Esteban Ocon révèle que Renault n’a pas rencontré de gros problèmes cet hiver pour caser son mètre quatre-vingt six dans le cockpit de la RS20.

Le Français Esteban Ocon fait partie des pilotes les plus grands de la grille de la F1 et réussir à caser ses grandes jambes dans un tout petit cockpit de Formule 1 a déjà posé quelques problèmes de conception sur ses monoplaces précédentes chez Racing Point.

De retour chez Renault cette année aux côtés de Daniel Ricciardo, Esteban Ocon assure qu’il n’a pas rencontré de souci cet hiver pour rentrer dans le cockpit de sa future monoplace pour la saison 2020 [la RS20], notamment parce que l’équipe du constructeur français a toujours conservé une monoplace plus grande que la moyenne.

Après son passage chez Renault en 2016, où il occupait le poste de pilote d’essai, l’équipe a dû se résoudre à construire un châssis assez grand pour pouvoir accueillir le mètre quatre-vingt six d’Esteban Ocon.

Cette taille « spéciale » a été conservée par Renault pour les années suivantes, après l’arrivée dans l’équipe en 2017 de Nico Hülkenberg, qui est lui aussi considéré comme un pilote de grande taille avec son mètre quatre-vingt quatre.

« Le design global de la voiture a déjà été fait il y a longtemps. Donc, la grandeur, la place qu’il y a, etc..c’était un peu figé. » explique Esteban Ocon à nos confrères de L’Equipe.

« Mais j’ai la chance que, par le passé, je sois déjà passé par là à l’époque [en tant que pilote d’essai en 2016] donc ils avaient mes références. Du coup, la voiture est restée grande toutes ces années-là. Je reviens avec « ma position » de l’époque et du coup je rentre sans problème. »

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En ce qui concerne son volant, Esteban Ocon a peaufiné les moindres détails avec ses ingénieurs afin de ne laisser aucune place au hasard lorsque la saison aura enfin débuté.

« J’ai pleins de choses que je préfère faire et qui me facilitent la vie et, bien-sûr, on a passé beaucoup de temps là-dessus déjà. »

« Il y a encore des choses qui sont plus difficiles à faire et qui prennent un peu plus de temps, mais on va continuer à bosser là-dessus pour avoir mes procédures plus faciles ou bien les boutons que je veux aux bons endroits. »

« Ce sera bon pour Melbourne [la première course de l’année], parce qu’il reste encore les six jours [d’essais hivernaux]. »

La F1 a annoncé ce lundi le départ de Sean Bratches de son poste de directeur commercial de la catégorie reine du sport automobile.

Après trois années en tant que directeur commercial de la Formule 1, Sean Bratches s’apprête à quitter son poste à la fin du mois de janvier 2020. Bratches quitte son poste de directeur commercial, mais continuera à exercer un rôle de conseiller aux Etats-Unis.

Depuis son arrivée en janvier 2017, Sean Bratches a fait en sorte de transformer l’activité commerciale de la F1 en une marque mondiale leader dans les médias et le divertissement.

Au cours de son mandat, la Formule 1 a pu élargir son portefeuille de sponsors et a également pu améliorer la portée mondiale du sport. En outre, il a créé et supervisé de nombreuses initiatives comme la série « Drive To Survive » sur Netflix ou encore la mise en place de festivals dans les principaux centres-villes du monde.

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« Ces trois dernières années en Formule 1 ont été un voyage incroyable, que j’ai apprécié à fond. » a déclaré Sean Bratches.

« Je veux remercier personnellement l’équipe de la F1 pour leurs efforts et leur dévouement extraordinaires, ils sont les meilleurs des meilleurs et je suis confiants qu’ils continueront à servir les fans et à mettre en œuvre la stratégie que nous avons définie dans les années à venir. »

« Je laisse la Formule 1 dans une meilleure position que lors de mon arrivée en 2017 et je sais que la fondation que nous avons mise en place en tant qu’équipe continuera de servir nos fans du monde entier et d’atteindre de nouveaux publics. »

Aucun remplaçant n’a encore été nommé par la Formule 1 pour combler le départ de Sean Bratches.

Le pilote Williams Racing Nicholas Latifi a révélé quel numéro de course permanent lui sera attribué cette saison en F1.

Depuis la saison 2014, les pilotes de Formule 1 bénéficient tous d’un numéro de course « permanent » qui les suit durant l’ensemble de leur carrière. Ce numéro doit être choisi entre 2 et 99 [le numéro 1 étant réservé au champion du monde en titre].

Pour sa toute première saison en tant que pilote de F1 titulaire, le Canadien Nicholas Latifi a donc dû choisir un numéro permanent qui sera apposé sur la carrosserie de sa Williams FW43 en 2020.

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« J’ai décidé de choisir le numéro 6. La raison de ce choix est que je viens de Toronto et le 6 est rattaché à Toronto. » explique Nicholas Latifi dans une petite vidéo publiée par l’équipe Williams.

« Si vous êtes là, votre indicatif de téléphone est le 416 ou le 647. C’est pourquoi je vais courir avec ce numéro. Je vais désormais terminer mon travail dans le simulateur et je placerai l’autocollant avant de partir, afin qu’il soit familier à mon retour. »

Rappelons que le numéro 6 appartenait au champion du monde 2016 Nico Rosberg, qui a pris sa retraite de la F1 juste après avoir décroché son seul et unique titre mondial.

Le Dr Helmut Marko a définitivement fermé la porte à un éventuel retour du Français Jean-Eric Vergne en Formule 1.

Le pilote français Jean-Eric Vergne, qui a disputé trois saisons chez Toro Rosso entre 2012 et 2014, a quitté la Formule 1 pour rejoindre la catégorie de monoplaces 100% électriques en Formule E, où il est depuis devenu double champion du monde.

Dans le passé, Red Bull a déjà fait revenir des pilotes en F1 après les avoir exclu, comme ce fut le cas récemment de Daniil Kvyat, qui a d’abord été rétrogradé chez Toro Rosso avant d’être complétement écarté de la F1, puis rappelé par Toro Rosso.

Mais lorsqu’on évoque avec Helmut Marko un éventuel retour du Français Jean-Eric Vergne en Formule 1, la réponse de l’Autrichien est sans appel : « Ce chapitre est fermé. » a déclaré le Dr Helmut Marko dans un entretien accordé à Motorsport-Total.

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« Si un pilote comme Jean-Eric Vergne gagne en Formule E, son profil et ses exigences sont complétement différents de ce dont nous avons besoin en Formule 1. »

« Il serait plus ou moins un nouveau venu dans ce domaine. Il lui faudrait alors une saison entière pour s’habituer aux particularités des pneus Pirelli. »

Une sélection plus stricte chez Red Bull

Helmut Marko a d’ailleurs souligné que la sélection des jeunes talents pour l’équipe junior de Red Bull [Alpha Tauri] sera désormais bien plus stricte.

« Nous finançons ces personnes pour une ou deux saisons complètes. Sans ce soutien, ils n’auraient même pas cette chance. »

« Au début, l’équipe junior était uniquement destinées à soutenir certains pilotes, mais désormais, un talent doit avoir le potentiel pour remporter un Grand Prix. La sélection est donc plus stricte. »

Esteban Ocon a dû passer par l’étape obligatoire d’intégration chez Renault cet hiver, même si le Français ne débarque pas dans un environnement totalement inconnu.

Le Français Esteban Ocon est de retour chez Renault cette année, après avoir passé deux saisons complètes en tant que titulaire chez Racing Point et une saison en « off » chez Mercedes où il occupait le poste de pilote de réserve en 2019.

Désormais titulaire pour l’équipe Renault à partir de 2020, le pilote français a passé tout l’hiver à s’intégrer à sa nouvelle équipe, même si Ocon connaît déjà une grande partie des employés d’Enstone et Viry pour avoir occupé le poste de pilote d’essai en 2016 pour le constructeur français.

« Quand on arrive en tant que nouveau dans une équipe comme ça, c’est sûr qu’il faut aller rencontrer tout le monde, connaître les gens avec qui on va travailler. » explique Esteban Ocon à à nos confrères de L’Equipe.

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« Ce sont des gens avec qui on aura besoin de développer des relations, savoir à qui parler au bon moment, parce qu’il y a des dizaines et des dizaines de départements dans une équipe de F1. Donc, quand on a besoin de quelque chose de spécifique, il faut savoir où aller. »

« Le but début janvier et en décembre ça été de faire ça et de s’intégrer dans cette nouvelle équipe, même si elle n’est pas si nouvelle pour moi, puisque j’ai déjà visité et travaillé ici en 2016 [lorsqu’il était pilote d’essai Renault] et avant, mais l’équipe a énormément grandi et tout a changé. »

Un nouvel ingénieur de course en 2020

Cette année, Esteban Ocon devra travailler en étroite collaboration avec son nouvel ingénieur de course : Mark Slade.

« Mark, ça fait quelques années que je le connais, il est là depuis très longtemps et a beaucoup d’expérience avec pleins de pilotes, il sait comment on fonctionne bien que nous soyons tous différents et que moi je le sois aussi. » souligne Ocon.

« C’est quelqu’un de très facile avec qui travailler, mais il faut très vite que l’on se comprenne et correctement, donc on va faire beaucoup de simulateur ensemble. On a déjà moulé mon baquet, on a travaillé à Abou Dhabi pour les deux jours de tests, ce qui a été d’une grande aide de commencer avant les vrais essais. »

« Après, nous n’aurons que six jours [essais hivernaux] pour se préparer avant Melbourne, c’est pour ça que je passe pas mal de temps à l’usine avant pour être bien prêt et pour qu’il n’y ait aucun souci d’entente et de compréhension. »

Le compte à rebours est lancé et il reste désormais moins d’un mois avant le début des essais hivernaux 2020 en Formule 1.

Comme chaque année, les fans de F1 doivent se montrer patients durant l’hiver avec presque trois mois sans pouvoir entendre le son d’un moteur V6 hybride entre le dernier Grand Prix 2019 disputé à Abou Dhabi et la première journée des essais hivernaux à Barcelone.

Cette année, les essais hivernaux 2020 se dérouleront en deux sessions de trois jours chacune : du 19 au 21 février pour la première et du 26 au 28 pour la seconde session.

Grande première pour la saison 2020, puisque le nombre de journées d’essais en pré-saison a été réduit de deux jours par rapport aux années précédentes. Cette année, les équipes n’auront que six journées de tests à Barcelone avant le début officiel de la saison 2020 à Melbourne en Australie le 15 mars.

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Mais avant de débuter les premiers essais hivernaux, les équipes doivent encore nous présenter leurs monoplaces 2020 et, pour l’instant, c’est la Scuderia Ferrari qui devrait lever le voile sur sa nouvelle création en premier [le 11 février] en direct depuis Maranello en Italie.

Une fois les présentations faites, direction l’Espagne et le circuit de Barcelona-Catalunya pour les essais hivernaux, qui seront à suivre en intégralité et en direct commenté sur F1only.fr à partir du 19 février 2020.

Les dates de présentation des F1 2020

Valtteri Bottas a terminé à la neuvième place au classement général du Rallye Artic Lapland disputé ce week-end en Finlande.

Le pilote Mercedes participait ce week-end pour la seconde fois de sa carrière au Rallye Artic Lapland et a réussi à se classer au neuvième du classement général après deux journées.

Les conditions étaient difficiles avec des chutes de neige et de la glace, ce qui a provoqué une sortie de piste pour la DS3 pilotée par Valtteri Bottas lors de la spéciale de Mantyvaara et fait descendre le Finlandais à la 22e position vendredi.

Lors de la seconde journée, Valtteri Bottas a réussi à remonter dans le top dix lors de chacune des spéciales et terminera finalement son rallye au neuvième rang à un peu moins de dix minutes du vainqueur Kalle Rovanpera.

Rappelons qu’avant les fêtes de fin d’année, Valtteri Bottas a remporté son tout premier Rallye en France lors du Rallye Côte d’Azur sur le circuit Paul Ricard au Castellet.

Papa de trois enfants [Sacha, Camille et Simon], le pilote de F1 Romain Grosjean assure que les nombreux déplacements tout au long de l’année n’ont qu’un impact limité sur sa vie de famille.

Avec un calendrier toujours de plus en plus long en Formule 1, la vie de famille des pilotes, employés des équipes ou bien encore des journalistes peut parfois se résumer à seulement quelques heures passées à la maison entre chaque course.

Mais pour Romain Grosjean, il est tout à fait possible d’être un pilote de Formule 1 et papa en même temps, même si le Français admet qu’il est parfois difficile de quitter la maison pour s’absenter plusieurs jours.

« Non [cela n’a pas trop d’impact sur lui], parce qu’au final moi j’ai la chance de pouvoir passer beaucoup de temps à la maison lorsque la saison est terminée. » explique Romain Grosjean dans un entretien accordé à F1only.fr 

« Je peux donc passer beaucoup de temps avec mes enfants, pareil entre les Grands Prix. Je n’ai pas à aller au bureau, donc, je peux les emmener le matin à l’école et aller les chercher l’après-midi pour goûter avec eux lorsqu’ils rentrent à la maison. »

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« Je peux quand même passer beaucoup de temps avec eux, après, ils savent que la Formule 1 c’est mon métier pour encore quelques années, le sport automobile, et ça me permet d’être l’homme que je suis aussi. »

« Au final, c’est vrai que lorsqu’on quitte la maison ce n’est jamais simple, parce qu’on voit ces petites têtes qui ne veulent pas vous laisser partir, mais bon, une fois qu’on est sur un week-end de course, on y est. »

L’arrivée de Roy Nissany au poste de pilote d’essai chez Williams en 2020 pourrait pousser Liberty Media à réfléchir à une éventuelle entrée d’Israël au calendrier de la F1.

Cette semaine, l’équipe Williams Racing a annoncé l’arrivée du pilote israélien Roy Nissany au poste de pilote d’essai pour la saison 2020, ce qui pourrait favoriser l’entrée d’Israël au calendrier de la Formule 1 à partir de la saison 2021.

« L’objectif serait d’organiser une course en Israël en 2021. » a admis Roy Nissany lors de la conférence de presse organisée par Williams à Tel Aviv cette semaine.

« Ce serait vraiment un rêve de pouvoir y piloter, avec plus de 350 millions de personnes admirant mon pays à la télévision. »

Rien d’officiel pour l’instant, mais cette déclaration du pilote israélien a été faite quelques heures avant que l’Arabie Saoudite ne présente un projet de grande envergure pour accueillir la Formule 1 sur un tout nouveau circuit à partir de 2023.

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Ce vendredi, un événement a été organisé en Arabie Saoudite en marge du podium du Dakar 2020 pour présenter le projet d’un futur circuit. Damon Hill, champion du monde de F1 en 1996, était parmi les invités, avec les anciens pilotes de F1 David Coulthard et Nico Hulkenberg, ainsi que l’actuel pilote de F1 Romain Grosjean.

Le responsable du projet, Mike Reininger, a déclaré que la piste serait prête à accueillir un Grand Prix de Formule 1 en 2023, mais que des négociations étaient toujours en cours entre les autorités saoudiennes et la F1.

Ce vaste projet de développement [qui avait déjà été présenté une première fois en 2019], situé à 40 kilomètres de Riyad, devrait couvrir une superficie de 334 kilomètres carrés en plein désert, alors que le projet est décrit comme « la capitale des sports, du divertissement et des arts ».

Le directeur technique de Honda se dit enthousiasmé par le potentiel démontré par Toro Rosso au cours des deux dernières années.

Depuis la saison 2018, Honda motorise l’équipe Toro Rosso, alors qu’en 2019, le motoriste japonais a également commencé à équiper l’équipe Red Bull Racing en parallèle.

Selon le directeur technique de Honda, l’équipe Toro Rosso a réussi à démontrer un grand potentiel au cours de ces deux premières années de collaboration, ce qui laisse penser au dirigeant japonais que l’écurie basée à Faenza va encore s’améliorer en 2020.

« Je pense. » répond Toyoharu Tanabe, le directeur technique de Honda, lorsque Racer lui demande si Alpha Tauri peut encore s’améliorer en 2020.

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« Nous l’avons vu après les vacances d’été, leur performance semblait s’être bien améliorée. Ils deviennent plus forts. Je pense qu’ils auront une voiture solide pour cette année, alors j’espère que nous aurons plus de bons résultats l’année prochaine avec Toro Rosso et Red Bull. »

Une méthode de travail efficace !

L’an dernier, Honda a fourni son unité de puissance à deux équipes en même temps [Red Bull Racing et Toro Rosso], ce qui était un première pour la firme nippone.

A la veille de la saison 2020, le directeur technique de Honda a déclaré que le concept de mélanger du personnel expérimenté de Red Bull avec des nouveaux membres à la fois de Red Bull et Toro Rosso a très bien fonctionné et sera de nouveau en place cette année.

« Nous soutenons les deux équipes de façon égale. Elles sont à égalité, notamment avec les spécifications de PU. »

« Le nombre d’ingénieurs et de mécaniciens était égal, donc quand nous avons débuté [en 2019], certaines personnes de l’année précédente sont allées chez Red Bull et d’autres étaient nouvelles chez Toro Rosso. »

« Nous avons donc mélangé les personnes et avons ensuite rendu notre niveau de support identique. Nous garderons le même concept pour l’année prochaine, pas seulement pour l’année prochaine, mais pour toujours ! »

L’équipe Alpha Tauri a annoncé cette semaine avoir réussi tous les crash-tests obligatoires de la FIA. L’écurie italienne présentera sa nouvelle monoplace pour la saison 2020 le 14 février.

Claire Williams a souligné à quel point elle croyait au talent et au potentiel du jeune pilote Dan Ticktum, qui a rejoint l’équipe pour 2020.

Dan Ticktum a rapidement gagné en notoriété lorsqu’il a délibérément percuté un rival en piste en 2016 en Formule MSA, ce qui lui a valu d’être banni durant deux années [réduit de moitié plus tard].

En 2018, Dan Ticktum obtient une place de finaliste en Formule 3 et fait partie du programme junior de Red Bull. Il aura également l’occasion de tester une Formule 1 à Bahreïn avec Red Bull dans le cadre d’essais privés.

Mais en 2019, Red Bull a pris la décision de se séparer de Ticktum, ce qui a permis au jeune Britannique de rejoindre la Williams Driver Academy à partir de 2020, et alors qu’il travaillera dans le simulateur de l’équipe de course avec Jamie Chadwick [l’autre pilote de simulateur].

« Je pense que ça va être vraiment intéressant avec Dan et nous avons hâte de travailler avec lui. » a déclaré Claire Williams, la patronne de l’équipe à MotorsportWeek.

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« Et je sais que quand nous l’avons mis dans notre simulateur, les gars ont dit qu’il était l’un des meilleurs pilotes qu’ils aient jamais vus. »

« Je pense qu’il a un grand talent. Je pense qu’il faut l’exploiter. Nous avons de l’expérience dans ce domaine. Il sait ce que l’on attend de lui et, il sait, comment il doit se comporter. »

« Il est une personne dans une équipe de 750 employés et nous avons toujours eu l’attitude chez Williams que personne n’est plus important que quiconque, tout le monde doit retrousser ses manches et faire le travail de la manière attendue. »

« Et je pense que Dan le sait et le comprend. Et je pense qu’avec les expériences qu’il a eues maintenant, je pense qu’il a beaucoup mûri et qu’il est prêt à baisser la tête et à faire le travail que nous lui demandons. »

« Je pense qu’avec la façon dont se passent les tests maintenant en Formule 1 il est très difficile pour ces gars de démontrer leur talent. Les programmes comme l’académie sont donc très importants afin que nous puissions prendre ce talent qui peut potentiellement être perdu et leur donner les opportunités que nous pouvons leur donner chez Williams. »

« Des sessions en EL1, des jours de tests, peu importe tant que nous pouvons voir ce qu’ils peuvent faire pour que nous ne laissions pas passer des talents qui pourraient être perdus. »

Fred Vasseur, le team principal de l’équipe Alfa Romeo, a déclaré que le concept de la C39 serait complétement nouveau pour 2020.

Alors que les règles en F1 n’ont quasiment pas évolué cette année par rapport à la saison dernière, on s’attend à ce que les équipes conservent en grande partie le concept de leur monoplace de l’an dernier afin d’utiliser une grande partie de leurs ressources sur le châssis 2021 [date à laquelle les nouvelles règles seront introduites en F1].

Mais chez Alfa Romeo, Fred Vasseur a déclaré que le concept du châssis 2020 [la C39] serait complétement nouveau, notamment parce que le châssis 2019 n’a pas permis à l’équipe suisse de marquer des points de façon régulière.

Après un bon début de saison en 2019, Alfa Romeo s’est rapidement retrouvée en difficulté lors de la seconde partie de l’année. Rappelons qu’à partir de la pause estivale, Kimi Raikkonen a marqué des points uniquement au Brésil, le Finlandais ayant profité des faits de course nombreux durant ce week-end-là pour terminer quatrième.

« Maintenant, nous devons construire la saison prochaine sur la base de la dernière. » a déclaré Fred Vasseur à Racer.

« La saison dernière a été beaucoup trop ascendante et descendante, les bas étant très bas et les hauts très hauts. Nous devons comprendre exactement ce qui s’est passé à certaines étapes lorsque, pour différentes raisons, nous étions en dehors. »

« Je ne veux pas dire en dehors du rythme, mais parfois c’était juste hors des résultats et des points alors que le rythme étaient là. »

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« Nous devons nous asseoir et vraiment y penser parce que la performance globale était correcte, mais nous avions encore trop d’occasions manquées au cours de la saison. »

« Je pense que nous avons fait un bon pas en avant par rapport à 2018 en termes de performances générales [en 2019]. C’est clair, c’était quelque chose comme 4,5% mais peut-être que ce n’est pas suffisant. »

« [en 2020] Nous voulons obtenir plus, mais le rythme est une chose et marquer les points est une autre chose. Nous verrons bien, mais je pense que nous avons une bonne base pour 2020. Nous aurons une voiture complétement nouvelle, un tout nouveau concept. » conclut Fred Vasseur.

La pilote allemande Sophia Floersch estime que les plans de Ferrari de recruter une femme pilote au sein de son académie sont complétement erronés.

Le patron de la Scuderia Ferrari, Mattia Binotto, a récemment évoqué l’idée de recruter une femme pilote parmi les jeunes talents qui font partie de la Ferrari Driver Academy.

Mais Sophia Floersch a insisté sur le fait que le mérite plutôt que le sexe devrait être au premier plan du choix d’une équipe concernant ses pilotes.

L’athlète de 19 ans a également fait référence à l’ancienne pilote de rallye française Michèle Mouton qui a remporté quatre manches du championnat du monde de Rallye et quatre en Européen.

« Quelle discussion ! Est-ce là l’esprit des gens modernes ? » se demande la pilote allemande.

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« Tant que nous serons que des objets de marketing en course, rien ne changera. Nous devons montrer que nous sommes égaux, j’en veux la preuve avec Michelle Mouton. »

« Mais il y a des gens qui croient aux femmes en tant que pilotes plutôt que pour attirer l’attention. Il y a des femmes dans le passé qui ont été soutenues par des équipes, mais c’était surtout pour sourire et saluer la caméra. »

« Ce serait important que les femmes aient les mêmes opportunités et le même soutien que les hommes par exemple, comme Mick Schumacher, qui est aussi dans l’académie et qui n’est pas un objet publicitaire. »

« J’aimerais que Ferrari soutienne plus les femmes, mais je ne veux pas non plus dire quoi que ce soit de négatif sur Ferrari. Je voulais juste souligner que dans le passé, il était plus courant de voir des femmes dans une équipe. Mais la conclusion est que cela ne les a pas vraiment aidées. »

Rappelons que la seule femme pilote impliquée en Formule 1 actuellement est Jamie Chadwick, la championne de la W Série [catégorie 100% féminine] qui occupe le rôle de pilote de simulateur chez Williams Racing.

Fernando Alonso a réussi à terminer son tout premier Dakar à la treizième position au général, ce qui est une belle performance pour l’Espagnol.

Ce vendredi, Fernando Alonso et son copilote Marc Coma ont franchi la ligne d’arrivée de la dernière étape du Dakar à la quatrième place, ce qui leur permet de finir l’aventure à une très honorable treizième position.

Le pilote espagnol a connu des moments compliqués sur les pistes du Dakar durant ces quinze jours, notamment sur l’étape 2 où il a percuté un rocher et est resté plus de deux heures et demie en plein désert pour attendre le camion d’assistance.

Avant hier, c’est sur l’étape dix que l’Espagnol s’est fait une grosse frayeur en réalisant un double tonneau avec sa Toyota Hilux. Fort heureusement, plus de peur que de mal pour l’équipage de la voiture #310, mais là encore, ce sera plus d’une heure de lâchée au général.

Au final, Fernando Alonso termine treizième avec plus de quatre heures de retard sur le vainqueur Carlos Sainz, mais l’ancien pilote McLaren ne garde que de bons souvenirs de cette toute nouvelle aventure pour lui.

« Nous sommes heureux d’être ici [à l’arrivée], c’est le Rallye le plus difficile de la planète et le terminer était l’un des objectifs prioritaires. » a déclaré Fernando Alonso ce vendredi.

« Je me sentais compétitif, et même si nous avons eu une crevaison, nous avons réussi à finir l’étape. Malgré cela, nous sommes arrivés quatrième. Je pense vraiment que nous aurions pu jouer la victoire d’étape sans cette crevaison. »

Démontrant une fois de plus qu’il a été particulièrement enchanté par son aventure sur les pistes du Dakar, Alonso a ajouté : « Chaque jour est une nouvelle aventure et il n’y a pas deux journées identiques. »

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« En plus de l’étape en elle-même, il y a toujours des doutes quant à la mécanique et vous devez vous assurer de ne commettre aucune erreur. Tout cela rend les choses très difficiles et j’ai eu l’équipe idéale pour affronter cette aventure et la finir de façon très compétitive. »

« Dans aucune des prédictions faites on ne s’attendait à un tel résultat. C’est un défi personnel et il n’y a rien de plus différent de la Formule 1 que le Dakar et je pense que si je suis compétitif ici je peux être compétitif dans n’importe quelle autre discipline. Ça me fait très plaisir. »

Le Dakar n’est pas qu’une course

« Ce n’est pas qu’une course. » insiste l’Espagnol. « Il y a aussi le facteur humain, alors que vous pouvez vous retrouver seul dans des endroits assez reculés pendant de nombreuses heures. »

« Il y une bonne entraide et une bonne ambiance, mais parfois c’est très dur, comme dans l’étape marathon, où vous êtes au milieu de nulle part et où on n’a pas le confort des autres disciplines. Malgré tout, cela fait aussi partie de l’aventure. »

Plus à l’aise dans les dunes

Le double champion du monde s’est dit plus à l’aise dans les dunes que sur des pistes rapides et poussiéreuses : « Les dunes ont été le meilleur endroit en termes de compétitivité. »

« C’est là que je me suis senti le plus à l’aise. Les tonneaux [à l’étape dix]….certains sont passés deux centimètres à droite ou à gauche et n’ont pas basculé. C’est un manque d’expérience, je n’ai pas réussi à empêcher ce renversement, mais il y a aussi le facteur chance qui entre en jeu. »

« Parfois vous atterrissez dans un sens et parfois dans l’autre. Parfois vous pouvez passer sur des pierres et parfois pas et je pense que dans les problèmes que nous avons rencontré il y a eu un peu de malchance. »

Revenir uniquement pour gagner le Dakar !

Enfin, lorsqu’on demande à Fernando Alonso s’il compte revenir l’année prochaine sur les pistes du Dakar, l’Espagnol n’écarte pas l’idée : « Revenir ? On verra. »

« Je ne veux pas y penser maintenant. Je suis très content de cette première expérience et d’avoir été compétitif. Si je reviens sur le Dakar, c’est pour le gagner et ajouter une autre victoire importante à ma carrière. »

« Mais pour cela, je dois bien me préparer, y réfléchir et avoir la meilleure équipe, la meilleure préparation et la meilleure voiture possible. Ce n’est pas encore le moment d’y penser… »

L’Arabie Saoudite a dévoilé ses plans pour accueillir une course de Formule 1 à partir de la saison 2023.

Ces derniers jours, des rumeurs suggéraient l’arrivée de l’Arabie Saoudite au calendrier de la F1 à partir de la saison 2021, mais les principaux intéressés ont déclaré ce vendredi que cela n’arriverait probablement pas avant 2023.

Ce vendredi, un événement a été organisé en Arabie Saoudite en marge du podium du Dakar 2020 pour présenter le projet d’un futur circuit. Damon Hill, champion du monde de F1 en 1996, était parmi les invités, avec les anciens pilotes de F1 David Coulthard et Nico Hulkenberg, ainsi que l’actuel pilote de F1 Romain Grosjean.

Le responsable du projet, Mike Reininger, a déclaré que la piste serait prête à accueillir un Grand Prix de Formule 1 en 2023, mais que des négociations étaient toujours en cours entre les autorités saoudiennes et la F1.

• Vidéo : Un tour sur le circuit de Zandvoort

« Nous construisons une installation dans l’espoir qu’un accord soit conclu et qu’il y ait une course ici en Arabie saoudite. » a déclaré Reininger à la BBC.

Ce vaste projet de développement [qui avait déjà été présenté une première fois en 2019], situé à 40 kilomètres de Riyad, devrait couvrir une superficie de 334 kilomètres carrés en plein désert, alors que le projet est décrit comme « la capitale des sports, du divertissement et des arts ».

Qiddiya, le projet pharaonique de l’Arabie Saoudite avec un circuit de F1 en plein milieu ??https://t.co/AOwm0T0apT

— F1only.fr – NEWS F1 24/7 (@f1_fr) August 6, 2019

La Ferrari Driver Academy a annoncé ce vendredi l’arrivée de deux nouveaux jeunes talents dans ses rangs.

Arthur Leclerc [le frère de Charles Leclerc] et Dino Beganovic rejoignent tous les deux la Ferrari Driver Academy en 2020 et ont débuté officiellement cette semaine.

Âgé de 19 ans, Arthur Leclerc a débuté en monoplace en 2018 par le championnat de France F4 avant d’intégrer le championnat allemand l’an dernier où il a terminé cinquième. En 2020, Leclerc évoluera en Formule régionale Europe avec Prema Racing.

Le jeune Suédois Dino Beganovic intègre lui aussi la Ferrari Driver Academy cette année après avoir décroché deux titres nationaux en WSK Series.

« L’hiver a été assez intense pour la Ferrari Driver Academy: en effet, nous avons travaillé dur pour développer le meilleur programme possible pour nos pilotes en vue de la saison 2020, avec une augmentation significative des activités et des formations à effectuer au siège de Maranello. » explique Laurent Mekies, directeur sportif de la Scuderia Ferrari.

« Nous avons également essayé d’identifier les meilleurs nouveaux talents sur la scène du sport automobile pour les jeunes et nous sommes heureux d’annoncer qu’Arthur et Dino rejoignent la FDA pour ce qui promet d’être une saison décidément intéressante. »

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« Nous aurons des pilotes présents dans toutes les catégories monoplaces de la FIA et nous nous engageons à mieux accompagner chacun d’entre-eux à la fois du point de vue des compétences de conduite et du point de vue humain et individuel. »

« Ici à Maranello, nous avons tous hâte de voir comment nos jeunes pilotes se comporteront dans les mois à venir. »

L’équipe Mercedes a dévoilé ce vendredi la date de présentation de sa monoplace 2020, la W11 que piloteront Lewis Hamilton et Valtteri Bottas.

L’équipe du constructeur allemand dévoilera sa nouvelle création le 14 février 2020, soit le même jour que l’écurie Alpha Tauri.

La nouvelle flèche d’argent sera présentée en direct depuis le circuit de Silverstone en Angleterre où Mercedes participera à une journée de tournage avec la W11 comme ce fut déjà le cas lors des deux années précédentes.

Jusqu’à présent, c’est l’équipe Ferrari qui dévoilera sa nouvelle monoplace en premier [le 11 février], à moins qu’une des équipes n’ayant pas encore dévoilé la date de présentation de sa F1 2020 ne décide de le faire avant l’écurie italienne.

Les dates de présentation des F1 2020

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