Comment venir au Grand Prix de France F1 2020 ? [+ vidéo]

Le GIP Grand Prix de France a présenté son nouveau plan des mobilités pour l’édition 2020 qui se déroulera du 26 au 28 juin sur le circuit Paul Ricard au Castellet.

Après une première édition en 2018 largement entachée par des problèmes de circulation autour du circuit Paul Ricard, le GIP Grand Prix de France a mis en place un dispositif totalement nouveau en 2019 et qui a parfaitement fonctionné.

Ce plan des mobilités sera donc reconduit pour l’édition 2020 du Grand Prix de France avec l’intégration de nouvelles améliorations :

  • Le réseau de navettes relais gratuites sera étendu aux villes de St-Cyr sur Mer, Le Castellet, Le Beausset tout en augmentant le nombre de places disponibles au départ de La Ciotat
  • Le camping du Grand Prix de France sera agrandi
  • Les voies de circulation, l’aménagement des parkings ainsi que le système d’information mis en place en 2019 seront maintenus et améliorés

En plus de ces améliorations, de nombreuses nouveautés seront intégrées :

  • Des navettes gratuites au départ de 5 villes proches du circuit Paul Ricard avec un arrêt supplémentaire à la gare SNCF de La Ciotat
  • Développement d’une application de covoiturage avec la possibilité d’utiliser une voie prioritaire et un parking réservé
  • Navettes depuis Marseille, Toulon et Aix-en-Provence pendant toute la durée de l’événement
  • Navettes depuis Arles, Avignon, Draguignan, Gap-Tallard, Manosque, Nice, Saint-Raphaël et Salon de Provence le samedi 27 juin et le dimanche 28 juin
  • Navettes depuis les grandes villes telles que Bordeaux, Clermont-Ferrand, Montpellier, Perpignan et Valence (dimanche uniquement)
  • Des navettes internationales au départ de Barcelone, Milan, Turin, Amsterdam et Eindhoven avec une offre spéciale de trois nuits de camping et deux jours de Grand Prix

Le plan des mobilités 2020 expliqué en vidéo

Officiel : Renault et Castrol prolongent pour plusieurs années

Renault Sport Racing a annoncé ce lundi une prolongation de contrat avec Castrol pour au moins cinq années.

Renault Sport Racing et Castrol ont annoncé aujourd’hui un nouveau partenariat qui verra la marque d’huiles, de lubrifiants et de fluides du groupe énergétique international BP soutenir les activités compétition-clients du constructeur français lors des cinq prochaines années.

Castrol et Renault Sport Racing ont formalisé cet accord lié à la compétition-clients lors d’un événement organisé le 27 janvier à l’Atelier Renault sur l’Avenue des Champs-Élysées à Paris.

Portant jusqu’à fin 2024, cette collaboration technique et commerciale de long terme permettra à l’ensemble des activités compétition-clients de Renault Sport Racing d’accéder au savoir-faire unique, aux technologies avant-gardistes et aux lubrifiants hautes performances de Castrol.

Castrol bénéficiera d’une exposition importante dans les catégories dont la promotion est assurée par Renault Sport Racing, à savoir la Clio Cup France, le Clio Trophy France et la Formule Renault Eurocup, mais aussi dans le cadre des Clio Cup Italia, Spain, UK et Central Europe.

Les logos de Castrol seront présents sur les supports de communication des différentes disciplines, les tenues du personnel de Renault Sport Racing ainsi que les voitures et combinaisons des pilotes et équipages engagés en compétition. Enfin, Castrol profitera d’une belle visibilité en piste sur la majorité des meetings de Formule Renault Eurocup.

À plus grande échelle, cet accord s’intègre dans la stratégie globale de Groupe Renault, dont le partenariat avec Castrol a été significativement renforcé depuis la première coopération initiée dans le cadre de la F1 dès 2017.

Fournisseur officiel de lubrifiants du centre technique d’Enstone et de la base des opérations moteur de Viry-Châtillon, Castrol soutient également les activités piste de Renault F1 Team. Castrol est aussi le partenaire mondial du service après-vente pour les huiles moteur de Groupe Renault afin que les clients et concessionnaires Renault bénéficient du meilleur de deux marques repoussant les limites technologiques sur les circuits, les rallyes et la route.

Enfin, les deux entités collaborent sur le développement de solutions avancées de mobilité afin d’explorer les opportunités futures et répondre aux défis d’une industrie en pleine mutation.

Dans le cadre du nouvel accord, Renault Sport Racing et Castrol vont renforcer les liens commerciaux et marketing les unissant afin de rapprocher leurs réseaux respectifs sur les marchés concernés par la compétition-clients en utilisant le sport automobile comme vecteur de communication auprès du public.

“Nous sommes très heureux d’ouvrir un nouveau chapitre de notre relation avec Castrol. Castrol est une entreprise à la pointe de son domaine qui possède également un immense héritage en sport automobile et en formules de promotion.” a déclaré Cyril Abiteboul, directeur général de Renault Sport Racing.

“Un partenariat de cette ampleur et de cette durée souligne la volonté d’écrire une histoire commune au moment où Nouvelle Clio s’apprête à entrer en scène. Il illustre aussi l’attrait de nos activités compétition-clients aux yeux d’acteurs majeurs du sport et de l’industrie.”

“Nous sommes fiers de pouvoir compter sur un partenaire de cette renommée et cette expertise et nous avons hâte de voir nos équipes relever les défis et explorer les opportunités qui s’offrent à elles.”

Szafnauer : “Lawrence Stroll montre plus d’intérêt pour Racing Point que Mallya”

Otmar Szafnauer a pu remarquer un grand changement chez Racing Point depuis l’arrivée de Lawrence Stroll.

Avant le rachat de l’écurie Force India en 2018 par un consortium canadien dirigé par le milliardaire Lawrence Stroll, c’est un autre milliardaire, Vijay Mallya, qui était à la tête de l’écurie basée à Silverstone.

L’homme d’affaires indien, accusé de fraude par la justice, a fondé et géré son écurie de Formule 1 Force India à la suite du rachat de l’écurie néerlandaise Spyker F1 team. Mais une décennie plus tard, l’écurie Force India est en faillite et est liquidée et l’ensemble de ses actifs rachetés par un consortium mené par le Canadien Lawrence Stroll.

Dès son arrivée fin 2018, Lawrence Stroll a tout de suite marqué sa différence par rapport à son prédécesseur en injectant de l’argent frais dans les caisses de l’équipe et en s’impliquant personnellement en rendant visite régulièrement au personnel à l’usine.

“La différence significative est que Lawrence montre beaucoup plus d’intérêt pour ce qui se passe au sein de l’équipe.” explique Szafnauer à RaceFans.net.

“Il veut toujours en savoir plus sur tous les aspects et sur ce que nous faisons. Vijay [Mallya], en revanche, avait une attitude beaucoup moins impliquée. Il regardait ce qu’il se passait de loin.”

Mais pour Otmar Szafnauer, l’attitude détachée de son ancien patron ne voulait pas dire pour autant qu’il n’aimait pas la course automobile.

“Vijay aimait beaucoup la course et on pouvait le voir à toutes les courses. Mais il ne passait que un ou deux, ou peut-être quatre ou cinq jours par an à l’usine. Lawrence quant à lui passe au moins deux ou trois fois par semaine.”

En 2019, l’équipe Racing Point a dû composer avec une monoplace née et conçue en grande partie  en 2018, alors que l’écurie était encore en pleine tourmente. Racing Point terminera la campagne 2019 à la septième position au classement constructeurs.

Eric Boullier nommé DG du GP de France

Le GIP Grand Prix de France annonce la nomination d’Éric Boullier en tant que Directeur Général du Grand Prix de France de Formule 1.

Le Français Eric Boullier avait rejoint en février 2019 l’organisation du Grand Prix de France de Formule 1 comme conseiller stratégique sportif et opérationnel et ambassadeur du Grand Prix de France de Formule 1 après avoir été directeur de l’écurie McLaren. Il occupera à partir de maintenant le poste de directeur général du Grand Prix de France.

Je suis heureux et fier de m’impliquer davantage dans ce beau projet qu’est le Grand Prix de France de France de Formule 1. J’ai hâte de continuer à contribuer au succès de ce grand rendez-vous du sport automobile sur le territoire français. Je remercie Christian Estrosi et le GIP Grand Prix de France – Le Castellet pour leur confiance.” a déclaré Eric Boullier.

Depuis 2019, l’équipe du Grand Prix de France a déjà grandement bénéficié des conseils et de l’expertise d’Éric Boullier. Eric avait déjà participé au groupe de travail pour le retour du Grand Prix de France de Formule 1 et je suis ravi qu’il s’investisse davantage dans notre organisation.” a ajouté Christian Estrosi, président du GIP Grand Prix de France.

Le Grand Prix de France édition 2020 se déroulera du 26 au 28 juin sur le circuit Paul Ricard au Castellet dans le sud de la France.

Pat Fry débutera avec Renault F1 le 5 février 2020

Pat Fry, le nouveau directeur technique de Renault, débutera avec l’équipe du constructeur français le 5 février 2020.

Pat Fry débutera en tant directeur technique [châssis] chez Renault F1 Team à partir du mercredi 5 février 2020 a annoncé l’écurie Renault ce lundi.

Fort de plus de 30 ans d’expérience en F1, Fry a débuté en Formule 1 avec Benetton avant de rejoindre McLaren en 1993. Il est resté dans l’équipe jusqu’en 2010, date à laquelle il a rejoint la Scuderia Ferrari, mais a pris la porte fin 2014 à la suite de la restructuration de l’équipe par le directeur technique James Allison.

Fry est donc retourné chez McLaren fin 2018, mais son poste était déjà réservé pour James Key, qui ne pouvait rejoindre McLaren avant 2019 afin de respecter une période de jardinage.

Pour 2020, Pat Fry viendra renforcer l’équipe de management technique d’Enstone au poste de directeur technique [châssis] et en remplacement direct de Nick Chester, remercié en fin d’année 2019 par Renault.

Pat Fry débutera le 5 février et sera présent lors de la présentation de la monoplace 2020 de Renault; la RS20 le 12 février en direct depuis l’Atelier Renault à Paris.

Selon Nick Fry, Schumacher n’a jamais mené une guerre psychologique contre Rosberg

Nick Fry assure qu’il n’a jamais vu Michael Schumacher se livrer à une guerre psychologique contre Nico Rosberg.

L’ancien PDG de l’équipe Mercedes Nick Fry, poste qu’il a occupé entre 2010 et 2013, ne pense pas que le septuple champion du monde de Formule 1 Michael Schumacher ait utilisé son statut pour se livrer à une guerre psychologique.

Entre 2010 et  2013, Schumacher avait pour coéquipier son jeune compatriote Nico Rosberg chez Mercedes, mais selon Nick Fry, “Schumi” n’a jamais essayé de l’intimider, bien au contraire.

“Je ne sais pas si c’est vrai ou non, mais s’il avait vraiment mené une guerre psychologique, je serais très surpris.” commente Fry dans le podcast Flat Chat.

“Les gens aiment penser que Schumacher est l’Allemand typique qui pourrait faire ce genre de chose. Mais en toute honnêteté, ce n’est pas le cas.”

“Michael était une personne qui, pour donner le meilleur de lui-même, avait besoin que les gens autour de lui fassent de même. C’est pour cela qu’il a connu tant de succès aussi longtemps.”

“Je ne l’ai jamais vu mener une guerre psychologique ou faire une absurdité avec un autre pilote. C’est en fait tout le contraire; Michael était comme une figure paternelle.”

Une pression énorme pour Rosberg en 2010

En 2010, après quatre saisons passées chez Williams, Nico Rosberg rejoint l’équipe Mercedes où il fera équipe avec Michael Schumacher, Allemand comme Rosberg, mais accessoirement septuple champion du monde Formule 1.

Rosberg savait qu’il devait absolument faire ses preuves face au pilote le plus titré de l’histoire de la Formule 1 s’il voulait continuer l’aventure avec Mercedes, et c’est en 2012 que le pilote allemand a fait toute la différence par rapport à un Schumacher « légèrement » moins performant.

Il était très important que je le batte. C’était décisif pour ma carrière, car cela signifiait qu’il prendrait sa retraite et que je restais dans l’équipe. [S’il avait battu Rosberg] Il serait certainement resté et j’aurais été mis à la porte.” se souvient Nico Rosberg.

Je n’avais même pas gagné de course à l’époque, il était le meilleur de tous les temps, et donc, d’abord je me suis posé la question…Comment je vais me débrouiller face à lui ?”

Il est tellement bon, est-ce que je vais être capable d’être proche de lui? Est-ce que je vais être capable de le battre?”

Parfois, c’était vraiment ce que je pensais. C’était vraiment difficile parce que c’était un gars de mon enfance que je regardais, et là, il était grandeur nature, il est phénoménal.”

Il était bien-sûr au dessus du lot, il a réalisé de très bonnes performances, et il a même signé une pôle à Monaco, nous devons nous en rappeler, en 2012 dans la dernière année. Il a eu des moments très forts, mais la preuve qu’il n’était plus à son meilleur était son manque de régularité, il était un peu loin de ce qu’il était.”

Pour Todt, Leclerc peut devenir champion : “Tout dépendra de la voiture”

Le président de la FIA Jean Todt estime que Charles Leclerc mérite de devenir champion du monde de F1 un jour.

Le jeune monégasque Charles Leclerc n’a participé qu’à deux saisons en Formule 1 avec l’équipe Sauber en 2018, puis la Scuderia Ferrari en 2019.

Le jeune pilote a réussi à terminer à la quatrième position du championnat du monde en 2019, devant son expérimenté coéquipier et quadruple champion du monde de F1 Sebastian Vettel.

Jean Todt estime que Charles Leclerc a évidemment le talent pour devenir un champion du monde de Formule 1, mais pour l’ancien directeur de la Scuderia Ferrari [de 1993 à 2007], et qui est également le père de Nicolas Todt [le manager de Charles Leclerc], le pilote monégasque devra faire en sorte d’avoir entre les mains une monoplace compétitive, ainsi qu’une équipe qui lui permettra de gagner.

“Charles doit s’assurer d’avoir une voiture et une équipe qui lui permettent de gagner (…) Je le lui souhaite évidemment [de devenir champion du monde], il le mérite.” a déclaré Jean Todt au Monaco Press Club.

“Tout dépendra de la voiture qu’il pilotera. Mais je considère que pour gagner, c’est 80% la voiture et 20% le pilote. Il a déjà 20%.”

Depuis ses débuts en Formule 1 en 2018, Charles Leclerc a décroché deux victoires, sept pole positions et dix podiums. Son meilleur classement au championnat a été signé en 2019 avec une quatrième place.

Le Paul Ricard accueillera les FIA Motorsport Games 2020

Marseille et le Circuit Paul Ricard accueilleront les FIA Motorsport Games de 2020.

Pour leur deuxième édition, les FIA Motorsport Games feront leur retour un peu plus tôt dans l’année (23-25 octobre) avec Marseille comme ville hôte et le Circuit Paul Ricard comme théâtre des épreuves, sous réserve de l’approbation du Conseil Mondial du Sport Automobile.

La confirmation officielle du site choisi pour 2020 fait suite à une édition inaugurale couronnée de succès, qui s’est déroulée sous les auspices de la ville de Rome, sur le Circuit de Vallelunga du 1er au 3 novembre 2019.

La France reprend le flambeau, en accueillant la rencontre au sein de la dynamique cité portuaire et en particulier sur le Circuit Paul Ricard (Grade 1). Après une collaboration fructueuse à l’occasion de l’épreuve inaugurale, l’édition 2020 sera de nouveau organisée par la FIA en liaison avec SRO Motorsports Group.

Lors de la première mondiale des FIA Motorsport Games en 2019, les concurrents de six disciplines de course automobile ont fait le voyage jusqu’à Rome pour défendre les couleurs de leur drapeau national. Les multiples rebondissements en piste étaient précédés d’une spectaculaire cérémonie d’ouverture au cœur de la capitale italienne, avec au programme une parade des voitures devant le Colisée puis la présentation au monde entier, dans l’enceinte historique du Cirque Maxime, des 192 pilotes issus de 49 pays et territoires.

Au cours des trois jours qui ont suivi, les participants se sont affrontés pour la GT Cup, la Touring Car Cup, la F4 Cup, la Drifting Cup, la Karting Slalom Cup et la Digital Cup, faisant régner à Vallelunga une atmosphère hautement compétitive.

L’équipe de Russie, arrivée en tête du classement avec une médaille d’or et deux médailles de bronze, a été sacrée Championne des FIA Motorsport Games 2019. La deuxième édition promet d’attirer davantage de concurrents encore, puisque de nouvelles catégories devraient s’ajouter aux six disciplines à nouveau à l’honneur en 2020 sur le Circuit Paul Ricard.

Le circuit français offre un emplacement idéal pour un événement de cette envergure. Créé en 1970, le site a servi de cadre à un large éventail de catégories internationales prestigieuses, dont le Grand Prix de France de Formule Un depuis 2018, après 28 années d’absence au calendrier.

Les configurations possibles y sont multiples et des investissements considérables ont été réalisés pour garantir le respect des normes de sécurité les plus élevées. Alors qu’il célébrera cette année son 50ème anniversaire, le Circuit du Castellet prouve qu’il est résolument tourné vers l’avenir en devenant le tout premier circuit de course automobile français et le second circuit de F1 à obtenir l’accréditation environnementale 3 étoiles de la FIA.

Je suis ravi de constater qu’après le succès remporté par l’édition inaugurale, le concept des FIA Motorsport Games continue de se développer à mesure que l’événement se prépare sur le prestigieux Circuit Paul Ricard.” a déclaré Jean Todt, président de la FIA.

“Cela démontre que cette approche unique de la course automobile s’est avérée être la bonne et que l’avenir est prometteur pour les FIA Motorsport Games. Je suis convaincu que l’édition 2020 continuera à rassembler les amateurs de sport automobile ainsi que les personnes qui apprécient le sport international en général.”

“Dans le même temps, j’ai hâte de voir encore plus de fédérations nationales adhérer à l’esprit patriotique de l’événement et s’impliquer. En intégrant des disciplines des premiers échelons, elles offrent un tremplin aux futures générations de compétiteurs, ce qui est très important pour nous à la FIA. J’attends avec impatience l’arrivée de ces FIA Motorsport Games en France.”

D’autres informations concernant les FIA Motorsport Games 2020, notamment les nouvelles catégories qui figureront au programme cette année, seront officiellement confirmées au cours des prochains mois.

Jean Todt souhaite un carburant neutre en F1 à partir de 2023

Jean Todt, le président de la FIA, aimerait que la Formule 1 aille encore un peu plus vite dans le développement de carburant neutre.

La Formule 1 s’est lancée dans une véritable course contre la montre pour assurer une véritable transition écologique et devenir ainsi totalement neutre en carbone d’ici 2030.

Récemment, la F1 et la FIA ont signé le cadre d’action du sport pour le climat des Nations Unies, confirmant ainsi la volonté des deux entités d’entreprendre des efforts systématiques pour promouvoir une plus grande responsabilité environnementale, réduire l’impact climatique global de la F1, éduquer pour l’action climatique, promouvoir une consommation durable et responsable ou encore plaider par l’action climatique par la communication.

Cet engagement auprès des Nations Unies démontre la volonté de la part de la F1 et de la FIA de rendre le sport automobile bien plus propre d’ici 2030, mais le président de la FIA aimerait aller encore plus loin en introduisant du carburant neutre [mélange d’hydrocarbures non dérivés du pétrole] à partir de 2023.

“Le but est d’inciter les gens à acheter des véhicules électriques dans les villes. On développe plus rapidement de nouvelles technologies et de nouveaux carburants.” a insisté Jean Todt, président de la FIA, ce week-end au Monaco Press Club.

“La Formula One a pris l’engagement de tendre vers la neutralité carbone en 2030, mais j’espère que nous serons plus ambitieux. Avoir de l’essence neutre à partir de 2023, 2024 serait une évolution.” a poursuivi Jean Todt, défendant l’introduction des moteurs hybrides en Formule 1.

“Si cette décision n’avait pas été prise il y a une dizaine d’années [l’introduction des moteurs hybrides], la discipline serait très critiquée et peut-être même en danger.”

Esteban Ocon n’a pas été surpris de voir Leclerc battre Vettel en 2019

Esteban Ocon affirme qu’il n’a pas du tout été surpris par les performances de Charles Leclerc lors de sa première saison avec Ferrari en 2019.

Esteban Ocon, qui connaît très bien Charles Leclerc pour avoir couru contre lui en Karting, n’est absolument pas surpris de voir que le jeune monégasque a régulièrement battu son expérimenté coéquipier Sebastian Vettel au cours de la saison 2019.

Charles Leclerc a signé avec Ferrari à partir de 2019 et a rapidement pris le dessus sur son coéquipier Sebastian Vettel, le Monégasque se payant même le luxe de terminer devant le quadruple champion du monde au championnat avec une quatrième position l’an dernier.

Pas de surprise pour le Français Esteban Ocon, qui avait déjà avisé son employeur Mercedes l’an dernier sur le potentiel de Leclerc.

“J’ai dit à tout le monde que Charles Leclerc battrait Sebastian Vettel. Je l’ai dit à tout le monde – y compris Mercedes – que Charles serait au niveau et battrait Vettel après quelques courses.” a déclaré Ocon, cité par The Judge 13.

“Personne ne m’a cru à ce moment-là, mais désormais, ils me croient ! J’ai couru contre Charles pendant longtemps.”

“Il est l’un des gars les plus forts, j’ai couru contre lui et Max [Verstappen] et ils étaient les deux meilleurs. Je ne suis donc pas surpris et j’espère que nous pourrons nous battre longtemps en Formule 1 pour le titre.”

Le Français Esteban Ocon fera son grand retour sur la grille de la F1 en 2020 avec l’équipe Renault aux côtés de l’Australien Daniel Ricciardo.

Tatiana Calderon restera avec Alfa Romeo en F1 en 2020

L’ancienne pilote d’essais de l’équipe Alfa Romeo, Tatiana Calderon, espère une prolongation de son contrat dans les prochaines semaines.

Sous contrat avec l’équipe Alfa Romeo jusqu’à la fin de la saison 2019, la Colombienne Tatiana Calderon va devenir cette année la première femme à rejoindre le championnat de Super Formula au Japon, après huit saisons passées dans les formules de promotion européennes.

Passée par la F3 Europe, puis le GP3 et enfin la F2 en 2019, Tatiana Calderon s’apprête en 2020 à participer à sa première saison en Super Formula au Japon, mais la jeune colombienne ne compte pas pour autant s’éloigner de la F1 et espère qu’un nouveau contrat avec Alfa Romeo arrivera très prochainement.

“Cette année, en plus de mon engagement en Super Formula au Japon, je resterai au sein de l’équipe Alfa Romeo en F1.” a déclaré Tatiana Calderon.

“D’ici quelques semaines, je signerai le renouvellement de mon contrat. Je suis très fière de pouvoir rester dans ce groupe avec Antonio [Giovinazzi], qui est un garçon très intelligent, ainsi qu’un super expert comme Raikkonen.”

Rappelons qu’en 2020 le Polonais Robert Kubica fera également partie de l’équipe Alfa Romeo en tant que pilote de développement. A ce titre, le Polonais pourra prendre le volant de la C39 lors de plusieurs séances d’essais libres, ainsi que pendant les essais hivernaux à Barcelone.

La nouvelle monoplace de l’équipe Alfa Romeo sera présentée aux médias le premier jour des essais hivernaux [17 février] en direct de Barcelone dans la pit-lane du circuit à 08h15.

Sebastian Vettel en compagnie des pilotes Red Bull en Autriche

Le pilote Ferrari Sebastian Vettel était en compagnie des quatre pilotes de la filière Red Bull ce week-end en Autriche.

Le quadruple champion du monde de Formule 1 Sebastian Vettel n’a pas hésité à se montrer en compagnie des pilotes Red Bull ce week-end en Autriche dans le cadre de la coupe du monde de ski alpin à Kitzbuehel.

Rien de choquant à voir les quatre pilotes de la filière Red Bull [Verstappen, Albon, Gasly et Kvyat] lors de cet événement sponsorisé par la marque de boissons énergisantes, mais la présence du pilote Ferrari Sebastian Vettel posant officiellement aux côtés de ses camarades de jeu a soulevé beaucoup de questions.

Rappelons que Sebastian Vettel a remporté ses quatre titres de champion du monde en Formule 1 avec Red Bull entre 2010 et 2013, avant de décider de rejoindre la Scuderia Ferrari en 2015 en remplacement de Fernando Alonso.

Depuis son arrivée à Maranello, Sebastian Vettel n’a jamais réussi à décrocher un cinquième titre mondial, son meilleur résultat avec Ferrari étant une seconde position au championnat en 2017 et 2018.

La saison dernière, Sebastian Vettel a connu une campagne 2019 compliquée avec plusieurs erreurs commises en course et a dû surtout composer avec son nouveau coéquipier Charles Leclerc, avec qui les relations se sont nettement dégradées en fin d’année lorsque les deux pilotes se sont percutés au Grand Prix du Brésil.

Le contrat de Sebastian Vettel avec l’équipe Ferrari arrive à son terme à la fin de la saison 2020 et beaucoup estiment que l’Allemand décidera de quitter l’écurie italienne à la fin de l’année pour rejoindre une autre équipe, Red Bull étant l’une des pistes les plus sérieuses pour lui en raison de ses liens très forts avec les dirigeants de l’écurie de Milton Keynes.

Notez que Bernie Ecclestone, l’ancien grand argentier de la Formule 1, était lui aussi présent ce week-end en Autriche.

Lewis Hamilton profondément attristé par la mort de Kobe Bryant

Lewis Hamilton s’est dit profondément attristé d’apprendre le décès de Kobe Bryant ce dimanche dans un tragique accident d’hélicoptère.

Ce dimanche, la légende des Los Angeles Lakers et quintuple champion NBA Kobe Bryant est décédé  à l’âge de 41 ans dans un accident d’hélicoptère en Californie.

L’accident a eu lieu peu avant 10h00, heure locale, et les circonstances exactes de ce drame ne sont pas encore connues. Kobe Bryant se trouvait dans l’appareil avec huit autres personnes, dont l’une de ses filles, Gianna Maria-Onore, elle aussi décédée dans le crash.

Rapidement, les hommages se sont multipliés sur les réseaux sociaux et Lewis Hamilton n’a pas tardé lui aussi à publier un message pour dire combien il était attristé d’apprendre la mort de l’un des plus grands athlètes de tous les temps.

“Je suis triste d’apprendre que nous avons perdu l’un de nos grands. Kobe Bryant était était l’un des plus grands athlètes et a été une telle inspiration pour tant de gens, y compris moi-même.” a écrit Lewis Hamilton sur les réseaux sociaux.

“Je suis profondément attristé pour sa famille et pour les gens du monde entier qui l’admiraient. Puissent lui et sa fille reposer en paix.”

Au total, neuf personnes sont décédées dans cet accident d’hélicoptère. Dix-huit enquêteurs ont été envoyés sur place pour déterminer les causes exactes de ce drame, alors qu’un épais brouillard était présent au moment du décollage de l’appareil.

Vidéo : Esteban Ocon en visite à l’Atelier Renault à Paris

Le Français Esteban Ocon a rencontré des fans cet hiver à l’occasion d’un rendez-vous organisé par Renault à Paris.

Nouveau pilote pour l’écurie Renault en F1 en 2020, le Français Esteban Ocon a déjà commencé à travailler avec l’équipe lors des tests Pirelli à Abou Dhabi en décembre dernier.

Après quelques jours de repos, Ocon a repris le chemin du travail et a bien évidemment commencé par mouler son baquet à bord de la RS20 à Enstone en Angleterre et en a aussi profité pour voir ou revoir [il était déjà pilote d’essai chez Renault en 2016] ses collaborateurs avec lesquels il travaillera tout au long de cette nouvelle saison.

Entre temps, Esteban Ocon a également rendu visite à ses nombreux fans à l’Atelier Renault à Paris sur les Champs Elysée et en également profité pour prendre possession de sa nouvelle voiture de fonction.

Le jeune homme a ensuite pris le chemin du Technocentre de Renault pour y admirer les concept-cars de la marque au losange et tester les nouveaux modèles hybrides et électriques de Renault.

Esteban Ocon à l’Atelier Renault

Carlos Sainz évolue dans un environnement favorable avec McLaren

Le PDG de McLaren  a souligné à quel point Carlos Sainz préférait largement la stabilité offerte par McLaren à l’incertitude du lendemain que l’Espagnol a pu vivre chez Toro Rosso.

Le pilote espagnol Carlos Sainz a quitté l’équipe Toro Rosso pour remplacer Jolyon Palmer chez Renault à partir du Grand Prix des Etats-Unis 2017.

Officiellement prêté à Renault par Red Bull, le pilote espagnol a finalement été totalement libéré par la marque de boissons énergisantes, ce qui lui a permis de participer à une saison complète avec l’équipe Renault en 2018.

Carlos Sainz a ensuite eu l’opportunité de rejoindre la prestigieuse équipe McLaren en 2019, bien aidé il est vrai, par son compatriote Fernando Alonso qui en plus d’avoir vanté les mérites de Sainz à son équipe a également annoncé son départ à la retraite en 2018.

“Carlos a été exceptionnel [en 2019]. Il a toujours évolué avec un contrat d’un an dans l’environnement Red Bull-Toro-Rosso.” a déclaré Zak Brown, le PDG de McLaren.

“Evidemment, Red Bull est une équipe fantastique, mais ils peuvent parfois être un peu durs avec leurs pilotes et je pense que Carlos est un pilote qui doit savoir qu’il a une équipe derrière lui et que la prochaine course pourrait ne pas être sa dernière.”

Après d’excellents débuts avec sa nouvelle équipe, McLaren n’a pas hésité longtemps avant de reconduire le contrat de Carlos Sainz pour la saison 2020 [ainsi que celui de Lando Norris] dès le mois de juillet 2019.

Alfa Romeo dévoilera la C39 à Barcelone

L’équipe Alfa Romeo Racing a annoncé ce vendredi la date de présentation de sa monoplace pour la saison 2020.

L’écurie suisse basée à Hinwil, dévoilera sa dernière création, la C39, le 19 février 2020 à 08h15 dans la pitlane du circuit de Barcelone quelques minutes avant le début des essais hivernaux 2020.

Comme les années précédentes, Alfa Romeo tient à garder le secret jusqu’au bout et ne fera donc pas une présentation classique comme la plupart de ses concurrents.

Cette année, la C39 sera pilotée par Kimi Raikkonen et Antonio Giovinazzi, alors que Robert Kubica a signé avec l’écurie suisse pour un poste de pilote de développement.

Les dates de présentation des F1 2020

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Max Verstappen aimerait tester une WRC

Max Verstappen ne dirait pas non si Red Bull lui permettait un jour de tester une voiture de Rallye.

Ce week-end, le championnat du monde des Rallyes [WRC] se déroule sur les petites routes tortueuses du Monte-Carlo.

Présent lors de la cérémonie d’ouverture du Rallye sur le port de Monaco, le pilote de Formule 1  Max Verstappen a assuré qu’il était devenu au fil des années un grand fan de la discipline.

“Je suis constamment sur les réseaux sociaux pour suivre de près les résultats du WRC.” explique le pilote Red Bull Max Verstappen.

“Je pense que l’on peut dire que je suis un fan, oui. Bien-sûr, j’adorerais pouvoir tester l’une de ces machines, Peut-être que cela arrivera un jour.”

Un test au volant d’une WRC pourrait être facilement organisé par Red Bull, mais encore faut-il que la marque de boissons énergisantes accepte de faire prendre des risques à son pilote vedette au volant d’une machine qu’il ne connaît pas.

Rappelons que l’an dernier le Dr Helmut Marko a strictement interdit à Max Verstappen d’enfourcher une MotoGP, après que le Néerlandais ait déclaré aux médias qu’il était un grand fan de MotoGP.

“Ce n’est pas étonnant que les pilotes de F1 aient envie de regarder le MotoGP et de tester une machine comme ça, mais j’ai interdit cela à Max. Il est encore trop peu raisonnable pour ça.” expliquait Helmut Marko en juin 2019.

Les accords Concorde sur le point d’être conclus

Le PDG de la F1, Chase Carey, a déclaré que les nouveaux accords Concorde, liant les équipes de F1 au sport à partir de 2021, sont sur le point d’être conclus.

La charte des accords Concorde, qui a été baptisée ainsi en référence à la place de la Concorde à Paris où se trouve le siège de la FIA, représente le fondement juridique qui régit les accords commerciaux entre la FIA, les équipes et le détenteur des droits commerciaux du sport, Liberty Media.

Si les règles techniques de refonte de la F1 en 2021 ont été arrêtées, ainsi que les précisions liées à l’introduction d’un plafond budgétaire, les spécificités financières liées à la distribution des prix quant à elles sont toujours en cours de révision par les équipes.

S’exprimant lors du Forum Economique de Davos, Chase Carey a laissé entendre qu’un accord était sur le point d’être conclu.

“Nous en sommes aux dernières étapes, nous avons résolus des éléments pour l’avenir. Les règles, les plafonds des coûts, toutes ces choses ont été résolues.” a déclaré l’Américain.

Chase Carey a également insisté sur le fait que la refonte technique et financière à partir de la saison 2021 visaient à niveler les performances entre les équipes pour un meilleur spectacle.

“L’outsider doit avoir une chance de gagner. En fin de compte, cette saison [en 2019], vous aviez seulement trois équipes qui se disputaient pour gagner.”

Jean-Eric Vergne : “J’avais la grosse tête en F1”

Le double champion de Formule E Jean-Eric Vergne est revenu avec une grande franchise sur son passage en Formule 1 entre 2012 et 2014.

Le pilote français Jean-Eric Vergne, qui a roulé pour l’écurie Toro Rosso entre 2012 et 2014, est désormais bien loin des paddocks de la Formule 1 et a posé ses valises en Formule électrique depuis quelques années maintenant où il a remporté deux championnats.

Bien qu’il puisse revenir quelques fois dans un paddock de F1 pour assurer son rôle de consultant pour TF1, le Français admet qu’il ne regrette pas d’avoir quitté ce monde pas si glamour lorsqu’on est un pilote de la catégorie reine du sport automobile.

“J’étais jeune, très énergique et j’avais gagné beaucoup de courses et de championnats [avant d’arriver en F1]. Ma première saison chez Red Bull a été très difficile. J’avais vraiment la grosse tête et je me prenais pour le roi et je pensais que j’allais battre tout le monde.” explique Jean-Eric Vergne.

“Les gens me voyaient comme quelqu’un de négatif, jamais content, et qui ne souriait jamais. Et c’était vrai, j’ai mis trop de temps à comprendre qu’il fallait sourire.”

“C’était comme être un robot”

Vergne se souvient de la pression permanente exercée par son employeur : “Pendant toutes ces années, on m’a dit : ‘Mange ça, dort à tel moment, fait tant d’heures de sport, dis ceci, ne dis pas cela, sois comme ci, sois comme ça, souris, ne ris pas”

“C’était comme être un robot. Ensuite, lorsque vous montez dans la voiture, je ne dirais pas que vous ne prenez pas de plaisir, mais vous n’êtes plus vraiment vous-même.”

“Je veux m’amuser dans la vie, j’adore ce métier de pilote, alors pourquoi devrais-je me comporter différemment si je n’en ai pas envie. J’ai besoin de m’amuser.”

Écarté par Red Bull en 2014 et ruiné

C’est en pleine trêve estivale en 2014, alors qu’il était en famille, que Jean-Eric Vergne a appris qu’il n’allait plus courir en F1.

“Je me souviens très bien, j’étais avec ma famille et c’était comme si j’avais reçu une bombe. Tous mes rêves s’effondraient d’un coup. Lorsque j’ai quitté la F1, je n’avais plus d’argent, j’ai été stupide, j’ai tout dépensé.”

“Je ne gagnais pas énormément chez Red Bull, et les gens pensent que parce qu’on pilote en F1 on est riche. Moi, comme je me voyais comme un millionnaire, j’ai tout dépensé et il m’aura fallu deux années pour retrouver une mentalité normale.”

“Lors de mes deux premières saisons en Formule E, j’étais de très mauvaise humeur et j’ai attiré de très mauvaises choses. Mais je suis encore jeune, je n’ai pas encore 30 ans et je souhaite écrire l’histoire de ce sport. Deux titres ce n’est pas assez, j’en veux davantage.”

Un documentaire sur Max Mosley projeté en mars [+teaser]

Un documentaire consacré à Max Mosley, l’ancien président de la FIA, sera projeté en avant première au festival du film de Manchester.

La vie et la trajectoire professionnelle de Max Mosley seront portées sur grand écran dans le cadre d’un documentaire de 96 minutes produit par Michael Shevloff.

Max Mosley, qui a été président de la FIA entre 1993 et 2009, a été l’un des premiers à vouloir mettre en place des mesures visant à améliorer la sécurité dans le sport automobile après les accidents mortels de Roland Ratzenberger et Ayrton Senna en 1994.

Mosley a également souhaité mettre en place un système de récupération d’énergie cinétique en Formule 1. La FIA sera d’ailleurs félicitée par le parlement européen pour avoir réussi à introduire en Formule 1 des technologies respectueuses de l’environnement, comme des biocarburants.

Mais en 2008, un tabloïd britannique révèle que le président de la FIA s’est adonné à des pratiques sado-masochistes à connotation nazi avec des prostituées. Malgré l’énorme scandale, qui indigne les communautés juives et celles du sport automobile, Max Mosley reste à la tête de la FIA jusqu’à l’élection en 2009 de Jean Todt.

Le documentaire intitulé “Mosley” sera diffusé en avant première mondiale le 8 mars dans le cadre du festival du film de Manchester, avant une probable arrivée dans les salles de cinéma dans le courant de l’année.

Teaser : “Mosley”