Selon Chase Carey, le moteur hybride de Formule 1 jouera un rôle important dans la réduction des émissions de CO2 dans le monde.

Chase Carey, PDG de la Formule 1, a déclaré que la Formule 1 ferait beaucoup plus dans les mois à venir pour montrer comment elle jouerait un rôle de premier plan dans la résolution du problème des émissions de dioxyde de carbone.

L’Américain a expliqué que le moteur hybride de Formule 1 constituera un élément majeur de la future solution pour réduire les émissions de carbone des véhicules et que la Formule 1 établirait également des plans détaillés dans les mois à venir pour s’attaquer au problème plus général de la durabilité dans le sport.

Le PDG de la F1 explique comment la Formule 1 est le fer de lance de l’innovation technique menant à des solutions durables dans le monde réel.

« Le moteur hybride de Formule 1 est le plus efficace au monde et a un rôle crucial à jouer pour résoudre le problème environnemental mondial. » a déclaré Carey.

« Je pense que la solution à la situation environnementale va être multiple et non pas unique, et même si j’apprécie le fait que l’électricité ait retenu l’attention et qu’elle se situe au bon endroit pour le moment, je pense que l’électricité fera partie de la solution mais présente des problèmes tels que l’élimination de la batterie qui doit encore être traitée. »

« Nous pensons que les technologies de moteurs et de carburants hybrides peuvent jouer un rôle important, de premier plan, dans la résolution du problème des émissions de carbone. Nous pensons qu’il peut y avoir plusieurs solutions et pas une seule. »

« La Formule 1 et son histoire, l’apogée du sport automobile, ont joué un rôle de premier plan dans les voitures de route. Les ordinateurs, la sécurité ou l’aéro sont tous issus de l’innovation de la Formule 1 et les développements sur des voitures de route, comme la technologie hybride, ont bénéficié de la technologie et l’innovation de la F1. »

« Nous allons également progresser dans la résolution des problèmes environnementaux dans le sport, y compris pour nos événements hors piste. C’est une initiative majeure pour nous et nous sommes très enthousiastes à propos de notre capacité à jouer un rôle de leader. »

« C’est ce que la Formule 1 a toujours été: un leader dans les initiatives qui mènent au monde de l’automobile. »

L’équipe Renault a bouclé 94 tours sur le circuit Paul Ricard ce jeudi avec une Renault RS18 équipée des roues 18 pouces de Pirelli.

Le manufacturier unique de la Formule 1 a pu tester avec l’aide de Renault, qui lui a fourni une monoplace 2018 au châssis modifié, ses pneus 18 pouces qui seront introduits en Formule 1 en 2021.

C’est le Russe Sergey Sirotkin qui était au volant de la Renault RS18 aujourd’hui sur le Paul Ricard, le pilote de réserve de Renault et McLaren a pu limer le bitume à 94 reprises.

Esteban Ocon également en piste

Esteban Ocon était également en piste ce jeudi sur le Paul Ricard, mais le Français était au volant d’une monoplace Mercedes chaussée de pneus 13 pouces qui seront introduits en 2020 en Formule 1. Esteban Ocon a pu boucler 106 tours de circuit aujourd’hui.

Une autre journée de tests ce vendredi

Ce vendredi, Pirelli sera à nouveau sur le circuit Paul Ricard pour une seconde journée de tests avec ses gommes 13 pouces 2020, ainsi que les pneus 18 pouces 2021.

Notez que ces essais se déroulent à huis clos et nous sommes donc tributaires des informations fournies par Pirelli.

Les image de la journée

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Le Français Esteban Ocon assure qu’il se sent prêt à affronter son futur coéquipier Daniel Ricciardo chez Renault la saison prochaine.

Esteban Ocon, qui rejoindra Renault à la fin de la saison 2019 en tant que pilote titulaire pour deux saisons, travaillera aux côtés de Daniel Ricciardo, qu’il considère que l’un des meilleurs pilotes de la grille.

On dit souvent que son pire ennemi en Formule 1 reste votre coéquipier et c’est donc en toute logique qu’Esteban Ocon se fixe comme premier objectif de battre Daniel Ricciardo pour sa première année chez Renault.

« Daniel est l’un des pilotes les plus respectés sur la grille, ce sera un grand défi. » admet Esteban Ocon à AMUS.

« Mais ce sera aussi une excellente occasion de me comparer avec lui. En tant que pilote, vous voulez toujours affronter les meilleurs pilotes. J’aurai l’un des meilleurs à mes côtés et cette dynamique ne peut qu’aider l’équipe. Bien-sûr, il sera difficile à battre, mais ce sera en tout cas mon objectif. »

Concernant les objectifs de l’équipe Renault en 2020, Esteban Ocon sait déjà que le constructeur français visera une nouvelle fois la quatrième position au championnat du monde.

« Nous voulons et nous devons nous rapprocher des meilleures équipes. » souligne le Français. « Mais nous devons atteindre la quatrième place en premier. »

« C’est difficile, parce qu’il y a beaucoup de compétiteurs en milieu de peloton. Mais l’objectif est de former une équipe solide pour l’avenir. Nous devons faire un pas avant l’autre. »

La Formule 1 a annoncé ce jeudi un partenariat de cinq ans avec le groupe Memento afin de lancer «F1 Authentics», une nouvelle boutique en ligne proposant des objets officiels de la F1.

F1 Authentics vous permet d’acheter des centaines de produits et d’articles exclusifs avec des prix pour tous les budgets. Chaque article est livré complet avec un certificat d’authenticité.

La boutique en ligne sera mise à jour en permanence et comportera, par exemple, des combinaisons de pilotes signées, des casques, des gants, ou bien encore des pièces utilisées en course par des équipes.

« Notre mission est d’aider les fans du monde entier à se rapprocher du sport, en offrant aux pilotes et aux équipes une place dans leurs maisons et leurs vies. » explique Albert Gomà, responsable des licences et des partenariats numériques à la Formule 1.

Vous pouvez vous rendre directement sur le site F1 Authentics pour commencer à acheter des articles en cliquant sur ce lien, alors qu’une application est également disponible au téléchargement sous IOS et Android.

Le patron de l’équipe Mercedes, Toto Wolff, est bien conscient qu’Esteban Ocon va partir chez Renault l’an prochain avec de précieuses informations.

Occupé au poste de pilote de réserve chez Mercedes depuis un an, Esteban Ocon passe le plus clair de son temps dans le simulateur de l’équipe du constructeur allemand et connaît donc extrêmement bien tous les détails liés à la W10, à son fonctionnement, mais aussi aux process de l’écurie Mercedes.

Lorsque le pilote français rejoindra Renault en 2020, il partira naturellement avec des informations très précieuses dont pourra bénéficier Renault, c’est pourquoi, Toto Wolff souhaite régler au plus vite ce problème en limitant l’accès à certaines informations à Esteban Ocon d’ici la fin de l’année.

A l’heure actuelle, le plus gros problème pour Toto Wolff est de faire en sorte de laisser Esteban Ocon continuer à travailler pour l’équipe Mercedes dans le simulateur.

« Esteban et moi avons déjà discuté il y a une semaine combien de temps il devrait encore rester dans différents rôles. » a expliqué le patron de Mercedes lors d’une conférence de presse organisée à Monza par Renault et Mercedes.

« Je lui ai dit clairement que plus il restait longtemps, plus il emporterait d’informations. Il m’a répondu : « Bien-sûr, je vais emporter toutes ces informations avec moi ». »

« Il est dans notre simulateur et c’est un rôle très important pour nous aider à développer la voiture. Mais pas à pas, Esteban sera écarté des réunions concernant l’avenir [2020], sur des choses qui auront un impact sur la voiture de l’année prochaine ou qui sont considérées comme sensibles du point de vue de l’ingénierie ou de l’innovation. »

« Mais il est avec nous cette saison et fait un travail très précieux dont nous avons besoin pour remporter le championnat. »

Pas de clause pour 2021

Toto Wolff a également rappelé que’Esteban Ocon sera à partir de l’an prochain un pilote 100% Renault et son contrat ne possède aucune clause lui permettant de revenir chez Mercedes en 2021 dans le cas où Lewis Hamitlon ou Valtteri Bottas quittaient l’équipe à la fin 2020.

« Non, il n’y a pas de clause. C’est un pilote Renault à part entière pour les deux prochaines années avec quelques options pour la suite. Il n’y a aucune clause lui permettant de revenir en 2021. »

Vandoorne pourrait remplacer Ocon

Pour la fin de la saison 2019, l’une des hypothèses serait que le Français Esteban Ocon soit remplacé dans son rôle de pilote de réserve par Stoffel Vandoorne, qui appartient lui aussi à Mercedes et qui restera avec la firme à l’étoile l’an prochain en Formule E.

Renault a décidé de placer son pilote de réserve Sergey Sirotkin au volant de la Renault RS18 cette semaine pour les tests Pirelli sur le circuit Paul Ricard.

Cette semaine, l’équipe Renault participe à des tests avec Pirelli sur le circuit Paul Ricard en France, afin de tester les gommes 18 pouces qui seront introduites en F1 en 2021.

Renault est l’une des trois équipes [Mercedes et McLaren font aussi partie du programme] qui se sont portées volontaires auprès de Pirelli pour tester ces gommes 18 pouces cette année dans le cadre du programme d’essais du manufacturier italien.

Pour participer à ces essais, Renault a dû mettre à disposition de Pirelli un châssis 2018 modifié pour pouvoir accueillir les roues de 18 pouces développées par la firme milanaise et qui deviendront la norme dans un peu plus d’un an.

Ces tests auront lieu les 12 et 13 septembre sur le circuit Paul Ricard au Castellet et c’est le pilote de réserve de l’écurie du constructeur français, Sergey Sirotkin, qui sera derrière le volant de la RS18 de saison 2018.

Rappelons que les pneus 18 pouces de Pirelli seront introduits en Formule 2 dès la saison prochaine, alors que les pilotes de F1 devront attendre une année de plus avant de pouvoir utiliser ces pneus taille basse en championnat.

Sergey Sirotkin au volant de la RS18

A new era of @F1 begins. @sirotkin_sergey @RenaultF1Team begin the very first lap of #F1testing @PaulRicardTrack with 18-inch #Fit4F1 #Pirelli #PZero #F1 tyres ?? pic.twitter.com/3JWh6Aq0wZ

— Pirelli Motorsport (@pirellisport) September 12, 2019

Le président de la FIA, Jean Todt, estime que le plus gros problème actuel en Formule 1 reste la domination des grandes équipes par rapport à de plus petites structures.

La FIA, la F1 et les directeurs d’équipes se réunissent ce jeudi à Genève pour un rendez-vous de la plus haute importance afin de finaliser les règles qui seront introduites en catégorie reine en 2021.

De grands changements dans les règles sont attendus afin de redonner un certain engouement à la discipline, après une nette domination de Mercedes au cours des cinq dernières années.

L’un des points les plus importants déjà évoqué est le problème des coûts en Formule 1, qui avantagent certainement les plus grandes équipes, et qui ne permettent pas à de nouveaux constructeurs de s’intéresser à la F1 en raison des efforts financiers colossaux que cela engendrerait.

Interrogé pour savoir quel est, selon lui, le plus gros problème actuellement en catégorie reine du sport automobile, le président de la FIA pense que la réduction des coûts et une meilleure répartition des revenus seront des solutions, parmi d’autres, pour améliorer le sport.

« En fait, quand on analyse un championnat, souvent avec beaucoup de sévérité, on veut changer beaucoup de choses. » explique le président de la FIA, Jean Todt, à F1only.fr.

« C’est le rôle du promoteur de proposer, puis ça passe par toute une gouvernance. Il faut se concentrer sur les changements constructifs. »

« En F1 aujourd’hui, le problème c’est la domination des grandes équipes par rapport aux équipes moyennes, en raison de capacités financières plus importantes. C’est un problème de coût, de distribution des revenus, c’est l’un des sujets sur lesquels on se penche en particulier, avec aussi l’aérodynamique et la difficulté pour les voitures de se suivre. »

« On a pas mal avancé sur le futur règlement 2021, il nous reste deux mois pour finaliser tout cela. Je suis confiant mais je préfère attendre un petit peu pour voir ce sur quoi on va déboucher. Une fois que des décisions auront été prises, j’attendrai avec impatience que ce règlement soit mis en oeuvre. »

Alex Albon estime que son plus grand rival cette année en Formule 1 pourrait être le pilote Ferrari Charles Leclerc.

Alex Albon, qui a rejoint l’équipe Red Bull à la reprise de la saison au Grand Prix de Belgique, n’a pas encore été en mesure de se battre directement avec son nouveau coéquipier Max Verstappen.

Au Grand Prix de Belgique, Albon a écopé de plusieurs pénalités, ce qui l’a fait partir depuis le fond de la grille. Son coéquipier Max Verstappen quant à lui a percuté l’Alfa Romeo de Kimi Raikkonen au premier virage dès le départ de la course et a dû abandonner.

Au Grand Prix d’Italie, c’est Max Verstappen qui a dû prendre le départ de la course depuis le fond de la grille en raison de pénalités, ce qui ne nous a pas permis une nouvelle fois de voir les deux pilotes Red Bull se battre ensemble sur la piste, les deux étant sur une stratégie complétement différente.

Interrogé pour savoir quel pilote pourrait être son plus grand rival jusqu’à la fin de la saison, Alex Albon pense que ce pourrait être Charles Leclerc, qu’il connaît très bien pour avoir couru contre lui dans les catégories inférieures.

« Je ne connais pas encore assez Max, mais j’ai déjà pu constater qu’il était très rapide. » explique Alex Albon.

« Je pense que le meilleur rival serait Charles [Leclerc]. Lorsque nous étions en GP3, il pouvait faire le tour le plus rapide comme celui qu’il a fait à Spa [en qualifications] où il a collé sept dixièmes à son coéquipier. »

« C’est déjà arrivé plusieurs fois, nous nous battions pour la pole et tout à coup il est arrivé avec le meilleur temps et tout le monde se demandait comment il avait fait. »

Au championnat du monde, Alex Albon occupe la neuvième position du classement avec 34 points inscrits depuis le début de l’année.

Jean Alesi pense que la principale différence entre Charles Leclerc et Max Verstappen est le fait que le pilote Ferrari arrive à faire preuve d’autocritique, contrairement au pilote Red Bull.

Interrogé par la Gazzetta pour savoir ce qu’il pensait de la personnalité des deux jeunes pilotes les plus en vue du paddock, l’ancien pilote Ferrari, Jean Alesi, estime que Charles Leclerc et Max Verstappen ont tous les deux une approche bien différente.

« Il est vrai que les deux ont un caractère très différent. » explique Jean Alesi. « C’est peut-être parce qu’ils ont évolué dans des environnements différents. »

« Charles de son côté entre toujours dans les discussions et fait preuve d’autocritique. Regardez ses erreurs commises à Bakou ou Hockenheim, il y pense, il les analyse et il les corrige. »

Concernant Max Verstappen, le Français est un peu plus critique, insinuant que le pilote Red Bull assume peut-être un peu moins ses erreurs que Charles Leclerc.

« Il blâme toujours les autres et ses problèmes sont toujours en relation avec les autres pilotes. Cela rend peut-être plus difficile la croissance en tant que pilote. »

Au championnat du monde des pilotes 2019, Charles Leclerc est désormais quatrième à seulement trois points de Max Verstappen.

Helmut Marko a déclaré qu’il regrettait d’avoir aidé Mercedes en laissant Lewis Hamilton signer avec le constructeur allemand en 2013.

Avec du recul, Helmut Marko admet qu’il aurait peut-être dû ne pas intervenir dans les négociations entre Mercedes, McLaren et Lewis Hamilton, ce qui aurait peut-être permis à Red Bull d’être devant Mercedes aujourd’hui.

Mais à l’époque (2012), Red Bull se battait directement contre l’écurie McLaren-Mercedes, et le départ de Lewis Hamilton aurait peut-être signifié que Red Bull aurait pu prendre l’avantage sur l’écurie britannique.

Mais c’était sans compter sur le fait que Mercedes se préparait en coulisses pour l’introduction des moteurs hybrides à partir de la saison 2014, et il s’en est suivi une nette domination de cinq années consécutives pour l’équipe du constructeur allemand.

« Lewis n’était plus heureux avec son équipe McLaren et nous n’avions pas de baquet disponible chez nous. » explique Helmut Marko, le conseiller motorsport de Red Bull.

« J’ai donc pensé que ce serait mieux qu’il aille chez Mercedes, et nous avons donc bien aidé Niki [Lauda], qui voulait vraiment que Lewis rejoigne Mercedes. »

« Maintenant, avec du recul, je pense qu’il aurait été meilleur qu’il reste chez McLaren, mais à l’époque, McLaren était notre principal concurrent. Certaines erreurs tactiques ont parfois de lourdes conséquences. »

Après ses deux victoires consécutives, le pilote Ferrari Charles Leclerc a été reçu par le prince Albert II de Monaco ce mercredi matin en Principauté.

A la suite des deux victoires consécutives du petit prince rouge de la F1 à Spa-Francorchamps et Monza, S.A.S. le Prince Albert II a rencontré ce mercredi matin Charles Leclerc, qui était accompagné par sa famille pour l’occasion.

« Entendre l’hymne monégasque est une vraie source d’émotion pour tout le monde ». a déclaré le Souverain après la dernière victoire de Charles Leclerc à Monza dimanche dernier.

Le pilote Ferrari Charles Leclerc est le quatrième pilote monégasque à être engagé en Formule 1, après Louis Chiron (1950 à 1955), André Testut ( 1958 à 1959) et Olivier Beretta (1994), ce dernier ayant pris le départ de neuf Grands Prix pour l’équipe Larousse.

Au championnat du monde 2019, Charles Leclerc occupe actuellement la quatrième position et se trouve désormais à seulement trois points du pilote Red Bull Max Verstappen.

Jacques Villeneuve n’est pas un grand fan du drapeau noir et blanc que la FIA a décidé de ressortir du placard depuis deux Grands Prix.

Cela faisait quelques années que nous n’avions plus vu un drapeau noir et blanc [avertissement] agité à un pilote de F1, mais depuis le Grand Prix de Belgique, le directeur de course de la FIA semble avoir ressorti ce drapeau du placard.

A Spa, c’est le pilote Toro Rosso Pierre Gasly qui a eu le droit à un drapeau noir et blanc pour conduite jugée dangereuse, tandis qu’au Grand Prix d’Italie dimanche dernier, c’est le pilote Ferrari Charles Leclerc qui s’est vu recevoir un drapeau noir et blanc.

Le Monégasque a fait preuve d’une défense « musclée » lorsque Lewis Hamilton a porté une attaque au freinage de la seconde chicane sur le circuit de Monza. Leclerc a alors tassé la Mercedes du Britannique sur le vibreur, l’obligeant à mettre deux roues dans l’herbe et à court-circuiter la chicane.

Pour Jacques Villeneuve, ce drapeau noir et blanc est un vrai problème puisqu’il permet aux pilotes de commettre une première action « dangereuse » avant de recevoir une pénalité pour la seconde.

« Le problème que j’ai avec ce drapeau noir et blanc, c’est que ça donne un joker aux pilotes. » a déclaré Jacques Villeneuve.

« Les pilotes peuvent se dire ‘j’ai le droit de faire une erreur, j’ai le droit me comporter mal une fois’ « . Pour moi, ça méritait une pénalité [dans le cas de Leclerc à Monza]. L’autre pilote [Hamilton] était en pleine zone de freinage. »

Finalement, Charles Leclerc n’a plus commis d’erreur en course dimanche dernier et a pu rester leader jusqu’au drapeau à damier. Le pilote Ferrari a décroché sa seconde victoire de l’année, et accessoirement la seconde de sa carrière.