Daniil Kvyat admet que ses chances de rester chez AlphaTauri sont « très minces »

Le Russe Daniil Kvyat semble en grand partie résigné à perdre son baquet chez AlphaTauri en 2021, après avoir déclaré ce jeudi à Bahreïn que ses espoirs de rester au sein de l’équipe diminuent.

Avec seulement trois courses restantes avant la fin de la saison 2020, l’avenir du Russe n’a toujours pas été décidé par Red Bull, tandis que le pilote japonais Yuki Tsunoda semble être un très sérieux candidat pour prendre sa place l’an prochain en F1.

Interrogé ce jeudi une nouvelle fois sur son avenir, Kvyat a admis que cette saison 2020 pourrait finalement être sa dernière chez AlphaTauri.

« Je sais, comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, que mes chances d’être ici l’année prochaine sont très minces. » a déclaré Kvyat à Bahreïn.

« Tout dépendra de scénarios bien particuliers, donc, je vais rester sage et concentrer mon esprit uniquement sur les trois dernières courses et ne pas trop penser à mon avenir. »

« Je vais juste essayer de donner le meilleur de moi-même pour mon équipe lors des prochaines courses et ensuite nous verrons. »

« Que je reste ou non, je dois toujours donner le meilleur de moi-même à chaque course et cela ne change pas pour ces trois dernières courses. »

« Je vais faire de mon mieux, je travaille avec mes ingénieurs, je fais de mon mieux pour piloter et c’est la seule chose que je puisse faire dans ces circonstances. »

Les pilotes pourront tester les pneus 2021 en EL1 ou EL2 à Bahreïn

Les pilotes auront la possibilité de choisir librement s’ils souhaitent utiliser les pneus prototypes de Pirelli pour la saison 2021 lors des EL1 ou des EL2 ce vendredi à Bahreïn.

Ce week-end, tous les pilotes pourront tester les pneus Pirelli de spécification 2021 qui ont été homologués par la FIA après le test qui a eu lieu en EL2 à Portimao au Portugal le mois dernier.

« Suite à un vote modifiant l’article 24.1 du règlement sportif, Pirelli fournira deux trains de pneus en composé C3 2021 au Grand Prix de Bahreïn par voiture. » indique Pirelli ce jeudi à Bahreïn.

« Les deux sets peuvent être utilisés en EL1 ou EL2, à la discrétion des équipes, et pour un run minimum de six tours chronométrés chacun, mais au moins un de ces deux sets doit être utilisé pour six tours chronométrés en EL2, même s’il a été utilisé lors des EL1. »

« La pression des pneus pour le test sera fixée à 21 psi à l’avant (1,5 psi de moins que la spécification 2020 actuelle) et 20,5 psi à l’arrière (0,5 psi de moins que la spécification 2020 actuelle). »

« À Abu Dhabi, un jeu de pneus sera fourni par voiture en composé C4 2021, qui ne doit être utilisé qu’en EL2 et uniquement pour un run minimum de huit tours chronométrés. »

« Ces pneus 2021 seront attribués en plus de l’allocation standard pour les deux courses (deux ensembles de pneus durs, trois ensembles de mediums et huit ensembles de tendres par voiture). »

Russell pas mécontent de ne pas rouler lors des EL1 à Bahreïn

Ce vendredi au Grand Prix de Bahreïn, le Britannique George Russell sera remplacé lors des EL1 par le pilote de réserve de l’équipe, l’Israélien Roy Nissany, au volant de la FW43.

Nissany participera à sa troisième sortie officielle au volant de la Williams cette saison après avoir déjà roulé en EL1 en Espagne et en Italie sur le tracé de Monza.

Interrogé ce jeudi pour savoir s’il ne serait pas pénalisé pour la suite du week-end par son absence lors des premiers essais libres, George Russell affirme qu’il pourrait en fait y avoir un certain avantage à ne pas rouler lors de la seule séance du week-end disputée de jour.

« Il y a souvent du sable sur la piste lors des EL1 et c’est en plein milieu de la journée, alors que les qualifications et la course auront lieu de nuit. » a expliqué Russell ce jeudi à Bahreïn.

« Il y a sans doute certains avantages à rater les EL1 dans des conditions comme celles-ci. Je serai donc impatient de rester sur la touche et de me mettre en forme pour les essais libres 2. »

« Je pense que les EL2 sont vraiment les seuls essais appropriés, donc l’accent sera mis sur cette session et s’il y a des problèmes c’est à ce moment-là que vous pouvez les régler. »

« C’est ce qui rend les courses à Bahreïn et Abou Dhabi si uniques. Même si nous avons trois sessions à disputer, je pense que c’est la seule qui compte vraiment. »

Perez toujours dans l’attente d’une réponse de la part de Red Bull

Le Mexicain Sergio Perez a une nouvelle fois évoqué la possibilité pour lui de prendre une année sabbatique l’an prochain si jamais il n’obtient pas une réponse positive de la part de l’équipe Red Bull Racing.

Red Bull n’a toujours pas confirmé son deuxième pilote pour la saison prochaine [Verstappen a déjà été confirmé jusqu’en 2023] et Sergio Perez – qui sera libre à la fin de la saison 2020 – semble être un candidat sérieux pour remplacer l’actuel pilote Alexander Albon.

Mais l’équipe de Milton Keynes ne semble pas pressée de prendre sa décision et a laissé à Albon jusqu’à la fin de la saison 2020 pour prouver qu’il mérite toujours son baquet aux cotés de Max Verstappen l’an prochain.

Perez pour sa part a déjà déclaré en Turquie il y a quinze jours qu’il n’écartait pas l’idée de passer une année sabbatique en 2021 et a de nouveau évoqué cette hypothèse ce jeudi à Bahreïn.

« Je n’ai pas de nouvelles concernant mon avenir. Il n’y a qu’une seule option, mais ce n’est pas entre mes mains. » a répété Sergio Perez ce jeudi en conférence de presse du Grand Prix de Bahreïn.

« Si le plan A [Red Bull] ne se concrétise pas, j’aurai une année sabbatique et nous verrons alors si je serai intéressé pour revenir. »

« Je pense que s’il n’y a pas un bon projet qui peut me garder motivé à 100%, je préfère ne pas le prendre. »

« Si je ne pilote pas en Formule 1 l’année prochaine, je ne me vois pas piloter ailleurs dans une autre catégorie. J’ai des options en dehors de la F1, mais c’est un peu tôt pour prendre des décisions de toute façon. »

A trois courses de la fin de saison, Sergio Perez occupe actuellement la quatrième position au classement des pilotes.

L’équipe Haas a bien failli disparaître avec la crise économique

Avec une grande franchise, le directeur de l’équipe Haas, Guenther Steiner, a confirmé que l’écurie américaine a bien failli disparaître cette année avec la crise économique liée à la pandémie.

Déjà fragilisée financièrement après des résultats médiocres l’an dernier, la petite écurie Haas n’a pas été épargnée par la crise économique cette année du fait de l’annulation – ou du tout moins du report – du début de la saison 2020.

Lorsqu’on lui demande s’il peut dresser un bilan de cette saison 2020 si atypique, Steiner s’est voulu très franc face aux médias lors du traditionnel point presse de l’équipe d’avant Grand Prix.

« Nous avons réussi à survivre, c’est la seule chose que nous ayons bien faite. » a déclaré le patron de l’équipe Haas ce jeudi à Bahreïn.

« Je pense qu’il y avait de grandes chances que nous ne soyons plus ici, et je pense que tout le monde s’est rassemblé et nous sommes ici pour rester. »

« Nous n’avons peut-être pas été suffisamment bons en piste cette année, mais je pense que nous avons été assez bons pour l’avenir de Haas, ainsi que pour la F1, car même si l’on pense qu’ils n’ont pas besoin de nous, la Formule 1 a besoin d’équipes comme Haas. »

La Formule 1 est sur le point de terminer une saison 2020 composée de 17 manches avec trois dernières courses à disputer au cours des trois prochains week-ends.

Le patron de l’équipe Haas a tenu à son tour à féliciter les officiels de la catégorie reine pour avoir réussi à mettre sur pied une saison presque complète en si peu de temps.

« Après l’Australie, chaque jour apportait son lot de mauvaises nouvelles et c’est incroyable qu’ils aient réussi à faire tout ça.. Nous avons eu une saison très intéressante sur le plan sportif, ce qui était bien, mais nous n’avions pas de spectateurs et donc pas de revenus. »

« Mais au moins, nous avons continué le sport. La F1 a continué et elle n’a pas connu une mauvaise année, je ne dirais pas non plus que ce fut une bonne année, mais elle n’était pas mauvaise. Cela aurait pu être bien pire. »

Au championnat du monde 2020, l’équipe Haas occupe l’avant dernière position au classement des constructeurs avec seulement 3 points inscrits depuis le début de l’année.

Limites de piste : le virage 4 sous surveillance à Bahreïn

Il n’y aura que la sortie du virage numéro 4 ce week-end au Grand Prix de Bahreïn qui sera sous étroite surveillance de la part de la FIA concernant le respect des limites de la piste.

Dans une note envoyée aux équipes à la veille du Grand Prix de Bahreïn ce jeudi, la FIA rappelle aux équipes que : « le temps au tour réalisé lors d’une séance d’essais ou pendant la course en quittant la piste à la sortie du virage 4 sera invalidé par les commissaires de course. »

« Un pilote sera jugé avoir franchi les limites de la piste si aucune partie de la voiture ne reste en contact avec la piste. »

« A chaque fois qu’un pilote ne parvient pas à négocier la sortie du virage 4 en utilisant la piste, les équipes seront informées via le système de messagerie officiel. »

« En course, à la troisième occasion où un pilote n’arrivera pas à négocier la sortie du virage 4 en empruntant la piste recevra un drapeau noir et blanc, tandis que toute autre coupure sera alors signalée aux commissaires. »

Hamilton continuera à afficher ses messages politiques en F1

Lewis Hamilton est revenu un peu plus en détail sur les propos qu’il a tenu à la veille du Grand Prix du Portugal au sujet de l’ancien pilote de F1 Vitaly Petrov.

A Portimao, la FIA a pris la décision de nommer le Russe Vitaly Petrov comme commissaire sportif au Grand Prix du Portugal ce qui a étonné le septuple champion du monde après que Petrov ait critiqué ouvertement dans les médias le choix d’Hamilton de poser un genou à terre avant les Grands Prix de F1 pour montrer son soutien à la lutte contre le racisme.

Lorsqu’on lui demande s’il pense que la FIA a commis une erreur en décidant de nommer Petrov commissaire malgré les propos tenus par le Russe, Hamilton a répondu : « Je ne sais pas si on peut appeler cela une erreur, mais je pense que la FIA est une grande organisation et ce sont des leaders, vous exposez vos valeurs et ce pour quoi vous vous battez, et pourtant, vous embauchez des gens qui ne portent pas ces valeurs… » explique Hamilton lors d’un entretien accordé à GQ.

« Personnellement, je ne comprends pas ça. Je ne le connais pas très bien [Petrov] et je ne pourrais pas dire s’il est bon ou pas – je pense que ses résultats parlent d’eux-mêmes dans sa carrière – mais je pensais juste qu’il s’agissait d’un pas dans la mauvaise direction et même un recul. »

Pour la petite anecdote, Vitaly Petrov devra finalement quitter le Portugal prématurément suite au décès de son père.

Autre point abordé lors de cette longue interview, après le Grand Prix de Toscane où Hamilton portait un T-Shirt avec un message de soutien à Breonna Taylor [lire ici], les règles de la Formule 1 ont été modifiées pour interdire aux pilotes de porter des messages politiques sur le podium ou avant la course lors de l’hymne national du pays organisateur.

Mais le pilote Mercedes indique qu’il n’hésitera pas à l’avenir à porter un autre T-Shirt pour continuer de sensibiliser les gens à différentes causes.

« Si j’estime que c’est important, je le ferai. Je vais le refaire. » assure le septuple champion du monde.

« Au début du week-end [en Toscane], le cas Breonna Taylor était vraiment dans mon esprit et j’étais à la recherche d’un T-Shirt depuis des semaines. Chaque week-end, nous avons les projecteurs braqués sur nous et chaque week-end il y a une opportunité de sensibiliser. »

« Nous ne vivons pas à une époque où tout va bien et je me souviens que pendant la journée je me suis dit : ‘je dois gagner cette course, je ne peux pas finir deuxième et porter ce T-Shirt’. »

« Alors je me souviens avoir poussé pour décrocher la première place et lorsque j’ai remporté la victoire je me suis dit : ‘c’est pour toi Breonna’ et j’ai mis ce T-Shirt. »

« Personne au cours des 70 ans de notre sport ne s’est levé pour autre chose que pour lui-même et moi je me tenais là pour quelqu’un d’autre, c’était l’un de mes plus grands sentiments. »

Covid-19 : un cas positif chez Red Bull Racing

La Formule 1 a confirmé ce jeudi que le directeur sportif de l’équipe Red Bull Racing, Jonathan Wheatley [à droite sur la photo], a été testé positif au Covid-19 à la veille du Grand Prix de Bahreïn.

Comme le stipule le protocole, le directeur sportif de l’équipe Red Bull devra s’isoler durant dix jours et ne pourra donc pas participer au Grand Prix de Bahreïn ce week-end avec ses collaborateurs.

« La FIA, la Formule 1 et Aston Martin Red Bull Racing peuvent confirmer que lors des tests PCR obligatoires avant la course pour le Grand Prix de Bahreïn, le directeur sportif Jonathan Wheatley a été testé positif au Covid-19. » annonce la F1 dans un communiqué.

« Conformément aux protocoles Covid-19 et aux directives des autorités de santé publique, il continuera à s’isoler pendant une période de 10 jours et ne participera donc pas au Grand Prix de Bahreïn. »

« Aucun autre membre de l’Aston Martin Red Bull Racing Team n’a été affecté par cette situation. »

Lors de la dernière manche en Turquie, le directeur par intérim de l’équipe Williams, Simon Roberts, a lui aussi été testé positif au Covid-19 et n’a pas pu se rendre à Istanbul.

A la fin du week-end du Grand Prix de Turquie, la F1 a également confirmé que le directeur de Pirelli, Mario Isola, a lui aussi été testé positif. L’Italien n’a pas pu accéder au circuit le dimanche, le jour de la course.

Robert Kubica remplacera Kimi Raikkonen en EL1 à Bahreïn

Comme nous vous l’annoncions il y a quelques jours déjà, Robert Kubica sera aux commandes de l’Alfa Romeo C39 ce vendredi dans le cadre de la première séance d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn.

Le Polonais, qui a déjà participé à trois séances d’essais libres cette année en Styrie, en Hongrie et en Grande-Bretagne, remplacera le Finlandais Kimi Raikkonen lors des EL1 ce vendredi au Grand Prix de Bahreïn.

« Je suis très heureux d’être de retour aux commandes pour la première fois depuis août. » nous explique Robert Kubica.

« Cela peut sembler long, mais ma saison a été très chargée avec mon travail sur simulateur à l’usine et mon programme en DTM, donc j’avais l’impression que ça allait assez vite. »

« Maintenant que ma saison de DTM est terminée, je suis impatient de reprendre mon poste chez Alfa Romeo Racing à plein temps: il reste encore beaucoup à faire et je suis convaincu que mon travail apportera une contribution positive aux efforts de l’équipe. »

Robert Kubica devrait également participer aux EL1 du Grand Prix d’Abou Dhabi lors du dernier week-end de course de l’année en décembre.

Après la frustration d’Istanbul, Stroll veut rebondir à Bahreïn

Auteur d’une brillante pole position au Grand Prix de Turquie dans des conditions dantesques, Lance Stroll a déchanté le dimanche en course au volant d’une monoplace endommagée.

Le pilote Racing Point menait le Grand Prix de Turquie dans les premiers tours de course, mais des dommages sur l’aileron avant de sa monoplace ont causé une usure prématurée de ses pneumatiques l’obligeant à s’arrêter pour chausser des gommes neuves et le faisant ressortir dans le trafic.

Le Canadien s’est alors retrouvé bloqué derrière d’autres monoplaces plus lentes que lui sur une piste encore humide et sur laquelle il était très difficile de doubler.

Lance Stroll terminera finalement le Grand Prix de Turquie à la neuvième place et n’a su qu’après la course que l’aileron avant de sa Racing Point était endommagé.

Connaissant désormais le potentiel de sa monoplace, Lance Stroll espère bien pouvoir rebondir ce week-end au Grand Prix de Bahreïn.

« Evidemment, dans un premier temps j’étais frustré, parce qu’après avoir décroché la pole position, nous avons mené plus de tours que quiconque pendant la course pour au final ne pas monter sur le podium. » nous explique Stroll.

« Mais maintenant que nous avons compris pourquoi les pneumatiques n’ont pas fonctionné comme prévu, je vais pouvoir en tirer les avantages. »

« Mon premier relais – lorsque j’étais leader – a montré ce qui est possible et ce fut une expérience utile pour la prochaine fois que nous nous battrons à l’avant. »

Les deux points marqués par Lance Stroll en Turquie combinés aux 18 points de son coéquipier Sergio Perez ont permis à l’équipe Racing Point de se hisser au troisième rang au classement des constructeurs avec cinq points d’avance sur McLaren et 18 points sur Renault F1.

Laurent Mekies : la fin anormale d’une saison absolument anormale

Le directeur sportif de la Scuderia Ferrari, Laurent Mekies, revient avec nous sur cette saison 2020 si atypique à la veille d’une triplette de courses disputées au Moyen-Orient pour clore définitivement le chapitre 2020.

Cette année, la Scuderia Ferrari a connu l’une de ses pires saisons en Formule 1 et occupe à trois courses de la fin du championnat la sixième place au classement des constructeurs.

Avec les 27 points marqués en Turquie lors de la dernière course, l’équipe italienne reste tout de même dans le match pour la P3 et essaiera de tout donner lors des derniers Grands Prix pour atteindre son objectif comme nous explique dans un premier temps Laurent Mekies.

« Ce sera la fin anormale d’une saison absolument anormale et pour nous, très difficile. » nous explique Laurent Mekies, directeur sportif de la Scuderia Ferrari.

« L’objectif est de prolonger la tendance mise en évidence lors des cinq dernières courses, ce qui nous a permis de gagner du terrain en termes de compétitivité, surtout par rapport à ceux qui sont nos rivaux directs cette année. »

D’un point de vue organisationnel, le fait de disputer trois courses consécutives en dehors de l’Europe rend le travail de préparation bien plus compliqué, notamment en cette période de pandémie durant laquelle la sécurité du personnel est encore plus importante que jamais.

« Il y a tout d’abord la sécurité de l’équipe, un front sur lequel nous ne pouvons ni ne voulons baisser la garde. »

« Nous devons tout mettre en œuvre pour mettre tout le monde dans les meilleures conditions de travail possible, compte tenu du lourd engagement pris jusqu’à présent, avec 14 courses disputées en quatre mois. »

« Je crois que le travail effectué à distance à Maranello pour soutenir les collègues sur la piste sera encore plus fondamental que d’habitude: chaque détail qui peut aider à améliorer les performances sera important, à la fois pour bien terminer ce championnat et pour affiner et rendre plus efficace nos méthodes de travail pour l’année prochaine. »

« On ne peut nier que c’était vraiment difficile. La situation créée par la pandémie et le faible niveau de nos performances au départ ont pesé lourdement. »

« De plus, je crois que tout ce que nous avons vécu nous a rendus plus forts: nous n’avons pas perdu la boussole, nous n’avons jamais abandonné avec l’envie de nous améliorer et de réagir. »

« Je veux profiter de cette occasion pour féliciter les hommes et les femmes de l’équipe qui se rendent sur la piste et leurs familles, ces derniers ont été fondamentaux, par leur résilience et l’esprit manifestés dans des situations aussi difficiles. »

« Tout comme je voudrais remercier aussi les fans, qui ne n’ont jamais manqué de par leur soutien, même s’ils n’ont presque jamais pu le faire en direct sur la piste. »

Laurent Mekies révèle également que des mesures particulières – du point de vue nutritionnel notamment – ont été mises en place cette année pour permettre au personnel qui se rend sur les courses de suivre le rythme.

« Oui, nous avons un programme sur mesure pour le personnel qui se rend aux courses, suivi du point de vue de la préparation médicale, nutritionnelle et physique. »

« Si les contraintes imposées par la pandémie ont compliqué les choses, nous n’avons jamais diminué notre engagement dans ce domaine, loin de là. »

« La santé et le bien-être des gens sont essentiels, surtout à la lumière du stress physique et mental croissant auquel nous sommes confrontés. En particulier, nous avons préparé un programme spécifique pour l’équipe afin de l’aider à rester en forme dans ces trois dernières courses. »

Ce week-end au Grand Prix de Bahreïn, Laurent Mekies remplacera une nouvelle fois Mattia Binotto, qui a préféré rester à Maranello pour superviser le travail en cours sur le développement de la prochaine monoplace.

Brawn : Ferrari ne devra pas gâcher l’opportunité en 2022

Lorsqu’on demande à Ross Brawn, ancien directeur technique de la Scuderia Ferrari, à quel moment l’équipe italienne pourra de nouveau venir se battre pour le championnat du monde, le Britannique estime qu’il faudra attendre la saison 2022.

A partir de la saison 2022, la Formule 1 introduira une toute nouvelle réglementation avec des monoplaces largement remaniées, ce qui devrait permettre de niveler les performances entre toutes les équipes de la grille.

Selon Ross Brawn, il s’agira donc du moment opportun pour la Scuderia Ferrari pour revenir aux avant-postes et l’ingénieur britannique sait déjà que Ferrari ne perdra pas de temps sur la monoplace 2021 pour préparer 2022.

« Je pense que 2022 sera une belle opportunité, avec une nouvelle philosophie automobile. » explique le Britannique à la Gazzetta Dello Sport.

« Je ne doute pas qu’ils travailleront dur sur la voiture de l’année prochaine à Maranello, mais leur priorité doit être 2022. Ils ne peuvent pas gâcher une telle opportunité. »

L’année prochaine, les monoplaces et les réglementations n’évolueront que très peu, ce qui veut dire que la hiérarchie actuelle ne devrait pas beaucoup évoluer.

Actuellement, la Scuderia Ferrari occupe la sixième place au championnat des constructeurs avec six points de retard sur Renault F1, dix-neuf points sur McLaren (quatrième) et 24 points sur Racing Point (troisième).

Quatrième au championnat, Perez veut terminer sur une bonne note

Après avoir décroché un podium au Grand Prix de Turquie lors de la dernière course [deuxième], Sergio Perez en redemande et espère bien pouvoir de nouveau monter sur l’estrade ce week-end au Grand Prix de Bahreïn.

Le Mexicain sera également motivé ce week-end par le fait que c’est sur le tracé de Bahreïn qu’il a décroché son premier podium avec l’équipe Force India en 2014 [ancien nom de l’écurie].

« C’était un moment très spécial dans ma carrière et c’est incroyable de penser que cela n’a eu lieu que dans ma troisième course avec l’équipe. » se souvient Perez.

« C’est incroyable de penser que nous avons décroché cinq autres podiums ensemble depuis ce jour. C’est toujours une sensation agréable de revenir sur ce circuit et de se souvenir de 2014. »

Désormais quatrième au championnat des pilotes avec trois points d’avance sur Charles Leclerc et quatre sur le pilote Renault Daniel Ricciardo, le Mexicain Perez fera tout également  pour conserver sa position au classement lors des trois dernières courses de la saison 2020.

« Il y a définitivement une bonne ambiance dans l’équipe en ce moment. Je veux aussi me battre pour la quatrième place au championnat des pilotes et nous avons réussi à occuper cette position après un excellent résultat en Turquie. »

« Cela me donne de la confiance pour Bahreïn et Abou Dhabi. Nous voulons nous battre pour des podiums et avoir la chance de clore cette ère sur un très bon niveau pour l’équipe et moi-même. »

Rappelons que Sergio Perez n’a toujours pas signé le moindre contrat pour la saison prochaine et a déjà dit qu’il pourrait envisager une année sabbatique.

La F1 toujours à la recherche d’un remplaçant pour le GP du Vietnam

Ross Brawn, le manager sportif de la Formule 1, a admis que le remplaçant du Grand Prix du Vietnam en 2021 sera choisi sur des considérations économiques, après une saison 2020 touchée de plein fouet par la crise sanitaire et économique que l’on connaît.

La semaine dernière, la Formule 1 a dévoilé un calendrier 2021 provisoire (qui doit encore être validé par le conseil mondial du sport automobile) qui comporte 23 dates, mais dans lequel ont peut également constater que le Grand Prix du Vietnam initialement programmé le 25 avril a disparu.

Ross Brawn confirme cette semaine dans un entretien accordé à la Gazzetta Dello Sport que le Vietnam ne sera pas visité par la Formule 1 la saison prochaine et que la catégorie reine est toujours à la recherche d’un remplaçant.

« On a vu de bonnes courses à Imola ou au Portugal et en Turquie, tout est ouvert. » répond Brawn lorsqu’on lui demande quel circuit viendra remplacer le Vietnam le 25 avril 2021.

« Nous allons voir comment la question évolue, et évidemment, nous sommes désolés de ne pas pouvoir aller au Vietnam, mais nous trouverons un candidat solide. »

Lorsqu’on lui demande si le remplaçant du Vietnam sera choisi sur des considérations purement économiques, le Britannique répond :  « Oui, il ne fait aucun doute que l’année prochaine nous voulons revenir à une situation normale et donc avec une forte considération d’un point de vue commercial. »

« Certains pays sont mieux placés que d’autres, parce qu’ils pourront faire les meilleures offres commerciales et il faut en tenir compte. »

« Nous devrons revenir à des niveaux financiers normaux le plus rapidement possible. L’aspect commercial aura donc un poids plus important que cette année. »

En 2020, de nombreuses courses se sont disputées à huis clos, ce qui a engendré des pertes économiques énormes pour la F1, les équipes, mais aussi les organisateurs des Grands Prix.

Ross Brawn ne sait pas exactement combien la Formule 1 a perdu d’argent en 2020, mais il est clair qu’après une année 2019 en pleine croissance pour la catégorie reine, la crise sanitaire est venue ébranler la santé financière de la F1.

« Il est juste de dire que la Formule 1 traversait une phase de forte croissance et nous étions très satisfaits de la façon dont les choses se passaient en 2019. Ensuite, nous avons eu cette crise que personne ne pouvait prévoir et qui a réduit considérablement les recettes des équipes et de la F1. »

« En tant qu’organisation, nous avons fait tout ce qui était en notre pouvoir pour que les équipes puissent survivre. »

« Nous n’en avons perdu aucune et c’est ce qui compte. Maintenant, je suis convaincu qu’un bel avenir nous attend. »

Calendrier 2021 provisoire

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Kvyat n’a pas eu l’opportunité de tester l’ovale de Bahreïn dans le simulateur

Contrairement à son coéquipier, Daniil Kvyat n’a pas eu l’opportunité de rouler sur le tracé court de Bahreïn en forme d’ovale sur lequel se disputera le Grand Prix de Sakhir une semaine après le Grand Prix de Bahreïn.

Pour cette épreuve, les pilotes devront boucler pas moins de 87 tours en course le dimanche et la pole position devrait être décrochée le samedi en moins d’une minute selon les premières estimations et en fonction du nombre de zones de DRS que la FIA mettra en place (il devrait y en avoir deux).

Ce tracé empruntera une grande partie du circuit habituel (jusqu’au virage 4), puis le rejoindra au niveau du virage 13, ce qui offrira aux pilotes un circuit très rapide avec seulement quatre virages.

« Je n’ai pas eu l’opportunité d’utiliser le simulateur pour évaluer le nouveau circuit que nous utiliserons pour la deuxième course de Bahreïn, cela signifie que nous devrons improviser un peu et voir ce que nous pouvons tirer de la voiture. » nous explique Daniil Kvyat.

« Ce sera une affaire d’apprentissage rapide. Une différence évidente est que la deuxième course est une course de nuit complète, tandis que la première commence à la lumière du jour, ce qui a un impact sur la température des pneus pendant la course. »

« Ce sera étrange de voir le totem des stands compter à rebours à partir de 87 – ça fait beaucoup de tours! Après, ce n’est pas complètement différent, parce qu’il utilise les trois premiers virages de la piste que nous connaissons, puis la rejoint à nouveau vers la fin. »

« D’après ce que j’ai vu, le nouveau tracé n’a pratiquement pas de vrais virages, ce sera donc un défi à très grande vitesse, quelque chose de différent qui est toujours agréable. »

Les horaires du Grand Prix de Bahreïn 2020

Quinzième manche de la saison 2020 de F1, le Grand Prix de Bahreïn se disputera ce week-end à Manama sur le tracé de Sakhir (du 27 au 29 novembre).

Pas de surprise pour cette saison 2020, puisque c’est toujours le groupe Canal+ qui détient les droits exclusifs de la F1 en France et vous devrez donc être abonné à la chaîne à péage pour pouvoir regarder les Grands Prix tout au long de la saison.

Ce week-end, les trois séances d’essais libres du Grand Prix de Bahreïn [EL1, EL2 et EL3], ainsi que les qualifications seront diffusées en direct sur Canal+ Décalé.

Le Grand Prix de Bahreïn quant à lui sera à suivre en direct le dimanche 29 novembre sur Canal+ et la course sera également à suivre en direct sur F1only.fr.

Les horaires du Grand Prix de Bahreïn (heure de Paris)

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Russell affecté par les rumeurs concernant son avenir en F1

George Russell a admis que les spéculations plus tôt cette année sur la possibilité de perdre son baquet chez Williams ont rendu difficile la concentration sur son travail à accomplir.

Un peu plus tôt cette année, Racing Point a annoncé que Sebastian Vettel rejoindrait l’équipe en 2021 en remplacement du Mexicain Sergio Perez.

Sans baquet pour la saison prochaine, l’avenir de Sergio Perez a été lié à l’équipe Williams d’après une rumeur non fondée qui suggérait que le pilote mexicain allait remplacer George Russell en 2021.

Ces spéculations ont été alimentées lorsque le directeur par intérim de l’équipe Williams, Simon Roberts, a refusé de commenter les rumeurs en conférence de presse du Grand Prix du Portugal fin octobre.

Finalement, Roberts a mis un terme définitif aux rumeurs lors de la course suivante à Imola en confirmant que le duo de pilotes de l’écurie Williams en 2021 serait composé de Nicholas Latifi et George Russell.

Russell pour sa part admet avec un peu de recul désormais que ces rumeurs l’ont affecté et ont rendu sa concentration difficile durant quelques jours.

« C’était troublant. Lorsque vous voyez toutes ces spéculations – et même si je savais que ce n’était que des spéculations – mais il n’y a jamais de fumée sans feu. » a expliqué le Britannique dans le podcast F1 Nation.

« Ce fut un mois fou et mentalement c’était les montagnes russes, mais c’est comme ça en Formule 1. »

« Il n’y a que 20 pilotes dans le monde et ce n’est pas censé être facile, ce n’est pas censé être une course facile et je ne suis qu’au début de ma carrière. »

« Je suppose que vous devez avoir ces hauts et ces bas et j’ai dû repasser tout en revue pendant le Grand Prix du Portugal. Que ce soit vrai ou non, cela a joué un rôle dans mon esprit. »

Malgré toutes ces rumeurs concernant son avenir, George Russell dit que le Grand Prix du Portugal a été l’un de ses meilleurs week-ends en F1 jusqu’à présent (il a terminé quatorzième).

« J’étais concentré sur mon travail et le Grand Prix du Portugal a probablement été le meilleur week-end que je n’ai jamais eu en F1. »

Trois zones de DRS confirmées pour le Grand Prix de Bahreïn

Sans grande surprise, le tracé du Grand Prix de Bahreïn, prochaine manche du championnat du monde de F1, disposera de trois zones de DRS comme lors des éditions précédentes.

La première zone de DRS sera positionnée entre les virages 3 et 4 avec un point de détection situé 50 mètres avant le premier virage et un point d’activation placé 23 mètres après le virage 3.

La seconde zone se situe entre les virages 10 et 11 avec un point de détection placé 10 mètres avant le virage 9 et un point d’activation situé 50 mètres après le virage 10.

Enfin, la troisième zone de DRS sera située dans la ligne droite de départ/arrivée avec un point de détection placé 110 mètres avant le dernier virage du circuit et un point d’activation situé 170 mètres après le virage 15.

Plan du circuit 

Vasseur : Il reste encore tout à jouer pour Alfa Romeo

Huitième du classement des constructeurs avec huit points inscrits depuis le début de l’année, l’équipe Alfa Romeo Racing compte bien conserver sa position d’ici la fin de l’année.

La F1 arrive à Bahreïn cette semaine pour une dernière triplette de courses pour clore la saison 2020 avec le GP de Bahreïn, le GP de Sakhir et le Grand Prix d’Abou Dhabi.

Pour Fred Vasseur, le directeur de l’équipe Alfa Romeo, la lutte au championnat constructeurs pour conserver la huitième place sera intense lors de ces trois dernières épreuves, d’autant que la seconde course à Bahreïn qui se disputera sur un tracé inédit pourrait chambouler les classements.

« La dernière triplette de l’année est arrivée et ce sera un moment crucial car il reste encore tout à jouer. » nous explique Fred Vasseur avant le Grand Prix de Bahreïn.

« Bien-sûr, après une année aussi intense, tout le monde commence à ressentir un peu de fatigue et, avec la saison prochaine qui approche à grand pas, la tentation serait déjà de regarder vers l’avenir et de perdre de vue l’objectif à atteindre. »

« Mais nous ne pouvons pas sous-estimer la tâche qui nous attend lors de ces trois dernières courses. »

« Nous avons montré en Turquie, avec Kimi et Antonio qualifiés dans le top dix, que nous progressons et le fait d’avoir marqué des points lors des courses de la deuxième partie de saison nous donne confiance. »

« Nous devons continuer à bien faire. Bahreïn est une piste qui favorise de bonnes courses, tandis que le second tracé sera un grand saut dans le noir pour toutes les équipes. »

« Nous devons juste être prêts pour tout, y compris une séance de qualifications très désordonnée sur le tracé très court lors de la deuxième semaine, mais je suis convaincu que nous serons prêts à relever le défi. »

Au championnat, Alfa Romeo est huitième avec cinq points d’avance sur Haas et huit points d’avance sur l’équipe Williams, qui n’a toujours pas marqué le moindre point cette année.

GP de Bahreïn : le bulletin météo

Disputé depuis 2004 en début de saison, le Grand Prix de Bahreïn a cette année été déplacé fin novembre pour cause pandémie.

Les conditions météo pour cette région sont souvent simples à prévoir : soleil et chaleur mais pour ce week-end, il y a bien un petit risque de pluie faible pour la journée de samedi!

Situation générale

Situé dans sur la façade Ouest du Golfe Persique, le royaume de Bahreïn bénéficie d’un climat aride et très chaud en été. Les pluies sont rares et se produisent principalement en hiver.

Un anticyclone positionné à l’Est de la mer Caspienne favorise une circulation du Sud-Est au-dessus de la région de Sakhir. Une zone perturbée se développe au nord du Golf Persique et pourrait engendrer de faibles précipitations pour la journée de samedi. Dimanche verra le retour d’un temps ensoleillé grâce au vent sec et chaud venu du sud.

Vendredi 27 novembre – Essais libres 1 et 2

La première journée de roulage se déroulera sous un ciel couvert avec très peu de chance de voir le soleil. Les températures évolueront entre 24°C et 26°C et le vent soufflera de façon modérée entre 10 et 20 km/h du secteur Sud-Est sur le circuit International de Sakhir.  Le risque de précipitation est faible.

Samedi 28 novembre – Essais libres 3 et qualifications

Et oui comme annoncé il y a quelques jours sur le site, la journée de samedi pourrait être perturbée par de faibles précipitations en après-midi ce qui serait une première pour cette course qui est organisée depuis 2004.

Combiné avec le sable (rappelons que le circuit est construit en plein désert), le revêtement pourrait alors devenir extrêmement glissant. Si c’est le cas, il y aura peu de chance de battre le temps de la pôle réalisé par Charles Leclerc en 2019 avec 1:27.866.

Le soleil pourrait tout de même faire de belles apparitions pour la dernière séance d’essais libres et le mercure affichera 25°C.

A noter que la séance des qualifications est prévue à 17h00 heure locale (15h heure de Paris) et se déroulera tout juste après le coucher du soleil. La séance se terminera donc sous les projecteurs et les pilotes devront gérer le changement de température.

Dimanche 29 novembre – La course

Alors que le championnat des pilotes a été remporté il y a deux semaines, à l’occasion du GP du Turquie, la quatrième place du championnat est toujours âprement disputée.

En effet trois pilotes se tiennent à moins de 4 points : Sergio Pérez 100 points, Charles Leclerc 97 points et Daniel Ricciardo avec 96 points. A noter que la troisième place au niveau du championnat des constructeurs est aussi en jeu ce qui va rendre la course intéressante.

Côté météo, les conditions seront bien meilleures que la veille avec un temps chaud et sec. 24°C est attendu lors de l’extinction des feux rouges (15h10 heure de Paris) pour cette course de nuit qui comporte 57 tours.

Le vent du sud soufflera entre 15 et 25 km/h. Dernière statistique intéressante : seulement 40% des courses ont été remportées à Sakhir par le pilote partie en pôle!

Pour nos lecteurs qui souhaitent obtenir les dernières prévisions météo, nous les invitons à consulter le site de notre partenaire météo Celinium qui met à disposition les conditions météo heure par heure durant les week-ends de Grand Prix.