Fernando Alonso a eu des discussions avec plusieurs équipes pour revenir en 2020

L’Espagnol Fernando Alonso a confirmé cette semaine son intention de revenir en Formule 1 pour la saison 2021.

Le double champion du monde de F1 a quitté la catégorie reine du sport automobile à la fin de la saison 2018, mais l’Asturien a toujours dit qu’il ne faisait pas ses adieux à la discipline.

Interrogé par la presse italienne sur son désir de revenir en Formule 1 la saison prochaine, Fernando Alonso a révélé qu’il était en discussion avec plusieurs écuries la saison dernière pour un éventuel retour en 2020, mais l’ancien pilote McLaren a estimé que ce n’était pas encore le bon moment.

“En 2019, j’étais très occupé. Pour cette année, je ne voulais pas m’engager après l’Indy, mais bien penser pour 2021 : réfléchir si je souhaite retourner en F1 pour quelques années de plus ou disputer tout le championnat Indycar ou bien courir en WEC dans la catégorie Hypercar.” explique Fernando Alonso à la Gazzetta Dello Sport.

“Il y a eu deux ou trois situations avec quelques pourparlers impliquant certaines équipes, nous avons eu des contacts, mais ce n’était pas le bon moment [pour 2020].”

“Ce qui me manque en Formule 1, c’est le travail de précision avec les ingénieurs et l’optimisation autour des courses, mais pas les voyages, les courses consécutives ou le fait qu’une seule équipe domine.”

Dakar : malgré deux tonneaux, Fernando Alonso se dit “content” de sa journée

La Toyota Hilux de Fernando Alonso qui part en tonneaux restera incontestablement l’image du jour du Dakar ce mercredi.

Dès le début de l’étape dix ce mercredi matin, la Toyota Hilux de Fernando Alonso et Marc Coma a effectué un double tonneau dans les dunes du désert d’Arabie Saoudite et, comme si de rien n’était, la voiture pilotée par l’ancien pilote de F1 a tout de suite repris la piste.

L’équipage de la voiture #310 va bien, mais les dégâts occasionnés par ce double tonneau étaient importants, notamment sur le pare brise, complétement brisé, et qui a été enlevé pour la suite de l’étape.

Finalement, la direction de course décidera quelques minutes plus tard de neutraliser l’étape au niveau du km 345 pour des raisons de sécurité [vent fort].

A l’arrivée de l’étape dix, Fernando Alonso ne semblait absolument pas choqué par son double tonneau et estime qu’au final la journée a été plutôt bonne pour lui puisqu’il se retrouve quatorzième au général.

“Je pense que nous avons eu de la chance. Je sais que c’était la nouvelle du jour [son double tonneau], mais regardez, nous avons eu de la chance et nous sommes toujours là, 14e au général de mon premier Dakar.” a déclaré Alonso.

“Nous n’avons eu qu’un petit revers durant lequel nous avons perdu plusieurs minutes, mais l’autre jour [étape 2] nous avons perdu deux heures et demie, alors qu’aujourd’hui nous en avons perdu beaucoup moins. C’est ça le Dakar, d’autres n’ont pas réussi à finir.”

“Je ne pense pas que ce soit le genre de déclaration que vous souhaitez entendre, mais je suis globalement content de ma journée.” conclut le double champion du monde.

Crash-tests réussis pour Williams

Claire Williams, la patronne de l’équipe éponyme, a confirmé que le châssis de la FW43 a passé tous les crash-tests avec succès.

Contrairement à la saison précédente où l’équipe Williams n’avait pas réussi à passer les crash-tests FIA du premier coup, le châssis de la FW43 de la saison 2020 a déjà été homologué et l’équipe peut désormais se concentrer sur les premiers essais hivernaux.

Interrogée ce mercredi lors de l’annonce de l’arrivée du pilote israélien Roy Nissany comme troisième pilote en 2020, la patronne de l’écurie Williams s’est montrée très optimiste à la veille d’une nouvelle campagne.

“L’objectif principal est de préparer la voiture à temps pour les tests [hivernaux], lorsque les feux passeront au vert, sinon avant.” a confié Claire Williams ce mercredi à Tel Aviv.

“Je suis absolument confiante que cela se produira. Le premier signe de succès est que nous avons réussi tous nos crash-tests – et surtout, au premier essai – contrairement à l’année dernière où nous avons échoué à plusieurs reprises. C’est donc une bonne étape pour nous cet hiver.”

Rappelons qu’en 2019 l’équipe Williams est arrivée à Barcelone pour les essais hivernaux avec plus de deux journées de retard sur le reste de la grille. En fin d’année, Williams a terminé bonne dernière du championnat du monde avec un seul point marqué.

MindMaze rejoint l’équipe Haas en 2020

L’équipe Haas F1 Team a annoncé ce mercredi l’arrivée d’un nouveau partenaire pour la saison 2020, la société MindMaze.

MindMaze, la société mondiale de technologie du cerveau spécialisée dans les plates-formes informatiques neuro-inspirées, qui est déjà partenaire de l’équipe McLaren, s’associera également avec Haas F1 Team pour le Championnat du monde de Formule 1 en 2020.

“Ce partenariat avec Haas F1 Team est passionnant et explorera les subtilités et les données sophistiquées qui sont générées à travers toutes les courses pour compléter la plate-forme de surveillance humaine MindMaze.” a déclaré le Dr Tej Tadi, fondateur et PDG de MindMaze.

“Notre nouvelle relation explorera une approche globale de la sécurité et des performances pour inclure les pilotes et les équipes de course.”

“Le partenariat avec Haas F1 Team ouvre également des portes sur le marché américain via le réseau Haas Automation. Nous sommes ravis parce que Haas a une approche innovante de la performance humaine et de la sécurité pour compléter les avancées techniques.”

“Je suis naturellement très heureux de commencer la nouvelle saison avec l’introduction de MindMaze à notre portefeuille de partenaires.” ajoute le team principal de l’équipe Haas, Gunther Steiner.

“Nous les accueillons à bord et nous sommes impatients de développer notre relation grâce à notre intérêt mutuel à approfondir notre compréhension de la sécurité et des performances grâce aux innovations technologiques de MindMaze.”

Le logo de MindMaze sera présent sur les combinaisons et les casques des pilotes et des mécaniciens de l’équipe Haas en 2020.

Romain Grosjean révèle quel a été son moment le plus difficile chez Haas

Romain Grosjean a révélé quel a été son pire moment passé chez Haas depuis que le pilote français a rejoint l’écurie américaine en 2016.

Après quatre saisons passées chez Haas, le pilote français Romain Grosjean a connu des hauts et des bas avec son équipe, mais un moment en particulier restera longtemps gravé dans sa mémoire.

Lorsqu’on l’interroge pour savoir quel a été son moment le plus difficile chez Haas depuis son arrivée dans l’équipe en 2016, Romain Grosjean n’hésite pas longtemps : “Je dirais que c’est le safety car de Bakou [en 2018 lorsqu’il a envoyé sa monoplace dans le mur sous safety car].” révèle le Français dans un entretien accordé à F1only.fr

“C’est une erreur que je n’ai pas comprise, il n’y avait pas vraiment d’explication en termes de pilotage à ce moment-là et parce que c’est un ensemble de facteurs qui a fait que je me suis mis en tête-à-queue sous safety car, alors que j’avais déjà vécu un week-end difficile, j’étais qualifié dernier, je n’avais même pas fait un tour en qualifications.”

“On était remonté à la cinquième place, et c’est vrai que c’était peut-être le moment le plus difficile chez Haas.”

Parmi les moments les plus difficiles pour lui, Romain Grosjean nous avoue également que son tête-à-queue dans la pit lane de Silverstone l’an dernier en essais libres a été dur à encaisser : “Je pense que l’an dernier je n’ai pas fait beaucoup d’erreurs en piste, hormis un tête-à-queue dans la pit lane à Silverstone dont je ne suis pas très fier.”

En 2020, Romain Grosjean débutera sa cinquième saison avec l’écurie Haas. Le Français, dont le contrat arrive à son terme à la fin de cette année, roulera toujours aux côtés de Kevin Magnussen.

Renault présentera sa F1 2020 en février à Paris

L’équipe Renault F1 a dévoilé ce mercredi la date de présentation de sa monoplace pour la saison 2020, la RS20.

L’équipe du constructeur français dévoilera sa nouvelle création le 12 février prochain, soit une semaine avant les premiers essais hivernaux de l’année à Barcelone.

Comme nous vous le révélions il y a de cela déjà quelques semaines, l’équipe du constructeur français dévoilera sa F1 2020 en direct depuis la France à Paris [le lieu est tenu secret pour le moment].

En 2020, l’équipe Renault F1 pourra compter sur l’expérience de Daniel Ricciardo et sur la fougue du jeune Esteban Ocon, qui rejoint l’écurie française cette année.

Les dates de présentation des F1 2020

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Charles Leclerc aimerait pouvoir tester une MotoGP

Le pilote Ferrari Charles Leclerc a admis qu’il aimerait bien pouvoir tester une MotoGP, mais le Monégasque ne sait pas si Ferrari serait d’accord.

En décembre dernier, le pilote Mercedes Lewis Hamilton a effectué un échange de machines sur le circuit de Valence en Espagne avec le champion de MotoGP Valentino Rossi.

Cet échange a été rendu possible grâce au sponsor commun des deux pilotes [Monster Energy] et avec l’accord de l’équipe Mercedes dans le cas du sextuple champion du monde de F1 Lewis Hamilton.

De son côté, le pilote Ferrari Charles Leclerc [qui a récemment reçu sa nouvelle moto] aimerait lui aussi pouvoir tester une MotoGP à l’occasion, mais le jeune monégasque doute que Ferrari lui donne sa bénédiction en raison des risques encourus.

Ce dernier pourrait d’ailleurs essayer de négocier un échange avec une MotoGP du team Ducati, puisque Ferrari et Ducati sont étroitement liées grâce à leur sponsor commun, Mission Winnow.

“J’adorerais pouvoir l’essayer [la Ducati], parce que j’aime les motos de façon générale. Mais honnêtement, je ne sais si Ferrari approuverait. Il faudrait que je demande la permission ! Quoi qu’il en soit, j’aime faire de la moto.” a déclaré Charles Leclerc.

L’an dernier, le pilote monégasque s’est rendu sur un Grand Prix de MotoGP avec son patron Mattia Binotto. Les deux hommes ont passé la journée sur le tracé du Mugello avec l’équipe Ducati.

Officiel : Roy Nissany devient pilote d’essai Williams

L’équipe Williams Racing a annoncé ce mercredi l’arrivée de  Roy Nissany en tant que pilote d’essais officiel pour la saison 2020.

Roy Nissany participera à trois sessions EL1, pilotera durant une journée de test pour les débutants et sera immergé dans l’équipe pendant trois week-ends de Grand Prix.

Il entreprendra un certain nombre de sessions sur simulateur à l’usine et passera du temps à s’intégrer dans tous les départements tout au long de l’année. Dans le cadre de l’accord, le logo d’Israël Start-Up apparaîtra sur le FW43 pour la durée d’un week-end de Grand Prix lorsque Roy Nissany conduira la voiture.

“Je suis ravi de devenir pilote d’essai officiel pour ROKiT Williams Racing. C’est également un point de repère pour le sport automobile en Israël.” a déclaré Nissany.

“Lorsque j’ai testé pour l’équipe à Abou Dhabi en décembre, je me suis immédiatement senti à l’aise dans la voiture et avec une partie de l’équipe.”

“L’expérience que je vais acquérir cette année, en me plongeant avec Williams, sera inestimable et je suis impatient de commencer, à la fois sur et hors piste.”

Roy Nissany, qui participera également au Championnat de Formule 2 de la FIA en 2020, a couru pour la dernière fois dans cette série en 2018.

Dakar : Alonso en tonneaux avant la neutralisation de l’étape 10

Les organisateurs du Dakar ont pris la sage décision de neutraliser la course ce mercredi après de nombreux accidents depuis le départ de l’étape 10.

Ce mercredi, plusieurs pilotes sont partis à la faute sur l’étape 10 du Dakar, dont Fernando Alonso, qui a fait deux tonneaux avec sa Toyota Hilux.

Le pilote espagnol et son copilote Marc Coma vont bien et ont pu repartir tout de suite, mais les dégâts sur la Toyota sont importants, notamment au niveau du pare-brise qui est complétement brisé.

Au final, l’équipage de la Toyota #310 a perdu plus d’une heure en s’arrêtant plus loin et en tentant de réparer en retirant tout simplement ce qui restait du pare-brise. [voir vidéo ici]

Une étape neutralisée

D’autres concurrents comme Roman Starikovitch se sont fait piéger ce matin. Starikovich n’aura même pas parcouru 1 km en spéciale avant d’être victime d’un accident. Touché au dos, tout comme son copilote Bert Heskes, l’équipage de la Toyota n°360 a dû être évacué par le service médical.

Les fortes rafales de vent présentes ce mercredi sur le Dakar ont forcé les organisateurs à prendre la décision de neutraliser l’épreuve.

“Les moyens engagés pour assurer la sécurité des concurrents étant quasiment tous entièrement mobilisés et avec une dégradation des conditions météorologiques (vents forts), les directeurs de course ont décidé d’arrêter l’étape 10 après 345 km.” nous a fait savoir la direction de course du Dakar.

Autrement dit, Carlos Sainz est le vainqueur de l’étape avec 3’05 d’avance sur Jakub Przygonski et Giniel De Villiers.

De la casse au général

Nasser Al-Attiyah a perdu beaucoup de temps sur les derniers kilomètres dans une navigation hasardeuse. Le Qatari est finalement arrivé à la neutralisation avec plus de 17 minutes de retard sur Carlos Sainz. Un gros coup dur au classement général !

Le Qatari accusait à peine 24 secondes de retard sur Sainz avant le départ de l’étape dix et se retrouve désormais à plus de 18 minutes, alors que Stéphane Peterhansel le talonne de quelques secondes.

Le classement général après l’étape 10

Rob Smedley pas très optimiste pour Williams en 2020

Rob Smedley, ancien ingénieur de l’équipe Williams Racing, a beaucoup de mal à croire que l’écurie britannique arrivera à faire mieux que 2019 cette année.

En 2019, l’équipe Williams a terminé la saison en tant que lanterne rouge au championnat du monde des constructeurs avec un seul point marqué après 21 courses.

Beaucoup estiment que l’écurie britannique va réussir à se relever cette année et que la situation ne peut pas être pire que l’an dernier, mais ce n’est pas de l’avis de Rob Smedley, qui considère un retour de Williams à l’avant de la grille comme quasiment impossible en si peu de temps.

“Il y a toujours une certaine philosophie selon laquelle ça ne pourrait pas être pire. Mais pour avoir été en Formule 1, je sais que les choses peuvent empirer.” explique Rob Smedley à Reuters.

“On parle du fait que ça ne peut être pire qu’en 2019, mais nous avions déjà dit la même chose au sujet de 2018 et nous l’avions aussi dit pour 2017. La réalité, c’est que 2020 peut en fait être pire que 2019.”

“Quiconque estime que dans la situation actuelle de l’équipe Williams, on peut changer les choses et soudainement revenir dans le top 5 au championnat, se trompe lourdement. C’est tout simplement faux.”

Cette année, Williams Racing va confier sa FW43 à deux jeunes pilotes : George Russell et Nicholas Latifi.

Dakar : Gros accident pour Fernando Alonso sur l’étape 10

Grosse frayeur pour Fernando Alonso ce mercredi lors de la dixième étape du Dakar durant laquelle l’Espagnol a effectué un double tonneaux.

Le début de spéciale a été agité pour Fernando Alonso, victime d’un double tonneaux dès les premiers kilomètres. Si la Toyota du pilote espagnol ne semble pas trop endommagée, son pare-brise est brisé et gêne donc considérablement la visibilité. Il est arrêté depuis de longues minutes.

La suite de la journée s’annonce dores et déjà très compliquée pour l’équipage de la Toyota Hilux numéro 310, mais le plus important est que les deux hommes vont bien.

Neuvième hier sur l’étape 9, Fernando Alonso a impressionné par sa régularité sur le Dakar 2020 jusqu’à présent, mais malheureusement pour lui, cet accident va certainement lui faire perdre encore beaucoup de temps au classement général.

Alonso part en tonneaux

Une annonce de Williams Racing attendue ce mercredi [MAJ]

L’équipe Williams Racing devrait annoncer ce mercredi l’arrivée de Roy Nissany au sein de l’écurie pour la saison 2020 de F1.

Roy Nissany, âgé de 25 ans, a participé au championnat de Formule 2 en 2018 en se classant 22e, mais n’a pas pu courir l’an dernier en raison d’une blessure.

Fin 2019, le pilote israélien a eu l’opportunité de participer aux tests Pirelli avec l’équipe Williams à Abou Dhabi, quelques années après un premier essai privé au volant d’une Formule 1 à Valence pour l’équipe Sauber.

Ce mercredi 15 janvier, l’équipe Williams Racing s’apprête donc à faire une annonce depuis Tel Aviv en Israël où elle devrait annoncer l’arrivée d’un nouveau sponsor lié directement à Roy Nissany, ainsi qu’une probable nomination du pilote israélien au poste de pilote d’essai pour la saison 2020.

Rappelons que cette saison, l’équipe Williams a titularisé le Canadien Nicholas Latifi aux côtés du Britannique George Russell, alors que Jamie Chadwick a été confirmée pour sa part au poste de pilote de développement la semaine dernière.

Mise à jour à 10h15 : L’équipe Williams a officialisé l’arrivée de Roy Nissany au poste de pilote d’essai pour la saison 2020. L’information officielle en cliquant ici.

Crash-tests réussis pour Haas

L’équipe Haas est devenue la troisième équipe de la grille 2020 à réussir les fameux crash-tests obligatoires de la FIA.

L’écurie américaine a fait homologuer son châssis 2020 en réussissant les crash-tests FIA qui sont obligatoires pour toute nouvelle monoplace avant le début d’une nouvelle saison de F1.

L’écurie Haas est la troisième de la grille à réussir les crash-tests FIA après Racing Point et Ferrari un peu plus tôt ce mois-ci.

Jusqu’à présent, seule l’équipe Alfa Romeo a échoué à homologuer son châssis 2020 lors des crash-tests, l’équipe basée en Suisse étant dans l’obligation de repasser les crash-tests une fois les changements effectués sur son châssis.

Bonne nouvelle donc pour l’écurie Haas, qui est parfaitement dans les temps avant les premiers essais hivernaux de Barcelone comme nous le confirmait ce lundi Romain Grosjean.

Nous sommes dans les temps pour les premiers essais hivernaux à Barcelone. Comme chaque année, on pousse les limites au maximum, mais pour le moment, il n’y a pas de soucis annoncé.” a déclaré Grosjean à F1only.fr

Je me réjouis de la découvrir, [la monoplace 2020] je pense assez rapidement, on va bientôt mouler le baquet, donc cela me permettra de voir le châssis, puis ensuite je vais passer un peu de temps à l’usine en Angleterre, donc, je verrai les dessins [à ce moment-là].”

Vers une troisième course de F1 au Moyen-Orient ?

Les organisateurs du Grand Prix de Bahreïn accueilleraient favorablement l’arrivée d’un Grand Prix d’Arabie Saoudite.

Actuellement, le Moyen Orient est représenté avec deux courses au calendrier de la Formule 1: le Grand Prix de Bahreïn et celui d’Abou Dhabi, qui est depuis plusieurs années la course de clôture de la saison.

Abou Dhabi et Bahreïn ne sont séparés que par un peu plus de 400 kilomètres, mais des plans sont en cours pour, peut-être, rajouter une troisième course dans le golfe, l’Arabie Saoudite étant sur le point de conclure un accord avec la F1 selon les dernières rumeurs.

Le lieu le plus probable pour accueillir une course de Formule 1 en Arabie Saoudite serait la ville de Jeddah et dans laquelle pourrait voir le jour un circuit urbain, plutôt que de construire un nouveau tracé de toute pièce.

Interrogé pour savoir si l’arrivée de l’Arabie Saoudite leur poserait un problème, les organisateurs du Grand Prix de Bahreïn affirment qu’ils seraient ravis que l’Arabie Saoudite fasse partie des courses se disputant au Moyen-Orient.

“Depuis notre première course en 2004, notre objectif a été de développer la base de fans pour le sport automobile dans la région.” explique le porte-parole du Grand Prix de Bahreïn.

“Nous accueillerions donc favorablement les initiatives susceptibles de soutenir cette croissance et pensons qu’une future course en Arabie saoudite serait complémentaire.”

Des rumeurs suggèrent que le Grand Prix d’Arabie Saoudite pourrait figurer au calendrier de la Formule dès la saison 2021, ce qui porterait à 23 le nombre de courses disputées par saison, d’autant que la ville de Miami aux Etats-Unis est également sur le point d’être annoncée.

Fernando Alonso nie avoir discuté avec Ferrari pour 2021

Ce mardi, Fernando Alonso a confirmé qu’il souhaitait revenir en Formule 1 à partir de la saison 2021, une décision devant être prise au courant de l’été par l’Espagnol.

Le double champion du monde de Formule 1 a toujours dit qu’il ne faisait pas ses adieux à la catégorie reine du sport automobile lorsqu’il a annoncé qu’il se retirait fin 2018. Mais l’ancien pilote McLaren a également déclaré à plusieurs reprises qu’il n’envisagerait un retour qu’à la seule condition qu’il puisse avoir une monoplace capable de lui offrir un titre de champion du monde.

A l’heure actuelle, seules trois équipes de la grille pourraient prétendre avoir une monoplace gagnante : Ferrari, Mercedes et Red Bull. Mais en 2021, lorsque les nouvelles règles entreront en vigueur en F1, la situation pourrait bien être différente et d’autres équipes pourraient devenir favorites.

Pilote Ferrari entre 2010 et 2014, Fernando Alonso pourrait être tenté de revenir dans son ancienne écurie pour “finir le travail”, mais l’Asturien nie tout contact avec l’écurie italienne pour le moment.

“Je n’ai pas parlé avec eux, mais mon passage chez eux était très bien.” assure Fernando Alonso au média espagnol El Partidazo de COPE.

“Y revenir ? je ne pense pas que ce soit le moment d’en parler. Leur engagement avec Leclerc pour l’avenir est très clair. Pour 2021, nous devons encore voir qui sera compétitif et, peut-être que Ferrari ne fera pas partie des favoris. Nous verrons.”

Fernando Alonso souhaite d’abord terminer son Dakar, où il occupe la dixième place au général, puis il se rendra ensuite aux 500 miles d’Indianapolis avec l’équipe Andretti.

Ensuite, le double champion du monde prendra une décision cet été concernant son avenir en Formule 1.

Helmut Marko surpris d’entendre parler de moteur deux-temps en F1

Helmut Marko s’est dit surpris d’apprendre que la F1 pourrait envisager de passer au moteur deux-temps à partir de 2025.

La semaine dernière, nous vous rapportions que le directeur technique de la F1, Pat Symonds, n’a pas écarté l’idée d’introduire le moteur deux-temps fonctionnant avec un éco-carburant en catégorie reine à partir de la saison 2025.

La proposition est censée rendre le sport plus vert que les séries de courses électriques, telles que la Formule E, tout en utilisant des moteurs à combustion interne – et avec un son amélioré.

Les moteurs hybrides actuels devraient être remplacés par une nouvelle spécification d’unité de puissance à partir de 2025 ou 2026, ce qui devrait jouer un rôle important dans le projet de la F1 de devenir neutre en carbone en 2030.

Ils [les moteurs deux temps] sont beaucoup plus efficaces et ont également un meilleur son à l’échappement. De plus, beaucoup de problèmes avec les anciens deux temps ne sont désormais plus d’actualité.” expliquait Pat Symonds lors d’une conférence sur l’efficience énergétique la semaine dernière.

“L’injection directe, la charge de pression et les nouveaux systèmes d’allumage ont tous permis à de nouvelles formes de moteurs deux-temps d’être très efficaces et très respectueux en termes d’émissions. Je pense qu’il y a un bel avenir pour ces moteurs.”

Il se pourrait que la prochaine unité de puissance que nous produirons soit la dernière à fonctionner avec des hydrocarbures liquides. Je pense qu’il y a de très fortes chances qu’il y ait encore un moteur à combustion interne mais peut-être qu’il fonctionnera à l’hydrogène.”

Helmut Marko surpris !

Interrogé sur le sujet, le consultant motorsport de Red Bull, Helmut Marko, admet qu’il n’avait encore eu écho de cette proposition et se dit surpris.

“Jusqu’à présent, cela ressemble plus à une plaisanterie, mais je vais me renseigner auprès de mes ingénieurs sur le sujet.” a déclaré Helmut Marko à Auto Bild.

“Nous devrions connaître la puissance que nous pourrions obtenir de ces moteurs, ainsi que leur efficacité. Peuvent-ils vraiment fonctionner avec des carburants alternatifs ?”

Précisons tout de même qu’il ne s’agit là que d’une simple réflexion de la part de Pat Symonds au cours d’une conférence tenue la semaine dernière en Angleterre. En aucun cas, l’introduction des moteurs deux-temps n’a encore été validé par la F1.

Lando Norris se dit “confiant” après avoir vu le travail effectué cet hiver à l’usine McLaren

Le Britannique Lando Norris se dit confiant après avoir vu le travail effectué par les employés de McLaren cet hiver à l’usine.

Le jeune pilote McLaren s’apprête à aborder sa seconde saison en Formule 1 avec l’écurie britannique et, après une première année réussie, Norris espère naturellement que la MCL35 sera une digne héritière de la monoplace 2019.

“La voiture de cette année est une simple évolution de celle de l’an dernier.” rappelle Lando Norris.

“L’équipe, je pense, a fait un très bon travail en travaillant sur les domaines en particulier dans lesquels nous n’étions pas bons l’année dernière, dans lesquels nous étions assez faibles – ce qui était presque tous les [domaines], mais il y avait aussi des domaines plus spécifiques dans lesquels nous avons lutté.

“Mais d’après ce que j’ai vu, cela semble positif. Je suis confiant, les gars ont fait un excellent travail au cours de l’hiver pour améliorer autant que possible la voiture. Je ne vais pas dire que nous allons gagner des courses cette saison; J’adorerais, mais je ne vais pas trop m’avancer.”

“Nous devons être réalistes. Nous voulons dire que nous allons faire un pas en avant et je pense que nous pouvons être confiants en cela – mais la taille d’e l’écart est inconnue par rapport aux autres équipes.”

L’équipe McLaren dévoilera sa nouvelle monoplace pour la saison 2020 [la MCL35] le 13 février prochain.

Dakar : Alonso de nouveau dans le top dix après l’étape 9

Fernando Alonso a une nouvelle fois terminé dans le top dix après la neuvième étape du Dakar disputée ce mardi en Arabie Saoudite.

Alors qu’il a terminé à la seconde position de l’étape 8 ce lundi avec seulement quatre minutes de retard sur le vainqueur Matthieu Serradori, Fernando Alonso termine la neuvième étape à la neuvième position.

L’ancien pilote de Formule 1 accuse à l’arrivée un peu plus de treize minutes de retard sur le vainqueur du jour Stéphane Peterhansel. Le Français remporte à Haradh sa troisième victoire sur le rallye saoudien pour seulement 15 secondes face au tenant du titre Nasser Al-Attiyah et Yair Seaidan.

Peterhansel et Al-Attiyah ont roulé sur un rythme supérieur à tous leurs adversaires aujourd’hui et ont repris du temps à Carlos Sainz, l’actuel leader du général, qui a franchi la ligne d’arrivé à la cinquième place.

Au classement général, Fernando Alonso et son copilote Marc Coma occupent la dixième position à un peu plus de trois heures du leader Carlos Sainz.

Chabot en tonneau

Ronan Chabot, 15e du général ce matin, a été un peu trop optimiste au km 33 de la spéciale. Le Français qui participe à son 21e Dakar a fait un tonneau avec sa Toyota. L’équipage est heureusement indemne.

Grosjean : “La voiture [2019] avait des défauts fondamentaux”

Romain Grosjean a admis que les problèmes rencontrés par Haas en 2019 étaient liés au châssis et non aux pneus Pirelli.

Dès le début de la saison 2019, l’équipe Haas a rencontré des problèmes de rythme avec sa monoplace et les pilotes, ainsi que le directeur de l’équipe, ont rapidement pointé du doigt les nouveaux pneus Pirelli avec une bande de roulement plus fine.

Le problème pour l’équipe américaine était que la monoplace pilotée par Romain Grosjean et son coéquipier Kevin Magnussen était rapide dans l’exercice des qualifications, mais n’avait absolument aucun rythme en course le dimanche.

C’est donc en toute logique que l’équipe a d’abord pointé du doigt les gommes Pirelli avant de commencer à effectuer de gros changements sur la monoplace de Grosjean en lui proposant un package aéro “version Melbourne” pour voir si les performances de la VF-19 augmenteraient.

Le pilote français a pu constater une amélioration du rythme de sa monoplace avec l’ancien package aéro, mais malheureusement, Romain Grosjean n’a pas pu terminer la saison avec ce package avec lequel il se sentait à l’aise.

A partir du Grand Prix de Russie, le pilote Haas a reçu un package « hybride » sur sa monoplace, ce qui était en réalité un mix de la version Melbourne et de l’ultime version.

Avec un peu de recul désormais, Romain Grosjean admet que les pneus Pirelli n’étaient pas les responsables du manque de rythme de la VF-19, mais que c’était bien la monoplace qui avait des problèmes fondamentaux.

“En 2019, on a beaucoup blâmé les pneus en début d’année [en 2019], mais en fait, ce n’était pas les pneus, c’était vraiment la voiture qui avait des défauts fondamentaux et du coup, ça nous a mis dedans.” révèle Romain Grosjean dans un entretien exclusif pour F1only.fr

“On s’est voilé la face [en 2019] parce que nous étions rapides en qualifications et nous n’étions pas rapides en course, donc on a dit que c’était les pneus, mais malheureusement ce n’était pas que les pneus.”

“Je pense que la compréhension [des pneus] est bonne, nous les avons utilisé aussi bien que l’on pouvait. C’était juste notre voiture qui n’était pas bonne.”

Au championnat du monde des constructeurs, l’équipe Haas a terminé la saison à la neuvième et avant dernière position avec seulement 28 points marqués.

Zak Brown : “McLaren ne fera pas autant de progrès qu’en 2019”

Le PDG de McLaren se veut prudent à la veille de la nouvelle saison de Formule 1 et estime que son équipe aura du mal à réaliser autant de progrès que l’an dernier.

En 2019, l’équipe McLaren-Renault a créé la surprise en terminant à la quatrième place au classement des constructeurs, mais pour cette nouvelle saison, Zak Brown estime que McLaren aura du mal à progresser autant que l’an dernier.

En effet, en 2020, la réglementation reste quasiment inchangée en Formule 1 par rapport à l’an dernier, ce qui ne devrait pas permettre aux équipes d’obtenir de gros gains en termes de performance pure.

“Nous devons continuer d’avancer, entre 2018 et 2019, nous avons fait un grand pas.” explique Zak Brown, le PDG de McLaren.

“En partie parce que nous venions de terminer une saison 2018 très pauvre, donc, ce n’était pas très difficile de s’améliorer en 2019.”

“Je ne pense pas que nous ferons un pas tout aussi grand cette année, car les règlements sont très similaires, et je ne pense pas que la grille soit très différente de ce qu’elle était [en 2019].”

“Nous sommes encore une jeune équipe, James Key [directeur technique] n’a pas participé au développement de la voiture de l’année dernière, mais il a participé à celui de cette année. Nous verrons donc ce que cela donnera.”

L’équipe McLaren dévoilera sa nouvelle monoplace pour la saison 2020 le 13 février prochain. Il s’agira de la toute dernière McLaren équipée d’un moteur Renault, l’écurie britannique ayant signé un partenariat technique avec Mercedes à partir de 2021.