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Ce vendredi 12 juin, la Formule 1 a annoncé l’annulation pure et simple de trois manches initialement programmées au calendrier de la saison 2020 : Singapour, le Japon et l’Azerbaïdjan.

Ces trois épreuves viennent s’ajouter à la liste déjà longue des Grands Prix de F1 ayant été tout simplement annulés cette année en raison de la crise sanitaire du coronavirus.

Avec une saison 2020 qui débutera le 3 juillet avec le Grand Prix d’Autriche, on connaît déjà les huit premières manches de l’année qui se dérouleront en Europe et à huis clos, mais il faudra encore attendre un peu avant de connaître le calendrier définitif et complet que la Formule 1 devrait publier avant la fin du mois de juin.

La catégorie reine du sport automobile souhaite toujours disputer au moins 15 courses cette année, alors qu’un maximum de 19 épreuves semble être l’objectif final.

Après la dernière course européenne qui sera disputée sur le circuit de Monza en Italie le 6 septembre, la F1 a admis cette semaine que d’autres courses en Europe pourraient avoir lieu sur des tracés ne faisant pas partie du calendrier officiel de la saison 2020.

Ross Brawn, manager sportif de la F1, a évoqué des tracés tels que Imola [qui vient d’obtenir le renouvellement de son grade 1 par la FIA], Portimao au Portugal ou encore Hockenheim en Allemagne.

On pourrait donc s’attendre à ce que la Formule 1 dispute cette année un maximum de courses en Europe, avant de partir vers l’Asie, les Amériques et les pays du golfe persique.

Les GP annulés en 2020 en F1

Ci dessous, voici la liste des Grands Prix de F1 qui ne font plus partie du calendrier de la saison 2020 et que la F1 ne visitera donc pas cette année :

1. Grand Prix d’Australie
2. Grand Prix des Pays-Bas
3. Grand Prix de Monaco
4. Grand Prix de France
5. Grand Prix d’Azerbaïdjan
6. Grand Prix de Singapour
7. Grand Prix du Japon

L’idée d’introduire des courses qualificatives avec des grilles inversées en F1 « est toujours sur la table » a confirmé Ross Brawn, manager sportif de la Formule 1.

Dans un entretien publié sur le site officiel du championnat du monde de F1, Ross Brawn assure que l’idée des grilles inversées reste toujours d’actualité pour la saison 2021.

Le projet d’ajuster le format de qualifications avec une course sprint à grille inversée pour définir l’ordre de départ de la course du dimanche sur les circuits qui organiseront deux courses cette saison a été mise de côté après que Mercedes s’y soit opposé, empêchant ainsi un accord unanime.

Cependant, il est encore possible de les introduire à l’avenir affirme Ross Brawn : « Les courses en grille inversée sont toujours sur la table pour l’année prochaine. » a déclaré le Britannique, qui a ajouté que toute modification des formats cette année sera « assez subtile »

Rappelons que la Formule 1 débutera sa saison 2020 le 3 juillet sur le circuit Red Bull Ring en Autriche avec déjà les huit premières courses de la saison confirmées et qui se tiendront à huis clos sur six tracés Européens.

Ce vendredi, la Formule 1 a également confirmé l’annulation des Grands Prix de Singapour, du Japon et d’Azerbaïdjan pour la saison 2020.

La Formule 1 a exclu l’idée de ne pas prendre en compte l’ensemble des courses cette saison dans l’établissement des classements finaux – par exemple si un cas de coronavirus empêcherait une équipe de participer à une course.

Ross Brawn, le manager sportif de la Formule 1 a écarté cette idée, car selon lui, des équipes pourraient profiter de la situation pour « jouer » avec les résultats au championnat.

« Nous en avons parlé, à un stade de la faisabilité, de peut-être laisser tomber un ou deux résultats dans les circonstances actuelles. » explique Brawn sur le site de la F1.

« Le problème, c’est que les équipes pourraient jouer. Elles pourraient déterminer comment elles pourraient profiter d’une opportunité et nous pourrions imaginer qu’elles arrivent à une course où elles ne sont pas susceptibles de marquer des points parce qu’elles ont des problèmes, alors elles décident de ne pas terminer. »

« Cela aurait l’air mauvais pour la Formule 1. Il y a toutes sortes de stratégies de jeu qui auraient lieu si il y avait l’opportunité de perdre quelques résultats. »

« Donc, nous avons conclu – d’autant que ce sera un calendrier raccourci – qu’il valait mieux laisser les résultats en place. »

Malgré la campagne raccourcie, Brawn croit toujours que cela comptera comme un titre digne de ce nom : « Ce sera un championnat assez excitant avec un nombre réduit, donc je pense que ce sera un championnat valide. »

« Le meilleur gars va gagner. Nous irons sur une grande variété de pistes et ce sera un championnat aussi valable que n’importe quel autre. »

Le manager sportif de la F1, Ross Brawn, estime que les nouvelles réglementations qui seront introduites en catégorie reine au cours des deux prochaines années permettront à l’équipe Williams de rester dans le sport.

Après avoir enregistré des pertes importantes, Williams a récemment annoncé que son équipe de Formule 1 était officiellement en vente.

Cette déclaration est intervenue peu de temps après la confirmation des nouveaux règlements qui incluent un plafond budgétaire à partir de 2021 de 145 millions de dollars par saison – et qui tombera à 135 millions de dollars d’ici 2023.

Ross Brawn pense que tous ces changements réglementaires vont permettre à Williams de trouver plus facilement de nouveaux partenaires et investisseurs, ce qui lui assurera un avenir dans la catégorie.

« Je pense que ce qui est encourageant, c’est qu’il y a beaucoup de gens sensés qui regardent Williams parce qu’ils peuvent voir les opportunités à l’avenir. » explique Ross Brawn à Racer.

« Je pense qu’ils peuvent voir l’amélioration du paysage de la Formule 1 – économiquement, commercialement et la compétitivité qu’une équipe indépendante devrait avoir à l’avenir. »

« Je pense qu’ils sont capables de le voir, même en ces temps extrêmement difficiles. Ils le voient toujours comme une opportunité. »

« Donc, je pense qu’il y a toutes les chances que Williams accepte de nouveaux partenaires à l’avenir. Nous aimerions les voir rester en tant que Williams, et rester avec l’héritage et l’histoire de Williams. C’est une super équipe et nous aimerions les voir rester. »

« Je pense que le problème dans le passé était qu’il n’y avait aucun contrôle sur les dépenses et que le modèle commercial – notamment le paiement aux équipes – était très fortement à l’avantage des meilleures équipes et il y avait de très mauvais paiements pour les petites équipes. »

« A partir de l’année prochaine, cette pente – si vous imaginez cela comme une pente – va s’aplatir. Les équipes plus petites, les équipes au milieu de terrain et la deuxième moitié de la grille recevront une part du gâteau beaucoup plus importante qu’avant. »

« La taille du gâteau dépend du succès de la Formule 1. La Formule 1 était en très bonne position il y a six mois, elle doit relever ce défi [coronavirus] et cela aura sans aucun doute un impact sur nous, mais je pense que dans six ou 12 mois nous pourrons vraiment la ramener là où elle était. »

Ross Brawn, le manager sportif de la F1, assure que la Formule 1 travaille dur en coulisses pour faire en sorte de publier un calendrier définitif de la saison 2020 avant la fin de l’été.

On sait désormais que la saison 2020 débutera le 3 juillet en Autriche, mais la situation n’est pas très claire pour la suite. Cependant, Brawn dit que les choses avancent vite et que la F1 ne publiera son calendrier une fois qu’elle sera certaine de pouvoir s’y tenir.

« Les choses avancent vite, mais nous avons encore du temps. » explique Ross Brawn au site de la Formule 1.

« Nous avons beaucoup d’options différentes et nous sommes très confiants que nous allons avoir une excellente seconde moitié de la saison, mais il est inutile de faire une déclaration pour le moment, car il reste encore des pièces mobiles que nous devons assembler. »

« Il y a une éventualité pour prolonger la saison européenne avec une ou deux courses supplémentaires si nécessaire. »

La F1 pourrait revenir en Europe

Une multitude de circuits européens sont en cours d’évaluation en tant qu’hôtes potentiels des courses après la première partie de huit courses, y compris le Mugello appartenant à Ferrari, Imola, Portimao au Portugal et Hockenheim, entre autres.

Brawn dit qu’il est possible que la F1 revienne sur l’un des sites européens qui auront déjà accueilli une course en 2020 – le Red Bull Ring, le Hungaroring, Silverstone, Barcelone, Spa et Monza – mais pense que « ce sera probablement de nouveaux sites ».

« Il existe un certain nombre de bonnes pistes européennes où nous pourrions ajouter une ou deux courses supplémentaires pour nous assurer d’avoir une saison complète. »

« Mais nous n’allons pas encore faire de déclaration, car le travail est toujours en cours. Ce que nous voulons vraiment éviter, c’est l’annoncer et le changer. »

Deux courses à Bahreïn ?

Une autre idée qui a été évoquée ces dernières semaines est de disputer au moins deux courses sur le tracé de Bahreïn. Le manager sportif de la F1 estime que cela pourrait être faisable.

« L’une des belles attractions de Bahreïn est qu’il a de nombreuses configurations, donc nous pourrions aller à Bahreïn et y courir sur deux pistes différentes. »

« Il y a une belle sorte de piste presque ovale qui serait assez excitante, et toutes les configurations ont une licence de grade 1 avec la FIA, donc c’est une option que nous avons dans la poche. »

Pirelli, le manufacturier unique de la F1, a dévoilé sa sélection de pneumatiques pour les huit premières courses de la saison 2020, qui débutera le 3 juillet sur le Red Bull Ring de Spielberg en Autriche.

« Avec autant de variables au début de cette saison retardée, et un calendrier flexible qui ne laisse pas beaucoup de temps pour réagir aux circonstances changeantes, il a été convenu avec les équipes, le promoteur et la FIA d’annoncer les nominations de composés pour les huit premières courses cette année toutes ensemble. » nous explique Mario Isola, le directeur de Pirelli en F1.

« Comme d’habitude, ces composés ont été choisis pour correspondre au mieux aux caractéristiques de chaque circuit et offrir des opportunités intéressantes pour la stratégie de course. »

Vous noterez le léger décalage de composés entre les deux courses organisées à Silverstone cet été au début du mois d’août, mais Pirelli n’a pas expliqué la raison.

Les choix de pneus de Pirelli

L’Italien Antonio Giovinazzi se dit « vraiment heureux » d’avoir fait partie de la liste restreinte des pilotes susceptibles de remplacer Sebastian Vettel chez Ferrari, mais admet que « ce n’était pas le bon moment. »

Antonio Giovinazzi, seul pilote italien de la grille actuelle en F1, a longtemps été présenté comme un sérieux candidat au remplacement de Sebastian Vettel chez Ferrari à partir du moment où le quadruple champion du monde déciderait de partir.

Mais finalement, contre toute attente, la Scuderia Ferrari a annoncé la signature d’un pilote extérieur à Maranello il y a quelques semaines (Carlos Sainz) lorsque l’équipe italienne a officialisé le départ de Vettel à la fin de cette saison 2020.

« Je fais toujours partie de la famille et j’étais vraiment heureux d’avoir au moins peut-être la possibilité de prendre ce baquet. » a déclaré Giovinazzi sur Sky Sports.

« Dans ma carrière, je n’ai jamais eu quelques chose de facile. Je me suis toujours battu. Je pense que ce n’était peut-être pas le bon moment, après 23 Grands Prix. »

« L’année dernière, j’ai très bien évolué en cours de saison, mais cette année nous n’avons pas encore couru, donc c’est vraiment difficile pour moi. »

« Je suis encore jeune, donc je suis certain que si je continue comme ça et que je continue à me battre et à travailler très dur, je peux avoir cette possibilité. »

Questionné par la journaliste de Sky Sports pour comprendre pourquoi ce n’était pas le bon moment – en considérant que son prédécesseur chez Alfa Romeo, Charles Leclerc, n’a eu qu’une seule saison avant de rejoindre Ferrari – l’Italien a fait allusion à des circonstances différentes.

« Je sais que Charles a également eu une saison, puis est allé tout de suite chez Ferrari, mais de mon côté, si nous regardons en arrière, nous avons eu du mal dans la deuxième partie de la saison avec la voiture. »

« Donc, même si j’ai grandi en tant que pilote, les résultats n’étaient pas vraiment là. Mais je fais toujours partie de Ferrari et aussi ce que Mattia [Binotto, directeur de la Scuderia Ferrari] dit, c’est qu’ils me suivent toujours et suivent ma carrière. C’est quelque chose de vraiment génial. »

« Je suis certain qu’en continuant à travailler avec Alfa Romeo, nous pourrons toujours avoir un excellent résultat ensemble et c’est mon objectif principal pour l’instant, parce que c’est mon équipe actuellement. »

« Dans le futur nous verrons bien. Je suis toujours un pilote Ferrari, donc je suis sûr que je peux encore avoir cette occasion. »

La FIA et sa commission Women in Motorsport ont lancé le « FIA Girls on Track – Rising Stars », un nouveau projet innovant pour détecter et accompagner les talents féminins du futur.

Le projet, en association avec son premier partenaire, la Scuderia Ferrari, vise à identifier les meilleures pilotes âgées de 12 à 16 ans du monde entier et à les aider à accéder à une carrière professionnelle dans le sport automobile.

En s’associant à la Scuderia Ferrari et sa FDA (Ferrari Driver Academy), la FIA espère développer conjointement une voie forte et à long terme pour accompagner les jeunes femmes dans leur parcours en sport automobile.

Cette collaboration permet aux deux parties de s’engager dans un programme de quatre ans, ce qui permettra à deux pilotes de rejoindre Ferrari pour une saison du championnat FIA de Formule 4.

« FIA Girls on Track – Rising Stars est un autre immense pas en avant au niveau du sport et, avec des partenaires constructeurs, nous avons une opportunité vraiment concrète de trouver, développer et soutenir les jeunes femmes pilotes. » a déclaré Michelle Mouton, Présidente de la Commission des femmes dans le sport automobile auprès de la FIA.

« Pouvoir collaborer avec Ferrari, notre premier partenaire du programme, est une reconnaissance fantastique et réelle des progrès que nous continuons de faire après 10 ans de travail de notre Commission. »

« Il s’agit d’un accord pluriannuel incroyablement excitant, qui, nous l’espérons, fera que deux pilotes gagnantes deviendront les toutes premières coureuses de Ferrari. »

« C’est une pensée très spéciale et ce serait un moment historique pour notre commission Women in Motorsport. »

« Nous sommes très heureux de collaborer avec la FIA dans ce programme innovant Girls on Track – Rising Stars. » a jouté Mattia Binotto, directeur de la Scuderia Ferrari.

« Nous croyons fermement à la valeur d’aider les jeunes à se développer dans le sport automobile. »

« La FDA fonctionne depuis plus d’une décennie maintenant, non seulement en sélectionnant purement et simplement les meilleurs pilotes, mais en travaillant également sur leur éducation culturelle, technique et éthique. »

« Dans cet esprit, nous avons estimé que nous devions faire un effort supplémentaire pour étendre notre zone d’opération afin d’inclure les jeunes femmes qui souhaitent se lancer dans le sport automobile. »

« Bien qu’il n’y ait aucun obstacle réel à leur participation, nous sommes conscients qu’il est plus difficile pour les femmes de progresser dans ce domaine. »

« C’est pourquoi nous avons répondu avec enthousiasme à l’initiative de la FIA et nous pensons que nous pouvons aider à initier encore plus de jeunes femmes à ce sport fantastique. »

« Qui sait, peut-être verrons-nous un jour une femme participer à un championnat du monde de Formule 1 pour la première fois depuis 1976. »

Pirelli rejoint le programme

Le manufacturier de pneus Pirelli a également décidé de rejoindre Ferrari et la FIA en soutenant le programme pour soutenir la progression des jeunes femmes dans le sport automobile.

« Pour Pirelli, c’est un plaisir de soutenir cette initiative qui est totalement alignée sur notre tradition. » a déclaré Mario Isola, directeur de Pirelli en F1.

« En fait, Pirelli soutient des programmes pour jeunes pilotes depuis de nombreuses années et a été impliqué avec la FIA dans plusieurs campagnes axées sur la durabilité et la sécurité. »

« FIA Girls on Track – Rising Stars rassemble tous les meilleurs de ces points et possède de nombreuses caractéristiques pour écrire une page importante dans l’histoire du sport automobile. »

Un stage à la FDA à la clé

Le programme FIA ​​Girls on Track – Rising Stars a débuté plus tôt cette année avec une détection mondiale parmi les 145 autorités sportives nationales de la FIA, qui ont nommé de jeunes pilotes prometteuses ayant une expérience de course nationale ou internationale.

Vingt pilotes des cinq continents ont déjà été sélectionnées et seront désormais invitées à un rassemblement en octobre organisé par la Winfield Racing School, l’école de course emblématique et historique basée sur le Circuit Paul Ricard en France.

À partir de là, 12 pilotes seront sélectionnées pour participer à deux camps d’entraînement différents axés sur le karting et la Formule 4 en octobre et novembre, également organisés par Winfield Racing School avec son partenaire de karting, Praga.

Seules quatre pilotes seront ensuite sélectionnées pour suivre une formation d’une semaine à la Ferrari Driver Academy, également en novembre.

Basée à Maranello, en Italie, l’Académie a pour objectif d’aider à façonner les pilotes dans différents aspects de la préparation personnelle et de la technique de pilotage, ainsi que de les initier au monde économique et médiatique du sport.

La Formule 4 en 2021

Sous réserve de l’évaluation finale, la meilleure des quatre pilotes pourrait se voir attribuer un contrat d’un an pour rejoindre le programme Ferrari Driver Academy pour une saison de Formule 4 FIA en 2021.

Ferrari ayant la possibilité de renouveler le contrat de pilote pour une année supplémentaire, sa première femme pilote de course pourrait également concourir en 2022.

Le pilote Ferrari Charles Leclerc était de retour sur une piste au volant d’un Karting ce mercredi, alors que le Monégasque prépare activement son retour aux affaires avec le début de la saison 2020 programmé le 5 juillet en Autriche.

Charles Leclerc s’est rendu sur la piste South Garda Karting de Lonato en Italie – un incontournable du calendrier européen de karting, que ses rivaux George Russell et Alex Albon ont également visité pendant les vacances d’hiver 2019-2020 – pour y faire quelques tours mercredi, avec des images de la course diffusées en direct via Twitch sur son compte officiel.

« C’est si bon d’être de retour sur la piste. C’était une journée amusante, je piloterai à nouveau demain [jeudi]. » a déclaré Leclerc sur son compte Twitter.

Le Monégasque profite de ces deux journées de roulage pour se remettre en jambe avant de pouvoir rouler au volant d’une F1 dans les prochains jours pour le compte de Ferrari, qui s’apprête à mettre en piste une monoplace de la saison 2018.

En effet, tout comme Mercedes cette semaine, la Scuderia Ferrari va permettre à ses deux pilotes de rouler au volant de la SF71H sur la piste de Fiorano dans le cadre de tests privés et qui serviront uniquement à « enlever la rouille » et aider l’équipe à se familiariser avec les nouveaux protocoles sanitaires mis en place dans le paddock par la Formule 1.

L’ancien pilote de F1 Jean Alesi estime que Ferrari a fait le bon choix en signant l’Espagnol Carlos Sainz à partir de la saison prochaine.

Sainz, qui roule actuellement pour l’équipe McLaren, rejoindra le Monégasque Charles Leclerc chez Ferrari l’an prochain, en remplacement direct de Sebastian Vettel, qui quittera l’écurie de Maranello après six années.

Pour Alesi, le choix de la Scuderia Ferrari est très intelligent, notamment parce que Carlos Sainz ne devrait pas faire de vagues et se concentrera sur son pilotage aux côtés du jeune Leclerc.

« Carlos Sainz est un choix très intelligent de la part de Ferrari. Il est un très bon pilote, avec une famille bien établie dans le sport automobile. » explique Jean Alesi à la Gazzetta Dello Sport.

« Le succès ne leur est pas monté à la tête, de plus, il a déjà piloté pour des équipes telles que Renault ou McLaren. »

« Charles Leclerc ne pourra pas supporter seul le poids de Ferrari sur ses épaules, il a besoin d’un coéquipier rapide et qui ne fait pas de politique au sein de l’équipe. »