Des panneaux à LED sur les Formule 1 en 2021 ?

La Formule 1 va procéder à des essais en 2020 avec des panneaux d’affichage à LED positionnés sur les monoplaces en vue de la saison 2021.

En 2021, les nouvelles règles techniques, sportives et financières entreront en vigueur en Formule 1, ce qui apportera bien évidemment son lot de nouveautés.

Les monoplaces de Formule 1 seront sensiblement différentes à partir de la saison 2021 avec des ailerons plus petits, des roues de 18 pouces ou encore des pièces standardisées, ce qui devrait apporter un coup de vent frais à la catégorie reine du sport automobile après quatre saisons durant lesquelles la réglementation n’aura guère évolué.

Tous ces changements apportés à la F1 seront censés apporter plus de spectacle lors des week-ends de course avec des monoplaces capables de se suivre de plus près et de se doubler plus facilement.

Toujours dans le but d’améliorer l’expérience pour les fans et téléspectateurs, il a été proposé lors de l’élaboration de ces règles la mise en place de panneaux d’informations à LED sur la carrosserie des monoplaces, ainsi que sur les roues (comme c’est déjà le cas en Indycar – voir photo d’illustration ci-dessous).

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Mais l’introduction des ces panneaux d’affichage en Formule 1 n’est pas encore définitive et il faudra d’abord valider cette idée avec des essais grandeur nature lors de la saison 2020, sur des monoplaces qui seront d’ancienne génération, par rapport aux F1 qui verront le jour en 2021,

Plusieurs essais devraient être planifiés au cours de la prochaine saison, mais pour l’instant, aucune date n’a encore été fixée, d’autant que les essais privés seront très limités à partir de 2020 en raison d’un calendrier au nombre record de 22 courses.

En plus de ces panneaux à LED, la Formule 1 pourrait également adopter le système à LED entourant le Halo comme c’est déjà le cas en Formule E.

Robert Kubica frustré par le manque de cohérence de la Williams cette année

Robert Kubica a admis que le manque de cohérence de sa monoplace a été l’une de ses plus grandes frustrations cette année.

Après dix-neuf Grands Prix, Robert Kubica n’a marqué qu’un seul point au volant de sa Williams, bien aidé il est vrai, par la disqualification des deux pilotes Alfa Romeo au Grand Prix d’Allemagne.

Le pilote polonais quittera l’équipe Williams à la fin de la saison après le Grand Prix d’Abou Dhabi et, après une saison très compliquée pour lui et son équipe, Kubica reconnaît que sa monoplace n’a jamais été facile à piloter.

« J’ai souvent dit que cette année avait été très difficile, très compliquée, mais l’une des choses qui m’a le plus manqué, c’est la constance des performances et le feeling avec la voiture. » admet Robert Kubica, cité par MotorsportWeek.

« Cette monoplace n’est pas la plus facile, elle n’a pas d’appui considérable, mais ça ne devrait pas faire varier les performances ou les sensations d’une telle manière d’une séance à l’autre. »

« Vous ne pouvez pas expliquer cela avec l’état de la piste ou des choses comme ça. J’ai quelque chose que je sent dès que je quitte la voie des stands, je suis capable de dire à 90% que ça va aller dans le bon ou dans le mauvais sens. »

« Je ne pense pas que ce soit la voiture qui est incohérente, c’est plutôt le grip qu’elle offre qui l’est. Je ne pense pas que ce soit réellement la voiture. »

« Je ne sais pas trop comment l’expliquer avec des mots courts, mais je ne pense pas que cela ait quelque chose à voir avec des caractéristiques de la voiture. Ce n’est pas quelque chose qui concerne la voiture en elle-même. »

Pas la faute des pneus Pirelli

Le pilote polonais ne rejette pas la faute sur les pneus Pirelli non plus, lui qui n’a finalement jamais pu rouler avec ces gommes lors des saisons précédentes et qui en a découvert toutes les subtilités cette saison seulement.

« J’ai déjà dit que je sentais une différence dès que je sortais du garage, il y a une différence 400 mètres avant le virage 1, alors, peut-on dire que cela vient des pneus ? »

« Bien-sûr, on pourrait faire fonctionner les pneus dans une meilleure fenêtre, ou pire, mais à un moment donné, vous y êtes. »

« Lors des qualifications [au Mexique], je suis passé dans les trois premiers virages avec une vitesse beaucoup plus basse, et la voiture allait bien. Puis le dimanche je sors du garage, et l’équilibre était complètement différent. Les ingénieurs m’ont demandé si la voiture était différente, et je leur ai répondu oui…. »

« Avec Pirelli, nous sommes très limités avec la fenêtre d’exploitation, ce n’est pas comme au bon vieux temps…mais ce n’est pas quelque chose qui laisse à penser que cela pourrait influencer autant le ressenti ou le grip de la voiture. »

Idée cadeau : Le pull de Noël Renault F1 Team

C’est bientôt Noël et vous n’avez peut-être pas encore une idée précise du cadeau que vous souhaitez offrir à l’un de vos amis fan de F1 ?

Pourquoi ne pas lui offrir (ou même pour vous-même) un superbe pull du Renault F1 Team spécialement conçu pour les fêtes de Noël ?

Actuellement en vente (en pré-commande) via le e-shop du Renault F1 Team, ce pull homme est disponible en plusieurs tailles du S au XL et a déjà été validé par les deux pilotes Renault en personne (comme en témoigne la photo ci-dessous).

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Ce pull est en matière 100% acrylique, col rond, avec le logo du Renault F1 Team sur la poitrine, ainsi que le dessin d’une Formule 1 et des motifs de Noël sur l’avant du pull.

En vente au tarif de 40 euros, vous ferez certainement sensation pour les fêtes de Noël avec un pull unique et en rapport avec la Formule 1.

Bien évidemment, en vous baladant sur le e-shop du Renault F1 Team, vous pourrez également  choisir parmi de nombreux articles disponibles à la vente, dont des modèles réduits, des casquettes, des accessoires ou encore des jouets pour les enfants.

Pour passer commande de ce pull Renault F1 Team spécial fêtes de Noël, vous devez cliquer sur ce lien, qui vous dirigera directement sur le e-shop Renault F1.

Sebastian Vettel regrette l’augmentation significative du poids des F1

Sebastian Vettel ne peut que constater l’augmentation significative du poids des monoplaces de Formule 1 depuis trois saisons maintenant.

Depuis l’introduction de pneus plus larges et de différents systèmes de sécurité, tel que le Halo, le poids des monoplaces en Formule 1 a sensiblement augmenté au cours des dernières années.

Une tendance à la hausse qui n’est pas prête d’être inversée, puisqu’en 2021, les monoplaces prendront encore quelques kilos supplémentaires avec l’introduction des roues 18 pouces, de pièces standardisées et de nouveaux système de sécurité.

En 2021, le poids minimal des monoplaces – pilote compris – passera de 743 kilos à 768 kilos, alors qu’il n’était que de 605 kilos il y a plus de dix ans.

« Je pense que les voitures sont plus spectaculaires depuis la saison 2017, et nous savons maintenant ce que ces voitures peuvent faire. » explique Sebastian Vettel.

« Nous étions plutôt lents auparavant, mais la mauvaise direction, de mon point de vue, c’est que les voitures sont devenues très lourdes. »

« Tout cela est lié en quelque sorte à certaines des mesures de sécurité, mais je pense qu’au final tout le monde accepte ça, ainsi que le groupe propulseur. »

« Si vous devez faire une comparaison, je pense que c’est vraiment la plus grande différence entre la situation actuelle et la F1 d’il y a 20 ans et peut-être même plus loin. »

« Cette tendance à la hausse va certainement dans la mauvaise direction, et je pense que c’est notre opinion collective en tant que pilote, c’est mon opinion. Les voitures sont déjà très lourdes, et évidemment, avec les règles 2021 elles le seront encore plus. »

Lando Norris exprime son admiration pour Lewis Hamilton

Le pilote McLaren Lando Norris a une nouvelle fois exprimé son admiration pour Lewis Hamilton, qui vient de décrocher son sixième titre mondial en Formule 1.

Le jeune pilote britannique Lando Norris, qui débute sa carrière en F1 cette année avec l’équipe McLaren, assure avoir toujours soutenu l’écurie britannique depuis son plus jeune âge, et alors que Lewis Hamilton pilotait déjà en Formule 1 pour cette équipe.

Désormais, les deux hommes se retrouvent tous les week-ends sur les Grands Prix de Formule 1, alors que Lewis Hamilton a déjà décroché six titres mondiaux depuis ses débuts en 2007 chez McLaren.

« Depuis que je suis tout jeune, il a toujours été l’homme que j’ai regardé. » explique Lando Norris au sujet du désormais sextuple champion du monde Lewis Hamilton.

« Depuis l’âge de six ans, j’ai toujours soutenu l’équipe McLaren et il pilotait pour eux. Il est l’un des pilotes que je surveille depuis et je suis très heureux pour lui. »

« Il est le second pilote à atteindre six titres mondiaux, seul Schumacher en a fait autant, donc, je pense qu’il a prouvé à quel point il était bon. Il est l’un des meilleurs de tous les temps. »

Pour sa première saison en Formule 1, le Britannique Lando Norris occupe la onzième position au classement des pilotes avec 41 points inscrits depuis le début de l’année.

Nico Hülkenberg admet qu’il pourrait connaître une année blanche en 2020

Nico Hülkenberg admet qu’il pourrait bien connaître une année sabbatique en 2020 faute de volant disponible en Formule 1.

Le pilote allemand quittera l’équipe Renault à la fin de la saison 2019 et, à seulement deux courses de la fin du championnat, Hülkenberg n’a toujours pas la moindre idée de ce qu’il fera l’an prochain.

Le marché des pilotes en Formule 1 est bouché pour la prochaine saison, et Hülkenberg ne semble pas avoir l’envie de rejoindre une autre catégorie « juste pour courir ».

Désormais, le pilote Renault admet qu’il pourrait bien connaitre une année blanche en 2020, ce qui lui permettrait peut-être de rebondir pour la saison 2021, où le marché des pilotes sera bien plus ouvert que cette année.

« Peut-être que je ne ferai pas de course pendant un certain temps. Honnêtement, je ne sais rien pour le moment, cela dépend de ce qui se passe ici [en F1] et, une fois que nous aurons une réponse, je regarderai d’autres opportunités. » explique Nico Hülkenberg au site de la F1.

« Je l’ai déjà dit, je ne veux pas me précipiter ou prendre ce qui vient juste pour courir. Ce doit être quelque chose que j’aime, un défi qui me passionne. Je n’ai pas de réponse pour ça pour le moment. »

Le pilote allemand a connu une carrière junior réussie en remportant le A1GP, le championnat de Formula 3 Euroseries en 2008 et le championnat GP2 en 2009. Lorsqu’on lui demande s’il n’est pas frustré de ne pas avoir réussi à briller autant en Formule 1, l’Allemand a répondu : « Bien-sûr que oui. Mais évidemment, avec le temps et les années passées vous comprenez. »

« Vous ne voulez pas dire que tout est effacé, mais si vous n’avez pas les outils, cela devient très difficile et vos options pour vous battre à l’avant sont très limitées. »

« Vous cherchez toujours la meilleure chose à faire, vous voulez toujours battre votre coéquipier, vous optimisez ce que vous avez avec la voiture pour obtenir de bons résultats. »

« Bien-sûr, tu fais ce que tu peux. Vous aimeriez en faire plus, mais la réalité est différente. Donc, si vous regardez à l’extérieur, quelle est la meilleure chose ? Quelle est l’alternative ? La Formule 1 reste la Formule 1. »

« Cela signifie beaucoup, c’est l’apogée de la course automobile. Ce n’est pas une option ni une alternative de dire que j’irai ailleurs, car c’est toujours les meilleurs pilotes du monde, les meilleures équipes, les meilleurs ingénieurs. »

Bien que son avenir soit plus qu’un certain à l’heure actuelle, Nico Hülkenberg ne désespère pas de pouvoir essayer les monoplaces 2021 : « C’est très incertain en ce moment, mais j’adorerais essayer. Mais je ne sais tout simplement pas, je ne peux pas vous le dire pour l’instant. »

Renault F1 ne commente pas les rumeurs

Le constructeur Renault n’a pas souhaité commenter les rumeurs concernant un éventuel retrait de son équipe de Formule 1.

Depuis quelques jours, des rumeurs infondées suggèrent que l’équipe de Formule 1 Renault pourrait quitter la catégorie reine du sport automobile après la dernière course de l’année qui se disputera au mois de décembre à Abou Dhabi.

Un porte-parole du constructeur français a déclaré à F1only.fr que Renault ne souhaitait pas commenter toutes ces rumeurs. Ces dernières n’auraient qu’un seul but : « déstabiliser ».

Le porte parole de Renault nous assure au passage que « des projets étaient toujours en cours du côté de chez Viry-Châtillon tout comme à Enstone » concernant le développement de la monoplace 2020.

Rappelons que l’an prochain le Français Esteban Ocon rejoindra l’équipe Renault et pilotera aux côtés de l’Australien Daniel Ricciardo en remplacement de l’Allemand Nico Hülkenberg.

Cette saison, Renault F1 occupe actuellement la cinquième position au classement des constructeurs avec 83 points inscrits depuis le début de l’année. L’équipe du constructeur français devance l’équipe Racing Point de 18 points à deux courses de la fin de saison.

145 tours bouclés avec les pneus 18 pouces pour Pirelli au Paul Ricard

Le manufacturier unique de la Formule 1, Pirelli, a bouclé son programme de test sur le circuit Paul Ricard sur les gommes 18 pouces.

Le manufacturier Pirelli était présent durant deux journées sur le circuit Paul Ricard dans le sud de la France pour effectuer des essais avec l’aide de l’équipe McLaren sur les pneus 18 pouces qui seront introduits en F1 en 2021.

Ce jeudi, c’est le pilote espagnol Carlos Sainz qui était au volant de la McLaren pour effectuer un maximum de rotations sur le tracé français, mais les conditions météo [arrivée de la pluie] ont limité le roulage de Sainz à seulement 39 tours sur la totalité de la journée.

Pour cette seconde et dernière journée de tests, c’est le Britannique Lando Norris qui a pris les commandes de la McLaren équipée de pneus 18 pouces slicks.

pneus 18 pouces pirelli

Lando Norris a pu boucler 106 tours de circuit ce vendredi sur une piste totalement sèche et sous un beau soleil, mais avec des températures relativement fraîches.

Au total donc, les deux pilotes McLaren ont pu faire 145 tours sur le circuit Paul Ricard en deux jours, ce qui a tout de même permis à Pirelli de récolter d’importantes données pour le développement des gommes 18 pouces de la saison 2021.

Jacques Villeneuve rappelle que le succès d’un pilote réside en partie dans le choix d’une équipe

Le Canadien Jacques Villeneuve rappelle que les grands champions du monde ont toujours remporté un ou plusieurs titres parce qu’ils avaient la meilleure voiture.

Le sixième titre mondial remporté par Lewis Hamilton cette saison n’a laissé personne indifférent, et encore moins Jacques Villeneuve, qui n’hésite pas à donner son avis sur une grande majorité des sujets abordés en Formule 1.

Dans ce cas précis, Jacques Villeneuve a commenté les comparaisons entre les meilleurs pilotes de Formule 1 de chaque époque et le Canadien insiste sur le fait qu’il s’agit de comparaisons complétement inutiles.

« Ces comparaisons sont insensées, parce que Schumacher et Hamilton ont remporté la plupart de leurs titres parce qu’ils avaient la meilleure voiture de la grille. » explique Jacques Villeneuve à Sky Sports.

« Mettez Lewis Hamilton dans une voiture de milieu de grille et il cessera de gagner. Mais cela fait également partie du succès d’un pilote que de savoir choisir la bonne équipe. Fangio, Senna, Prost…tout ces pilotes avaient la meilleure voiture en leur temps. »

Il est tout de même bon de rappeler que Lewis Hamilton a quitté l’équipe McLaren fin 2012 [qui se battait pour des victoires à l’avant de la grille] pour rejoindre l’écurie Mercedes, qui était alors considérée comme une équipe de milieu de grille.

Rare étaient ceux qui auraient alors imaginé voir l’ascension fulgurante de l’équipe Mercedes à partir de 2014. ce qui permettra finalement à Lewis Hamilton de remporter cinq de ses six titres avec l’écurie du constructeur allemand.

Valtteri Bottas a été affecté par les rumeurs au sujet de son avenir cette année

Le directeur exécutif de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, assure qu’il allait gérer différemment les signatures de contrats pour ses pilotes à l’avenir.

Cette année, l’avenir de Valtteri Bottas au sein de l’équipe Mercedes était encore incertain au début du mois d’août, ce qui a alimenté le moulin à rumeur avec une potentielle arrivée d’Esteban Ocon chez Mercedes à la place du Finlandais en 2020.

Cette situation n’était pas du tout agréable à vivre au quotidien pour Valtteri Bottas, qui aimerait qu’à l’avenir son équipe opère différemment pour annoncer ses futurs pilotes.

« Il y avait clairement une incertitude pour 2020 à un moment donné. Beaucoup de rumeurs. Je n’avais aucune idée de ce qui allait se passer. Je devais juste attendre. Donc, à coup sûr, en tant qu’athlète, en tant que pilote, la situation n’est pas idéale. » explique Valtteri Bottas au site de la F1.

« Vous ne pouvez pas être complètement tranquille, concentré sur le travail et vous sentir libre mentalement et au bon endroit. C’est très délicat. »

« Quand cela continue, vous savez, année après année, chaque année de votre carrière, à un moment donné, cela commence à être pénible – alors c’est vraiment bien de faire signer le contrat [rapidement]. »

« Ce sera la même histoire l’année prochaine, mais je ne suis pas trop inquiet à ce stade parce que mon rythme est bon. J’aime piloter, j’aime travailler avec l’équipe, et j’espère qu’ils apprécient également. »

Le directeur de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, a déclaré qu’il allait essayer de faire « un meilleur travail » à l’avenir concernant la signature des contrats pour ses pilotes.

« Je pense qu’avec Valtteri, il existait un meilleur moyen de régler ce genre de problème. Rétrospectivement, vous pouvez dire que cela a probablement eu un effet. Et j’essaierai d’en tenir compte et de faire un meilleur travail à cet égard. »

« En 2021, la porte est grande ouverte, aucun pilote n’est sous contrat avec une équipe, ce qui est vraiment excitant. Je suppose que le carrousel des pilotes va commencer très bientôt. »

Max Verstappen : « Les qualifications sont importantes à Interlagos »

La F1 prend désormais la direction du Brésil pour l’avant dernière manche de la saison 2019 qui se déroulera le 17 novembre sur le circuit d’Interlagos.

Le pilote Red Bull Max Verstappen arrive sur un tracé « old school » qu’il apprécie particulièrement, mais le Néerlandais sait que la dégradation des pneus est importante à Interlagos, alors que la météo peut souvent être très capricieuse.

« Interlagos est une piste courte mais où il est agréable de piloter. » souligne Max Verstappen. « Il y a une excellente combinaison de virages qui sont également dans le sens anti-horaire, ce qui peut être douloureux pour le cou. »

« Les qualifications sont assez importantes là-bas, parce que les dépassements en course ne sont pas si faciles. »

« La piste est également assez difficile pour les pneus, vous devez donc veiller à bien les gérer tout au long de la course. Comme nous l’avons déjà vu en 2016, il peut aussi faire très mauvais. »

« Au Brésil, il y a toujours autant de passionnés qui vivent et respirent pour la F1. C’est donc toujours un plaisir de voir ça, car cela créé une bonne ambiance. »

Les équipes de F1 impatientes d’en savoir plus sur le Brexit

Les équipes de Formule 1 ne savent toujours pas à l’heure actuelle comment la sortie du Royaume-Uni de l’union Européenne affectera leurs activités.

Le Royaume-Uni a déjà retardé à deux reprises son départ, qui était initialement prévu le 29 mars, puis le 31 octobre. Le Royaume-Uni dispose désormais d’une extension flexible qui se termine le 31 janvier 2020.

Actuellement, sept des dix équipes de Formule 1 sont basées au Royaume-Uni, ce qui pourrait s’avérer très compliqué pour elles en termes de logistique et de gestion des employés.

Mais selon le PDG de l’équipe McLaren, les équipes ont mis en place des petits groupes de travail qui restent concentrés sur toutes les questions liés au Brexit, ce qui devrait éviter les surprises.

« Nous avons une équipe à l’usine, un petit groupe de travail sur le Brexit, donc, nous nous y préparons. » a expliqué Zak Brown, PDG de McLaren, cité par MotosportWeek.

« Je pense que cela affectera les affaires de tout le monde dans une certaine mesure, mais heureusement, cela dure depuis assez longtemps pour qu’il n’y ait pas de surprise. Si jamais c’est le cas, nous allons y remédier en conséquence. »

Pour la patronne de l’équipe Williams, c’est le même son de cloche, avec la mise en place d’un comité de pilotage depuis une année déjà.

« Nous avons un comité de pilotage sur cette question depuis un an maintenant, car de nombreux points de contact vont clairement avoir un impact lorsque cela se produira, en particulier pour le personnel. » explique Claire Williams.

« Je pense que Cyril [Abiteboul, directeur de Renault] a dit qu’il a 24 nationalités, nous en avons 28. Il y a beaucoup de considérations sur évidemment non seulement les personnes qui travaillent pour nous mais aussi leurs familles, qu’ils soient basés avec ces personnes au Royaume-Uni ou en Europe. »

« Il y aura des problèmes de change, de fret et de passage de frontières. Il y a beaucoup de travail en cours et évidemment avec l’incertitude qui rend la vie un peu difficile alors nous attendons avec impatience que tout soit résolu le plus tôt possible et nous pouvons tous passer à autre chose. »

Guanyu Zhou au volant d’une Renault RS17 sur le circuit de Jerez

Le pilote de développement de l’équipe Renault, Guanyu Zhou, était au volant d’une monoplace de Formule 1 ce jeudi sur le circuit de Jerez.

Guanyu Zhou a participé pour la première fois de carrière à un test en Formule 1 sur une piste humide. Le pilote chinois était au volant d’une Renault RS17 ce jeudi sur le circuit de Jerez en Espagne.

« Dans l’ensemble, c’était plutôt une bonne journée de tests. La matinée a commencé dans des conditions humides mais on a réussi à sortir en pneus slicks et les temps au tour étaient bons. » a déclaré Guanyu Zhou.

« Après le premier run, les conditions se sont détériorées donc on est sortis avec des pneus wets et c’était ma toute première fois en Formule 1 sous la pluie. »

« L’après-midi, le temps était sec mais la piste était toujours humide donc on est sortis avec les deux types de pneus, slicks et wets. »

« De façon générale, je suis satisfait de la distance que nous avons parcourue, surtout étant donné la météo qui a beaucoup évolué durant la journée. Ça n’a pas été une journée facile mais j’ai appris beaucoup et c’était amusant de piloter dans ces conditions. »

Eddie Irvine pas très tendre avec Sebastian Vettel

Edmund Irvine, allias Eddie Irvine, n’a pas été très tendre avec le quadruple champion du monde de Formule 1 Sebastian Vettel.

L’ancien pilote de Formule 1 a déjà déclaré en début d’année qu’il pensait que Sebastian Vettel serait une cible facile pour le jeune Charles Leclerc.

Force est de constater que Eddie Irvine a vu juste, puisque le pilote monégasque est actuellement troisième au classement des pilotes avec 19 points d’avance sur Sebastian Vettel.

Interrogé récemment par Betway, l’un des leaders du monde des paris en ligne, le pilote nord-irlandais n’a pas changé de version après les dix-neuf courses disputées cette année.

« J’ai dit au début de l’année, et tout le monde est devenu un peu fou, que Sebastian Vettel serait une cible facile. » explique Eddie Irvine dans un entretien accordé à Betway.

« Je pensais que Leclerc avait de bonnes chances de le battre, car je ne pensais pas que Vettel était un digne quadruple champion du monde. »

« Je pense que c’est un très bon pilote, mais il a commis beaucoup d’erreurs et je ne l’ai jamais vraiment trouvé très rapide. Nous le constatons encore cette année, nous l’avons déjà vu avec Ricciardo [chez Red Bull] et nous le voyons encore cette saison avec Leclerc. »

« Vettel a conclu un accord incroyable avec Ferrari et j’ai vraiment été surpris qu’ils le prennent à un moment où il se faisait détruire [par Ricciardo en 2014 chez Red Bull]. »

Les tests Pirelli perturbés par la pluie au Paul Ricard

Pirelli et McLaren n’ont pas connu une journée très productive ce jeudi sur le circuit Paul Ricard en raison des conditions climatiques.

Le manufacturier unique de la Formule 1 est présent sur le circuit Paul Ricard dans le sud de la France pour deux journées de tests avec les gommes 18 pouces qui seront introduites en F1 en 2021.

La firme italienne bénéficie de l’aide de l’équipe McLaren pour ces essais, alors que les deux pilotes titulaires, Lando Norris et Carlos Sainz se relaient au volant de la monoplace équipée des roues 18 pouces.

Pour la première journée de ces tests ce jeudi, c’est le pilote espagnol Carlos Sainz qui était au volant de la McLaren, mais les conditions météo défavorables ne lui ont pas permis de boucler plus de 39 tours de circuit avec les gommes slicks 18 pouces.

Le pilote madrilène a déjà quitté le circuit Paul Ricard ce jeudi soir pour laisser la place à son coéquipier Lando Norris, qui sera en piste toute cette journée de vendredi.

Les conditions météo seront bien meilleures aujoud’hui dans le var avec un beau soleil qui est venu remplacer les nuages et la pluie d’hier, cependant, les températures sont extrêmement fraîches ce matin avec un thermomètre affichant seulement 4° à 08h00.

Ferrari ne sait pas encore si le moteur endommagé de Leclerc pourra être utilisé de nouveau

La Scuderia Ferrari va devoir procéder à une inspection approfondie du moteur qui était monté sur la monoplace de Leclerc en début de week-end à Austin.

Le week-end dernier, le pilote Ferrari Charles Leclerc a dû immobiliser sa monoplace lors de la troisième et dernière séance d’essais libres du Grand Prix des Etats-Unis à la suite d’une fuite d’huile.

La Scuderia n’était pas capable de procéder à une réparation dans le laps de temps imparti avant les qualifications et a donc décidé de monter un autre moteur sur la monoplace de Leclerc pour la suite du week-end.

Le moteur monté sur la monoplace du pilote monégasque était une unité de puissance déjà utilisée auparavant, ce qui a permis à Charles Leclerc d’éviter la pénalité de grille aux USA, mais ce moteur était une ancienne Spec avec quelques chevaux de moins.

« Il n’y a pas eu une grosse perte de puissance, c’était léger. Il s’agissait de la Spec2 et non de la Spec 3 que nous avions introduite à Monza. » a expliqué Mattia Binotto, le directeur de Ferrari, au sujet du moteur utilisé par Leclerc en qualifications et pour la course à Austin.

Désormais, la Scuderia Ferrari doit procéder à des vérifications poussées à Maranello sur le moteur en panne afin de savoir s’il pourra être utilisé pour les deux dernières courses de la saison.

« Le composant endommagé a été renvoyé à Maranello. Il y a eu une fuite d’huile importante, mais nous ne savons pas encore d’où elle provenait. »

« Nous devons faire toutes les analyses, comprendre son origine, et décider en dernier ressort si nous pouvons encore utiliser ce moteur ou pas. »

Toro Rosso ne s’attend pas à se battre pour des podiums avant 2023

Le directeur de l’équipe Toro Rosso pense que son écurie ne sera pas en mesure de se rapprocher des meilleures avant 2023.

Selon Franz Tost, la limite budgétaire qui entrera en vigueur en 2021 en Formule 1, va « forcer » les trois plus grosses équipes [Ferrari, Mercedes et Red Bull] à dépenser sans compter d’ici la fin 2019 et tout au long de la saison 2020 pour développer leur monoplace 2021.

Ces nouvelles règles qui devaient alors servir pour rapprocher toutes les équipes sur la grille ne vont faire qu’augmenter l’écart entre petites et grandes écuries entre 2021 et 2023 selon Franz Tost.

« J’espère pour 2021 bien-sûr, comme tous les chefs d’équipe. » répond Franz Tost quand on lui demande s’il aimerait que son équipe joue des podiums.

« Mais je pense en fait que le groupe intermédiaire aura une chance à partir de 2023. Pourquoi ? Parce que actuellement, les trois meilleures équipes investissent beaucoup d’argent pour le développement de la monoplace 2021. »

« Cela signifie qu’en 2019 et 2020, ils mettront tout en oeuvre pour développer leur machine de 2021. Cela représente à peu près trois à quatre fois plus que ce que va investir une équipe moyenne. »

« Je ne m’attends à un succès en 2021. Les restrictions budgétaires entreront en vigueur en 2021, ce qui signifie que les meilleures équipes leurs coûts de développement. Les autres se rapprocheront ensuite, je l’espère, mais je ne m’attend pas à ça avant 2023. »

« En 2021, les équipes utiliseront les développements réalisés en 2019 et 2020 et ne pourront plus utiliser que ce qui est indiqué dans la limite budgétaire, ce qui va sensiblement réduire les possibilités de progression jusqu’en 2022. »

« Après cela, je pense que les équipes du milieu de grille pourront se rapprocher des meilleures et nous espérons pouvoir y arriver. »

Jacques Villeneuve encourage Hamilton à rejoindre Ferrari

Jacques Villeneuve estime que Lewis Hamilton ne deviendra une véritable légende que le jour où il aura réussi à battre le record de sept titres de Michael Schumacher.

Lewis Hamilton sera toujours au volant d’une Mercedes la saison prochaine en Formule 1, cependant, beaucoup pensent que le pilote britannique pourrait décider de rejoindre la Scuderia Ferrari à partir de 2021.

Pour Jacques Villeneuve, Lewis Hamilton pourrait devenir une véritable légende en battant le record de Michael Schumacher en étant au volant d’une Ferrari, ce qui serait « la cerise sur le gâteau » selon le Canadien.

« Lewis [Hamilton] cherche à battre tous les records de Michael Schumacher et je pense qu’une place chez Ferrari serait la cerise sur le gâteau. » explique Jacques Villeneuve.

« Avec un septième titre, il pourrait non seulement atteindre le niveau de Schumacher, mais aussi piloter pour Ferrari pour devenir une légende complète. »

La saison 2020 sera la dernière année de son contrat avec l’équipe Mercedes, le Britannique pourra ensuite choisir de rejoindre une autre équipe s’il le souhaite.

Chez Mercedes, le directeur exécutif de l’équipe, Toto Wolff, a déjà indiqué que dans le cas où Hamilton souhaitait quitter l’équipe à la fin de l’an prochain, il n’hésiterait pas à regarder toutes les opportunités sur le marché des pilotes pour remplacer le Britannique.

« Nous espérons avoir les deux pilotes les plus compétitifs de la Formule 1 et Hamilton est notre priorité aujourd’hui. » a indiqué Wolff.

« Mais nous devons aussi jeter un coup d’œil au marché des pilotes et il y a d’autres pilotes que j’aime bien. »

« Je pense que c’est normal pour les pilotes de rêver de Ferrari, c’est la marque la plus importante de la Formule 1. Le rouge est comme le soleil en F1, mais Hamilton n’a pas besoin de soleil, il a juste besoin de gagner. »

Ferrari a inauguré l’Institut Sergio Marchionne en Italie

L’institut Sergio Marchionne, en hommage à l’ancien président de Ferrari, a été inauguré ce mercredi dans la ville d’Amatrice en Italie.

Cet institut reconstruit après le tremblement de terre qui a frappé l’Italie centrale en 2016, a été rebaptisé cette semaine en l’honneur de Sergio Marchionne, décédé en juillet 2018.

L’idée de nommer le centre scolaire en hommage à l’ancien président de Ferrari a été proposée par le doyen et les enseignants afin de rappeler que Sergio Marchionne a été l’une des figures fondamentales de la construction du bâtiment.

Sergio Marchionne a annoncé la décision d’aider les victimes du séisme en août 2016 en mettant aux enchères la 500e LaFerrari [le modèle Hypercar de la marque de Maranello].

Cet engagement s’est ensuite concrétisé, en accord avec la communauté locale, avec la reconstruction de l’école d’Amatrice à laquelle ont été alloués les 6,5 millions d’euros issus de la vente aux enchères de cette voiture d’exception.

Une valeur record jamais atteinte auparavant par une voiture du 21ème siècle et surtout un record de solidarité.

Lors de son discours, John Elkann, président de FCA et Ferrari, a annoncé que les relations avec l’Institut Sergio Marchionne se poursuivraient: Ferrari offrira aux meilleurs étudiants la possibilité de vivre une expérience de formation à Maranello, avec la possibilité pour les plus méritants de faire connaissance de plus près encore avec l’entreprise.

Ce lien a été également symbolisé par le don d’un moteur Ferrari qui est l’un des symboles les plus importants de la société au cheval cabré.

Babypod 20 : La technologie de la F1 au service de la médecine

Williams Advanced Engineering, l’activité de technologies et de services d’ingénierie du groupe Williams, a conçu et fabriqué un dispositif de transport pour nourrisson.

Les normes de sécurité de la Formule 1 se sont considérablement améliorées au fil des ans grâce à l’utilisation de cellules de survie du pilote en fibre de carbone extrêmement solides mais également très légères.

Travaillant en collaboration avec Advanced Healthcare Technology (AHT), Williams Advanced Engineering a conçu et fabriqué le Babypod 20 pour le marché du transport d’urgence pour les nourrissons.

Auparavant, cela nécessitait l’utilisation d’incubateurs lourds et encombrants, des dispositifs nécessitant non seulement une alimentation en électricité, mais également des véhicules spécialisés. Le Babypod 20 fournit l’environnement dont un bébé a besoin à un prix nettement inférieur à celui d’un incubateur de transport standard.

Légère et facile à manipuler, Babypod 20 peut être fixée à n’importe quel brancard de transport, que ce soit sur un chariot, dans une ambulance, une voiture ou même un hélicoptère.

Ces dispositifs de transport haute technologie en fibre de carbone, capables de résister à un crash de 20 G, ont été lancés dans les ambulances de soins intensifs utilisées à l’hôpital Great Ormond Street, situé à Londres en Angleterre.

Ils ont également été utilisés par le service de transport pour enfants, qui a également fourni des conseils sur les exigences de conception.