Julien Fébreau entonnera l’hymne italien à Singapour avec Franck Montagny

Le journaliste Julien Fébreau tiendra sa promesse et entonnera l’hymne italien lors de la prochaine course de la saison prévue à Singapour.

Après le Grand Prix d’Italie disputé la semaine dernière sur le circuit de Monza, Canal+ a dû prendre la décision de basculer sur un autre canal [pour diffuser en direct un match de Rugby] au moment de la cérémonie du podium et surtout du très attendu hymne italien pour fêter la victoire de Ferrari à domicile avec la présence de milliers de Tifosi.

Pour se faire pardonner, Julien Fébreau avait déclaré qu’il entonnerait l’hymne italien lors de la prochaine épreuve à Singapour, et même s’il considère cela comme un non événement, notre confrère a de nouveau confirmé qu’il tiendrait sa parole.

Julien Fébreau a d’ailleurs révélé qu’il prendra en otage Franck Montagny, avec qui il commentera le Grand Prix de Singapour 2019.

« Promis, à Singapour, je ne sais pas exactement à quel moment, mais nous entonnerons avec Franck Montagny – qui sera en cabine avec moi, je vais le prendre en otage sur ce coup-là, mais Franck Montagny commentera le Grand Prix de Singapour à mes côtés, alors que Loïc Duval sera dans la voie des stands – mais promis, on entonnera quelques notes de l’hymne italien pour se faire pardonner. » a déclaré Julien Fébreau lors d’un questions/réponses avec des fans.

Julien Fébreau en profite pour présenter ses excuses

« J’espère que vous avez compris que ce n’était pas voulu bien-sûr et que l’on essayait de faire au mieux pour terminer ce Grand Prix. » a rappelé Julien Fébreau.

« Evidemment, avec deux minutes de plus ça aurait juste parfait, mais voilà, on essaie d’offrir un maximum de direct à tous les abonnés [le direct du match de Rugby était la priorité de Canal+]. Mais l’hymne italien à Singapour sur l’une des séances, c’est promis ce sera fait. »

A Monza, Mercedes n’a pu que constater la supériorité de Ferrari dans les lignes droites

L’équipe Mercedes n’a pu que constater la supériorité de Ferrari dans les lignes droites de Monza dimanche dernier au Grand Prix d’Italie.

Dimanche dernier au Grand Prix d’Italie, ni Lewis Hamilton, ni Valtteri Bottas n’ont été en mesure de doubler la Ferrari de Charles Leclerc en piste, alors que les deux pilotes Mercedes ont pu utiliser toutes les armes qui étaient à leur disposition durant la course.

Le stratège en chef de l’équipe Mercedes, James Vowles, révèle que malgré la mise à disposition de différents modes moteur pendant la course, aucun des deux pilotes Mercedes n’a été en mesure de dépasser la Ferrari SF90 de Leclerc, qui affichait une vitesse de pointe tout simplement phénoménale dans les lignes droites.

« Une grande partie de la saison a déjà été marquée par la supériorité de Ferrari dans les lignes droites, c’est leur grande force. » a déclaré James Vowles.

« Mais nous sommes plus rapides dans les virages, cela s’est également confirmé à Monza. En Italie, Lewis [Hamilton] a tout exploité du moteur pour essayer de doubler Charles Leclerc. »

« Nous avons différentes options de réglages pour notre unité de puissance afin d’obtenir une performance maximale sur un court laps de temps, par exemple lors d’une manœuvre de dépassement. Lewis a également essayé ce mode, mais ce n’était pas suffisant pour dépasser Leclerc. »

« Valtteri [Bottas] a atteint les mêmes limites que Lewis. Même avec un maximum de puissance, la Ferrari ne pouvait pas être dépassée en ligne droite. »

Hakkinen : « Vettel a besoin de restaurer sa réputation rapidement »

Le double champion du monde de Formule 1 Mika Hakkinen, estime que Sebastian Vettel va devoir rapidement se refaire une réputation, après son erreur commise au Grand Prix d’Italie.

Le Finlandais pense que Sebastian Vettel va rebondir avant la fin de la saison, alors que le pilote Ferrari a déjà commis plusieurs erreurs en course cette année, dont la plus récente à Monza dimanche dernier lui a valu de terminer le Grand Prix d’Italie à plus d’un tour de son coéquipier Charles Leclerc.

Hakkinen, qui est désormais consultant pour la société de paris en ligne Unibet et également ambassadeur de McLaren, a la profonde conviction que le quadruple champion du monde va rebondir très vite, ne serait-ce que pour restaurer sa réputation.

« Gagner pour Ferrari, de plus à Monza, sera certainement une journée que le jeune homme n’oubliera jamais. » déclare Mika Hakkinen.

« C’est une victoire importante pour lui, pour l’équipe, mais aussi pour son coéquipier Sebastian Vettel. Le succès d’une course à une autre est précisément la manière avec laquelle vous remportez un championnat du monde. »

« Le patron de l’équipe Ferrari, Mattia Binotto, se retrouve maintenant dans une situation où son pilote numéro 1, Sebastian Vettel, est battu par le jeune pilote numéro 2, Charles Leclerc, ce qui pourrait potentiellement créer des tensions. »

« Cependant, Sebastian est un pilote de course très mature et, en tant que quadruple champion du monde, il aura de bonnes et de mauvaises périodes dans sa carrière. »

« Il a eu une mauvaise course dimanche, ce qui l’a empêché même de soutenir Charles lorsque les deux Mercedes ont pris la Ferrari [de Leclerc] en chasse. Mais je suis sûr que Sebastian s’est rendu compte que Charles a fait un excellent travail et qu’il a besoin désormais de restaurer sa réputation rapidement. »

Sergey Sirotkin au volant d’une Renault RS18 pour les tests Pirelli au Paul Ricard

Renault a décidé de placer son pilote de réserve Sergey Sirotkin au volant de la Renault RS18 cette semaine pour les tests Pirelli sur le circuit Paul Ricard.

Cette semaine, l’équipe Renault participe à des tests avec Pirelli sur le circuit Paul Ricard en France, afin de tester les gommes 18 pouces qui seront introduites en F1 en 2021.

Renault est l’une des trois équipes [Mercedes et McLaren font aussi partie du programme] qui se sont portées volontaires auprès de Pirelli pour tester ces gommes 18 pouces cette année dans le cadre du programme d’essais du manufacturier italien.

Pour participer à ces essais, Renault a dû mettre à disposition de Pirelli un châssis 2018 modifié pour pouvoir accueillir les roues de 18 pouces développées par la firme milanaise et qui deviendront la norme dans un peu plus d’un an.

Ces tests auront lieu les 12 et 13 septembre sur le circuit Paul Ricard au Castellet et c’est le pilote de réserve de l’écurie du constructeur français, Sergey Sirotkin, qui sera derrière le volant de la RS18 de saison 2018.

Rappelons que les pneus 18 pouces de Pirelli seront introduits en Formule 2 dès la saison prochaine, alors que les pilotes de F1 devront attendre une année de plus avant de pouvoir utiliser ces pneus taille basse en championnat.

Sergey Sirotkin au volant de la RS18

La domination des grandes équipes en F1 est un vrai problème selon Jean Todt

Le président de la FIA, Jean Todt, estime que le plus gros problème actuel en Formule 1 reste la domination des grandes équipes par rapport à de plus petites structures.

La FIA, la F1 et les directeurs d’équipes se réunissent ce jeudi à Genève pour un rendez-vous de la plus haute importance afin de finaliser les règles qui seront introduites en catégorie reine en 2021.

De grands changements dans les règles sont attendus afin de redonner un certain engouement à la discipline, après une nette domination de Mercedes au cours des cinq dernières années.

L’un des points les plus importants déjà évoqué est le problème des coûts en Formule 1, qui avantagent certainement les plus grandes équipes, et qui ne permettent pas à de nouveaux constructeurs de s’intéresser à la F1 en raison des efforts financiers colossaux que cela engendrerait.

Interrogé pour savoir quel est, selon lui, le plus gros problème actuellement en catégorie reine du sport automobile, le président de la FIA pense que la réduction des coûts et une meilleure répartition des revenus seront des solutions, parmi d’autres, pour améliorer le sport.

« En fait, quand on analyse un championnat, souvent avec beaucoup de sévérité, on veut changer beaucoup de choses. » explique le président de la FIA, Jean Todt, à F1only.fr.

« C’est le rôle du promoteur de proposer, puis ça passe par toute une gouvernance. Il faut se concentrer sur les changements constructifs. »

« En F1 aujourd’hui, le problème c’est la domination des grandes équipes par rapport aux équipes moyennes, en raison de capacités financières plus importantes. C’est un problème de coût, de distribution des revenus, c’est l’un des sujets sur lesquels on se penche en particulier, avec aussi l’aérodynamique et la difficulté pour les voitures de se suivre. »

« On a pas mal avancé sur le futur règlement 2021, il nous reste deux mois pour finaliser tout cela. Je suis confiant mais je préfère attendre un petit peu pour voir ce sur quoi on va déboucher. Une fois que des décisions auront été prises, j’attendrai avec impatience que ce règlement soit mis en oeuvre. »

Alex Albon pense que son meilleur rival pourrait être Charles Leclerc

Alex Albon estime que son plus grand rival cette année en Formule 1 pourrait être le pilote Ferrari Charles Leclerc.

Alex Albon, qui a rejoint l’équipe Red Bull à la reprise de la saison au Grand Prix de Belgique, n’a pas encore été en mesure de se battre directement avec son nouveau coéquipier Max Verstappen.

Au Grand Prix de Belgique, Albon a écopé de plusieurs pénalités, ce qui l’a fait partir depuis le fond de la grille. Son coéquipier Max Verstappen quant à lui a percuté l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen au premier virage dès le départ de la course et a dû abandonner.

Au Grand Prix d’Italie, c’est Max Verstappen qui a dû prendre le départ de la course depuis le fond de la grille en raison de pénalités, ce qui ne nous a pas permis une nouvelle fois de voir les deux pilotes Red Bull se battre ensemble sur la piste, les deux étant sur une stratégie complétement différente.

Interrogé pour savoir quel pilote pourrait être son plus grand rival jusqu’à la fin de la saison, Alex Albon pense que ce pourrait être Charles Leclerc, qu’il connaît très bien pour avoir couru contre lui dans les catégories inférieures.

« Je ne connais pas encore assez Max, mais j’ai déjà pu constater qu’il était très rapide. » explique Alex Albon.

« Je pense que le meilleur rival serait Charles [Leclerc]. Lorsque nous étions en GP3, il pouvait faire le tour le plus rapide comme celui qu’il a fait à Spa [en qualifications] où il a collé sept dixièmes à son coéquipier. »

« C’est déjà arrivé plusieurs fois, nous nous battions pour la pole et tout à coup il est arrivé avec le meilleur temps et tout le monde se demandait comment il avait fait. »

Au championnat du monde, Alex Albon occupe la neuvième position du classement avec 34 points inscrits depuis le début de l’année.

Selon Jean Alesi, Max Verstappen n’arrive pas à faire preuve d’autocritique, contrairement à Charles Leclerc

Jean Alesi pense que la principale différence entre Charles Leclerc et Max Verstappen est le fait que le pilote Ferrari arrive à faire preuve d’autocritique, contrairement au pilote Red Bull.

Interrogé par la Gazzetta pour savoir ce qu’il pensait de la personnalité des deux jeunes pilotes les plus en vue du paddock, l’ancien pilote Ferrari, Jean Alesi, estime que Charles Leclerc et Max Verstappen ont tous les deux une approche bien différente.

« Il est vrai que les deux ont un caractère très différent. » explique Jean Alesi. « C’est peut-être parce qu’ils ont évolué dans des environnements différents. »

« Charles de son côté entre toujours dans les discussions et fait preuve d’autocritique. Regardez ses erreurs commises à Bakou ou Hockenheim, il y pense, il les analyse et il les corrige. »

Concernant Max Verstappen, le Français est un peu plus critique, insinuant que le pilote Red Bull assume peut-être un peu moins ses erreurs que Charles Leclerc.

« Il blâme toujours les autres et ses problèmes sont toujours en relation avec les autres pilotes. Cela rend peut-être plus difficile la croissance en tant que pilote. »

Au championnat du monde des pilotes 2019, Charles Leclerc est désormais quatrième à seulement trois points de Max Verstappen.

Toto Wolff : « Nous devrions être forts à Singapour, mais Red Bull aussi »

L’équipe Mercedes s’attend à devoir se battre contre Red Bull lors de la prochaine manche qui se disputera le 22 septembre dans la cité état de Singapour.

L’équipe Mercedes s’attend à être compétitive pour la prochaine manche de la saison 2019 de F1 qui se disputera à Singapour le 22 septembre, mais l’écurie du constructeur allemand est bien consciente que ce tracé éphémère planté en pleine ville est également le terrain de jeu idéal pour Red Bull.

Le circuit urbain de Singapour fait la part belle au travail du châssis, qui doit encaisser sans broncher les 23 virages qui font de ce tracé atypique l’un des plus beaux mais aussi l’un des plus exigeants du calendrier, aussi bien pour les hommes que pour les machines.

Battue à Spa et à Monza par Ferrari sur deux tracés défavorables aux caractéristiques de la W10, Mercedes s’attend à retrouver un peu plus de compétitivité pour les prochaines courses.

« Spa et Monza se sont révélés aussi difficiles que nous le pensions, mais nous avons tout de même obtenu de solides résultats et accumulé de nombreux points, ce qui renforce notre avance dans les deux championnats. » a déclaré Toto Wolff, le directeur exécutif de l’équipe Mercedes.

« Singapour est la prochaine étape, et nous devrions être forts là-bas, mais Red Bull aussi. Nous sommes donc impatients de montrer ce que nous pouvons faire lors des prochaines courses. »

Un défi très différent à Singapour

Andrew Shovlin, ingénieur en chef chez Mercedes, rappelle que le circuit de Singapour offre un défi différent des deux derniers tracés visités par la Formule 1, ce qui va obliger l’équipe Mercedes à redoubler d’efforts cette semaine à l’usine.

« Singapour pose un défi très différent, et c’est aussi un circuit où il est difficile de réussir, mais nous avons faim de victoire à nouveau. » explique Shovlin.

« Nous allons donc travailler dur cette semaine pour être sûrs d’arriver le mieux préparé à Singapour. »

Abiteboul assume d’avoir choisi Ricciardo à la place d’Ocon

Cyril Abiteboul assume pleinement la décision de Renault d’avoir signé au tout dernier moment Daniel Ricciardo en 2018, alors que des négociations étaient très avancées entre Esteban Ocon et l’équipe du constructeur français.

L’an dernier, Esteban Ocon était très proche de signer un contrat avec l’équipe Renault pour la saison 2019 aux côtés de Nico Hulkenberg, mais au tout dernier moment, l’Australien Daniel Ricciardo s’est manifesté en annonçant qu’il quitterait Red Bull à la fin de la saison 2018.

Alors qu’un accord verbal a été donné entre Renault et Mercedes pour faire signer Esteban Ocon, l’équipe du constructeur français a fait volte-face et a décidé de signer Daniel Ricciardo à la dernière minute.

La conséquence a été lourde pour Esteban Ocon, qui venait de refuser un contrat chez McLaren en pensant être certain d’aller chez Renault en 2019.

Finalement, le Français a dû se contenter d’une place de pilote de réserve chez Mercedes pour la saison 2019 en attendant une autre opportunité, qui est finalement arrivée avec l’annonce de Renault qui a décidé de se séparer de Nico Hulkenberg pour la saison 2020 et de le remplacer par Esteban Ocon.

Avec du recul, Cyril Abiteboul assume pleinement sa responsabilité dans le fait que Ocon n’a pas pu piloter en 2019 après son volte-face.

« Effectivement, nous avions pris cette décision là [de signer Ricciardo] relativement tard dans le process, je le reconnaît et je l’assume. » a déclaré Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« Tout le monde a été capable de mettre le passé derrière – là où il doit être – et de se poser la question de ce qui était le mieux pour Renault, pour Mercedes et encore une fois pour Esteban. »

« Nous sommes très contents de retravailler avec Esteban pour les deux prochaines saisons. Par son parcours, Esteban connait la valeur et la difficulté de la F1, l’exigence de tous les instants et la volonté sans faille qui sont nécessaires pour avoir une chance de succès. »

« Au-delà de son talent, sa mission sera de nous faire profiter de son énergie et de son envie naturelles exacerbées par une année sans course. »

« Il a montré ces dernières années sa capacité à marquer des points, un très grand professionnalisme sur et en dehors de la piste et son expérience récente en tant que pilote de réserve de la meilleure équipe actuelle sera un atout précieux pour faire progresser l’équipe toute entière. »

Esteban Ocon rejoindra l’équipe Renault après le Grand Prix d’Abou Dhabi au mois de décembre. Le pilote français devrait prendre part aux tests Pirelli au volant d’une Renault RS19.

Helmut Marko regrette d’avoir laissé partir Hamilton chez Mercedes en 2013

Helmut Marko a déclaré qu’il regrettait d’avoir aidé Mercedes en laissant Lewis Hamilton signer avec le constructeur allemand en 2013.

Avec du recul, Helmut Marko admet qu’il aurait peut-être dû ne pas intervenir dans les négociations entre Mercedes, McLaren et Lewis Hamilton, ce qui aurait peut-être permis à Red Bull d’être devant Mercedes aujourd’hui.

Mais à l’époque (2012), Red Bull se battait directement contre l’écurie McLaren-Mercedes, et le départ de Lewis Hamilton aurait peut-être signifié que Red Bull aurait pu prendre l’avantage sur l’écurie britannique.

Mais c’était sans compter sur le fait que Mercedes se préparait en coulisses pour l’introduction des moteurs hybrides à partir de la saison 2014, et il s’en est suivi une nette domination de cinq années consécutives pour l’équipe du constructeur allemand.

« Lewis n’était plus heureux avec son équipe McLaren et nous n’avions pas de baquet disponible chez nous. » explique Helmut Marko, le conseiller motorsport de Red Bull.

« J’ai donc pensé que ce serait mieux qu’il aille chez Mercedes, et nous avons donc bien aidé Niki [Lauda], qui voulait vraiment que Lewis rejoigne Mercedes. »

« Maintenant, avec du recul, je pense qu’il aurait été meilleur qu’il reste chez McLaren, mais à l’époque, McLaren était notre principal concurrent. Certaines erreurs tactiques ont parfois de lourdes conséquences. »

Le pilote Ferrari Charles Leclerc reçu par S.A.S le Prince Albert II à Monaco

Après ses deux victoires consécutives, le pilote Ferrari Charles Leclerc a été reçu par le prince Albert II de Monaco ce mercredi matin en Principauté.

A la suite des deux victoires consécutives du petit prince rouge de la F1 à Spa-Francorchamps et Monza, S.A.S. le Prince Albert II a rencontré ce mercredi matin Charles Leclerc, qui était accompagné par sa famille pour l’occasion.

« Entendre l’hymne monégasque est une vraie source d’émotion pour tout le monde ». a déclaré le Souverain après la dernière victoire de Charles Leclerc à Monza dimanche dernier.

Le pilote Ferrari Charles Leclerc est le quatrième pilote monégasque à être engagé en Formule 1, après Louis Chiron (1950 à 1955), André Testut ( 1958 à 1959) et Olivier Beretta (1994), ce dernier ayant pris le départ de neuf Grands Prix pour l’équipe Larousse.

Au championnat du monde 2019, Charles Leclerc occupe actuellement la quatrième position et se trouve désormais à seulement trois points du pilote Red Bull Max Verstappen.

Le pilote Williams George Russell se félicite de sa quatorzième place au Grand Prix d’Italie

George Russell, qui a terminé quatorzième au Grand Prix d’Italie, considère ce résultat comme étant positif pour l’équipe Williams.

Le jeune pilote britannique a terminé le Grand Prix d’Italie à un peu plus d’une seconde derrière la Ferrari de Sebastian Vettel et, bien qu’il n’ai pas été en mesure de marquer de points à Monza, Russell estime quel la 14e position à l’arrivée est un bon résultat pour son équipe sur « l’un des trois pires tracés de l’année pour Williams ».

« Nous avons clairement montré un bon rythme [en Italie], c’est juste un peu dommage qu’avec notre vitesse en ligne droite, on s’est fait assassiner dès le début de la course. » a déclaré George Russell.

« Mais dès que j’étais dans de l’air propre, le rythme était relativement bon. Nous n’avons terminé qu’à environ 35 secondes de la P10, ce qui pour nous, à ce stade, est plutôt une bonne chose. »

« Nous avons certainement des points positifs à retenir, cela montre que nous avons fait du bon travail avec les réglages, avec les pneus et avec tout le reste. Je pense que nous pouvons être assez satisfaits du résultat. »

Le coéquipier de George Russell, Robert Kubica, a quant à lui terminé le Grand Prix d’Italie à la dernière position avec deux tours de retard sur le reste de la grille [le seul à accuser deux tours de retard].

Jacques Villeneuve n’aime pas le drapeau noir et blanc : « ça donne un joker aux pilotes »

Jacques Villeneuve n’est pas un grand fan du drapeau noir et blanc que la FIA a décidé de ressortir du placard depuis deux Grands Prix.

Cela faisait quelques années que nous n’avions plus vu un drapeau noir et blanc [avertissement] agité à un pilote de F1, mais depuis le Grand Prix de Belgique, le directeur de course de la FIA semble avoir ressorti ce drapeau du placard.

A Spa, c’est le pilote Toro Rosso Pierre Gasly qui a eu le droit à un drapeau noir et blanc pour conduite jugée dangereuse, tandis qu’au Grand Prix d’Italie dimanche dernier, c’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’est vu recevoir un drapeau noir et blanc.

Le Monégasque a fait preuve d’une défense « musclée » lorsque Lewis Hamilton a porté une attaque au freinage de la seconde chicane sur le circuit de Monza. Leclerc a alors tassé la Mercedes du Britannique sur le vibreur, l’obligeant à mettre deux roues dans l’herbe et à court-circuiter la chicane.

Pour Jacques Villeneuve, ce drapeau noir et blanc est un vrai problème puisqu’il permet aux pilotes de commettre une première action « dangereuse » avant de recevoir une pénalité pour la seconde.

« Le problème que j’ai avec ce drapeau noir et blanc, c’est que ça donne un joker aux pilotes. » a déclaré Jacques Villeneuve.

« Les pilotes peuvent se dire ‘j’ai le droit de faire une erreur, j’ai le droit me comporter mal une fois’ « . Pour moi, ça méritait une pénalité [dans le cas de Leclerc à Monza]. L’autre pilote [Hamilton] était en pleine zone de freinage. »

Finalement, Charles Leclerc n’a plus commis d’erreur en course dimanche dernier et a pu rester leader jusqu’au drapeau à damier. Le pilote Ferrari a décroché sa seconde victoire de l’année, et accessoirement la seconde de sa carrière.

Daniel Ricciardo sur Ocon : « Il est jeune affamé, et sans doute meilleur que moi dans certains domaines »

Daniel Ricciardo estime que le Français Esteban Ocon pourra lui être d’une grande aide la saison prochaine chez Renault.

Daniel Ricciardo va devoir cohabiter chez Renault avec un nouveau coéquipier en 2020, en la personne d’Esteban Ocon, qui a signé un contrat de deux saisons et une option d’un an avec l’équipe du constructeur français.

Le pilote australien Daniel Ricciardo, qui termine à peine sa première saison avec Renault, pense en toute franchise qu’Esteban Ocon est meilleur que lui dans certains domaines, et s’attend donc à apprendre du Français dès 2020 pour s’améliorer.

« Je pense qu’il est jeune et affamé, surtout après une année sans rouler. » confie Daniel Ricciardo à propos d’Esteban Ocon.

« L’an prochain, il sera déterminé et il voudra rattraper le temps perdu. Esteban est sans doute meilleur que moi dans certains domaines, et je pense que je vais pourvoir apprendre de lui. Ce sera l’occasion pour moi de m’améliorer, »

En 2020, Esteban Ocon sera le huitième pilote tricolore à rouler en course pour l’écurie Renault, Le Français sera mis à disposition de Renault à la fin de cette année, juste après le Grand Prix d’Abou Dhabi en décembre.

Esteban Ocon devrait d’ailleurs pour voir prendre le volant de la RS19 lors des tests Pirelli prévus sur le tracé de Yas Marina après la dernière course de la saison 2019.

1994 : Renault dévoile un Espace F1 délirant

En octobre 1994, Renault dévoile dans le cadre du salon de l’auto l’Espace F1, une Formule 1 déguisée en monospace, et qui ne servira que d’outil promotionnel pour le constructeur français.

Pour la troisième année consécutive, Williams-Renault remporte la championnat du monde de Formule 1 en 1994, alors que pour le moteur V10 de Renault, il s’agira du sixième sacre.

Pour fêter comme il se doit un troisième titre, Renault, en association avec Matra, décide de présenter un Renault Espace hors du commun lors du salon de l’auto en octobre de la même année.

Utilisée comme Safety Car sur certains circuits, mais plus fréquemment comme un véritable outil de communication pour la marque au losange, cet Espace F1 a pu être piloté par quelques privilégiés seulement, comme Alain Prost ou Eric Bernard.

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Un moteur V10 en position centrale arrière !

Oubliez les rangées de sièges du Renault Espace à l’arrière, qui ont été remplacées par deux baquets, pour faire place au moteur V10 Renault, à la boîte de vitesses et au train arrière de la Williams F1 FW14.

Le train avant quant à lui est spécifique à l’Espace F1, alors que la structure du châssis a été largement rigidifiée pour l’occasion et alors que l’ensemble complet a été construit en matériaux composites. Le freinage de l’Espace F1 est assuré par quatre disques ventilés en carbone.

Une V max de plus de 300 km/h

Renault annonçait à l’époque une vitesse maximale de plus de 300 km/h avec l’Espace F1, alors que le 0 à 200 km/h était abattu en seulement 6,9 secondes. Il fallait seulement 80 mètres à l’Espace F1 pour passer de 300 km/h à 70 km/h.

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Seulement deux exemplaires produits

Renault n’a produit que deux exemplaires de l’Espace F1. Le premier est conservé au musée Matra à Romorantin et le second figure dans la collection Renault à Flins.

Dans le cas du premier exemplaire, celui-ci a servi aux exhibitions sur piste, tandis que le second exemplaire a servi de modèle statique pour les salons. Les jantes ont un dessin différent sur ces deux modèles, alors que les prises d’air sont aussi plus grandes sur le modèle prévu pour la piste.

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Le Renault Espace F1 en vidéo au Castellet

Jacques Villeneuve pense que Leclerc n’a pas été pénalisé à Monza parce qu’il est un pilote Ferrari

Jacques Villeneuve estime que les commissaires de course du Grand Prix d’Italie se sont montrés cléments avec Charles Leclerc au Grand Prix d’Italie.

Au Grand Prix d’Italie, Charles Leclerc a reçu un simple avertissement à la suite d’un incident avec Lewis Hamilton en piste.

Le quintuple champion du monde a porté une attaque sur le pilote Ferrari au freinage de la seconde chicane à Monza, mais le Monégasque s’est défendu de façon musclée en tassant la Mercedes du Britannique sur le vibreur, obligeant Hamilton à mettre les deux roues dans l’herbe.

Pour ce geste, Jacques Villeneuve ne comprend pas pourquoi Charles Leclerc n’a reçu qu’un simple avertissement et estime que le fait de rouler pour Ferrari en Italie a certainement joué un rôle dans la décision des commissaires.

« C’est difficile, parce que à chaque fois que vous dites la vérité, tout le monde dit : « Oh, tu es un idiot ! Pourquoi tu dis une telle chose ? » ; a déclaré Jacques Villeneuve cité par Motorsport-Magazin.

« Je pense qu’il fallait le juger de la même façon que tout autre pilote. Cette fois-ci il a fait une Magnussen. »

« Il a coupé la chicane et il était plus en avance en sortant que quand il est rentré. Pourtant, aucune enquête n’a été ouverte. »

« Ensuite lorsqu’il a débuté son action à la seconde chicane – qui est l’endroit le plus dangereux – je pense que s’il avait été sur une piste différente et s’il avait été un pilote différent, ils auraient normalement donné une pénalité. »

Toutefois, Jacques Villeneuve retient également le côté positif dans la performance de Charles Leclerc, après que le pilote Ferrari ait remporté sa seconde victoire consécutive en une semaine.

« C’est génial, parce qu’il est très fort, il a super bien piloté. Il ne faut pas oublier qu’il n’a que 21 ans et il a réussi à garder le contrôle sur ses pneus jusqu’à la fin. Il a fait une excellente course. »

Après le Mugello, le circuit d’Imola va se porter candidat pour accueillir la F1

Le circuit d’Imola en Italie va se porter officiellement candidat pour accueillir une manche du championnat du monde de Formule 1 à partir de 2025.

Nous vous rapportions ce mardi que le circuit du Mugello, situé en Toscane, souhaitait présenter sa candidature pour accueillir la Formule 1 à partir de la saison 2025, et c’est désormais au circuit d’Imola de se manifester.

Le tracé italien a annoncé la mise en place d’une étude visant à améliorer ses structures déjà présentes sur le circuit, notamment les hospitalités, les stands et avec la création d’un Paddock Club.

Cette étude a été confiée à la société Dromo, qui est déjà en charge des travaux sur la piste de Silverstone en Angleterre ou encore du circuit de Zandvoort aux Pays-Bas et qui accueillera la Formule 1 au mois de mai 2020 après plusieurs décennies d’absence.

« L’excellent travail accompli par le président de l’ACI, Angelo Sticchi Damiani, pour maintenir la Formule 1 en Italie pourrait rouvrir la possibilité, même sur notre circuit historique, de voir les bolides rouges [Ferrari] et le retour de tout le cirque. » peut-on lire dans un communiqué de presse du circuit d’Imola.

« Pour parvenir à un tel résultat, il est essentiel de bénéficier du soutien total des institutions régionales et métropolitaines, comme c’est le cas pour Monza et le Mugello. »

Antonio Giovinazzi : « Je ne veux pas trop penser à l’année prochaine »

Antonio Giovinazzi ne veut pas trop penser à la saison 2020 et préfère se concentrer sur son travail actuel avec son équipe.

Pour sa première saison complète en tant que titulaire dans une équipe de Formule 1, le pilote Alfa Romeo n’a pas brillé par ses performances cette année et n’a marqué que trois points après quatorze courses.

Avec 31 points inscrits depuis le début de la saison, son coéquipier Kimi Raikkonen a marqué dix fois plus de points que l’Italien, ce qui place Giovinazzi dans une situation très inconfortable en pleine période des transferts.

Lors de la dernière course en Italie, Antonio Giovinazzi a réussi à marquer deux points en terminant neuvième pour sa course à domicile, ce qui est un bon résultat après une grosse erreur de sa part commise en Belgique dans le dernier tour de course et qui l’a privé de points.

Interrogé pour savoir s’il pensait pourvoir conserver son baquet l’an prochain, Antonio Giovinazzi déclare qu’il ne veut pas encore penser à 2020 et reste concentré sur la saison actuelle et sur la prochaine course à Singapour.

« Je ne veux pas trop penser à l’année prochaine, mais je pense que si je continue comme ça, personne ne me prendra ma place. » a déclaré le pilote Alfa Romeo après le Grand Prix d’Italie.

« Singapour aura une configuration complétement différente [par rapport à Monza], nous verrons comment la voiture se comportera là-bas. Mais je reste tout de même confiant quant à signer un bon résultat. »

Deux pilotes sont sur la liste des potentiels candidats qui pourraient venir remplacer Giovinazzi en 2020 chez Alfa Romeo : Nico Hulkenberg et Romain Grosjean.

Ross Brawn n’a pas pu s’empêcher de penser à Michael Schumacher en voyant la lutte Leclerc/Hamilton

Ross Brawn, le manager sportif de la F1 et ancien directeur technique de Ferrari, a déclaré que les deux victoires consécutives de Charles Leclerc lui rappellent l’époque Michael Schumacher.

Leclerc a remporté la première victoire de sa carrière en Formule 1 au Grand Prix de Belgique il y a deux semaines et a poursuivi sur cette lancée après une défense « musclée » visant à contenir les deux Mercedes de Lewis Hamilton et Valtteri Bottas en Italie dimanche dernier.

En remportant une victoire à domicile pour Ferrari à Monza, Charles Leclerc a offert à l’équipe sa première victoire au Grand Prix d’Italie depuis 2010, ce qui n’est pas sans rappeler à Ross Brawn  une performance similaire d’un certain Michael Schumacher.

« Il est clair que lorsque Ferrari gagne à Monza, la fête commence vraiment et c’est ce qui s’est passé dimanche quand Charles Leclerc a pris le drapeau à damier. » a déclaré Ross Brawn.

« En effet, cela me rappelait la course en 2003, lorsque Michael Schumacher, au volant d’une  F2003, et Juan Pablo Montoya, dans une Williams FW25, se disputaient la victoire tout au long de la course. »

« La bataille entre Michael et Juan Pablo au premier tour dans la chicane Roggia était très similaire à celle entre Leclerc et Lewis Hamilton au 23e tour de la course de dimanche. Le pilote Ferrari n’a pas reculé et était à la limite de ce que permettent les règles, comme le sont toujours et doivent être les grands champions. »

« En fait, Leclerc a également été très astucieux dans sa façon de gérer la situation lors de cette séance de qualification vraiment bizarre pour la Q3, samedi. »

« Après sa victoire à Spa le dimanche précédent, Charles a connu un autre week-end incroyable. Ce qui m’impressionne le plus chez lui, c’est la rapidité avec laquelle il apprend de tout ce qu’il fait, s’améliorant constamment, en tant que pilote et en tant qu’homme. »

« Et comme ce fut le cas en Belgique, l’équipe a fait un très bon travail, par exemple en choisissant de proposer à Charles le pneu dur, le plaçant ainsi dans une stratégie différente de celle de Hamilton. »

« Le package global pourrait être légèrement inférieur à celui de Mercedes, mais Ferrari en a profité pour attaquer en qualifications et se défendre bec et ongles dans la course, s’offrant ainsi sa seconde victoire consécutive. »

« Le dernier homme Ferrari à avoir fait cela dans ces deux courses était Michael en 1996. Peut-être que l’histoire commence à se répéter. »

Renault rend un dernier hommage à Anthoine Hubert

Renault a rendu un vibrant hommage à Anthoine Hubert ce mardi, alors que les obsèques du jeune pilote français ont eu lieu en la Cathédrale de Chartres.

Renault a publié un émouvant message pour rendre un dernier hommage à Anthoine Hubert, décédé le 31 août 2019 en Belgique après un terrible accident en Formule 2 sur le circuit de Spa Francorchamps.

L’hommage de Renault à Anthoine Hubert

« Il y a les hommes. Et puis il y a de grands hommes. Indépendamment de l’âge ou de l’expérience, ils font la différence et ce talent éclot parfois tôt. Anthoine était l’un d’entre eux et son sourire spontané, son humilité, sa douce confiance en soi, son sens de l’humour et son inébranlable détermination n’ont jamais manqué de faire ressortir le meilleur des autres. »

« Anthoine a rejoint la Renault Sport Academy en 2018 en qualité de pilote affilié avant d’être promu à membre à part entière cette année. Immédiatement, sa grâce, son enthousiasme et son éthique de travail impressionnante ont fait forte impression dans ce groupe extrêmement soudé. Bien entendu, il y avait une toute petite rivalité, mais le dévouement et le professionnalisme d’Anthoine suscitaient l’inspiration de tous. »

« Ensemble, ils ont su éviter les écueils classiques des programmes réservés aux jeunes pilotes et Anthoine invitait chacun d’entre eux à être la meilleure version de soi-même au gymnase, en piste, au simulateur ou pendant le dîner. Surtout, il le faisait de manière positive, en travaillant dur et en jouant franc-jeu, toujours avec un œil vers l’avenir. »

« Anthoine est devenu bien plus qu’un membre de l’Academy. C’était un ami, un frère et un mentor. Les liens qui se sont formés au sein de sa promotion entre les séances d’entraînement, les vols, les déjeuners au motor-home et les discussions tardives sur le groupe WhatsApp étaient uniques et durables malgré un environnement extrêmement compétitif. »

« Anthoine possédait un charme inouï, mais son sourire dissimulait une ambition débordante et une éthique de travail impressionnante. Il s’invitait régulièrement à Enstone et Viry pour s’entraîner, travailler avec l’Academy et en apprendre un maximum sur son art. Sa soif d’apprentissage l’amenait à vouloir connaître les personnes avec lesquelles il espérait un jour collaborer plus étroitement encore. Nous attendions nous aussi ces jours avec impatience, mais nous n’aurons jamais l’occasion de les savourer. »

« Sa philosophie l’avait mené loin. Il abordait chaque catégorie avec une approche analytique et intelligente : observer, poser des questions pertinentes, nouer des relations, intégrer et délivrer… Une méthode ayant déjà fait ses preuves et que ne renierait pas son héros, Alain Prost. »

« Anthoine s’était imposé dans chaque championnat auquel il avait participé, mais il avait véritablement franchi un cap en 2018 en remportant deux courses en GP3 pour devenir le dernier homme à être sacré dans la discipline avant qu’elle ne se mute en F3. »

« Anthoine était à la fois enthousiaste et extrêmement motivé à l’idée de passer en F2 en 2019. Malgré la pression liée à l’antichambre de la F1, sa concentration, mais aussi sa capacité à absorber les informations et à travailler avec les ingénieurs lui ont permis de signer de superbes victoires à Monaco et au Paul Ricard. Et le meilleur était encore à venir. »

« Nous rendons aujourd’hui hommage à Anthoine, qui nous a été enlevé bien trop tôt. Toutes nos pensées l’accompagnent, lui et sa famille, en ce jour des plus tristes. »

« Repose en paix cher ami, collègue et frère. Tu nous manqueras terriblement. »