Cette dernière a empêché l’hélicoptère de sécurité de voler, ce qui n’a pratiquement pas permis aux monoplaces de rouler.
Liam Lawson, présent au volant de la Red Bull en qualité de pilote de réserve, devait tester les composés pneumatiques pour 2025, alors que Lando Norris, au volant d’une McLaren mulet, devait lui rouler pour la première fois avec les prototypes des pneus 2026.
Norris, Leclerc, Sainz et Lawson en action ce mercredi
Après une première journée perturbée par la pluie, le deuxième jour d’essais Pirelli au Mugello s’est déroulé comme prévu.
Quatre pilotes ont pris part à cette journée, à savoir Liam Lawson pour Red Bull, Lando Norris pour McLaren, et Carlos Sainz, le matin, puis Charles Leclerc, l’après-midi pour Ferrari.
La Red Bull et la Ferrari étaient dédiées au développement des gommes pour la saison prochaine, tandis que McLaren a de nouveau aligné un mulet avec l’objectif de tester les prototypes des pneus 2026.
Malgré une piste encore humide le matin, où les pneus intermédiaires ont même été sortis, les équipes ont accumulé 390 tours au total.
Pirelli a par ailleurs partagé les chronos du jour, qui n’ont évidemment que peu de valeur :
Charles Leclerc – 1:21.053 (79 tours, pneus 2025)
Lando Norris – 1:21.302 (118 tours, pneus 2026)
Carlos Sainz – 1:21.890 (77 tours, pneus 2025)
Liam Lawson – 1:23.219 (116 tours, pneus 2025)
Le prochain test dédié aux pneus 2025 aura lieu à Mexico où les EL2 du Grand Prix feront office d’essais Pirelli.
En ce qui concerne les gommes 2026, le manufacturier italien se rendra à nouveau en France, sur le circuit de Nevers Magny-Cours, les 13 et 14 novembre, où Alpine roulera avec une voiture mulet.
La galerie photos des tests Pirelli de ce mercredi :
Le Circuit de Nevers Magny-Cours a accueilli deux journées d’essais Pirelli ce mardi et mercredi avec l’écurie Mercedes, dans le but de développer les pneumatiques 2025.
Ce mardi, Mick Schumacher, pilote de réserve de l’écurie Mercedes, était au volant de la Mercedes W15 (monoplace 2024) pour une journée qui devait être dédiée aux pneus pluie.
Problème, les nuages présents dans la Nièvre ont livré trop de… pluie, rendant “tout travail significatif presque impossible” selon Pirelli. Mick Schumacher n’aura parcouru que 29 tours sur le circuit de Nevers Magny-Cours pour un meilleur chrono de 1:39.72.
Le lendemain, ce mercredi 2 octobre, c’est George Russell qui a pris le relais au volant de la Mercedes W15. Même si la pluie s’est à nouveau invitée sur le tracé nivernais, le développement des pneus pluie et intermédiaires a pu reprendre, en commençant par ce qui n’avait pas pu être fait la veille en raison des conditions météo.
Le vainqueur du Grand Prix d’Autriche 2024 a ainsi pu effectuer 86 boucles avec un meilleur temps de 1:28.428.
Dès la semaine prochaine, les mardi 8 et mercredi 9, de nouveaux tests Pirelli auront lieu, cette fois en Italie au Mugello. Les trois écuries menant le championnat constructeurs 2024, McLaren, Red Bull et Ferrari seront présentes sur le tracé italien.
Le leader du championnat constructeurs développera les pneus pour la saison 2026, alors que Red Bull et Ferrari seront chargées de travailler sur les pneus 2025.
McLaren sera donc la deuxième équipe après Aston Martin à tester les pneus 2026, année de changement de réglementation.
Pirelli – manufacturier unique de la F1 – a dévoilé les chiffres de la saison 2023 de Formule 1 qui s’est terminée avec le Grand Prix d’Abou Dhabi en novembre dernier. Une campagne longue de 22 courses disputée entre mars et novembre.
Près de huit fois la circonférence de la Terre : c’est la distance totale parcourue par les pneus Pirelli lors des 22 Grands Prix disputés au cours de la saison 2023. En effet, 307 925,8 kilomètres ont été accumulés en 60 473 tours grâce aux 6 847 trains de pneus utilisés pour au moins un tour par les pilotes alignés parmi les dix équipes participant au championnat du monde de Formule 1.
La grande majorité du kilométrage a été parcouru avec des pneus slicks : seulement 6,31 % de la distance a vu le Pneus Intermédiaire et le pneu Full Wet comme protagonistes.
Le grand protagoniste – il ne pouvait en être autrement puisqu’il était présent dans chaque événement – était le C3 : en effet, 105 499 kilomètres ont été parcourus avec ce composé, soit plus d’un tiers du total des kilomètres (36,57 %).
Le C4 (27,43 %) est le deuxième composé le plus utilisé, suivi du C2 (15,41 %) et du C5 (13,55 %) tandis que le composé le moins utilisé était le C1 (5,73 %). À ce total s’ajoutent également les 3 800 kilomètres parcourus pendant les week-ends de course avec les prototypes, une circonstance qui s’est produite sur trois circuits : Barcelone, Suzuka et Mexico.
Oscar Piastri a réalisé le plus long relais de l’année au Grand Prix d’Arabie Saoudite. Pour sa deuxième participation dans la catégorie reine, le pilote australien de l’équipe McLaren a dû s’arrêter à la fin du premier tour pour remplacer l’aileron avant endommagé après un contact avec Pierre Gasly en équipant sa monoplace d’un train de C2 qui l’a mené jusqu’au drapeau à damier, pour une distance totale de 302,5 kilomètres.
Dans ce classement spécial, Piastri a battu de seulement deux kilomètres Esteban Ocon qui a atteint 300,1 kilomètres à Bakou avec un seul jeu de C3, montés au départ – effectués depuis la voie des stands – et conservés jusqu’à l’avant-dernier des 51 tours prévus.
En outre, la piste urbaine de la capitale de l’Azerbaïdjan a également accueilli le plus long relais de l’année avec le pneu le plus tendre : Valtteri Bottas a parcouru toute la longueur (17 tours, soit 102 kilomètres) de la course Sprint samedi après-midi avec un train de C5. Le même pilote finlandais détient également le record des kilomètres parcourus consécutivement avec le composé le plus dur, grâce aux 32 tours (188,4 kilomètres) effectués à Silverstone. Le relais le plus long avec le C4 a encore été réalisé par une Alfa Romeo : 212,7 kilomètres accumulés par Guanyu Zhou lors de la course de Singapour.
La saison 2023 de F1 a vu alterner trois formats de week-end avec autant de réglementations différentes relatives à l’utilisation des pneumatiques : le format classique avec trois séances d’essais libres, une qualification et la course s’est déroulée 14 fois ; le format dit « Sprint » a été utilisé six fois, qui comprend seulement une séance d’essais libres le vendredi, suivie des qualifications pour la course, du Sprint Shootout et de la course Sprint le samedi, le dimanche étant toujours dédié à la course ; l’ATA (Alternative Tire Allocation) a été testée à deux reprises, dans le but d’identifier des solutions pour une gestion plus efficace des pneus. Il est également vrai qu’un millier de trains de pneus slicks apportés lors des 22 épreuves n’ont jamais été utilisés et que 732 autres ont roulé entre un et trois tours.
En ce qui concerne les pneus pluie extrême (Full Wet), Pirelli a commencé cette année à appliquer un procédé – connu sous le nom de « strip-and-fit » – qui permet de mettre à disposition des équipes pour d’autres épreuves des pneus déjà montés mais non utilisés : cela permettra pleinement une décision décisive pour optimiser la gestion des pneumatiques, sachant qu’en 2023 par exemple, 1 304 trains de ces deux types de pneumatiques n’ont effectué aucun tour.
De tous les Grands Prix 2023, celui des Pays-Bas a été la course au cours de laquelle les pneus ont été remplacés le plus souvent, compte tenu à la fois des arrêts aux stands réels et des modifications apportées sous le régime du drapeau rouge.
En raison du changement continu des conditions climatiques, la pluie étant le protagoniste de temps en temps, 82 changements de pneus ont été effectués, tous les types – les trois composés slicks, l’intermédiaire et l’extrême mouillé – ayant goûté au moins une fois l’asphalte à Zandvoort. A l’inverse, la course qui a vu le moins de changements de pneumatiques a été Miami, où les vingt pilotes au départ n’ont effectué que l’arrêt au stand obligatoire exigé par le règlement sportif. En prenant également en compte les courses Sprint, un total de 871 changements de pneus ont été effectués.
La palme de l’événement le plus chaud de l’année – du moins en termes de température de l’air – est revenue à Austin : 34,7 °C le samedi en sprint, 32,8 °C en course le dimanche. De l’autre côté, il y a Zandvoort, avec une température moyenne de 15,1 °C. Côté asphalte, le record de chaleur était détenu par le Hungaroring avec 53,6 °C tandis que le plus froid était celui de Las Vegas (18,5 °C).
Plusieurs pilotes de la grille ont été interrogés ce jeudi à Zandvoort pour décrire Kimi Raikkonen, suite à l’annonce faite ce mercredi par Iceman qui a indiqué qu’il mettrait un terme à sa carrière en F1 à la fin de cette saison.
Le septuple champion du monde Lewis Hamilton a révélé comment le pilote finlandais a été l’une de ses idoles en grandissant : « Je me souviens qu’avant d’arriver en Formule 1, dans les jeux vidéo, j’étais toujours dans la voiture de Kimi. » a expliqué Hamilton ce jeudi à Zandvoort.
« J’ai aussi eu cette expérience folle de courir contre lui, de perdre un championnat contre lui et ensuite d’avoir de grandes batailles contre lui, il va nous manquer. »
Un autre champion du monde, Fernando Alonso, a tenu à rendre hommage à Raikkonen qui a toujours été « juste et respectueux en piste » : « Toujours juste, toujours respectueux, toujours un dur compétiteur, mais cool… » a déclaré Alonso.
« Dans cet aspect il me manquera parce que vous saviez que vous pouviez faire confiance à Kimi lorsque vous étiez côte à côte. Il ne fera jamais rien de fou ou quoi que ce soit qui puisse vous mettre en danger. »
Sebastian Vettel – un autre pilote qui connaît bien Raikkonen pour avoir été son coéquipier plusieurs années chez Ferrari, mais qui est également son ami et voisin en Suisse – a plaisanté lorsqu’on lui a demandé ce qui lui manquerait le plus à propos du Finlandais en Formule 1.
« Le silence ! C’est un talent incroyable et voir cela aux premières loges durant quelques années en tant que coéquipier a été impressionnant. » a déclaré Vettel.
« Il a aussi une vitesse incroyable et une certaine capacité à s’habituer à différentes voitures et à des conditions différentes. Il a définitivement mérité sa place et a eu une longue et belle carrière. »
Pour le pilote AlphaTauri Pierre Gasly, il n’y a qu’un seul Kimi : « Il est vraiment unique, il va vraiment manquer à tout le monde dans le paddock. » a déclaré le Français.
« Je me souviens que mes premiers souvenirs en regardant la F1 datent de 2002-2003, donc Kimi était déjà là… et puis je me suis retrouvé en Formule 1 contre lui. Donc je suis très privilégié et c’est sûr qu’un pilote aussi emblématique nous manquera dans le paddock. »
Le pilote Williams, George Russell, a quant à lui partagé une histoire légèrement plus irrévérencieuse de sa première rencontre avec Raikkonen : « La première fois que j’ai parlé à Kimi, la conversation s’est terminée lorsqu’il m’a tordu les tétons! »
« C’était au Gala de la FIA en 2018 [ce soir-là, Raikkonen avait un peu abusé du Champagne]. Il est unique en son genre et je respecte tout ce qu’il a accompli en piste et en dehors… aussi. C’est un peu une légende et il va certainement nous manquer – il n’y a personne comme lui. »
Le compatriote de Kimi Raikkonen, le Finlandais Valtteri Bottas, a lui aussi rendu hommage à Iceman : « Jeune, je le suivais de près lorsqu’il a débuté en F1. A cette époque, je faisais ma première saison en monoplace en Formule Renault, puis ensuite il a remporté son titre avec Ferrari [en 2007]. »
« C’est évidemment une grande star en Finlande, un peu une légende et c’était toujours très amusant de le regarder et agréable de courir avec lui parce qu’il est l’un des pilotes avec qui, lorsque vous courez, vous êtes assez à l’aise pour roulerroue contre roue.Il a toujours eu beaucoup de respect et c’est aussi comme ça que j’aime courir. »
Kimi Raikkonen quittera définitivement la Formule 1 après 19 saisons passées en catégorie reine après la dernière course de l’année programmée à Abou Dhabi le 12 décembre. Iceman sera alors âgé de 42 ans.
Le Français Pierre Gasly a bouclé pas moins de 164 tours de circuit ce mardi sur le Red Bull Ring de Spielberg dans le cadre des essais Pirelli sur les pneumatiques 18 pouces qui seront introduits en F1 en 2022.
Après le Grand Prix d’Autriche remporté ce dimanche par le pilote Red Bull Max Verstappen, Pirelli et l’équipe AlphaTauri sont restés sur le tracé autrichien pour deux journées de tests sur les gommes 18 pouces afin d’aider le manufacturier unique de la Formule 1 dans le développement de ces pneumatiques 2022.
Ce mardi, c’est Pierre Gasly qui était au volant de l’AT02 modifiée pour pouvoir accueillir les roues 18 pouces bien plus grandes que les 13 pouces utilisées actuellement en catégorie reine du sport automobile.
Le pilote français a bouclé au total 164 tours du Red Bull Ring sous un beau soleil et donc une piste totalement sèche pour tester comme il se doit ces pneus prototypes.
Ce mercredi 7 juillet, c’est le coéquipier de Pierre Gasly, le Japonais Yuki Tsunoda, qui sera au volant de l’AlphaTauri pour mener à son tour une journée complète d’essais avec les gommes 18 pouces.
En réponse aux crevaisons soudaines survenus sur l’Aston Martin de Lance Stroll et la Red Bull de Max Verstappen au Grand Prix d’Azerbaïdjan, Pirelli, en accord avec la FIA, la Formule 1 et les équipes, testera une nouvelle construction de pneu arrière en essais libres au Grand Prix d’Autriche ce vendredi 2 juillet pour évaluer son efficacité à améliorer encore la robustesse des pneus.
Cette décision a été prise en plus de la directive technique récemment publiée et des derniers paramètres prescrits par Pirelli après l’éclatement des pneus survenus sur les monoplaces de Max Verstappen et Lance Stroll à Bakou, et compte tenu du fait qu’il n’est actuellement pas possible de surveiller les conditions de fonctionnement en temps réel.
Cela restera le cas jusqu’à l’année prochaine, lorsque les capteurs standards du système de surveillance de la pression des pneus (TPMS) seront introduits dans toutes les équipes.
Ce vendredi donc, toutes les équipes de la grille pourront sur la base du volontariat aider Pirelli en testant de nouveaux pneus arrière offrant une nouvelle structure [qui devraient être introduits dès le Grand Prix de Grande-Bretagne en juillet], ce qui impliquera inévitablement des compromis en raison de la réduction du temps des essais libres cette année en Formule 1.
« Cela impliquera un plus grand compromis qu’auparavant puisque les séances d’essais sont plus courtes, mais nous les examinerons comme nous nous attendons à les utiliser lors de la prochaine course à Silverstone. » nous explique Ciaron Pilbeam, ingénieur de course en chef chez Alpine.
« Ce n’est pas obligatoire, mais ce sera assurément utile de rouler avec. Chaque pilote aura deux trains et nous verrons où nous les intégrerons dans notre programme sans trop compromettre notre week-end. »
Pour rappel, en plus d’introduire de nouveaux pneus arrière, à Silvertsone la F1 testera également les courses sprint pour la première fois de l’année. Beaucoup de nouveautés attendues donc pour le dixième week-end de course de la saison.
Selon Pirelli, les pilotes n’effectueront qu’un seul arrêt au stand ce dimanche pour boucler les 53 tours du Grand Prix de France 2021.
Puisque les dix premiers pilotes de la grille s’élanceront avec les Mediums ce dimanche, un relais Mediums-Durs est le choix le plus logique pour eux, mais cela pourrait aussi être le cas pour les pilotes hors du top dix au départ.
Toujours selon Pirelli, les pilotes prenant le départ hors du top dix pourraient très bien décider de s’élancer avec les Durs avant de chausser les pneus Mediums pour rallier l’arrivée.
En ce qui concerne les pneus Tendres, Pirelli ne pense pas qu’il soit judicieux de les chausser, car ils demanderaient une gestion de la dégradation importante en course, surtout si les températures augmentent.
Evidemment, ces stratégies tomberaient à l’eau en cas de pluie ce dimanche au Paul Ricard, et justement, à l’heure d’écrire ces quelques lignes (12h00), il pleut assez fort sur le circuit varois. Le départ de la course sera donné à 15h00 ce dimanche.
Pour le Grand Prix de France, Pirelli a décidé de proposer aux pilotes les pneus C2, C3 et C4, soit les mêmes que ceux utilisés sur le tracé Paul Ricard en 2019, dernière édition en date du GP de France.
En effet, en raison de la pandémie de coronavirus, la Formule 1 n’est pas venue en France en 2020 et signe donc son grand retour cette année sur la piste varoise.
Selon Pirelli, les pneus C2, C3 et C4 sont parfaitement adaptés aux caractéristiques variées du tracé Paul Ricard qui bénéficie d’un asphalte quasiment neuf posé en 2019 et qui assure aux pilotes de rouler sur une surface totalement lisse.
La dégradation des pneumatiques au Paul Ricard est généralement faible, mais le virage numéro 13 est particulièrement exigeant en termes de demande d’énergie continue sur le pneumatique, tout comme le virage de Signes après la longue ligne droite du Mistral (entrecoupée d’une chicane).
« Nous revenons à la combinaison de pneus utilisée pour les deux premières courses de cette année, en plein milieu de gamme. » nous explique Mario Isola, directeur de Pirelli.
« C’est la combinaison la plus polyvalente, bien adaptée à une grande variété d’exigences différentes, et c’est aussi ce qui en fait un bon choix pour le circuit Paul Ricard, qui contient un mélange intéressant de virages. »
« Cela fait également du Paul Ricard un bon site d’essais, et bien que nous n’y ayons pas eu de course de Formule 1 depuis deux ans, nous avons testé les pneus pluie 18 pouces de l’année prochaine sur cette piste plus tôt dans la saison, et nous avons également couru le mois dernier dans le GT World Challenge.«
Concernant la stratégie en course, Pirelli pense qu’un seul arrêt devrait être la norme cette année au Paul Ricard tout comme en 2019.
« Pour la France, nous nous en tenons à la même nomination que nous avions lors du dernier Grand Prix de France, qui s’est soldé par une stratégie à un seul arrêt pour la plupart des pilotes. Cependant, nous avons vu qu’il y avait quelques types différents d’arrêts uniques qui ont été exécutés, donnant lieu à un certain nombre de stratégies distinctes. »
Les deux journées de tests organisées par Pirelli sur le circuit Paul Ricard cette semaine pour le développement de ses gommes 18 pouces pour piste humide se sont achevées ce mercredi soir.
C’est la Scuderia Ferrari qui a mis à disposition de Pirelli une monoplace vieille de deux saisons pour aider la firme milanaise à développer les pneus pluie 18 pouces qui entreront en vigueur la saison prochaine en Formule 1.
Initialement, c’est l’équipe Mercedes qui devait participer à ce test, mais après le crash dont a été victime Valtteri Bottas au Grand Prix d’Emilie-Romagne plus tôt cette saison, Mercedes a décidé d’annuler sa participation à ce test afin de pouvoir respecter la limite budgétaire imposée par la FIA à chaque équipe pour la saison.
En effet, suite au crash de Bottas, l’équipe du constructeur allemand a dû amputer son budget annuel de quelques millions pour pouvoir réparer la W12 accidentée, ce qui pourrait avoir un certain impact en fin de saison.
« Nous essayons de respecter le plafond budgétaire, ce qui n’est pas anodin. » expliquait Toto Wolff, directeur de l’équipe Mercedes, le week-end dernier à Monaco.
« Nous ne pouvions pas prendre en charge les coûts liés au test des pneumatiques et nous n’aurions pas pu envoyer nos mécaniciens sur un tel voyage. »
Suite à ce désistement de dernière minute, c’est donc l’équipe Ferrari qui s’est portée volontaire pour aider Pirelli durant deux journées sur le tracé Paul Ricard et ce sont les deux pilotes titulaires, Carlos Sainz et Charles Leclerc qui se sont relayés au volant de la monoplace.
Le Monégasque Charles Leclerc a roulé la journée de mardi et a bouclé au total 141 tours de circuit, 83 tours sur les Intermédiaires et 58 tours sur les pneus pluie.
Le lendemain, l’Espagnol Carlos Sainz a pris le relais de son coéquipier et a bouclé en matinée 75 tours sur les pneus Intermédiaires et 92 tours sur les pneus pluie dans l’après-midi.
Pirelli va désormais analyser toutes les données recueillies lors de ces deux journées de tests et les compiler avec celles récoltées lors des autres journées d’essais organisées plus tôt cette année.
Les prochains tests sur les pneus 18 pouces sont programmés les 6 et 7 juillet sur le circuit de Spielberg (slick) en Autriche avec l’équipe AlphaTauri.
La stratégie pour les 78 tours du GP de Monaco a tendance à être toujours la même: un seul arrêt au stand, avec des relais de différentes longueurs et diverses combinaisons possibles entre les composés utilisés.
Avec sa difficulté à dépasser, la piste de Monaco rend la position de départ clé. Les deux principales variables du résultat sont la voiture de sécurité – très fréquente à Monte-Carlo, comme en témoignent les trois accidents de ce samedi – et la météo.
Les prévisions donnent un Grand Prix sur le sec, mais le tableau d’ensemble contient une certaine variabilité.
Les dix premiers sur la grille prendront le départ de la course avec le composé Tendre rouge et beaucoup les imiteront dans les positions plus en arrière; mais le Médium jaune et le blanc Dur pourraient être un choix efficace pour la deuxième partie de la course. Certains pilotes pourrait faire le choix inverse: Médium ou Dur pour un long relais initial, puis Tendre pour la fin de course.
« Le Grand Prix devrait se disputer sur le sec, mais les excellentes performances des pneus pluie en F2 nous rendent également positifs en termes d’éventuelles surprises météorologiques. » nous explique Mario Isola, directeur de Pirelli.
« La stratégie, comme toujours, est basée sur un seul arrêt à Monte Carlo, mais sur ce circuit tout peut arriver, comme nous l’avons vu avec la touchette de Leclerc ce samedi lors des qualifications. »
La Scuderia Ferrari participera à un test privé organisé par Pirelli durant deux journées sur le circuit Paul Ricard juste après le Grand Prix de Monaco qui se déroule ce week-end du 20 au 23 mai.
Lors de ces deux journées de test organisées les 25 et 26 mai sur le circuit Paul Ricard dans le sud de la France, Ferrari aidera Pirelli dans le développement des pneus 18 pouces pour piste humide qui seront introduits en Formule 1 à partir de la saison 2022.
Il s’agira du deuxième test organisé cette année sur les pneus pluie 18 pouces, après une première session organisée plus tôt en début d’année sur le tracé de Jerez en Espagne, et du sixième test de l’année au total pour les prototypes 2022.
Rappelons que la semaine dernière trois équipes (Alfa Romeo, Red Bull et Alpine) sont restées à Barcelone pour participer aux essais pour les pneus 18 pouces de Pirelli, mais il s’agissait cette fois des gommes pour piste sèche.
Pas de problème pour Pirelli si le temps reste sec, puisque le tracé Paul Ricard est équipé d’un système d’arrosage de la piste très sophistiqué, ce qui permettra à Pirelli de tester ces pneus pluie 18 pouces dans différentes conditions.
Les images d’une F1 en piste équipée des pneus 18 pouces que Pirelli introduira en catégorie reine à partir de la saison 2020 sont pour le moment encore assez rares.
En effet, les différentes journées de tests programmées par Pirelli cette année se déroulent à huis clos sans présence des médias et les seules images que nous pouvons vous proposer sont des photos prises par les équipes elles-mêmes ou bien par Pirelli.
Mais lors des deux journées de tests qui ont eu lieu à Imola après le Grand Prix d’Emilie-Romagne et auxquelles a participé l’équipe Mercedes, des personnes ayant eu accès au circuit ont pu tourner quelques images.
Dans la vidéo ci-dessous, vous pourrez voir la Mercedes W10 en action pilotée par Lewis Hamilton et équipée des roues 18 pouces lors de l’une de ses deux journées de tests qui a eu lieu au mois d’avril.
Nous remercions chaleureusement Matteo pour nous avoir permis de partager cette vidéo. Vous pouvez évidemment vous abonner à sa chaîne YouTube en cliquant sur ce lien.
Le pilote de réserve de l’équipe Alfa Romeo, Robert Kubica, a testé pour la toute première fois les pneus Pirelli 18 pouces qui seront introduits en F1 à partir de la saison 2022.
Après le Grand Prix d’Espagne, trois équipes (Alfa Romeo, Red Bull et Alpine) sont restées à Barcelone pour participer à deux journées de tests organisés par le manufacturier unique de la Formule 1 dans le but de développer les pneus 18 pouces qui deviendront la norme l’an prochain en catégorie reine.
Pour ces deux journées de tests, l’équipe Alfa Romeo a confié sa monoplace de la saison 2019 à son pilote de réserve Robert Kubica qui a bouclé pas moins de 240 tours, soit l’équivalent de 1100 km parcourus.
« Il s’agissait de deux journées chargées mais productives. C’est toujours interessant de découvrir de nouvelles caractéristiques de la voiture, surtout quand c’est quelque chose d’aussi important que les pneus. » a déclaré Robert Kubica ce mercredi soir à Barcelone.
« Ce sont les premiers pas de notre équipe avec les nouveaux pneus de 18 pouces, il y a donc beaucoup à apprendre.«
« Nous avons parcouru beaucoup de tours, beaucoup de kilomètres et obtenu beaucoup de données qui occuperont tout le monde. »
« Il s’agissait de deux jours difficiles: je n’étais pas dans la voiture depuis un certain temps avant vendredi dernier et courir deux jours sur une piste aussi exigeante était un défi, mais nous l’avons complété avec succès. »
Le prochain test Pirelli sur les 18 pouces aura lieu à la fin du mois de mai sur le circuit Paul Ricard dans le sud de la France. C’est l’équipe Mercedes qui participera à ce test, mais cette fois-ci sur des pneus 18 pouces pour piste humide.
L’Alfa Romeo pilotée par Robert Kubica ce mardi à Barcelone lors des tests 18 pouces pour Pirelli #F1pic.twitter.com/Nca0k9FIUD
Trois équipes de F1 sont restées à Barcelone cette semaine au lendemain du Grand Prix d’Espagne remporté par le pilote Mercedes Lewis Hamilton.
Alpine, Alfa Romeo et Red Bull vont participer cette semaine aux tests Pirelli sur les gommes 18 pouces qui seront introduites en Formule 1 à partir de la saison 2022.
Ces deux journées de tests auront lieu le mardi 11 mai et le mercredi 12 mai sur la piste catalane et seules les écuries Alfa Romeo et Red Bull participeront aux deux journées. L’équipe Alpine elle, ne participera qu’à la première journée ce mardi.
Il s’agira du cinquième test sur les pneumatiques 18 pouces cette année (le quatrième sur des pneus slicks). Plus tôt cette année, la Scuderia Ferrari a lancé le programme de tests de Pirelli avec ses deux pilotes en Espagne sur le circuit de Jerez en février et sur le circuit de Bahreïn en mars, avant que l’équipe Alpine y participe également.
A Imola le mois dernier, l’équipe Mercedes a également participé à deux journées de test avec ses deux pilotes titulaires, Valtteri Bottas et Lewis Hamilton.
L’équipe championne du monde en titre participera d’ailleurs à autre test Pirelli fin mai sur le circuit Paul Ricard en France, toujours sur des gommes 18 pouces, mais cette fois-ci pour piste humide.
Selon Pirelli, la stratégie la plus probable pour les 66 tours du Grand Prix d’Espagne 2021 est une stratégie à deux arrêts ce dimanche.
Ce choix stratégique est dû en grande partie aux niveaux relativement élevés d’usure et de dégradation sur ce circuit qui présente de l’asphalte abrasif et des virages à forte charge.
Une autre raison est le fait que les pilotes ne perdent pas trop de temps dans la voie des stands à Barcelone, ce qui peut aider à effectuer deux arrêts en course sans être trop pénalisé, sans oublier que le composé dur est plus lent ici.
Dépasser peut être difficile à Barcelone et c’est l’une des raisons pour lesquelles la qualification est si importante. La stratégie de course doit donc privilégier avant tout le maintien de la position sur la piste. Comme toujours, la tactique sera également influencée par les températures de l’asphalte en course, qui seront probablement similaires à celles observées ce samedi en qualifications, bien qu’un temps relativement nuageux est attendu pour la course ce dimanche après-midi.
« Contrairement au Portugal, nous n’avons pas vu l’utilisation de pneus Mediums en Q2, ce qui signifie que les pilotes du top dix partiront tous avec des pneus tendres. » nous explique Mario Isola, directeur de Pirelli.
« Cela signifie que le Tendre sera une partie fondamentale de la stratégie de course, avec de nombreux pilotes prêts à exécuter une stratégie de « sprint » qui pourrait nécessiter deux relais sur le composé Tendre. »
« Cela ne signifie pas qu’un seul arrêt ici est impossible si une bonne gestion des pneus est adoptée. Seuls certains pilotes ont deux ensembles de Mediums disponibles: qu’ils soient neufs ou usés. »
« Si d’autres pilotes, qui n’ont pas deux ensembles de Mediums disponibles, veulent se concentrer sur une stratégie à deux arrêts, ils devront alors utiliser un ensemble de Mediums et deux ensembles de Tendres. Alternativement, ils peuvent viser un arrêt en utilisant le Dur. «
Trois équipes de la grille (Alpine, Alfa Romeo et Red Bull) resteront à Barcelone la semaine prochaine après le Grand Prix d’Espagne (du 7au 9 mai) pour participer à un test privé organisé par Pirelli.
Ces trois écuries participeront aux tests sur les pneus 18 pouces qui seront introduits en Formule 1 à partir de la saison prochaine.
L’équipe Alpine pour sa part ne participera qu’à la première des deux journées de test, tandis que Alfa Romeo et Red Bull participeront à ces essais lors des deux journées sur la piste de Montmelo.
Il s’agira du cinquième test sur les pneumatiques 18 pouces cette année (le quatrième sur des pneus slicks). Plus tôt cette année, la Scuderia Ferrari a lancé le programme de tests de Pirelli avec ses deux pilotes en Espagne sur le circuit de Jerez en février et sur le circuit de Bahreïn en mars, avant que l’équipe Alpine y participe également.
A Imola le mois dernier, l’équipe Mercedes a également participé à deux journées de test avec ses deux pilotes titulaires, Valtteri Bottas et Lewis Hamilton.
L’équipe championne du monde en titre participera d’ailleurs à autre test Pirelli fin mai sur le circuit Paul Ricard en France, toujours sur des gommes 18 pouces, mais cette fois-ci pour piste humide.
Après deux courses consécutives à Bahreïn et en Italie avec la même nomination (C2, C3 et C4), Pirelli a choisi pour le Grand Prix du Portugal les C1, C2 et C3.
Les C1 (pneu Dur de la gamme Pirelli) fera donc ses débuts ce week-end à Portimao sur une piste déjà visitée par la F1 au mois d’octobre dernier mais dans des conditions très particulières, puisque l’asphalte était tout neuf et donc très glissant.
Cette année, Pirelli espère que les conditions seront meilleures et a donc chois de conserver exactement la même gamme de pneus que l’an dernier sur la piste portugaise.
« La gestion des pneus et le fait de faire fonctionner les trois composés les plus durs de la gamme dans la bonne fenêtre d’utilisation étaient deux points importants lors de la course à Portimao en 2020. » nous explique Mario Isola, directeur de Pirelli.
« Cette année, la situation pourrait être complètement différente, avec une évolution des différentes conditions de piste et météorologiques comparées à octobre dernier. »
« Lors des deux premières courses, les performances des pneus 2021 étaient très bonnes et le composé le plus dur disponible fera ses débuts au Portugal. »
« Les C1, C2 et C3 ont été nominés pour faire face aux défis imposés par cette piste aux pneumatiques, et qui pourraient être amplifiés par la chaleur. »
« En 2020, les trois composés ont été utilisés, avec une grande variété de stratégies. Les températures étaient fraîches et venteuses, avec des pluies légères intermittentes, de sorte que les conditions de piste variaient d’une session à l’autre. »
« Le nouvel asphalte a généré de faibles niveaux d’adhérence, tandis qu’en termes de performances des pneus, l’échauffement et le graining étaient deux facteurs clés. »
Le Britannique Lewis Hamilton a bouclé 130 tours ce mardi sur le tracé d’Imola dans le cadre des essais Pirelli consacrés aux gommes 18 pouces qui seront introduites en 2022.
Après avoir terminé deuxième au Grand Prix d’Emilie-Romagne dimanche dernier à Imola, le septuple champion du monde est resté en Italie cette semaine pour participer à cette première journée de tests organisés par Pirelli.
Le pilote Mercedes a bouclé 55 tours de piste en matinée avec les pneumatiques 18 pouces, tandis qu’après la pause déjeuner, il a repris la piste pour boucler 75 tours dans l’après-midi, soit un total de 130 tours.
Plus tôt cette année, la Scuderia Ferrari a lancé le programme de tests de Pirelli avec ses deux pilotes en Espagne sur le circuit de Jerez en février et sur le circuit de Bahreïn en mars, avant que l’équipe Alpine y participe également.
Alpine testera de nouveau pour Pirelli le 11 mai à Barcelone avec Red Bull et Alfa Romeo, après le Grand Prix d’Espagne.En 2022, non seulement les équipes utiliseront des pneus de 18 pouces, mais une nouvelle ère de la F1 verra le jour avec un ensemble radical de changements de règles.
Ce mercredi à Imola, c’est le coéquipier de Lewis Hamilton, le Finlandais Valtteri Bottas, qui sera en piste pour tester les 18 pouces Pirelli.
Pirelli, le manufacturier unique de la F1, table sur une stratégie à un seul arrêt ce dimanche pour les 63 tours du Grand Prix d’Émilie-Romagne, deuxième manche de la saison 2021.
Trois raisons principales vont pousser les équipes à adopter une stratégie à un seul arrêt ce dimanche: premièrement, sur ce circuit, il est difficile de doubler;deuxièmement, il faut beaucoup de temps pour traverser la voie des stands, près de 30 secondes, et enfin, l’usure et la dégradation des pneus sont raisonnablement faibles à Imola.
Une stratégie à deux arrêts est certainement plus lente, donc les équipes essaieront de l’éviter si possible.La position sur la piste est tout aussi cruciale et il faudra veiller à ne pas se retrouver dans le trafic, tandis que les arrêts aux stands seront cruciaux.Souvent, un avantage peut être obtenu en anticipant l’arrêt sur les rivaux directs [undercut], la stratégie choisie doit donc également en tenir compte.
« Comme prévu, nous avons vu certains des pilotes des premières rangées choisir de passer la Q2 avec des pneus Mediums [le pneu avec lequel ils prendront le départ]. » nous explique Mario Isola, directeur de Pirelli.
« Cela devrait leur permettre d’effectuer un premier relais plus long et une stratégie avec une plus grande flexibilité. Il y a un certain nombre de points d’interrogation, y compris la météo, avec la possibilité de pluie qui pourrait complètement renverser les stratégies prévues. »
« Si cela reste sec, nous avons vu jusqu’à présent que les trois composés pourraient jouer un rôle important dans la course.Ceux qui débutent avec des pneus Tendres n’auront pas de désavantage particulier par rapport à ceux qui débutent avec des pneus Mediums car Imola n’est pas un circuit particulièrement sévère sur les pneus et les températures devraient être assez fraîches. »
Ci-dessous, voici la liste des pneus disponibles en course pour chaque pilote pour le Grand Prix d’Émilie-Romagne.
Le Made In Italy s’invitera sur le podium ce week-end au Grand Prix d’Émilie-Romagne avec des trophées imaginés et créées par l’artiste Alice Ronchi.
Les trophées représentent un éclair et sont le résultat d’une collaboration entre le Pirelli HangarBicocca, un musée d’art contemporain, avec l’artiste italien.
Ces trophées ont été réalisés par l’artiste italienne sélectionnée pour ce projet grâce à sa collaboration avec Pirelli HangarBicocca: une fondation à but non lucratif dédiée à la production et à la promotion de l’art contemporain, créée à Milan en 2004 à partir d’un ancien entrepôt.
Le sponsor titre de chaque course est en mesure de choisir les trophées remis aux pilotes sur le podium, et Pirelli – une entreprise implantée à Milan en Italie – a décidé de célébrer l’art italien pour le Grand Prix du Made In Italy et d’Émilie-Romagne (appellation officielle du Grand Prix ce week-end à Imola).
Les trophées, innovants en termes de conception et d’aspect symbolique, représentent un éclair et ont été réalisés dans l’atelier de l’artiste avec de l’aluminium, avant d’être polis avec un effet miroir.
Le processus de création comprenait la modélisation numérique de la forme finale, l’impression 3D et le moulage à la cire dans une fonderie. Selon l’artiste elle-même, le trophée a été inspiré par la beauté d’une voiture de course des années 1950 et le paysage d’Imola. L’artiste a choisi de se concentrer sur l’histoire ainsi que sur ce qu’elle a identifié comme le thème prédominant de la Formule 1: la puissance.
« J’ai vu l’éclair comme un symbole de puissance, de vitesse, de tension et de force. » explique Alice Ronchi.
« Et cela remonte aux principales icônes qui ont inspiré cette œuvre: Zeus, les dieux et la Grèce antique. Espérons que ce trophée offre un nouvel aspect narratif. »
« À travers une interprétation des aspects qui résument les forces motrices de chaque grand prix, ainsi que l’utilisation de l’éclair et la référence au mythe de Zeus, j’ai voulu transmettre une histoire racontée de la manière la plus expressive possible. »
Rendez-vous donc ce dimanche 18 avril sur le podium du Grand Prix d’Émilie-Romagne pour découvrir ces trophées.