créerait chez McLaren cette année, James Key a répondu: « Cela laissera un vide. Mais son remplaçant comblera très bien [l’écart]. »

« C’est formidable d’avoir Dan à bord, et après avoir travaillé avec lui… dans le passé, je sais qu’il apportera des opinions et des méthodes de travail nouvelles et différentes à l’équipe, ce qui sera le bienvenu. »

« Il y a donc un vide à combler, mais nous avons un gars formidable pour le combler. Il apportera une grande expérience. Il apportera également une touche plus légère et joviale dans certains cas. »

« C’est un personnage formidable aussi bien en voiture qu’à l’intérieur [de l’équipe], mais il apportera beaucoup d’expérience et une grande détermination. »

« Je pense que ce qui m’a toujours impressionné avec Daniel, c’est cette énorme détermination dont il dispose, en particulier au volant; vous pouvez vraiment sentir et voir cela. Vous écoutez ses messages radio quand il conduit, et c’est un personnage très différent de celui quand il est sorti de la voiture et détendu. »

« Il est incroyablement déterminé quand il court, et je pense qu’avec son expérience, sa confiance et ce qu’il peut faire, maintenant qu’il est un véritable vainqueur de course bien établi – je pense que tout cela apportera une bonne confiance à l’équipe, et un aspect légèrement différent de la façon dont nous voyons techniquement certaines choses avec la voiture. Il apportera de bonnes connaissances pour cela. »

« Nous aimerions évidemment devenir une équipe de premier plan, et je pense qu’avec son aide, nous pouvons faire plus de pas dans cette direction. »

« Je pense qu’il peut concourir [aux plus hauts échelons du sport], et nous l’avons vu le faire ces dernières années. Je pense qu’il fait partie de ces pilotes qui pourraient entrer dans l’une des meilleures équipes et bien réussir… Je l’apprécie extrêmement. »

McLaren : seule équipe de F1 à devoir passer un crash test en 2021

L’équipe McLaren – seule écurie de la grille à devoir homologuer son châssis 2021 en passant un crash test auprès de la FIA – a annoncé que la MCL35M avait réussi avec brio ce passage obligatoire.

En raison du peu de changement dans la réglementation technique en 2021 par rapport à 2020, neuf des dix équipes de la grille ont reporté le châssis de la monoplace 2020 pour construire leur monoplace 2021 sans devoir passer un crash test d’homologation.

McLaren pour sa part a dû repartir de zéro en raison du changement d’unité de puissance pour cette nouvelle saison (McLaren est passée du moteur Renault au Mercedes) et a donc dû faire homologuer son châssis 2021 auprès de la FIA.

Ce fameux crash test a été passé au mois de décembre dernier dans des conditions un peu particulières en raison de la crise sanitaire qui n’a pas permis aux membres de la FIA d’être présents sur place.

« L’homologation du châssis est toujours une étape importante. C’est une période difficile et anxieuse pour beaucoup de gens dans l’équipe. » nous explique Piers Thynne, directeur de production chez McLaren.

« Cela me rappelle quand ma femme a donné naissance à des jumeaux – la seule différence est que nous devons subir une homologation chaque année! Bien que nous soyons la seule équipe à avoir dû le faire pour la voiture de cette année, car toutes les autres équipes ont reporté leur châssis 2020 jusqu’en 2021. »

« Nous n’avions pas ce luxe en raison des modifications apportées au châssis pour accueillir le passage au bloc d’alimentation Mercedes. »

« Il y avait quelques défis, comme c’est le cas chaque année, mais un bon travail d’équipe entre la fabrication et la conception a permis au châssis d’être homologué à temps en décembre. »

« Le processus ne différait pas vraiment mais, en raison des restrictions du covid-19, la FIA ne pouvait pas être physiquement là pour assister au crash test. »

« Au lieu de cela, nous avons dû mettre en place des caméras et des liens en direct, afin qu’ils puissent voir toute l’instrumentation et suivre de près chaque étape du processus. »

De gros changements 

« Alors que toutes les autres équipes porteront la majeure partie de leur voiture de l’année dernière à cette année, notre passage au bloc moteur Mercedes signifie que ce n’est pas le cas pour nous. »

« Cela a entraîné d’énormes changements et, essentiellement, nous avons construit une nouvelle voiture. »

« Le nombre de nouvelles pièces sur la MCL35M est à peu près le même que lorsque nous avons construit la MCL35. »

« L’arrière du châssis et le carter de la cloche de la boîte de vitesses autour du moteur ont considérablement changé pour s’adapter au nouveau bloc d’alimentation. »

« Le changement du bloc d’alimentation modifie considérablement l’architecture de la voiture et la façon dont tout est emballé, de sorte que l’ensemble du système de refroidissement et toutes les tuyauteries – que ce soit pour le fluide ou l’air – ont changé, ainsi que tous les gaines électriques et les boîtiers de commande. »

 

McLaren prolonge son partenariat avec CNBC

McLaren Racing et le réseau mondial d’information économique, CNBC, ont annoncé aujourd’hui une prolongation de partenariat de plusieurs années qui permettra à CNBC de continuer en tant que partenaire officiel de l’équipe McLaren en Formule 1.

Dans le cadre du nouvel accord, CNBC et McLaren travailleront en étroite collaboration sur plusieurs événements dans le cadre du nouveau programme d’engagement B2B de McLaren qui doit être lancé plus tard cette année.

Dans le cadre de ce partenariat, le logo CNBC figurera sur les combinaisons des pilotes McLaren Lando Norris et Daniel Ricciardo, et sur les monoplaces de l’équipe McLaren, les MCL35M, en 2021 et au-delà.

« Depuis 2018, CNBC est un partenaire précieux de notre équipe et nous avons collaboré avec un réel succès pour renforcer le pouvoir des marques CNBC et McLaren à travers le réseau mondial des entreprises et des investisseurs. » nous explique Mark Waller, directeur commercial de McLaren Racing.

« Après deux années de succès, nous sommes ravis de continuer à créer et à amplifier le contenu et l’activité commerciale ensemble à l’échelle mondiale grâce à leur réseau de classe mondiale. « 

Marko espère que Steiner pourra garder ses pilotes « sous contrôle » en 2021

Le conseiller Motorsport chez Red Bull, le Dr Helmut Marko, espère que le directeur de l’équipe Haas, Guenther Steiner, sera capable de garder son nouveau duo de pilotes sous contrôle cette année en F1.

En 2021, la petite équipe Haas a signé deux nouveaux pilotes – Mick Schumacher et Nikita Mazepin – en remplacement direct de Romain Grosjean et Kevin Magnussen.

Schumacher et Mazepin se connaissent très bien pour avoir eu de grandes batailles en Formule 2 l’année dernière, mais cette année, ils devront avant tout travailler main dans la main pour essayer de faire avancer l’équipe Haas.

Au cours de la saison 2019, Guenther Steiner a clairement indiqué qu’il ne voulait pas instaurer de consignes d’équipe après plusieurs incidents entre ses deux pilotes en piste, mais finira finalement par changer d’avis en 2020.

Pour cette nouvelle saison, Helmut Marko est persuadé que Steiner continuera d’appliquer des consignes d’équipe à son nouveau duo de pilotes.

« C’est une tâche difficile, et j’espère que Guenther sera capable de les maitriser afin qu’ils travaillent de manière conforme pour l’équipe et non pas seulement égoïstement sur leurs propres performances. » a expliqué Marko à RTL.

« L’équipe doit toujours aller de l’avant et cela ne sera possible que si les deux pilotes travaillent bien ensemble. »

D’autre part, Marko rappelle que la saison 2021 sera avant tout une année d’apprentissage pour Mick Schumacher, l’Autrichien rappelant que le jeune allemand a toujours eu besoin d’une saison d’adaptation dans les catégories inférieures avant de montrer son véritable potentiel.

« Si vous regardez son développement dans les catégories inférieures, sa première année a toujours été une année d’apprentissage. »

« Je pense que sa première année en Formule 1 va être encore plus apprenante que jamais pour lui, tandis qu’il aura aussi une voiture clairement inférieure. »

Wolff s’attend à une équipe Red Bull « beaucoup plus forte » avec l’arrivée de Perez

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, s’attend à ce que Red Bull soit un adversaire beaucoup plus fort en 2021 après avoir signé le Mexicain Sergio Perez comme nouveau partenaire de Max Verstappen.

Sergio Perez, qui s’est retrouvé sans baquet après l’annonce de son remplacement chez Aston Martin par Sebastian Vettel à partir de la saison 2021, a été embauché à la dernière minute par l’équipe Red Bull pour remplacer le Thaïlandais Alexander Albon qui n’a pas réussi à convaincre ses employeurs de le conserver pour 2021.

Alex Albon a régulièrement eu du mal à suivre le rythme de son coéquipier Max Verstappen l’an dernier, ne remportant que deux podiums au terme de la saison 2020. Verstappen quant à lui a signé deux victoires et neuf podiums, marquant plus du double de points qu’Alex Albon.

Après l’annonce de Red Bull à la fin de l’année qui a officialisé l’arrivée de Perez à Milton Keynes à partir de 2021, le septuple champion du monde Lewis Hamilton a déclaré qu’il pensait que Perez méritait amplement de faire partie d’une grande équipe comme Red Bull et que son arrivée ferait de Red Bull une menace plus importante au championnat.

Le patron de l’équipe Mercedes rejoint complétement l’avis de son pilote et estime que Red Bull va certainement poser un plus grand défi à Mercedes en 2021.

« Certainement, je pense que Red Bull, avec Perez, sera un adversaire beaucoup plus fort aux championnats des pilotes et des constructeurs. » a déclaré l’Autrichien à l’ORF.

« Je pense que Sergio sera vraiment très fort et je pense qu’il sera intéressant de voir comment Perez résiste à Verstappen. C’est un nouvel adversaire. »

« Sinon, ce sera une saison avec les mêmes voitures que l’an dernier. Mais je pense que Honda mettra l’accent sur la puissance pour se battre au championnat pour sa dernière année en tant que constructeur. C’est pourquoi ce sera très intéressant. »

En 2021, Mercedes aura l’occasion de remporter un huitième titre mondial chez les constructeurs, tandis que Lewis Hamilton (qui n’a toujours pas signé de contrat) aura l’opportunité d’aller chercher un huitième titre mondial au championnat des pilotes, lui permettant de devenir ainsi l’homme le plus titré de l’histoire de la Formule 1.

Perez se laisse cinq courses pour être au niveau de Verstappen chez Red Bull

Le nouveau pilote Red Bull, Sergio Perez, se laisse cinq Grands Prix pour être au niveau de son nouveau coéquipier Max Verstappen.

Après sept saisons passées chez Racing Point (désormais Aston Martin), Sergio Perez fera ses débuts avec l’équipe Red Bull cette année aux côtés de Max Verstappen et le Mexicain estime que le Néerlandais fait partie des pilotes les plus forts de la grille.

Avec un seul jour et demi pour s’adapter à sa nouvelle monoplace lors des essais hivernaux, Sergio Perez sait que la tâche ne sera pas facile pour lui, mais le pilote mexicain est convaincu qu’il arrivera à tirer le meilleur parti de sa monoplace d’ici la cinquième course de l’année.

« Après cinq courses, je pourrai déterminer quelle est la vitesse réelle de Max, mais je suis sûr que c’est un pilote très rapide et talentueux. » explique Perez à nos confrères du journal néerlandais De Telegraaf.

« Je pense que Max est l’un des pilotes les plus rapides, voire même le plus rapide en Formule 1 actuellement. Ce sera donc un grand défi et c’est ce qui le rend passionnant. »

« Vous ne pouvez vous comparer que lorsque vous êtes dans la même voiture, donc j’ai hâte de courir. J’ai hâte de pouvoir tirer le meilleur parti de la voiture. »

Rappelons qu’en 2020 Sergio Perez a terminé à la quatrième place au championnat des pilotes malgré deux Grands Prix loupés en raison du Covid et deux abandons sur problème mécanique.

Giuliano Alesi a fait ses adieux à Ferrari ce lundi

Le Français Giuliano Alesi a été le premier des sept pilotes ce lundi à avoir pris la piste au volant d’une F1 de la saison 2018 pour ce qui était la première des cinq journées de tests organisées par la Scuderia Ferrari à Fiorano.

30 ans après les débuts de son père, Jean Alesi, Giuliano a pu lui aussi faire ses débuts au volant d’une Formule 1 flanquée du numéro 28 – le même que celui utilisé par son père lors de son premier roulage avec une Ferrari en 1991.

Plus qu’un simple test, ce roulage était une journée spéciale pour Alesi, qui a clôturé son passage au sein de la Ferrari Driver Academy avant de partir vers l’Asie où un programme de course important l’attend.

« Je tiens à remercier Ferrari et la FDA pour cette fantastique opportunité d’aujourd’hui. » a déclaré Alesi après son test.

« Pouvoir monter dans le cockpit de la SF71H était incroyablement excitant, tout comme conduire la voiture sur piste avec mon père qui regardait et arborait le même numéro de course qu’il utilisait. »

« En termes de tenue de route, la voiture n’est pas trop difficile à conduire, mais la puissance était surprenante et ne semble jamais s’arrêter. »

« L’immédiateté et l’efficacité du freinage sont également impressionnantes. Ce test était le meilleur moyen pour moi de dire adieu à Ferrari. Maintenant, une nouvelle aventure m’attend en Asie et j’ai hâte qu’elle commence. »

Les temps signés par Alesi sur la piste de Fiorano lors de ce roulage n’ont pas été divulgués par Ferrari, mais le jeune homme a dû prendre la piste en premier avec des températures proches de zéro sur une piste légèrement humide.

Bernie Ecclestone achète 25 œuvres d’art originales en rapport avec Ferrari

L’ancien grand argentier de la Formule 1, Bernie Ecclestone, garde un œil attentif sur la discipline reine du sport automobile et reste à l’affût de la moindre affaire.

Dernièrement, l’homme d’affaires britannique de 90 ans a acquit la série de créations de l’artiste Mark Dickens, qu’il a réalisé en collaboration avec le photographe spécialiste de la F1, Keith Sutton.

La série « Ferrari in Art – The Sporting Legacy », est une collection de 25 œuvres d’art originales et uniques qui célèbrent le mythe de la Scuderia Ferrari.

Amateur d’art et de Formule 1, Bernie Ecclestone ne pouvait pas se priver d’une telle acquisition : « Il n’y a jamais eu de collaboration comme celle-ci auparavant et je n’ai pas pu résister à l’opportunité de l’acquérir pour ma collection privée. »

« Je connais bien Mark et Keith et j’ai toujours été impressionné par leur professionnalisme. » a déclaré Ecclestone dans des propos repris par la Gazetta Dello Sport.

Dickens et Ecclestone s’étaient déjà croisés auparavant pour un projet plutôt original et toujours en rapport avec la F1 : « J’ai rencontré Mark pour la première fois en 2009 et en 2011, je lui ai demandé de créer 19 tableaux, montrant chacune des courses de cette année-là. »

« L’année suivante, nous avons présenté chaque tableau aux promoteurs respectifs. »

« Je connais Keith depuis encore plus longtemps, depuis que je l’ai rencontré pour la première fois quand il a commencé sa carrière de photographe sportif il y a 40 ans, et je connais bien sa passion pour Ferrari. » conclut Ecclestone.

Vettel a une approche « complètement différente » avec Aston Martin par rapport à ses débuts avec Red Bull

Sebastian Vettel a passé sa première journée, loin des photographes, dans sa nouvelle équipe Aston Martin.

Il en a profité pour mouler son baquet et faire le tour de l’usine basée à Silverstone en Grande Bretagne, non loin de celle de Red Bull, que le quadruple champion du monde allemand connaît bien.

En effet, Vettel a remporté ses quatre couronnes mondiales avec l’équipe autrichienne basée également à Milton Keynes et ce retour en terre britannique avec Aston Martin, après six années passées en Italie avec Ferrari, pourrait avoir une odeur de nostalgie pour l’Allemand.

Mais les deux époques ne sont cependant pas comparables pour le pilote : « Sur le papier, il y a certainement des choses qui semblent similaires, mais je pense que la situation est différente. »

« Surtout parce que je suis moi-même à un point différent de ma carrière. » a confié Vettel à nos confrères de F1-Insider.

« J’en suis à un meilleur point, avec beaucoup plus d’expérience, avec une vision plus claire. »

« C’est pourquoi vous ne pouvez pas vraiment comparer les deux. À l’époque, je n’avais pas les connaissances que j’ai aujourd’hui, donc l’approche est complètement différente. » précise le champion allemand.

Ses premiers pas à l’usine Aston Martin se sont en tout cas très bien déroulés : « Jusqu’à présent, bien sûr, pour moi chez Aston Martin, il y a encore beaucoup de nouveaux visages, mais je suis convaincu que cela fonctionnera. »

« Il faut toujours être ouvert à de nouvelles choses. Je vais rencontrer beaucoup de nouvelles personnes, de nouvelles façons de travailler, de nouvelles approches et je ne serais pas bien avisé de penser que seule ma manière est la bonne. »

« Chacun est différent, mais néanmoins tout le monde aime avoir un environnement où les gens se soutiennent et travaillent les uns pour les autres. » conclut Vettel.

Le GP d’Australie se tiendra bien en novembre, avec ou sans spectateurs

Initialement prévu comme manche d’ouverture le 21 mars prochain, le Grand Prix d’Australie a dû être reporté le 21 novembre à cause des restrictions liées à la crise sanitaire imposées dans le pays.

Les organisateurs de la courses espèrent ainsi pouvoir accueillir du public dans le respect des conditions sanitaires même si l’éventualité d’un huis clos reste une probabilité.

« Ce n’est pas une hypothèse que j’envisage pour le moment, car je pense toujours que nous pourrons avoir du public. » a déclaré à nos confrères de speedcafe.com, Andrew Westacott, le PDG de l’Australian Grand Prix Corporation qui organise la course.

« Ma volonté a toujours été que, si nous sommes engagés et que nous sommes sur le calendrier, alors nous avons l’intention d’honorer cet engagement. »

« Si nous pouvons faire venir les pilotes et les équipes ici en Australie, alors nous pourrons travailler. »

« J’ai précisé à plusieurs reprises que nous disposions de 176 hectares de parc extérieur, 10,6 kilomètres de piste, nous avons des conceptions merveilleusement adaptables pour les installations diverses, pour les tribunes et en plein air pour l’admission générale. »

« Ainsi, à bien des égards, l’Albert Park entre dans la même catégorie que les parcs extérieurs, les sentiers pédestres, les centres commerciaux, les plages et les lieux de divertissement. »

« Donc, la logique dit : pourquoi ne pourrait-il pas y avoir une foule tant que nous nous assurons qu’il y ait des codes QR et une traçabilité partout ? Je pense que nous pouvons très bien y parvenir. » précise encore Westacott.

N’étant pas un circuit permanent, les organisateurs devront néanmoins savoir plusieurs mois à l’avance si le public sera autorisé à se rendre à l’événement.

« Ces décisions doivent être prises dans les cinq à six mois qui viennent, selon moi. » ajoute Westacott.

Le tournoi de tennis de l’Open d’Australie, qui doit se dérouler en février à Melbourne, sera un véritable test grandeur nature pour l’organisation d’un événement sportif d’envergure mondiale : « Je souhaite vraiment que tout se passe bien pour l’Open d’Australie, pour les organisateurs, pour les fans et je crois aussi que cela va fonctionner. »

« Nous travaillerons avec le DHHS (ndlr : le ministère de la Santé australien) et le gouvernement pour vraiment nous assurer que tout ce qu’ils apprennent de l’Open d’Australie pourra être mis à profit pour rationaliser les processus de la Formule 1, les rendre plus sûrs, et peut-être même éliminer toute frustration pour les visiteurs et aussi pour les habitants de Melbourne. » conclut Westacott.

 

Binotto trouve des similitudes entre Charles Leclerc et Michael Schumacher

Le directeur sportif de l’équipe Ferrari, Mattia Binotto, est arrivé au sein de l’équipe italienne en 1995 en tant que simple ingénieur.

Il a donc connu l’époque victorieuse lors de laquelle Michael Schumacher a raflé cinq titres de champion du monde des pilotes et en a rapporté six à l’équipe italienne.

Si aujourd’hui, la Scuderia Ferrari peine à retrouver la même dynamique de victoire, elle possède un atout non négligeable en la personne de Charles Leclerc.

Le jeune pilote monégasque, présenté comme le futur champion de l’équipe, partage même quelques similitudes avec Michael Schumacher, si on en croit les propos tenus par Binotto dans le podcast du site officiel de la F1, « Beyond The Grid ».

« Les deux sont des pilotes très talentueux. Je pense que Charles est un pilote qui est un véritable talent. Il est rapide, il est capable de dépasser et il est fantastique pour protéger sa position. »

« Je pense qu’il a la mentalité pour gagner et c’est un objectif clair pour lui. Il essaiera toujours de gagner. et c’est ce qui le motive dans toutes ses actions. »

« Il n’est pas simplement là pour participer, mais il est là pour gagner. Et quand il met son casque […] la deuxième place n’est jamais satisfaisante pour lui, comme ça ne l’était pas pour Michael [Schumacher]. » précise le Suisse.

Mais la comparaison entre les deux hommes peut être ambitieuse. En rejoignant Ferrari, Michael Schumacher était déjà double champion du monde.

De plus, Charles Leclerc est plus jeune que l’Allemand à cette époque, ce qui fait une différence pour Binotto : « Charles est beaucoup plus jeune que Michael à l’époque. »

« Il a besoin de se développer en tant que leader de l’équipe, car le succès de Ferrari, demain, dépendra également de la manière dont il se comportera en tant que leader. »

« Mais je pense que même si Michael était déjà un leader [en arrivant chez Ferrari], Charles se développe en tant que tel et il prend le bon chemin. »

L’équipe Ferrari a également beaucoup évolué depuis l’époque Schumacher, mais Binotto reconnaît la même soif de succès et de développement dans la Scuderia d’aujourd’hui : « Je compare souvent les deux époques. Il y a des similitudes, sans aucun doute. » précise le Suisse.

« La première est que Ferrari à l’époque, de 1995 à 1998 et même jusqu’en 2000, investissait comme nous investissons aujourd’hui. »

« Investir dans les technologies mais aussi investir dans les personnes, donc employer des jeunes et des jeunes ingénieurs. »

« En regardant Ferrari ces dernières années, je constate que nous avons employé beaucoup de jeunes ingénieurs, qui en débutant aujourd’hui, vont devenir notre fondation. »

« Ensuite, il y avait aussi un leader, en tant que pilote, comme Michael [Schumacher] à l’époque. »

« Aujourd’hui, nous avons Charles [Leclerc] qui n’est pas aussi expérimenté que Michael et n’est pas un champion du monde, mais je pense que nous avons un leader clair en piste, en tant que pilote, et c’est important. » conclut Binotto.

Cette saison, Charles Leclerc fera équipe avec Carlos Sainz. Dans un soucis d’équité, Mattia Binotto a déclaré ne pas vouloir faire de préférences entre le Monégasque et l’Espagnol, tout au moins lors des premiers Grand Prix.

Red Bull au Mans avec Oreca pour concevoir le prototype à hydrogène

Red Bull Advanced Technologies va concevoir le châssis de la prochaine génération de voitures à hydrogène prévue pour l’édition 2024 des 24 Heures du Mans.

Le nouveau châssis sera conçu en partenariat avec l’équipe de course française et constructeur automobile ORECA, une force établie de longue date dans le monde de l’endurance.

Red Bull Advanced Technologies, la division de solutions externes de haute technologie de Red Bull Technology, apportera son expertise de la Formule 1 en aérodynamique, dynamique des véhicules, technologie de simulation et optimisation de la récupération d’énergie à un projet résolument tourné vers l’avenir durable de la course d’endurance.

La tâche initiale des partenaires sera d’entreprendre et de fournir une étude de faisabilité détaillée pour le concept de véhicule à hydrogène.

Dans le cadre de cette phase initiale de développement, Red Bull Advanced Technologies et ORECA seront rejoints par Plastic Omnium, fournisseur exclusif des réservoirs d’hydrogène destinés à être utilisés dans les prototypes de course qui rouleront sur certaines des pistes les plus célèbres du monde en 2024.

« Je suis ravi que Red Bull Advanced Technologies ait été choisi par l’ACO avec nos partenaires ORECA pour développer le concept d’une voiture de course d’endurance à hydrogène pour Le Mans. » nous explique Christian Horner, team principal de l’équipe Red Bull en F1 et PDG de Red Bull Advanced Technologies.

« Red Bull Advanced Technologies est bien équipé pour relever le défi posé par l’ACO en ayant accès à de nombreux outils utilisés pour concevoir et développer la voiture Red Bull Racing en F1, ainsi qu’une expérience significative sur d’autres programmes de véhicules de pointe. »

« La catégorie hydrogène au Mans offre un aperçu passionnant de l’avenir du sport automobile durable et promet à la fois de faire progresser l’utilisation de l’hydrogène dans les transports et d’offrir des courses passionnantes. »

Sainz refuse la comparaison : « il n’y aura jamais un autre Fernando Alonso »

Plutôt que de chercher à imiter son compatriote Fernando Alonso, l’Espagnol Carlos Sainz est déterminé à poursuivre sa carrière en Formule 1 à sa manière en tentant d’inscrire son propre nom dans les livres d’histoire.

Cette année, les deux Espagnols Fernando Alonso et Carlos Sainz seront de nouveau réunis sur la grille, avec Sainz en tant que pilote Ferrari et Alonso qui fera son grand retour en catégorie reine du côté de chez Alpine.

Les deux hommes se connaissent très bien depuis quelques années maintenant et Carlos Sainz n’a jamais caché que Fernando Alonso était son idole depuis sa plus tendre enfance.

Au cours de sa carrière, Carlos Sainz est passé par l’équipe Renault et est devenu cette saison le troisième espagnol à piloter pour l’équipe Ferrari, son prédécesseur étant Fernando Alonso entre 2010 et 2015.

Lorsqu’on lui demande s’il compte avoir la même carrière qu’Alonso en F1, Sainz insiste sur le fait qu’il souhaite avant tout écrire sa propre histoire.

« C’est délicat, parce que j’ai déjà été chez Renault, mais je n’ai pas remporté deux championnats du monde. » plaisante Sainz auprès de Crash.net.

« Je pense que les carrières sont toujours impossibles à comparer, parce que vous ne rejoignez pas les équipes en même temps, ce sont des délais complétement différents. »

« Mais ce que je peux vous dire, c’est qu’un jour je souhaite me battre pour un championnat du monde et je veux me mettre dans cette position le plus tôt possible, parce que je me sens prêt pour ce défi. »

« Il [Alonso] est un pilote extrêmement fort, mais il n’y aura jamais un autre Fernando Alonso. Il a été le premier, le pionnier, à bien des égards et j’essaie juste de faire ma propre carrière, ma propre façon de faire les choses, de voir les choses, de piloter et je verrai où cela me mène. »

Alors qu’il n’a pas encore commencé à courir pour Ferrari, Carlos Sainz a déjà pu ressentir en Espagne l’impact de faire partie d’une équipe aussi illustre que la Scuderia Ferrari.

« Je l’ai déjà senti depuis l’annonce, car c’était énorme en Espagne, et j’attends que cela continue d’augmenter. »

« Mais c’est une bonne chose, j’apprécie cela et c’est super d’avoir les fans de ton côté, d’avoir l’attention des médias. Je pense que ça n’apporte que des choses positives. »

« J’ai aussi toujours apprécié courir pour mon Grand Prix à domicile et ça s’est toujours bien passé, donc j’ai hâte d’y être pour être honnête. »

Giuliano Alesi au volant d’une Ferrari…30 ans après son père

Trois décennies après son père Jean, le jeune Giuliano Alesi a fait ses débuts au volant d’une Formule 1 Ferrari ce lundi 25 janvier sur la piste privée de Fiorano en Italie.

Giuliano Alesi – membre de la Ferrari Driver Academy – fait partie des sept pilotes (Carlos Sainz, Charles Leclerc, Callum Ilott, Robert Shwartzman, Mick Schumacher et Marcus Amstrong) qui participent cette semaine à des tests privés organisés par l’équipe italienne à Fiorano.

Pas moins de cinq journées de tests au volant d’une Formule 1 de la saison 2018 ont été programmées par Ferrari cette semaine, notamment pour permettre au nouveau pilote titulaire Carlos Sainz de prendre ses marques avec les procédures propres à Ferrari, ainsi que pour commencer à travailler avec ses ingénieurs.

Cette semaine spéciale de tests a débuté ce lundi avec le jeune Giuliano Alesi au volant de la SF71-H flanquée du numéro 28, le même que celui de son père lorsqu’il a fait ses débuts chez Ferrari en 1991 sur la même piste

Ce mardi, c’est le pilote titulaire Charles Leclerc qui prendra les commandes de la SF71-H sur la piste de Fiorano, tandis que Carlos Sainz devra encore patienter jusqu’au mercredi 27 janvier (en matinée) et aura une autre opportunité le jeudi 28 janvier (en matinée).

Contrat d’Hamilton avec Mercedes : bientôt la fin du « faux » suspense

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, assure que les négociations entre Lewis Hamilton et Mercedes vont bientôt aboutir à un accord, avant que les essais hivernaux ne débutent au mois de mars.

Le septuple champion du monde Hamilton est le seul pilote de la grille à avoir débuté la nouvelle année sans avoir signé de contrat avec Mercedes, mais il ne fait aucun doute que le Britannique sera de nouveau le coéquipier de Valtteri Bottas en 2021 et il s’agit juste d’arriver à trouver un moment pour finaliser l’accord selon Wolff.

« Les avocats travaillent dur, mais nous ne leur facilitons pas la vie avec les discussions via Zoom [service de visiophonie]. » explique Toto Wolff à l’ORF.

« Mais actuellement, il [Hamilton] est en Amérique et moi je suis ici [en Autriche]. A un moment donné, nous le finaliserons, c’est toujours comme ça avec les négociations. »

« Nous partons toujours de points différents et c’est plutôt normal. Nous avons une base vraiment solide dans notre relation. Nous avons déjà célébré ensemble de grands succès et voulons continuer à le faire à l’avenir. »

« Mais parfois il faut parler de certaines choses en détail et cela a pris et nous prend encore du temps. Mais cela arrivera avant Bahreïn [essais hivernaux du 12 au 14 mars] au plus tard, il faut signer quelque chose à un moment donné. »

Certaines rumeurs ont suggéré que l’actuel pilote Williams, George Russell, était considéré par Mercedes comme un véritable plan de secours au cas où les négociations avec Lewis Hamilton n’aboutiraient pas.

Mais Toto Wolff nie que Mercedes ait utilisé Russell dans les négociations : « Nous n’avons jamais joué la carte Russell. »

« Il a incroyablement bien performé [au Grand Prix de Sakhir en remplacement de Lewis Hamilton dans la Mercedes] et il sera un jour dans une voiture de haut niveau, mais notre partenariat de longue date ne consiste pas du tout à faire des gestes menaçants. »

« Nous savons que nous voulons courir ensemble, mais maintenant nous devons négocier le contrat. » conclut l’Autrichien.