Red Bull a eu du mal à s’adapter à la nouvelle réglementation en début d’année

Le patron de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, explique pourquoi son écurie a eu un début de saison un peu plus compliqué que prévu en 2019.

Après une fin de saison 2018 très forte de la part de Red Bull Racing, on s’attendait à ce que l’écurie de Milton Keynes débute la saison 2019 sur les chapeaux de roue, mais Christian, Horner révèle que la nouvelle réglementation qui a été introduite cette année a légèrement handicapé Red Bull.

Horner admet que son équipe a eu du mal à concevoir une monoplace efficace dés le début de l’année avec l’introduction des nouveaux ailerons avant, alors que les gommes Pirelli à bande de roulement plus fine n’ont pas non plus aidé l’équipe.

« Nous avons dû faire face à un changement majeur de règles dans deux domaines fondamentaux sur la voiture du côté du châssis et où l’aileron avant avait été un franc succès pour nous [l’an dernier]. » explique Christian Horner.

« Le changement d’aileron avant nous a fait beaucoup de mal, parce que par rapport à la réglementation précédente, nous avions très bien optimisé notre monoplace en 2018. »

« Le changement de concept de l’aileron avant est la partie qui nous a probablement le plus nui, alors qu’avoir des pneus plus rigides n’a pas aidé non plus. »

« Mais nous sommes arrivés à un point où nous comprenons mieux les changements, et vous pouvez constater que la voiture s’améliore. Les gars ont une très bonne idée de ce qui doit changer, et vous pouvez constater que la monoplace s’améliore à chaque course. »

« Nous avons définitivement débloqué le potentiel de la voiture. Nous avons confiance pour Hockenheim compte tenu des performances à Silverstone. Alors que la Hongrie est une piste sur laquelle nous avons toujours bien performé, donc c’est encourageant pour nous.« 

Red Bull s’attend à un deuxième semestre plus fort

Finalement, malgré le fait que Red Bull ait pris un peu de retard lors des premières courses de la saison, l’écurie de Milton Keynes n’est qu’à 52 points de Ferrari au championnat.

Horner s’attend donc à connaître une seconde partie de saison plus performante, d’autant que Honda introduira après la pause estivale la Spec 4 de son moteur.

« Nous avons eu deux troisièmes places et une victoire lors des neuf premières courses, et nous aurions dû terminer deuxièmes à Monaco. Cela a été un premier semestre raisonnable, et avec l’élan que nous prenons, je m’attends à ce que nous ayons un deuxième semestre plus compétitif. »

Helmut Marko fait des propositions radicales à la F1 pour améliorer le spectacle

Bien connu pour ne pas garder sa langue dans sa poche, Helmut Marko a été invité à faire des propositions sur ce qu’il aimerait voir changer en Formule 1.

L’Autrichien est allé droit au but et considère que la Formule 1 actuelle est devenue trop complexe pour le commun des mortels, notamment grâce à l’utilisation de la télémétrie dans les garages ou encore l’utilisation d’une technologie hybride trop complexe et trop coûteuse.

« Les termes MGU-H et MGU-K ne parlent pas aux fans, et les pièces utilisées ne conviennent pas non plus à une utilisation quotidienne. » explique Helmut Marko.  « Je me demande aussi comment il est possible de conserver ces deux systèmes de récupération aussi coûteux. »

« Il faut dix personnes pour pouvoir démarrer une voiture. Si nous désactivions la télémétrie, la piste serait vide, personne ne mettrait sa voiture sur la piste. »

« Grâce à la télémétrie et aux données qui en résultent, les équipes peuvent facilement voir où leurs concurrents freinent ou accélèrent, s’ils le font plus tôt ou plus tard. »

« Si un pilote a trouvé une meilleure trajectoire, alors, les autres équipes le sauront presque immédiatement grâce aux données et feront exactement la même chose deux tours plus tard. Par conséquent, vous, en tant que pilote, vous ne profiterez jamais vraiment de quoi que ce soit. »

« De plus, les monoplaces ne sont pas assez physiques à piloter, par exemple, Nikita Mazepin n’était que deux dixièmes plus lent que Valtteri Bottas lors d’un essai pour Mercedes. »

« Si nous rendons les voitures un peu plus difficiles à piloter et interdisons la télémétrie, alors nous pourrions nous attendre à des courses plus excitantes et le milieu du peloton serait plus rapproché. »

Retour des bacs à gravier

Les larges zones de dégagement qui sont devenues la norme sur les circuits de Formule 1 agacent l’Autrichien, qui voudrait que l’on revienne aux fondamentaux : « Autrefois, si vous commettiez une erreur, vous étiez immédiatement coincé dans le gravier. »

« Aujourd’hui, les pilotes ne sont plus punis. Par conséquent, les pilotes de classe mondiale ne peuvent plus se distinguer des pilotes moins bons. »

« Si tout cela a été fait pour la sécurité, je pense que c’est exagéré. Si nous pouvons courir à Monaco où il n’y a pas de zone de dégagement, nous n’en aurons pas besoin sur les autres circuits. »

Les propos d’Helmut Marko seront-ils entendus par les dirigeants de la Formule 1, qui sont actuellement en train d’écrire les futures règles de la discipline à partir de la saison 2021 ? Réponse au mois d’octobre lors de la publication officielle de ces règles.

Vidéo : Caméra embarquée avec Valtteri Bottas au volant d’une Toyota Yaris WRC

Valtteri Bottas s’est octroyé un petit moment de plaisir vendredi dernier en prenant le volant d’une Toyota Yaris WRC en Finlande.

Le pilote Mercedes a effectué un essai « pour le plaisir » vendredi dernier au volant d’une Toyota Yaris officielle du WRC sur une piste en Finlande.

Véritable passionné de Rallye, le pilote Mercedes a déjà participé au Rallye Lapland en début d’année au volant d’une Ford Fiesta WRC, et au cours duquel il a avait terminé à la cinquième position au classement général.

Cette fois-ci, c’est pour le plaisir que Valtteri Bottas a pris les commandes de cette Toyota Yaris WRC et nous a même offert une petite vidéo de ces exploits, alors que le Finlandais participera à un test officiel le mois prochain en vue d’une participation pour la seconde année consécutive au Rallye Lapland en Finlande l’hiver prochain.

Valtteri Bottas au volant de la Toyota Yaris WRC

Ocon chez Renault en 2020 ?

Esteban Ocon a confirmé à nos confrères de RMC que Mercedes était totalement « ouvert d’esprit » et pouvait très bien prêter le pilote français à un autre motoriste.

Le pilote français s’est retrouvé sur la touche à la fin de la saison dernière suite au rachat de l’écurie Force India par un consortium canadien dirigé par Lawrence Stroll. Le milliardaire canadien a donc logiquement placé son fils chez Racing Point en 2019, laissant Esteban Ocon sur le carreau.

Esteban Ocon a donc trouvé refuge chez Mercedes, où il occupe le poste de pilote de réserve cette année, mais le Français travaille très dur en arrière plan avec son employeur pour revenir sur la grille en 2020.

L’arrivée d’Esteban Ocon chez Renault 2020 à la place de Nico Hulkenberg est de plus en plus probable, et les derniers propos du français au micro de RMC vont dans le sens des dernières rumeurs sur sa potentielle arrivée chez Renault.

« Ce qui m’intéresse le plus, c’est déjà de pouvoir rouler en F1, de retrouver le goût du départ d’un Grand Prix. » explique Esteban Ocon au micro de RMC.

« C’est difficile pour moi de ne pas rouler cette année, ça me manque énormément. J’ai travaillé toute ma carrière pour en arriver là, et forcément la nouvelle l’an passé de ne plus être parmi les 20 pilotes sur la grille a été difficile à avaler, surtout avec mes performances… »

« Toutes les pistes restent vivaces, parce que Mercedes reste ouvert d’esprit, même si c’est avec un autre motoriste. Je peux être prêté, ce n’est pas un souci. Mon objectif principal est de rouler chez Mercedes, au sein de l’écurie officielle, mais tout est possible. »

Max Verstappen s’attend à voir une marée orange à Hockenheim

Max Verstappen s’attend à voir débarquer de nombreux spectateurs hollandais ce week-end au Grand Prix d’Allemagne en raison de la proximité géographique avec les Pays-Bas.

Depuis l’arrivée de Max Verstappen en Formule 1, les fans hollandais ont pris l’habitude de se déplacer en nombre sur les différents circuits du calendrier pour soutenir leur héros national.

Mais parmi tous les Grands Prix, certains comme celui de Belgique, d’Angleterre ou d’Autriche sont littéralement envahis par des fans du pilote Red Bull, tous vêtus de orange.

Le circuit d’Hockenheim fait également partie des endroits privilégiés par les fans de Max Verstappen et cette édition 2019 ne devrait pas déroger à la règle, d’autant que le Grand Prix d’Allemagne vit peut-être ses dernières heures en Formule 1.

« J’adore le Grand Prix d’Allemagne, et il y a toujours beaucoup de fans hollandais qui viennent nous soutenir à Hockenheim, car ce n’est pas très loin. » explique le pilote Red Bull.

Sportivement parlant, Max Verstappen s’attend à un week-end fort à nouveau, en ligne avec les deux dernières courses disputées en Autriche, où le Hollandais a décroché la victoire, et à Silverstone, où Verstappen a fait le show dans un superbe duel avec Charles Leclerc.

« Le secteur du stadium est vraiment très cool, parce que vous entrez dans un virage très rapide, et un virage penché avec une toute petite zone de dégagement. Vous pouvez aussi gagner beaucoup de temps dans les derniers virages. »

« Je pense que le week-end sera chaud, ce qui est toujours plus stimulant et amusant. De notre côté, nous sommes sur une bonne voie avec la voiture et nous nous améliorons chaque week-end, donc, je suis impatient. »

Hulkenberg incapable de dire si Max Verstappen est le meilleur pilote en F1

Nico Hulkenberg insiste sur le fait qu’il n’est pas en mesure de dire si Max Verstappen est le meilleur pilote du monde, comme l’a déclaré Christian Horner récemment.

Il y a quelques semaines, le patron de l’équipe Red Bull Racing, Christian Horner, a déclaré après la victoire du Hollandais en Autriche que Max Verstappen était le meilleur pilote de Formule 1 sur la période des douze derniers mois.

Interrogé pour connaître son avis sur la question dans le dernier podcast de la F1, Nico Hulkenberg admet qu’il n’a pas eu le temps de suivre de près son collègue ces derniers mois et ne peut donc pas donner son avis sur le sujet.

« C’est très difficile à dire, parce que je suis très tourné vers mon équipe et ma vision est très limitée, car je me concentre sur moi-même et sur Renault. » explique Nico Hulkenberg, qui est en fin de contrat avec l’équipe du constructeur français.

« Je vois tous les détails au sein de cette équipe, et je ne fais très attention à ce que font les autres pendant les week-ends de course. »

« Mais en regardant les classements et ses courses jusqu’à présent cette année, il a très bien réussi. » concède l’Allemand.

Hulkenberg aux côtés de Verstappen en 2020 ?

En pleine période des transferts, les rumeurs suggèrent depuis quelques semaines que Nico Hulkenberg pourrait rejoindre Max Verstappen chez Red Bull Racing en 2020 en remplacement de Pierre Gasly. Mais cette rumeur a été démentie depuis par le conseiller motorsport chez Red Bull, Helmut Marko.

Cependant, la « très probable » arrivée d’Esteban Ocon chez Renault l’an prochain pousserait inévitablement Nico Hulkenberg vers la sortie, ce qui laisserait un pilote d’expérience disponible pour la saison prochaine.

Rappelons que le contrat de Nico Hulkenberg avec Renault arrive à terme à la fin de la saison 2019, alors que l’équipe du constructeur français a déjà déclaré qu’elle annoncerait les noms de ses deux pilotes après la pause estivale, même si l’on sait déjà que Daniel Ricciardo sera toujours là en 2020.

Hamilton chez Ferrari : « Ce serait très courageux de sa part » selon Jenson Button

Jenson Button pense que Lewis Hamilton signerait la fin de sa carrière en Formule 1 si le quintuple champion du monde décidait un jour de rejoindre la Scuderia Ferrari.

Alors que les rumeurs sur une potentielle arrivée de Lewis Hamilton chez Ferrari ne cessent de grandir depuis plusieurs saisons maintenant, son ancien coéquipier chez McLaren, Jenson Button, met en garde le Britannique.

Selon Jenson Button, Lewis Hamilton signerait tout simplement la fin de sa carrière en passant d’une équipe dominatrice comme Mercedes à une Scuderia Ferrari qui n’a plus remporté de championnat du monde depuis 2008.

« Je suis certain que tous les pilotes veulent aller chez Ferrari, mais aucun pilote ne voudrait passer d’une équipe qui gagne à une autre qui n’est pas compétitive. » explique le champion du monde 2009, Jenson Button.

« Je pense que ce serait très courageux de sa part d’aller chez Ferrari. Lewis pourrait remporter dix titres mondiaux s’il reste chez Mercedes, mais s’il va chez Ferrari, ça pourrait être la fin de sa carrière. »

Lewis Hamilton est toujours sous contrat avec Mercedes jusqu’en 2020, mais le quintuple champion du monde pourrait bien décider de quitter son cocon pour rejoindre la Scuderia Ferrari en 2021 lorsque les nouvelles règles seront introduites dans le sport.

Si le marché des pilotes ne devrait pas trop évoluer en 2020, celui de la saison 2021 devrait subir de grands changements parmi les top teams, car beaucoup de pilotes attendent de connaître avec précision la nouvelle réglementation pour prendre une décision concernant leur avenir. Ces nouvelles règles seront publiées d’ici le mois d’octobre 2019.

Le nombre de dépassements en F1 a t-il augmenté en 2019 ?

Adrian Newey affirme que ce n’est pas l’aérodynamique des monoplaces qu’il faut remettre en cause pour expliquer le manque de spectacle en F1, mais plutôt les pneumatiques.

L’aérodynamique des monoplaces a beaucoup évolué au cours des dernières années, et en 2019, certaines mesures ont été prises par les dirigeants du sport pour permettre aux pilotes de suivre les autres monoplaces de plus près et de pouvoir les dépasser.

Ces nouvelles règles introduites cette année ont obligé les équipes à fabriquer un aileron avant plus large, un aileron arrière plus large également, alors que les écopes de freins ont été réduites, ainsi que plusieurs autres petits changements.

Mais au final, le constat reste mitigé, puisque les pilotes se plaignent toujours de ne pas pouvoir suivre de près les autres monoplaces, même si la situation s’est légèrement  améliorée par rapport à l’an dernier.

La FIA et la F1 sont donc en train de travailler sur l’élaboration des règles qui seront introduites en catégorie reine du sport automobile en 2021, alors que l’aérodynamique des monoplaces sera une nouvelle fois chamboulée pour offrir plus de spectacle.

Mais pour Adrian Newey, l’un des plus gros problèmes actuellement en Formule 1 ne vient pas forcément de l’aéro des monoplaces, mais plutôt des pneumatiques Pirelli.

« Je tiens quelque chose aujourd’hui pour expliquer le fait qu’il soit si difficile de suivre une autre monoplace : ce sont les pneus. » explique Adrian Newey.

« Les pneus surchauffent très rapidement parce que vous pilotez dans le sillage d’une voiture et que vous glissez davantage. Même un pilote plus rapide ne peut pas rester dans ce sillage. »

Quelles améliorations par rapport à 2018 ?

Après les dix premières courses de la saison 2019, il y a eu au total 310 dépassements entre le Grand Prix d’Australie et celui de Grande-Bretagne, soit 5 de plus qu’en 2018 à pareille époque.

Adrian Newey aurait donc peut-être raison dans son raisonnement, lorsqu’il évoque la problématique des pneumatiques, car une chose est certaine, l’aérodynamique n’est pas la seule responsable.

Comparaison des dépassements entre 2018 et 2019

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Kimi Raikkonen teste les jeux vidéo : « C’est plus facile dans la vraie vie! »

Le pilote Alfa Romeo Kimi Raikkonen estime qu’il est plus difficile de piloter une Formule 1 sur une console de jeux que dans la vraie vie.

On a beau s’appeler Kimi Raikkonen, avoir pris le départ de plus de 300 Grands Prix et être accessoirement champion du monde, mais ne pas arriver à piloter sur une console de jeux.

Raikkonen en a fait l’amère expérience lorsque le Youtubeur Aarava est venu dans l’hospitalité Alfa Romeo pour proposer au pilote finlandais une petite séance d’entrainement sur F1 2019.

Très rapidement, Kimi Raikkonen s’est aperçu de la difficulté de « claquer » un temps sur console, alors que pour sa défense, le champion du monde 2007 jouait avec une manette, ce qui n’aide pas particulièrement sur un jeu de F1.

« Dans la vie réelle c’est beaucoup plus facile, moi je suis de la vieille école. » souligne Iceman. « Je pense que mes enfants seront capables d’y arriver mieux que moi en seulement une heure. »

Justement, Aarava a sauté sur l’occasion pour demander à Kimi Raikkonen si le petit Robin [le fils de Kimi Raikkonen] deviendrait lui aussi un pilote de Formule 1 : « Je ne sais pas, il est très intéressé par le Motocros. »

« Mais qui sait, il est encore un peu trop tôt pour penser à son avenir. De toute façon, quoi qu’il décide faire, nous le soutiendrons. » a expliqué Kimi Raikkonen.

Raikkonen teste F1 2019 sur Playstation

L’équipe Mercedes pénalisée par la canicule au Grand Prix d’Allemagne ?

Pour son Grand Prix à domicile, l’équipe Mercedes pourrait bien se retrouver en difficulté dimanche sur le tracé d’Hockenheim.

On le sait, les deux flèches d’argent ne supportent pas d’évoluer sous de fortes températures, et le Grand Prix d’Autriche en a été le parfait exemple le mois dernier avec une troisième et une cinquième place pour les deux pilotes Mercedes.

Mercedes l’admet d’ailleurs, les ingénieurs de l’équipe du constructeur allemand ont beaucoup de mal à refroidir le moteur de la W10 lorsque le mercure dépasse les 30 degrés.

« Nous étions à la limite avec le refroidissement. Nous savions que c’était notre talon d’Achille et la combinaison de la température ambiante et de l’altitude était trop difficile à combattre. » a déclaré Andrew Shovlin, ingénieur en chef chez Mercedes, après le Grand Prix d’Autriche.

Pour le Grand Prix d’Allemagne, les premières prévisions indiquent que le mercure devrait allègrement dépasser les 30 degrés pour la première journée de vendredi, alors que pour les qualifications du samedi, des orages sont attendus sur le circuit d’Hockenheim.

Pour le dimanche, les prévisions indiquent une petite baisse des températures, mais le mercure devrait tout de même flirter avec les 30 degrés au moment du départ, ce qui devrait être un sérieux problème pour Mercedes.

Naturellement, il est encore un peu trop tôt pour faire des prévisions météo fiables, mais la vague de chaleur qui devrait commencer à arriver cette semaine sur la France passera inévitablement par l’Allemagne en fin de semaine et devrait donc nous offrir un Grand Prix d’Allemagne très chaud.

Affaire à suivre…

Zak Brown impressionné par la première saison de Lando Norris en F1

Le patron de McLaren ne tarit pas d’éloges sur le rookie Lando Norris, qui débute sa carrière de pilote de F1 cette saison aux côtés de Carlos Sainz.

Depuis le début de l’année, Lando Norris impressionne par son professionnalisme, sa bonne humeur, son pilotage et sa facilité d’adaptation à ce monde si particulier qu’est la Formule 1.

Il y a quelques jours, McLaren a d’ailleurs confirmé Lando Norris, ainsi que Carlos Sainz, pour la prochaine saison de F1, ce qui en soit, prouve à quel point l’équipe est satisfaite de ses pilotes.

« Carlos [Sainz] a été très rapide durant tous les week-ends de course, mais Lando aussi, il est également très rapide et apprend vite. » déclare le patron de McLaren, Zak Brown.

« Il ne commet que très peu d’erreurs, et ça, nous ne nous y attendions pas de la part d’un rookie. Il pilote très bien, ses retours sont bons, et il s’entend très bien avec Carlos. »

« Nos deux gars pilotent pour l’équipe, nous sommes donc très satisfaits de leur progrès. Nous aimons vraiment ce que nous voyons, et nos deux pilotes font vraiment un excellent travail. »

« Dans le cas de Norris, il a désormais suffisamment de courses à son actif, et cela nous a permis de le voir évoluer sous pression, de le voir faire la course avec son coéquipier et de le voir aux avant-postes. »

« Nous en avons vu suffisamment de lui pour savoir qu’il est l’une des futures stars de ce sport. » conclut le manager américain.

Carlos Sainz soulagé de savoir qu’il continuera avec McLaren en 2020

Carlos Sainz se dit soulagé de savoir déjà qu’il pilotera pour McLaren en 2020 pour une seconde année consécutive au sein de l’écurie britannique.

Il y a quelques jours, McLaren a confirmé ses deux pilotes pour la saison prochaine, et sans surprise, l’équipe de Woking a décidé de conserver Lando Norris et Carlos Sainz.

Interrogé sur sa reconduction avec McLaren pour 2020, Carlos Sainz admet qu’il s’agit d’un certain soulagement, ce qui va lui permettre de continuer son travail de développement de la MCL35 en toute tranquillité, sans se soucier de son avenir à moyen terme.

« Cela fait une différence de savoir que vous resterez avec l’équipe plus d’un an. En tant que pilote, vous êtes beaucoup plus impliqué dans le développement de la voiture. » explique le pilote espagnol.

« On a aussi pu le voir avec quelques pilotes cette année, cela peut prendre un certain temps pour s’habituer à une voiture et arriver à sortir les derniers dixièmes. Ce n’est pas toujours facile de trouver les limites d’une voiture et d’obtenir constamment le maximum. »

« J’ai plus confiance en moi, parce que je sais que je vais rester là plus longtemps. Chez Red Bull [Toro Rosso], mon contrat était renouvelé chaque année, et on sous-estime beaucoup l’ampleur du soulagement que ressent un pilote lorsqu’il sait que son avenir avec l’équipe est un peu plus long. »

« Vous pouvez vous installer, et savoir comment gérer au mieux la voiture et l’équipe. Je pense qu’avec un peu de stabilité, vous êtes un meilleur athlète. »

Hamilton a accompli un véritable exploit à Silverstone avec ses pneus durs en fin de course

Les ingénieurs de Mercedes n’ont toujours aucune explication après le tour le plus rapide de la course exécuté par Lewis Hamilton à Silverstone, alors que le Britannique était en pneus durs et usés de 32 tours.

Le quintuple champion du monde a réalisé un véritable exploit à Silverstone en signant le meilleur tour en course dans le tout dernier tour avec des pneus vieux de 32 tours.

Après enquête, Mercedes se demande encore comment le pilote britannique a réussi un tel tour de force avec des gommes dures en fin de vie.

« Nous ne savons toujours pas comment Lewis a pu faire le meilleur tour de la course avec des pneus durs vieux de 32 tours. » explique James Wowles, le stratège en chef chez Mercedes.

« Les pneumatiques les plus durs mis à disposition par Pirelli étaient usés jusqu’à la corde, et il a quand même réussi à faire un tour fantastique à la fin. C’est bien joué de sa part. »

« Nous ne nous attendions pas à ce qu’il fasse le meilleur tour en course avec des pneus usés de 32 tours, nous avions planifié un arrêt supplémentaire pour lui vers la fin, mais c’était un arrêt gratuit. »

« Valtteri était derrière lui et devait de toute façon encore s’arrêter, car il n’avait roulé qu’en pneus Médiums. Il devait respecter les règles et chausser un autre mélange. »

Pierre Gasly espère pouvoir continuer sur sa lancée au Grand Prix d’Allemagne

Après un Grand Prix de Grande-Bretagne plus qu’encourageant où il a terminé quatrième, Pierre Gasly espère continuer sur cette lancée au Grand Prix d’Allemagne.

Le pilote Red Bull Pierre Gasly a réussi à réagir en retrouvant une certaine performance au volant de sa RB15 le week-end dernier à Silverstone et en terminant pour la première fois depuis le début de l’année devant son coéquipier Max Verstappen.

Certes, le Français a bien été aidé par les faits de course [Verstappen s’est fait percuter par Vettel], mais au final, Pierre Gasly a tout de même réussi à devancer son coéquipier à la régulière sur toutes les autres séances du week-end, se permettant même le luxe de finir en tête d’une séance d’essais libres.

« Je suis excité pour la prochaine manche en Allemagne, en particulier après un week-end important à Silverstone, et je suis impatient de poursuivre sur cette lancée. » déclare Pierre Gasly.

« J’étais de retour dans la voiture mardi après la course pour le test des pneus Pirelli [à Silverstone]. Maintenant, je vais prendre quelques jours de repos, puis il sera temps de s’entraîner sérieusement et de revenir dans la bête [sa monoplace]! »

« Hockenheim est une piste que j’aime bien, même si j’aurais bien aimé courir sur le vieux Hockenheimring, qui était encore plus spécial que l’actuel. Néanmoins, le circuit reste passionnant et la course de l’année dernière a été épique, avec beaucoup d’actions. »

« J’aime beaucoup le stadium aussi dans le dernier secteur, parce qu’il est très technique et stimulant. Hockenheim est également le seul endroit de ma carrière où l’extincteur [positionné dans sa monoplace] m’a explosé à la figure, alors j’espère que cette année il me traitera mieux. »

Charles Leclerc revient sur ce moment si particulier qui précède un départ en F1

Le pilote Ferrari Charles Leclerc est revenu en détails sur ce moment si particulier qu’est la mise en grille avant le départ de la course le dimanche.

Vous vous êtes très certainement déjà demandé ce que pouvait ressentir un pilote lorsqu’il sait qu’il va devoir s’élancer dans quelques minutes au volant d’une Formule 1 pour prendre le départ d’une course.

Chaque pilote a sa propre façon d’appréhender le départ d’une course en Formule 1, certains sont décontractés comme Kimi Raikkonen, d’autres ont besoin d’être dans une bulle avec de la musique comme Daniel Ricciardo, et d’autres comme Charles Leclerc ont besoin de s’isoler quelques instants et de ne parler que de technique.

Le pilote Ferrari revient justement en détails sur cet instant si particulier qui précède le départ de la course.

« Je vais souvent m’asseoir juste à côté de la voiture, là, j’ai quelques ingénieurs qui se rapprochent justement pour tout ce qui est infos [concernant le départ et les procédures]. » explique Charles Leclerc au micro de Canal+.

« Je ne réalise pas vraiment le monde qu’il y a autour de moi quand je suis assis juste avant de rentrer dans ma voiture, parce que je suis dans ma bulle. J’essaie de me concentrer et de me répéter tout ce que les ingénieurs m’ont dit juste avant. »

« On revoit toutes les procédures qu’il y a avant le départ, parce qu’il y en a beaucoup, pour être sûr de ne pas en oublier une, parce que en oublier une voudra dire qu’on ratera complétement le départ. »

le pilote Ferrari Charles Leclerc

« Tout ce que l’on dit avant de rentrer dans la voiture ne concerne que la technique. Je pense qu’on ne se rend vraiment pas compte de l’extérieur à quel point il y a beaucoup de choses à faire et surtout que les communications radio sont interdites pendant le tour de formation juste avant le départ. C’est assez compliqué, surtout quand il y a la pression. Il ne faut pas se louper. »

Andrea Ferrari ne dit pas un mot

Andrea Ferrari, le préparateur physique de Charles Leclerc chez Ferrari, explique qu’il accompagne le Monégasque sur la grille uniquement au cas où il aurait besoin de quelque chose de précis.

« Je suis sur la grille seulement au cas où il aurait besoin de quelque chose. » explique Andrea Ferrari.

« Je prends le casque et tout ce qu’il me donne, je ne dis rien, et j’attends. Si il a quelque chose, il me le dit, mais sinon, je ne dis rien, parce que je veux juste qu’il reste concentré. »

« De façon générale, Charles veut que je lui parle seulement de technique. Il n’a pas besoin d’aide psychologique. »

Valtteri Bottas voudrait que les pilotes aient leur mot à dire pour l’ajout de nouveaux tracés

Le pilote Mercedes Valtteri Bottas aimerait que la Formule 1 interroge un peu plus les pilotes quant au choix des futures pistes qui seront introduites au calendrier de la F1.

Récemment, Lewis Hamilton a critiqué le fait que les dirigeants de la catégorie reine ne prenaient pas suffisamment en compte les suggestions et avis des pilotes de F1 lorsqu’ils choisissaient une nouvelle piste.

Le coéquipier d’Hamilton, Valtteri Bottas, a fait écho des propos du Britannique, en admettant qu’il aimerait lui aussi que la Formule 1 interroge un peu plus les pilotes avant d’ajouter des courses au calendrier.

« Je suis certain qu’une grande partie du calendrier de la Formule 1 n’a sa place que pour des raisons politiques ou financières. » déclare Valtteri Bottas.

« Quelques fois, il n’est même pas question de savoir si la course est bonne ou non. De notre côté, du côté des pilotes, ce n’est certainement pas amusant. Nous adorons courir, et je pense que tout le monde pense comme nous, c’est comme ça que ça devrait être. »

« Comme Lewis [Hamilton] l’a déjà dit, je pense qu’il est utile de donner son avis en tant que pilote faisant partie du GPDA sur les circuits. Après tout, nous sommes dans la voiture, nous savons exactement ce qui est nécéssaire sur une piste pour pouvoir vraiment courir, et nous avons ce sentiment immédiatement. »

« Nous serions donc très heureux si nous pouvions aider à choisir les emplacements, et je pense qu’avec les contributions du GPDA, nous irons dans la bonne direction. »

Charles Leclerc travaille « aussi dur que possible » pour décrocher sa première victoire en F1

Le pilote Ferrari Charles Leclerc assure qu’il ne se met aucune pression supplémentaire pour décrocher sa première victoire en Formule 1.

Âgé de 21 ans à peine, Charles Leclerc a été promu au sein de la Scuderia Ferrari à la fin de sa première saison en catégorie reine, après une année d’apprentissage chez Sauber-Alfa Romeo avec qui il a rapidement marqué ses premiers points en carrière.

En arrivant chez Ferrari, Charles Leclerc visait donc naturellement des victoires au volant de l’une des monoplaces les plus compétitives de la catégorie, mais à deux reprises cette année, le Monégasque a échoué.

La première victoire a bien failli être décrochée à Bahreïn, où il avait signé la pole position, mais un problème mécanique l’a contraint à ralentir en fin de course et ne lui a pas permis de faire mieux que troisième.

Un peu plus récemment, c’est en Autriche que Charles Leclerc semblait se diriger enfin vers sa première victoire en F1, mais là encore, un élément perturbateur [nommé Verstappen] est venu l’empêcher de monter sur la première marche du podium.

Interrogé par CNN pour savoir comment il vivait le fait de ne pas avoir encore réussi à décrocher la victoire cette année, le pilote Monégasque assure qu’il travaille dur pour y arriver, mais ne veut pas se mettre de pression.

« Je ne me mets aucune pression, je travaille vraiment aussi dur que possible pour la décrocher [la première victoire], mais vous dire quand cela arrivera, je ne le sais pas. » déclare Charles Leclerc.

« Une chose est certaine, je fais de mon mieux pour que cela arrive le plus rapidement possible, et devenir champion du monde en F1 est un rêve depuis que je suis enfant, tout comme celui d’arriver en Formule 1. »

« Maintenant que je suis là, mon rêve est bien-sûr d’être champion du monde, mais la route est encore longue. »

Au championnat du monde des pilotes, Charles Leclerc est désormais cinquième et accuse un retard de seulement trois points sur son coéquipier Sebastian Vettel.

Mick Schumacher s’attend à vivre un moment fort au volant de la Ferrari F2004

Mick Schumacher s’attend à vivre un moment particulièrement fort et intense la semaine prochaine au Grand Prix d’Allemagne lorsqu’il prendra le volant de la Ferrari F2004 de son père.

Le week-end prochain, dans le cadre du Grand Prix d’Allemagne, onzième manche de la saison 2019 de Formule 1, Mick Schumacher, fils du septuple champion du monde de F1,  effectuera sur la piste d’Hockenheim une représentation au volant de la Ferrari F2004 avec laquelle son papa a remporté son septième titre mondial.

Schumacher Jr sera en piste avec la Ferrari F2004 le samedi 27 juillet juste avant la séance de qualifications, ainsi que le dimanche 28 juillet quelques minutes avant la parade des pilotes.

« Le fait de pouvoir piloter l’une des Formule 1 les plus puissantes de l’histoire de la F1 me donne déjà un large sourire. » déclare le pilote allemand.

« Je pense que ce sera super de piloter cette voiture à Hockenheim, d’autant que la dernière fois que je suis venu sur cette piste c’est lorsque j’ai fêté mon titre en Formule 3. »

Grâce à la F2004, Michael Schumacher a remporté à l’époque 15 victoires et les deux titres mondiaux pilotes et constructeur lors de la même saison.

Selon Mattia Binotto, Sebastian Vettel reste « pleinement engagé »

Le directeur de la Scuderia Ferrari Mattia Binotto assure que Sebastian Vettel est toujours pleinement engagé dans son rôle pour gagner avec Ferrari.

L’avenir de Sebastian Vettel dans le sport a fait l’objet de nombreuses spéculations depuis quelques mois, alors que le quadruple champion du monde a également multiplié les erreurs en course.

Beaucoup d’observateurs estiment que l’Allemand n’est plus motivé, bien que le principal intéressé ait déjà minimisé à plusieurs reprises les rumeurs selon lesquelles il serait prêt à mettre fin à sa carrière à la fin de la saison.

Après une énième erreur commise au Grand Prix de Grande-Bretagne lorsqu’il a percuté la Red Bull de Max Verstappen, Sebastian Vettel a une nouvelle fois été vivement critiqué par la presse italienne.

Mais pour le patron de la Scuderia, le pilote allemand est toujours « pleinement engagé » et souhaite toujours réaliser son rêve de devenir champion du monde avec Ferrari.

« Je pense que Sebastian est très heureux pour le moment, même s’il serait plus heureux s’il remportait des courses et avait une voiture plus performante. » déclare Mattia Binotto, le directeur de la Scuderia Ferrari.

« Mais je peux voir qu’il est toujours prêt à courir pour gagner. Je pense que c’est son rêve et son seul objectif de gagner avec Ferrari. »

« Il ne fait donc aucun doute qu’il envisage l’avenir comme une personne pleinement engagée et intéressée. »

Au championnat du monde des pilotes, Sebastian Vettel occupe désormais la quatrième place, à 100 points du leader Lewis Hamilton. Son coéquipier Charles Leclerc le talonne et n’accuse que trois points de retard sur lui.

Rien ne garantit que Renault F1 devienne une équipe compétitive affirme Hulkenberg

Nico Hulkenberg restera t-il chez Renault en 2020, ou bien le pilote allemand rejoindra t-il une autre équipe de la grille ?

Le nom d’Hulkenberg ressort assez fréquemment depuis quelques mois lorsqu’on évoque le marché des transferts pour la saison 2020, et l’Allemand est souvent liè au baquet Red Bull aux côtés de Max Verstappen et ce, même si Helmut Marko a déjà démenti cette rumeur.

Nico Hulkenberg arrive en fin de contrat avec l’équipe Renault, et beaucoup estiment que c’est le Français Esteban Ocon qui lui succédera aux côtés de Daniel Ricciardo l’an prochain.

Interrogé pour savoir s’il pensait que Renault allait devenir une équipe très compétitive dans les prochaines années, l’Allemand a répondu : « Ce n’est pas garanti, rien n’est garanti. » affirme le pilote Renault Nico Hulkenberg.

« Certes, il y a eu beaucoup d’investissements, beaucoup de travail a été fait. Les installations sont très différentes maintenant, beaucoup plus rapides, toutes les infrastructures des usines, il y a beaucoup plus de personnel qui travaille également. L’ensemble de l’équipe a donc vraiment grandi. »

« A quel point pouvons-nous avoir confiance dans le fait que Renault devienne l’une des meilleures équipes ? C’es vraiment difficile à dire, mais je vois beaucoup de bonnes choses qui se sont passées au cours des 24 derniers mois. »

« Je pense que nous avons une bonne base maintenant. Mais nous devons vraiment le prouver. Nous devons faire le travail. Donc, je suis convaincu que nous pouvons faire un long chemin. Jusqu’où ? Seul le temps nous le dira. »

nico hulkenberg

Aucun regret

Après neuf ans de carrière en Formule 1, l’Allemand Nico Hulkenberg n’a jamais réussi à monter sur un podium, et donc, n’a aucune victoire à son palmarès. Mais le pilote Renault affirme n’avoir aucun regret.

« Lorsque j’ai débuté ma carrière en 2010, mon objectif et mon intention étaient de faire une bonne et longue carrière en Formule 1. C’est ce que j’ai toujours cherché : être un pilote de Formule 1. »

« De façon générale, je me sens bien. Bien-sûr, j’aurais aimé que ce soit mieux, mais je n’ai pas de gros regrets, ni de pensées amères sur le passé. Bien-sûr, j’aurais aimé avoir des victoires, des championnats, etc.. Mais nous savons évidemment comment cela fonctionne en Formule 1 et vous devez être au bon endroit au bon moment avec la bonne voiture, dans la bonne équipe et malheureusement cela ne m’est pas arrivé. »

« Mais j’ai quand même fait, je pense, une belle carrière. J’ai toujours eu le sentiment d’avoir donné le meilleur, et souvent surpassé le matériel que j’ai eu, et si vous n’avez pas la voiture pour gagner, c’est le mieux que vous puissiez faire. »