F1 — Classement des Essais Libres 1 du Grand Prix de Chine 2025

Lando Norris a terminé la seule séance d’essais libres du Grand Prix de Chine en tête de la feuille des temps. Le Britannique a attendu la fin de la séance pour prendre la première place.

Norris a devancé de quatre dixièmes de seconde Charles Leclerc, tandis que son coéquipier Oscar Piastri a signé le troisième meilleur temps. Un drapeau rouge a été déployé pendant la séance d’une heure après que Jack Doohan se soit arrêté sur la piste, rapportant une perte de la direction assistée.

Pendant que les fans de Formule 1 vibraient au rythme de la compétition, d’autres passionnés de sensations fortes se tournaient vers le casino en ligne argent réel, une alternative palpitante pour tenter leur chance et ressentir l’adrénaline du jeu.

Classement des Essais Libres 1 du Grand Prix de Chine 2025

# Pilote Écurie Chrono Pneu
1
 
Lando NORRIS
McLaren 1:31.504 S
2
 
Charles LECLERC
Ferrari 1:31.958 S
3
 
Oscar PIASTRI
McLaren 1:32.153 S
4
 
Lewis HAMILTON
Ferrari 1:32.195 S
5
 
George RUSSELL
Mercedes 1:32.377 M
6
 
Nico HULKENBERG
Stake 1:32.507 S
7
 
Alexander ALBON
Williams 1:32.687 M
8
 
Fernando ALONSO
Aston Martin 1:32.766 S
9
 
Kimi ANTONELLI
Mercedes 1:32.874 S
10
 
Yuki TSUNODA
Racing Bulls 1:32.934 S
11
 
Oliver BEARMAN
Haas 1:32.967 S
12
 
Lance STROLL
Aston Martin 1:32.984 S
13
 
Esteban OCON
Haas 1:33.056 S
14
 
Pierre GASLY
Alpine 1:33.123 S
15
 
Carlos SAINZ
Williams 1:33.145 M
16
 
Max VERSTAPPEN
Red Bull 1:33.284 M
17
 
Isack HADJAR
Racing Bulls 1:33.385 S
18
 
Liam LAWSON
Red Bull 1:33.631 S
19
 
Gabriel BORTOLETO
Stake 1:33.822 S
20
 
Jack DOOHAN
Alpine 1:33.923 M

Sondage – Quel pilote remportera le Grand Prix de Chine 2025 ?

Après une première manche à rebondissement et à éclaboussure en Australie, McLaren et ses pilotes semblent être plus performants que le reste de la grille F1. Lors de la séance qualificative à Melbourne, Lando Norris et Oscar Piastri ont été les deux pilotes les plus rapides et se sont tous les deux élancés depuis la première ligne de la grille de départ.

Sans une douloureuse sortie de piste devant son public, Oscar Piastri aurait probablement permis à McLaren de réaliser un doublé à l’arrivée du Grand Prix d’Australie. Au lieu de ça, Max Verstappen quadruple Champion du monde est parvenu à arracher une belle seconde place, devant la Mercedes de George Russell. Attendus comme de potentiels challengers en 2025, les pilotes de la Scuderia Ferrari, Charles Leclerc et Lewis Hamilton, ont déçu les Tifosi. Pas assez performants en qualifications et piégés par la pluie lors de la course, ils ont finalement échoué en huitième et dixième position.

La saison dernière, le Grand Prix de Chine avait été remporté par Max Verstappen, devant Lando Norris et Sergio Pérez.

George Russell affirme que l’avantage de McLaren en 2025 sera « plus important que celui de Red Bull » en 2023

George Russell pense que McLaren devrait gagner toutes les courses de la saison de F1 2025 et affirme que leur avantage est plus grand que celui qu’a connu Red Bull lors de la saison 2023 presque parfaite de Max Verstappen.

Bien que Lando Norris et Max Verstappen aient terminé la course avec moins d’une seconde d’écart entre eux deux, l’avantage de McLaren en termes de performance était plus que significatif sur le reste de la course.

Au 34e tour de la course, Verstappen avait plus de 15 secondes de retard sur Oscar Piastri, ce qui met en évidence la domination de McLaren en ce début de saison. De son côté, George Russell pense que McLaren est désormais en position de force pour remporter toutes les courses, affirmant qu’ils ont été plus dominants que Red Bull ces dernières années.

« Leur voiture devrait gagner toutes les courses, même si je ne pense pas qu’ils rafleront tout en 2025. Nous verrons bien », a déclaré Russell. « L’écart qu’ils ont cette année sur tout le monde est plus grand que celui que Red Bull n’a jamais eu. Espérons que nous pourrons être là pour capitaliser comme nous l’avons été ce week-end, car cela aurait dû être un doublé pour ces gars-là. »

Il a ajouté : « Trois ou quatre dixièmes [était l’avantage de Verstappen en 2023], l’avantage que nous constatons actuellement chez McLaren est nettement plus important que cela. »

George Russell a terminé le Grand Prix d’Australie en troisième position, profitant de la sortie de piste d’Oscar Piastri pour monter sur la dernière marche du podium. Il a devancé son tout nouveau coéquipier chez Mercedes, Kimi Antonelli.

Oscar Piastri a pu sortir sa monoplace de l’herbe grâce à Jeremy Clarkson

Oscar Piastri a révélé que son expérience dans « Jeremy Clarkson’s Farm » l’avait aidé à s’en sortir après sa mésaventure au Grand Prix d’Australie.

Alors qu’il était deuxième, juste derrière son coéquipier Lando Norris, au 44e tour de son Grand Prix national, le duo de pilotes McLaren a été surpris par une averse, et tous deux ont perdu le contrôle de leur monoplace dans le virage 11.

Malheureusement pour Piastri, les conséquences de cette sortie de piste ont été bien plus couteuses en points pour le pilote australien. La tour de chronométrage de la FOM l’a répertorié comme ayant abandonné, mais le natif de Melbourne a réussi à libérer sa MCL39 de l’herbe mouillée, terminant finalement neuvième, après avoir dépassé Lewis Hamilton dans le dernier tour.

Après la course, Piastri a expliqué comment l’expérience acquise dans la ferme de, Jeremy Clarkson, l’ancien animateur de Top Gear et The Grand Tour lui avait été utile.

« J’essayais juste de rester en course, d’avancer, mais je n’y arrivais pas », a déclaré Piastri aux médias. « Heureusement, j’ai passé du temps pendant l’intersaison à essayer d’apprendre à faire marche arrière avec un tracteur dans la ferme de Jeremy Clarkson. Cela m’a été utile, mais s’ils pouvaient tondre l’herbe quelques centimètres plus court, cela pourrait m’aider. »

« Évidemment, c’est dommage que ça se soit passé comme ça, on aurait mérité, ou le public aurait mérité un podium, donc ça fait mal, mais pour moi, il y a encore beaucoup de points positifs à retenir. »

Le pilote australien va devoir rapidement rebondir ce weekend à Shanghai, à l’occasion du Grand Prix de Chine. La saison est longue, il reste encore 23 courses, mais après le premier Grand Prix de la saison, Oscar Piastri accuse déjà un retard de 23 points sur son voisin de garage chez McLaren. 

Isack Hadjar répond aux critiques d’Helmut Marko

Isack Hadjar a tenu à clarifier la situation avec Helmut Marko après que le conseiller de Red Bull l’a qualifié d’« embarrassant » après que le Français a versé des quelques larmes, suite à son accident dans le tour de formation du Grand Prix d’Australie à Melbourne.

Le jeune pilote français a été filmé en larmes après avoir détruit sa Racing Bulls lors du tour de formation du Grand Prix d’Australie, victime d’un tête-à-queue sur piste mouillée.

Son émotion a suscité un large élan de soutien, aussi bien au sein du paddock qu’en dehors. Anthony Hamilton, père du septuple champion du monde Lewis Hamilton, a notamment réconforté Hadjar en lui adressant des mots d’encouragement alors qu’il regagnait le paddock.

Toutefois, s’adressant à la chaîne de télévision autrichienne ORF après la course, Helmut Marko a déclaré qu’« Isack Hadjar a un peu pleuré après son accident. C’était un peu gênant. »

En réponse, et à l’approche de la deuxième course de la saison ce week-end en Chine, Hadjar a été invité à donner son avis sur les remarques de Marko.

Après un petit rire, et s’adressant aux médias, Hadjar a déclaré : « J’ai trouvé ça embarrassant moi aussi. Tu sais, Helmut, je l’ai eu au téléphone le lendemain, et tout va bien. Je le connais depuis quelques années maintenant. Je suis habitué à sa façon de travailler. Autre point, je pense qu’il parlait allemand, et que ses mots ont été mal réinterprétés. »

« À part ça [recevoir] tout l’amour des fans et des gens, je ne m’attendais pas du tout à ça après mon accident. C’était donc agréable. »

Alonso revient sur la présence d’une dépanneuse sur la piste lors du GP d’Australie : « Tout était sous contrôle »

Fernando Alonso, pilote pour Aston Martin, a déclaré être du même avis que Lando Norris et que Max Verstappen au sujet de la présence en piste d’un véhicule de dépannage pendant le Grand Prix d’Australie.

La course inaugurale de la saison, marquée par de nombreux incidents, a vu six abandons, dont ceux d’Isack Hadjar avant même le départ et de Jack Doohan dès le premier tour. Carlos Sainz, Fernando Alonso, Gabriel Bortoleto et Liam Lawson font partie de ces pilotes à avoir percuté un mur de l’Albert Park. En raison de la configuration du circuit, les véhicules de dépannage doivent intervenir sur la piste pour évacuer les monoplaces accidentées. Cette situation a suscité de vives réactions, notamment de la part des téléspectateurs, ravivant les craintes liées à la sécurité des pilotes après l’accident mortel de Jules Bianchi au Japon en 2014. Cependant, à l’issue de la course, Norris et Verstappen ont balayé ces préoccupations, une position désormais partagée par Alonso.

Tout comme dans le choix d’un casino en ligne fiable, où la sécurité et la transparence sont des priorités absolues, la gestion des dépanneuses sur les circuits de F1 doit être minutieusement organisée pour garantir la sécurité des pilotes.

Verstappen avait déclaré : « Je veux dire, si vous vous crashez comme ça, derrière la voiture de sécurité, alors vous êtes vraiment stupide. » Et Norris a ajouté : « Vous ne devriez pas être en Formule 1. »

Si Alonso a été moins abrupt dans sa réponse, il a estimé qu’il n’y avait « rien de fou » et que tout était « sous contrôle ».

« Je ne connais pas les détails exacts, c’est donc difficile de commenter », a-t-il déclaré. « Je pense que Melbourne n’est pas un circuit facile pour récupérer les monoplaces. À un moment donné, les dépanneuses doivent entrer en piste. »

« Je pense que nous avons maintenant un système différent de ce que nous avions dans le passé, dans les zones de drapeau jaune, même derrière la voiture de sécurité, vous devez respecter un temps au tour encore plus lent. À un moment donné, vous devez sortir cette voiture de la piste, donc si vous respectez ce temps, vous ne devriez pas être trop rapide dans cette zone. Je connais le sens de la question, mais je ne pense pas que ce soit fou. C’était sous contrôle. »

Eddie Jordan est décédé à l’âge de 76 ans

Eddie Jordan est décédé à l’âge de 76 ans des suites d’un cancer de la prostate et de la vessie. L’ancien patron d’écurie avait révélé à la fin de l’année dernière qu’il luttait contre la maladie depuis déjà un certain temps, mais qu’il avait choisi de garder le diagnostic secret pendant qu’il se faisait soigner.

Dans un communiqué, sa famille a annoncé le décès d’Eddie Jordan : « C’est avec une profonde tristesse que nous annonçons le décès d’Eddie Jordan, OBE, ancien propriétaire d’une écurie de Formule 1, commentateur télévisé et entrepreneur », peut-on lire dans le communiqué. « Il s’est éteint paisiblement, entouré de sa famille, au Cap, aux premières heures du 20 mars 2025. »

Tout comme dans le monde des casinos en ligne fiables, où la passion et l’engagement sont souvent les clés de la réussite, Eddie Jordan a toujours su insuffler énergie et détermination dans ses projets, que ce soit en F1 ou en dehors des circuits.

Le communiqué ajoute : « Il a travaillé jusqu’à la fin, ayant communiqué le jour de la Saint-Patrick ses ambitions pour le London Irish Rugby Football Club, dont il était récemment devenu le mécène. Eddie et Jordan Grand Prix étaient connus pour leur image rock and roll, apportant un élément amusant et excitant à la F1, ainsi que pour leurs performances systématiquement supérieures à leur niveau. De nombreux pilotes de F1 doivent leur carrière à Eddie, et des champions du monde tels que Michael Schumacher et Damon Hill ont couru pour lui. »

« Eddie Jordan apportait charisme, énergie et charme irlandais partout où il allait. Sa présence nous manque énormément. Il manquera à beaucoup de gens, mais il nous laisse des tonnes de bons souvenirs qui nous permettront de garder le sourire malgré notre chagrin. »

Domenicali pense que Hamilton gagnera avec Ferrari

L’ancien patron de Ferrari, Stefano Domenicali, est convaincu que Lewis Hamilton remportera des courses avec l’écurie italienne.

Les médias grand public demeurent tous yeux rivés sur Lewis Hamilton. Si les débuts du septuple champion du monde avec l’écurie de Maranello n’ont pas été ce que l’on pourrait qualifier de prometteurs en piste, ils ne justifiaient guère la panique non plus.

Certes, Hamilton a été surclassé par son coéquipier en matière de qualifications et a eu des échanges houleux  avec son ingénieur tout au long de la course de dimanche à la radio ; certes il a été pris au dépourvu d’abord par son coéquipier, puis par Oscar Piastri – dans un mouvement audacieux – dans les derniers instants du GP d’Australie…

Cependant, Hamilton demeure une vraie force avec laquelle compter selon de nombreux acteurs majeurs du paddock, dont le PDG de Liberty Media et ancien directeur d’équipe de Ferrari, l’Italien Stefano Domenicali.

Bien qu’il ne mise pas sur Hamilton pour a victoire au championnat, Domenicali, pense que Hamilton connaitra la saveur de la plus haute marche du podiume en rouge.

« Pour Lewis, c’est une nouvelle aventure, c’est certain », déclare-t-il sur le site officiel de la F1, « une nouvelle aventure qui lui donnera beaucoup d’élan, beaucoup d’énergie. Je pense que l’adaptation qu’il doit faire, non seulement du côté de la conduite avec la voiture, mais aussi en termes d’intégration dans une communauté différente, sera facile », ajoute-t-il.

« Quand on a en soi la flamme nécessaire pour s’assurer que cette expérience sera positive, on s’y consacre nuit et jour, et c’est ce qu’il fait », insiste l’Italien. « Il m’a dit qu’il dormait à Maranello, qu’il avait compris ce que Ferrari représentait pour le peuple italien. »

Lorsqu’on lui demande s’il pense que Hamilton va gagner une course cette saison, le PDG de F1 répond : « Je pense que oui. Je pense que ce sera génial, je dois l’avouer, avec mon statut d’indépendant », ajoute-t-il. « Je pense que ce sera bon pour l’équipe, bon pour Charles de continuer à se dépasser et ce sera bon pour l’ensemble des équipes de F1. »

 

Quand Bernie Ecclestone parlait d’un championnat 100% féminin

Nous sommes en mars 2015, il y a 10 ans, et quelques jours après le lancement de la saison de Formule 1. Les Grands Prix d’Australie et de Malaisie viennent de se disputer, remportés respectivement par Lewis Hamilton (Mercedes) et Sebastian Vettel (Ferrari).

Bernie Ecclestone admettait alors penser qu’une série distincte pour les femmes pilotes serait bénéfique pour le sport.

Comme toujours, il était difficile, au vu des sorties précédentes de l’homme d’affaires alors âgé de 84 ans, de savoir si l’homme de 84 ans si celui-ci jouait avec les médias ou s’il est très sérieux. Beaucoup suggéraient alors, connaissant les convictions profondes du Britannique à ce sujet, qu’il suggérait-là une idée qu’il jugeait lui-même scandaleuse et n’ayant aucune chance d’être matérielle tout en se préparant à faire passer une autre idée tout aussi « ridicule » qui, elle…passerait !

Rappelons qu’Ecclestone parlait également à l’époque de doubler les points des trois dernières courses de la saison, envisageait des courses sur piste humide ainsi que l’attribution de points pour les qualifications.

« J’ai pensé que ce serait une bonne idée de leur donner une vitrine », avait-t-il déclaré dans les colonnes du Daily Telegraph. « Pour une raison quelconque, les femmes ne se manifestent pas, et ce n’est pas parce que nous ne les voulons pas. Bien sûr que si, car elles attireraient beaucoup d’attention et de publicité et probablement beaucoup de sponsors. »

Les rares femmes pilotes se disaient majoritairement désireuses de réussir en F1 et de rivaliser avec les hommes sur un pied d’égalité, et trouvaient donc l’idée d’une série distincte dégradante et condescendante.

C’était clairement l’avis de Susie Wolff, qui tentait de se frayer un chemin vers un baquet de titulaire en F1, bien aidée en cela par son époux Toto, alors actionnaire influent chez Williams, où elle occupait le poste de pilote d’essais. « Ce n’est certainement pas la bonne voie à suivre », estimait-elle en réponse. « Tout d’abord, je ne sais pas où vous trouveriez un plateau complet de pilotes féminines suffisamment bonnes », admettait-elle. « Deuxièmement, j’ai fait toute ma carrière de pilote automobile en tant que concurrent normal. Pourquoi chercherais-je une course où je ne serais en compétition qu’avec des femmes ? Je peux dire en toute sincérité que cela ne m’intéresserait pas du tout de gagner une telle course. Je préférerais ne pas participer à la course, car qu’est-ce que je gagnerais ? Une course où ils ont juste cherché n’importe quelle fille pour constituer une grille… »

Aujourd’hui, Susie Wolff dirige le projet F1 Academy, un championnat de niveau F4 soutenu par la F1 et composée d’une grille exclusivement féminine.

Programme et horaires du Grand Prix de F1 de Chine 2025

Le Championnat du monde de Formule 1 2025 revient dès ce week-end, du 21 au 23 mars, avec le Grand Prix de Chine sur le célèbre circuit de Shanghai. Cette seconde manche de la saison se déroulera sous un format sprint avec donc une séance d’Essais Libres 1, une qualification sprint, une course sprint, une séance qualificative et enfin le Grand Prix

Un week-end à toute vitesse

Avec un décalage entre la Chine et la France, les fans européens devront ajuster leur planning pour suivre les sessions en direct. Les essais libres (EL1) débuteront dans la nuit de jeudi à vendredi, à 04h30 (heure de Paris), suivis de la qualif sprint à 08h30. Pendant que vous attendez les résultats des courses, pourquoi ne pas explorer un casino en ligne argent réel pour une dose d’adrénaline supplémentaire ?

Lire aussi : Seule la FIA doit encore signer les nouveaux accords Concorde

Le samedi 22 mars, la course sprint est programmée à 04h00, tandis que les qualifications, qui détermineront la grille de départ du Grand Prix de dimanche, auront lieu à 08h00.

Le départ du Grand Prix de Chine 2025 sera donné le dimanche 23 mars à 08h00 (heure de Paris). 

Programme GP de Chine 2025 (heure de Paris)

Vendredi 21 mars :  EL1 à 04h30 (Canal + Sport) / Qualif Sprint à 08h30 (Canal + Sport)

Samedi 22 mars : Course Sprint à 04h00 (Canal + Sport) / Qualifications à 08h00 (Canal + Sport)

Dimanche 23 mars : le départ du GP de Chine à 08h00 (Canal +)

Lire aussi : Cadillac admet que la F1 est un univers sous « intense pression »

Seule la FIA doit encore signer les nouveaux accords Concorde

La FIA n’a pas encore signé le nouvel accord Concorde de cinq ans.

Ce document essentiel qui lie les équipes au détenteur des droits commerciaux de la Formule 1 et à la FIA expire cette année. La F1 a annoncé le nouvel accord pour 2026 et au-delà le jour de l’ouverture de la saison du GP d’Australie.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où les accords entre opérateurs et régulateurs doivent être clairs et pérennes pour assurer la stabilité à long terme, la Formule 1 doit garantir la solidité économique du sport via ce nouvel accord Concorde.

La F1 a indiqué que « toutes les équipes » avaient signé, la déclaration ajoutant que l’accord « garantit la solidité économique à long terme du sport ».

La F1, propriété de Liberty Media, a poursuivi : « L’accord de gouvernance Concorde 2026 sera finalisé en temps voulu ».

Selon Michael Schmidt, journaliste à Auto Motor und Sport, « la FIA, en tant que troisième partenaire, n’est pas encore à bord ».

Une tension évidente existe depuis des mois entre Liberty et les équipes d’une part, et la FIA dirigée par Mohammed Ben Sulayem d’autre part.

Cependant, Schmidt pense que Ben Sulayem devrait signer le nouveau Concorde « bientôt ». « Selon des sources de la FIA, le contrat est déjà entre les mains des avocats », a-t-il ajouté.

Il est suggéré que les dix équipes existantes n’ont pas toutes signé en même temps. L’une des pierres d’achoppement était la taxe dite « anti-dilution » que la nouvelle équipe Cadillac devait payer pour 2026. Selon certaines informations, le montant final s’élèverait à 450 millions de dollars. Cet argent serait réparti à parts égales entre les dix équipes existantes.

Mais des dispositions pour une éventuelle douzième équipe à l’avenir devaient également être inscrites dans le nouveau Concorde, Auto Motor und Sport expliquant : « L’objectif est d’éviter à tout prix une répétition du drame Andretti. »

Quant au retard dans l’obtention de la signature finale de la FIA, la publication explique que le blocage est dû aux « désaccords répétés sur l’élaboration des règles » récemment, tandis que le président Ben Sulayem a demandé « un financement nettement plus important pour l’avenir, en invoquant l’augmentation de la charge de travail et des besoins en personnel ».

« Selon les représentants de la FIA », conclut le correspondant allemand, « les négociations avec la Formule 1 sont en phase finale. Les questions de réglementation et de marketing ont apparemment été résolues. Il ne reste plus qu’à obtenir l’approbation juridique. »

Cadillac admet que la F1 est un univers sous « intense pression »

Alors que l’entrée de Cadillac en 2026 est désormais gravée dans le marbre, avec la signature de Dan Towriss sur les nouveaux Accords Concorde, le chef du projet Cadillac s’est confié sur le processus « intense » traversé par la marque pour faire son entrée en F1 en 2026.

Face à la vive opposition initiale du propriétaire de la F1, Liberty Media, et des dix équipes existantes, le projet de l’équipe Andretti, préalablement approuvé par la FIA, s’est enlisé dans une lutte politique qui a atteint les plus hautes sphères du gouvernement américain.

Tout comme dans l’univers des jeux en ligne, où les nouveaux sites de casino en ligne doivent surmonter de nombreux obstacles pour obtenir leur licence et prouver leur légitimité, Cadillac a dû faire face à une résistance intense avant d’obtenir son entrée en Formule 1.

Rappelant le GP de Miami de 2024, la légende de la F1 Mario Andretti a révélé il y a quelques mois que l’ancien PDG de Liberty, Greg Maffei, s’était approché de lui et lui avait dit : « Mario, je veux te dire que je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que Michael n’entre jamais en Formule 1. »

Finalement, le retrait de Michael Andretti de sa propre organisation – le projet de F1 ayant été rebaptisé Cadillac avec le soutien de GM – a permis à l’équipe de décrocher son ticket pour le départ.

Ainsi, interrogé sur l’évolution intense du projet Andretti-Cadillac F1, Towriss a déclaré au journal Indianapolis Star : « Il suffit de revenir à la citation de Greg. Il a dit ce qu’il a dit. »

Towriss est le PDG de TWG Motorsports, désormais propriétaire majoritaire d’Andretti Global, mais c’est TWG Motorsports qui supervise désormais le programme Cadillac F1.

Il se souvient que l’ancien pilote de F1 Michael Andretti a réalisé à un moment donné qu’il devait prendre du recul. « Il a commencé à exprimer le désir de se retirer et que ce n’était plus amusant à ce stade », a déclaré Towriss, 51 ans. « À ce moment-là, on se dit : ‘OK, trouvons comment faire ça’. Mais évidemment, nous avons beaucoup investi dans Andretti Global et (Indycar) dans son ensemble. Alors, comment faire en sorte que cette transition se fasse en douceur de ce point de vue ? »

Faisant référence à la bataille avec la F1 pour entrer au sommet du sport automobile, Towriss poursuit : « La pression était intense. Il y a eu des réunions très difficiles avec la F1 et d’autres événements se sont produits à l’extérieur, et quand vous réunissez ces autres championnats de sport automobile, c’est une grande opération, et je pense donc que cela nous a en quelque sorte amenés à ce point. C’est devenu très politique. Certains aspects de la candidature n’étaient pas bien compris, et c’était difficile. Ils (la F1) étaient très attachés à certaines questions. »

Il semblerait que, pour apaiser quelque peu les 10 équipes de F1 existantes, Cadillac ait dû accepter de payer une taxe anti-dilution de 450 millions de dollars, soit plus du double de la taxe payée par de nouvelles entrées similaires dans le passé.

Comment la Formule 1 génère-t-elle ses revenus ?

Vous entendez régulièrement que la Formule 1 se porte mieux depuis la reprise par Liberty Media et qu’elle traverse même un âge d’or en termes de rentabilité. Les revenus des équipes sont fortement influencés par ceux du promoteur de la discipline : intéressons-nous donc à la manière dont la Formule 1 génère ses revenus en 2025. Contrairement à de nombreuses idées reçues, la vente de billets est loin, très loin d’être la principale source de revenus pour les promoteurs.

Les données financières communiquées par la F1 et SportsPro permettent de distinguer quatre grands secteurs de revenus pour la Formule 1.

  1. Les frais de promotion des courses

Cette catégorie représente 29% des recettes. Chaque Grand Prix, à l’exception de la course du Grand Prix de Las Vegas de Formule 1, qui appartient directement à la F1, est organisé par des promoteurs qui paient des frais substantiels à la F1 pour avoir le droit d’organiser et commercialiser les courses.

Ces contrats prévoient souvent des indexations annuelles, même si les contrats sont signés sur du très long terme. Ainsi, un deal passé pour une dizaine d’années suit le cours de l’indexation prévue, ce qui assure à la F1 des revenus prévisibles et stables par rapport au « coût de la vie ».

  1. Droits médiatiques

Cette catégorie représente 33% des recettes. Les contrats de diffusion avec des réseaux comme ESPN aux États-Unis et Sky Sports au Royaume-Uni constituent la plus grande part des revenus de la F1 et demeurent le véritable nerf de la guerre, en dépit de tout ce que l’on peut entendre sur la place de la télévision dans le monde depuis l’essor des plateformes de diffusion de contenu. En réalité, ces nouveaux canaux de diffusion représentent même de nouvelles opportunités de développement commercial pour la F1, qui doit s’ouvrir à celles-ci tout en maintenant un habile équilibre et laissant aux diffuseurs payant grassement les droits une certaine notion d’exclusivité.

  1. Parrainage et sponsoring

Cette catégorie représente 19% des recettes de la F1. Il s’agit-là d’un secteur qui augmente très sensiblement sous l’initiative de Liberty Media. Avec les nouveaux accords passés avec les teams, il est devenu plus facile pour la FOM d’être en « concurrence » avec les équipes elles-mêmes au moment de tenter de signer de très grosses multinationales ou de proposer de nouveaux produits très visibles et rémunérateurs, sans toutefois heurter les teams qui visent ces mêmes cibles. Et pour cause : il peut être plus intéressant pour les équipes de récolter une « petite part du grand gâteau » que génère Liberty media plutôt que de dévouer des ressources importantes à la chasse à certains sponsors volatiles et exigeants. 

Des marques mondiales telles que LVMH, Salesforce et Aramco investissent massivement pour s’aligner sur l’image glamour de la F1. Ces partenariats vont de la publicité en bord de piste aux collaborations exclusives sur des éléments visuels ou des expériences nouvellement créés sur les Grands Prix. Cette dynamique de sponsoring évoque par bien des aspects l’univers du casino en ligne argent réel, où l’image, la visibilité et la rentabilité sont également au cœur des stratégies commerciales.

  1. Autres sources de revenus

Cette catégorie représente 19% des recettes. Ce fourre-tout est lui aussi très important. Il comprend les packages d’hospitalité du Paddock Club (expériences VIP, pouvant coûter près de 100 fois le prix d’un billet en enceinte générale), mais aussi les revenus issus des séries de soutien telles que la Formule 2, la Formule 3, la F1 Academy, le licensing sur les marques ainsi que divers services auxiliaires allant jusqu’à la vente d’objets de collection ou le naming sur le drapeau à damier.

 

Le super coup de Hülkenberg pour sa première avec Stake

Voilà bien une équipe que personne n’attendait dans le coup pour jouer les points en Australie ! En capitalisant sur l’expérience et la solidité de Nico Hülkenberg dans des conditions traitresses, Stake a d’ores et déjà signé un résultat très significatif et apporté beaucoup de joie à ses membres en ramenant des points de la course de Melbourne.

KICK Sauber F1 Team a e effet ramené six précieux points d’un Grand Prix d’Australie palpitant, Nico Hülkenberg terminant à une impressionnante P7 pour sa première course avec l’équipe, dimanche, par conditions météorologiques jouant un rôle crucial.

L’Allemand, qui s’est élancé de la 17e place sur la grille, a fait preuve d’une grande sérénité au cours d’une journée qui a mis à l’épreuve tous les pilotes. Régulièrement à l’aise sous la pluie ou par conditions changeantes, l’expérimenté ex-pilote Haas a délivré une grande performance.

Ce résultat permet à l’équipe de se hisser à la 6e place du championnat des constructeurs, tandis que la course elle-même a été un excellent exemple du spectacle palpitant qu’offre la Formule 1.

« C’est un résultat absolument positif pour l’équipe et cela me donne le sourire », exulte Hülkenberg, dont la performance a été saluée par de nombreux pairs dans le paddock. « Nous ne l’avions pas vu venir après notre performance en qualification. Dans les conditions difficiles du jour, nous n’avons pas commis d’erreurs et nous avons eu quelques bons choix stratégiques. Il était très difficile de garder la voiture sur la piste et de lire les conditions », savoure-t-il.

« Les circuits urbains dans ces conditions ne pardonnent pas. Vous êtes constamment sur le fil du rasoir. Dans la première moitié de la course, j’ai eu beaucoup de mal avec les pneus intermédiaires. Il s’agissait de rester dans la course et d’attendre notre chance. La voiture de sécurité nous a évidemment remis dans la course pour les points, lorsqu’il a commencé à pleuvoir vers la fin. Nous avons réussi à passer au stand au bon moment, avant les autres. Parfois, il faut avoir de la chance. Alors que d’autres avaient des problèmes, nous sommes restés propres et nous nous sommes récompensés avec ces six points. Je tiens à remercier toute l’équipe pour le travail acharné qu’elle a fourni pour y parvenir. »

Récompensé par le podium, Russell s’est « bien amusé » en Australie

George Russell a terminé troisième du Grand Prix d’Australie, manche d’ouverture de la saison 2025 de Formule 1. Le Britannique a su dompter la pluie et les températures ambiantes plus froides du dimanche, qui ont fait suite à un beau soleil durant le reste du week-end.

La course a débuté par un départ arrêté traditionnel la grille a opté pour le pneu intermédiaire en raison des conditions. George Russell, qui s’alignait à une solide P4 sur la grille, est parvenu à conserver sa position dès le début. Avec une légère bruine tombant en courtes ondées, l’Intermédiaire est resté le pneu de choix jusqu’à ce qu’un Safety-Car à la mi-course n’offre l’opportunité de passer à un pneu sec sans perdre de position.

C’est ainsi que Russell a opté pour la gomme dure jusqu’à ce qu’une autre averse de pluie se développe au-dessus de la mer, près du circuit. À un peu plus de 10 tours de la fin, la pluie a fini par tomber et une averse, la plus forte du Grand Prix, a forcé les équipes à réajuster leur stratégie. L’équipe Mercedes a bien évalué le croisement et a fait passer ses pilotes en intermédiaires au 44e tour. Cela a permis à Russell de se hisser P3.

« C’était une belle course », savoure le Britannique dans un large sourire. « Je veux juste dire un grand bravo à Lando [Norris]. Je pense que dans une course comme celle-là, quand vous êtes en tête, c’est probablement votre pire cauchemar. Mais il a fait un excellent travail. De même, Kimi [Antonelli, son équipier Mercedes, ndlr] s’est très bien débrouillé pour revenir en P5, ce qui est vraiment impressionnant pour une première course. Pour nous, ce n’était pas notre meilleur week-end, mais finir sur le podium, c’est super ! »

 » Je me suis bien amusé, pour être honnête, parce que j’espérais que les deux gars devant feraient une erreur et que je pourrais passer, mais ça n’a pas été le cas ! C’est vraiment délicat, mais c’est ça la F1, et c’est ce qui la rend excitante pour nous. J’espère que tout le monde a apprécié à la maison. »

Christian Horner souligne une particularité « assez étrange » de la McLaren

Après le Grand Prix d’Australie de Formule 1, Christian Horner, le patron de Red Bull, trouve « assez étrange » que les McLaren puissent chauffer leurs pneus tout en profitant d’une faible dégradation.

Alors que Max Verstappen a terminé la course à moins d’une seconde de Lando Norris, sans les événements de fin de Grand Prix, les McLaren semblaient être dans une catégorie à part. Au 34e tour, Verstappen était à 18 secondes de la tête de la course alors qu’il avait du mal à gérer la dégradation de ses pneus intermédiaires.

Tout comme dans un top casino en ligne, où il est essentiel de trouver le bon équilibre entre stratégie de jeu et gestion des risques pour maximiser ses gains, McLaren semble avoir parfaitement maîtrisé l’équilibre entre la mise en température des pneus et leur faible dégradation.

Après la course, Horner a souligné les points sur lesquels McLaren devance les autres équipes.

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« Je pense que c’est différent pour tout le monde, oui, et ce qui est assez étrange, c’est qu’ils bénéficient d’une excellente mise en température, mais aussi d’une très faible dégradation », a déclaré Horner.

« Habituellement, l’un se fait au détriment de l’autre. Donc, sur ce circuit, ils semblent certainement avoir maîtrisé cela. »

Horner estime qu’en Australie, la monoplace de McLaren était dans « une position idéale » et « très bien équilibrée ».

« Quand on a une voiture très bien équilibrée, tout le monde a l’air différent. C’est toujours une interaction entre l’aérodynamique et la mécanique.»

« Vous pouvez voir la McLaren, ils sont dans une position idéale, en particulier sur ce circuit. Ensuite, cela s’accompagne d’une très bonne dégradation. La voiture est très douce avec les pneus. »

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McLaren va-t-elle outrageusement dominer la saison de F1 2025 ?

McLaren a entamé la saison de Formule 1 2025 en tant que grand favori, une étiquette qui s’est encore renforcée après le Grand Prix d’Australie.

Lando Norris a converti la pole position en victoire à Albert Park, devant Max Verstappen et George Russell. Tout semblait indiquer que McLaren allait réaliser un doublé, mais Oscar Piastri a été victime d’un tête-à-queue en fin de course après avoir été surpris par une averse soudaine et violente.

Verstappen n’a pas pu rivaliser avec les McLaren, le Néerlandais ayant révélé après le Grand Prix que l’équipe basée à Woking gérait incroyablement bien ses pneus.

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En qualifications, Norris a été quatre dixièmes plus rapide que le quadruple champion du monde en troisième position, illustrant l’avantage de McLaren sur un tour.

Tout comme dans un meilleur casino en ligne de France, où la stratégie et la précision sont essentielles pour décrocher la victoire, McLaren a su faire la différence sur le circuit en optimisant la gestion de ses pneus.

Beaucoup dans le paddock s’attendent à ce que McLaren soit rattrapé par Red Bull, Mercedes et Ferrari.

Lando Norris a égalé un record de Lewis Hamilton en remportant le GP d’Australie

Le week-end dernier, à Melbourne, Lando Norris a en quelque sorte marqué l’histoire avec sa victoire au Grand Prix d’Australie, s’emparant de la tête du championnat.

La victoire de Lando Norris au Grand Prix d’Australie, qui a ouvert la saison 2025 de F1, a non seulement lancé idéalement sa course au titre, mais elle a également marqué un tournant historique.

En battant Max Verstappen dans des conditions difficiles à Melbourne, Norris a signé sa cinquième victoire en carrière depuis ses débuts en 2019. Ce succès lui permet de devenir le premier pilote McLaren à prendre la tête du Championnat du monde depuis Lewis Hamilton, après le Grand Prix du Canada 2012. Un exploit remarquable qui rappelle que, tout comme choisir le meilleur casino en ligne de France, il faut savoir saisir les bonnes opportunités pour atteindre la victoire.

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À 25 ans, le Britannique a mis fin à une série de 1 029 jours et 63 courses, ou l’on voyait Max Verstappen en tête du classement des pilotes, une domination qui remontait au Grand Prix d’Espagne 2022.

C’est également la première fois que Norris enchaîne deux victoires consécutives en F1, après sa victoire lors de la dernière course de la saison 2024 à Abu Dhabi. Il devient ainsi le premier pilote autre que Verstappen à réaliser cet exploit depuis Hamilton en 2021, lors de ses victoires au Brésil, au Qatar et en Arabie Saoudite.

À 25 ans, le Britannique a mis fin à une série de 1 029 jours et 63 courses, où l’on voyait Max Verstappen en tête du classement des pilotes, une domination qui remontait au Grand Prix d’Espagne 2022.

C’est également la première fois que Norris enchaîne deux victoires consécutives en F1, après sa victoire lors de la dernière course de la saison 2024 à Abu Dhabi. Il devient ainsi le premier pilote autre que Verstappen à réaliser cet exploit depuis Hamilton en 2021, lors de ses victoires au Brésil, au Qatar et en Arabie Saoudite.

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Ferrari reconnaît avoir commis une erreur stratégique majeure avec Hamilton et Leclerc

Fred Vasseur, directeur de Ferrari, a reconnu que son équipe avait « mal réagi » en tardant à faire rentrer ses pilotes aux stands lorsque la pluie s’est abattue sur le Grand Prix d’Australie.

Tout comme dans un meilleur casino en ligne de France, où une prise de décision rapide et judicieuse peut faire toute la différence entre gain et perte, la stratégie de Ferrari s’est avérée coûteuse en termes de positions sur la piste en raison d’un mauvais choix au moment critique.

Alors que Charles Leclerc et Lewis Hamilton occupaient les cinquième et huitième places, la plupart des concurrents ont opté pour des pneus intermédiaires, tandis que Ferrari a choisi de laisser ses pilotes en slicks. Un pari également tenté brièvement par Red Bull avec Max Verstappen, avant que l’équipe ne corrige rapidement sa stratégie.

Leclerc et Hamilton ont momentanément pris la tête de la course avant que Lando Norris, déjà en pneus intermédiaires, ne les dépasse. Lorsque la pluie s’est intensifiée, l’erreur stratégique de Ferrari est apparue évidente. L’écurie a finalement rappelé ses pilotes au 47e tour.

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À leur retour en piste, Leclerc et Hamilton se sont retrouvés aux neuvième et dixième places.

Vasseur a expliqué cette décision par l’incertitude des conditions : « C’était une situation étrange car les secteurs un et deux étaient encore secs et le secteur trois était complètement mouillé. Je pense que Red Bull et nous avons parié sur le fait que nous devions rester sur la piste et attendre la dernière partie de la course avec des pneus slicks. »

« Quand Mercedes et McLaren, mais McLaren, c’est aussi parce qu’ils sont sortis et ont fait un arrêt au stand deux tours avant. Nous avons pris la mauvaise décision, car je pense que la meilleure option était de faire un arrêt au stand au même tour que Max, et nous avons fait le mauvais choix à ce stade. »

Leclerc a réussi à gagner une place pour terminer huitième, tandis que Hamilton n’a pu prendre que la 10e place après avoir été dépassé par Oscar Piastri de McLaren dans le dernier tour.

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Vasseur a été interrogé sur la confusion apparente dans la communication entre pilotes et ingénieurs de course chez Ferrari.

« Oui, mais c’est très difficile de ne pas avoir de capteur pour la pluie, cela signifie que c’est plus une sensation, c’est ce que nous pouvons voir à l’écran, ce que nous pouvons avoir sur le radar, c’est vrai d’un virage à l’autre », a-t-il déclaré.

« Je pense que nous avons tous été surpris par la quantité de pluie à ce stade de la course, McLaren d’abord, et maintenant nous avons débattu pour rester sur la piste avec les slicks et survivre, mais ce n’était pas la bonne décision. »

La FIA va renforcer ses contrôles sur les ailerons flexibles

Les équipes de F1 feront face à des contrôles plus stricts sur la flexibilité des ailes dès le Grand Prix de Chine. Après avoir introduit une directive technique sur l’aileron arrière lors du GP d’Australie, la FIA a jugé nécessaire de durcir les tests.

Tout comme dans un casino en ligne fiable, où la transparence et la conformité aux réglementations sont essentielles pour garantir l’équité entre les joueurs, la FIA cherche à renforcer les contrôles pour assurer que toutes les équipes respectent les règles techniques concernant la flexibilité des ailes.

Initialement prévue pour le GP d’Espagne en juin, la réglementation sur l’aileron avant (TD18) sera désormais appliquée dès Shanghai.

Après analyse des premières courses, la FIA a estimé avoir des « motifs suffisants » pour introduire des tests plus rigoureux. Les équipes ont été informées de ces nouvelles exigences lundi matin.

« Comme cela a déjà été communiqué, entre la fin de la saison 2024 et le début de la saison 2025, la FIA a exercé l’autorité qui lui est conférée en vertu de l’article 3.15.1 du Règlement technique pour introduire des tests de charge-déformation nouveaux ou plus exigeants pour l’aileron avant (à partir de la neuvième course, Grand Prix d’Espagne), l’aileron arrière supérieur et le montant de l’aileron arrière. En outre, la FIA a demandé aux équipes d’utiliser des caméras lors des séances d’essais libres afin de surveiller les déformations sur piste des voitures lors du Grand Prix d’Australie. »

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« Après avoir analysé les images des déformations de l’aileron arrière combinées aux déflexions statiques mesurées à l’intérieur du garage de la FIA à Melbourne, la FIA a conclu qu’il existait des raisons suffisantes pour introduire un test plus strict sur l’aileron arrière supérieur à partir du prochain Grand Prix de Chine. »

« Plus précisément, l’article 3.15.17, introduit en 2025, stipule que si une charge verticale de 75 kg est appliquée sur l’une ou l’autre extrémité du plan principal de l’aileron arrière, la distance entre le plan principal et le volet (également appelée « fente ») ne doit pas varier de plus de 2 mm. À partir du prochain Grand Prix de Shanghai, cette limite sera réduite à 0,5 mm. En raison du court délai pour Shanghai, seule une tolérance de 0,25 mm sera ajoutée à cette nouvelle limite. »

Malgré l’introduction de ce test plus strict, la FIA a souligné que toutes les voitures se sont avérées légales à la suite des contrôles effectués en Australie.

« La FIA souhaite confirmer que lors de l’épreuve de Melbourne, toutes les voitures testées conformément aux exigences de l’article 3.15.17 et jugées conformes, ont donc été considérées comme légales », ont-ils conclu.

Lando Norris a remporté la course de F1 2025 de dimanche devant Max Verstappen de Red Bull, confirmant ainsi la position de favori de McLaren pour le championnat.

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