EL2 – Hamilton garde la tête, Red Bull en grande difficulté

Les pilotes ont une nouvelle fois retrouvé la piste, cette fois-ci pour y disputer les essais libres 2. La première séance avait été dominée par les Mercedes de Lewis Hamilton et de George Russell.

Facteur important de ce week-end, la température de piste lors des EL2 elle a été encore plus basse qu’en EL1, environ 10°C dans l’air et 13°C au sol. Dès le début de séance, les Mercedes se sont à nouveau montrées en forme sur cette piste le Las Vegas, George Russell passant sous la minute 35.

Red Bull, qui est arrivée à Las Vegas avec une monoplace très chargée, semble en difficulté. Max Verstappen a dans un premier temps été contraint de se contenter d’un huitième temps en ce début de séance.

Une fois les pilotes passés aux pneus tendres, les temps ont bien évidemment chuté. George Russell inscrit un temps de 1’34″015. Son voisin de garage, Lewis Hamilton semblait à cet instant de la séance, plus en retrait. Pendant ce temps, Alexander Albon était bloqué dans son stand, la faute à un problème de système de carburant sur sa Williams.

Alors que Lando Norris prenait la tête du classement des temps, les drapeaux rouges ont été déployés, la faute à une Williams arrêtée en piste.

À vingt minutes de la fin de la séance, Lewis Hamilton s’est positionné en tête du classement des temps avec un chrono de 1’33″825. À cet instant de la séance, le top 10 se composait de Norris, Russell, Sainz, Leclerc, Gasly, Piastri, Hülkenberg, Magnussen et Tsunoda. Il fallait jeter un coup d’œil vers les 15e et 17e places du classement pour voir apparaitre les noms de Max Verstappen et de Sergio Pérez.

Au passage du drapeau à damier, Lewis Hamilton signe une nouvelle fois le meilleur temps, suivi de Lando Norris et George Russell. Pierre Gasly, quant à lui, réalise le sixième meilleur chrono.

PPilote Equipe Temps
1L. HamiltonMercedes1:33.825S
2L. NorrisMcLaren+0.011S
3G. RussellMercedes+0.190S
4C. SainzFerrari+0.280S
5C. LeclercFerrari+0.488S
6P. GaslyAlpine+0.826S
7K. MagnussenHaas+0.861S
8O. Piastri McLaren +0.973S
9N. HülkenbergHaas+0.993S
10Y. TsunodaVCARB+1.172S
11V. BottasSauber+1.195S
12E. OconAlpine+1.396S
13L. StrollAston Martin+1.426S
14F. AlonsoAston Martin +1.615S
15L. LawsonVCARB+1.846S
16G. ZhouSauber+1.940S
17M. VerstappenRed Bull+2.009M
18F. ColapintoWilliams+2.043S
19S. PérezRed Bull+2.230M
20A. AlbonWilliams+5.804M

Sergio Pérez condamne les propos homophobes tenus par son père

Il y a quelques jours, le père de Sergio Pérez, Antonio Pérez, avait tenu des propos homophobes à l’encontre de Ralf Schumacher, ancien pilote de F1.

Il y a un pilote qui était en Formule 1 et qui est maintenant journaliste, qui a d’abord déclaré que Checo était déjà parti de Red Bull et qui, les semaines suivantes, est sorti du placard. Je ne sais pas s’il était amoureux de Checo”, avait alors déclaré Antonio Pérez à ESPN.

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Il y a beaucoup de choses étranges et on ne sait pas si c’est un journaliste, si c’est une femme ou un homme, mais sa parole est mise en doute. Pas à cause de Checo Pérez, mais à cause de sa femme et de ce qu’il a dit”, a conclu le père du pilote mexicain.

En amont du Grand Prix de Las Vegas, il a donc été demandé à Sergio Pérez de donner son point de vue sur les déclarations de son père et s’il en parlerait avec lui.

Oui, bien sûr. Tout d’abord, je ne suis d’accord avec aucun de ses commentaires”, a déclaré Pérez à Sky Sports F1. “Je pense qu’il a commis une erreur à cet égard. Je ne partage aucune de ses opinions, mais en même temps, je ne contrôle pas ce que mon père a à dire. Je ne peux contrôler que ce que je dis.

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Je pense qu’il est important, en tant que sport, de toujours montrer que quoi qu’il se passe sur la piste, cela reste toujours sur la piste. C’est ainsi que je vois les choses et nous devrions toujours être un exemple pour le reste du monde”, a conclu le pilote Red Bull.

De son côté, Ralf Schumacher, qui avait critiqué les performances en F1 du pilote mexicain, avait préféré répondre sur son compte Instagram.

Je soutiendrais aussi mon fils à 100 % et j’essaierais de l’aider. C’est ce que vous faites en tant que père. En ce qui concerne le style, je serais différent, mais nous connaissons Monsieur Pérez avec toutes ses émotions. C’est pourquoi je ne suis pas en colère contre lui. Cependant, je pense que les résultats sur la piste seraient les meilleurs arguments.”

Red Bull – Helmut Marko n’exclut pas un remplacement de pilote de dernière minute

Sergio Pérez peut-il être remercié par Red Bull avant la fin de la saison ? Helmut Marko n’exclut pas cette possibilité.

Sergio Pérez traverse une période plus que compliquée, en effet, ce dernier n’est pas parvenu à monter sur un podium de F1 lors des 16 dernières courses. Sur cette période, il n’a marqué que 66 points, ce qui l’a fait chuter à la huitième position du classement des pilotes. Ces résultats ont également des répercussions sur son écurie. Red Bull, Championne du monde des constructeurs la saison précédente, devrait en effet perdre son titre cette année.

L’écurie, qui avait pourtant pris la tête du Championnat en début de saison, est désormais reléguée à la troisième place, accusant un retard de 49 points sur McLaren et de 13 unités sur Ferrari. Cette situation pourrait entraîner une perte financière importante pour Red Bull, notamment en termes de revenus et de primes liés au classement final.

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Interrogé par OE24 sur la possibilité pour Red Bull de “libérer ” le siège de Pérez avant la finale, le conseiller spécial de l’écurie a répondu : “Nous avons encore trois courses à disputer, nous devrions donc pouvoir en faire la moitié. Peut-être que ça va marcher pour nous après tout ”.

“Si nous remportons le titre cette année encore, ce sera principalement grâce à Max ”, a déclaré Marko. “Avec son pilotage exceptionnel, il a couvert toutes les phases où la voiture n’était pas vraiment bonne ”.

De son côté, Max Verstappen arrivera à Las Vegas avec la possibilité de devenir Champion du monde de F1 pour la quatrième fois. Pour cela, le pilote Red Bull doit s’assurer de repartir des États-Unis avec 60 points d’avance sur Lando Norris. S’il décroche une quatrième couronne, il rejoindra le club très fermé des quadruples Champions du monde de F1 constitué de Sebastian Vettel et Alain Prost. Il ne sera alors devancé que par Juan Manuel Fangio (5), Lewis Hamilton et Michael Schumacher (7).

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Antonio Pérez : “Je n’ai pas l’argent pour acheter une équipe de Formule 1 à mon fils”

Sergio Pérez traverse une saison particulièrement délicate. Au volant de sa Red Bull, le pilote mexicain accumule les contre-performances, ce qui l’a relégué à la huitième place du classement des pilotes. À l’inverse, son coéquipier Max Verstappen domine largement ce même championnat et est sur le point de décrocher son quatrième titre mondial. L’écart entre les deux coéquipiers au classement est colossal : 242 points.

Dans ce contexte, il n’est pas surprenant que des rumeurs concernant un éventuel départ ou une retraite de Pérez circulent. Ses résultats en demi-teinte pourraient également compromettre les chances de Red Bull de finir au-delà de la troisième place au championnat des constructeurs, ce qui serait le plus mauvais résultat de l’équipe depuis 2019.

Cependant, Antonio Pérez, père du pilote mexicain, a une nouvelle fois défendu la place de son fils en F1. Selon lui, c’est grâce à son talent qu’il a toujours un baquet dans la discipline.

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Je ne suis pas M. Stroll, je n’ai pas l’argent pour acheter une équipe de Formule 1 à mon fils et nous n’avons pas le capital pour être là. Checo est là grâce à lui, il y est arrivé grâce à lui, il y est encore grâce à lui et la position qu’il occupe est la sienne”, a déclaré Antonio Pérez à ESPN.

Toujours selon Antonio Pérez, il est tout naturel que son fils soit toujours en F1 puisqu’il a le soutien de nombreux sponsors et de tout un pays.

Tous les autres savent qu’ils ont besoin de sponsors, qu’ils ont besoin du soutien du pays et, à l’heure actuelle, Checo Pérez est la personne la plus connue dans ce pays (le Mexique). Dans le monde et en Amérique latine, il a fait une grande révolution. Tous les autres doivent gagner leur place”, a conclu le père du pilote Red Bull.

Alors que les noms de Franco Colapinto et Liam Lawson sont souvent liés aux rumeurs voyant Sergio Pérez se faire débarquer par Red Bull, le mexicain semble bel et bien en bonne position pour conserver son volant Red Bull en 2025.

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Le père de Sergio Pérez attaque Ralf Schumacher sur son homosexualité

Antonio Pérez, père du pilote de F1 Sergio Pérez s’est attaqué à Ralf Schumacher, ancien pilote de Formule 1, aujourd’hui consultant pour la télévision.

Ralf Schumacher, ancien pilote de F1, s’est récemment intéressé au sort de Sergio Pérez chez Red Bull. Selon l’allemand, le pilote mexicain aurait pu se faire débarquer par Red Bull avant ou après son Grand Prix national. Toutefois, contre toute attente, Sergio Pérez est toujours au volant de la Red Bull et semble même bien placé pour rempiler en 2025.

Les déclarations de Ralf Schumcher ont vraisemblablement touché ou vexé le père du pilote mexicain. Des déclarations plus que limite…

De nombreux médias ont dit qu’il ne courait plus au Mexique ou qu’il faisait ses adieux au Mexique, ils devraient au moins s’excuser”, a déclaré Antonio Pérez à ESPN.

Il y a un pilote qui était en Formule 1 et qui est maintenant journaliste, qui a d’abord déclaré que Checo était déjà parti de Red Bull et qui, les semaines suivantes, est sorti du placard. Je ne sais pas s’il était amoureux de Checo.

Il y a beaucoup de choses étranges et on ne sait pas si c’est un journaliste, si c’est une femme ou un homme, mais sa parole est mise en doute. Pas à cause de Checo Perez, mais à cause de sa femme et de ce qu’il a dit”, a conclu le père du pilote mexicain.

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L’intelligente réponse de Ralf Schumacher

De son côté, sur ses réseaux sociaux, Ralf Schumacher a préféré peser ses mots ou tout simplement réfléchir, avant de répondre au père de Sergio Pérez.

« Je soutiendrais aussi mon fils à 100 % et j’essaierais de l’aider. C’est ce que vous faites en tant que père. En ce qui concerne le style, je serais différent mais nous connaissons Monsieur Perez avec toutes ses émotions. C’est pourquoi je ne suis pas en colère contre lui. Cependant, je pense que les résultats sur la piste seraient les meilleurs arguments« , a écrit Schumacher sur son compte Instagram.

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Sergio Pérez a eu “deux occasions, de changer d’équipe” pour 2025

Sergio Perez, pilote pour Red Bull, a affirmé avoir rejeté “deux opportunités ” d’autres écuries de F1 pour la saison 2025.

Que fera Sergio Pérez en 2025 ? sera-t-il toujours chez Red Bull ? Pilotera-t-il toujours en Formule 1 ? Pour le moment une chose est certaine, il a un accord avec Red Bull pour la saison 2025. Cependant, ses récents résultats voudraient que l’écurie le pousse vers la sortie. Lors des 15 derniers Grands Prix, Sergio Pérez n’a marqué que 48 petits points, alors que Max Verstappen, son voisin de garage, file vers un nouveau titre mondial.

J’ai eu l’occasion, deux occasions, de changer d’équipe ”, a déclaré Perez au magazine GQ, sans toutefois donner le nom des écuries qui l’avaient approché. “Quand j’y ai réfléchi, je me suis dit que j’aimais vraiment le défi que j’avais à relever chez Red Bull. C’est un défi énorme d’être le coéquipier de Max. C’est un défi qui vous prépare à tout. Je me suis donc dit que je voulais passer la dernière partie de ma carrière au sommet, au plus haut niveau, là où la pression est la plus forte.

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La F1 est un sport brutal selon Pérez

En effet, la pression est forte chez Red Bull, mais elle se concentre sur les épaules de Sergio Pérez qui se doit de marque plus de points. En effet, les récentes contreperformances du pilote mexicain ont fait chuter Red Bull à la troisième place du Championnat du monde des constructeurs, dépassée par McLaren et Ferrari. Des rumeurs voient Liam Lawson (RB) ou Franco Colapinto (Williams) remplacer Sergio Pérez chez Red Bull en 2025.

Le sport est ainsi fait. Vous avez une ou deux mauvaises courses, on parle beaucoup de vous de manière négative et ainsi de suite ”, a ajouté Perez. “Mais c’est aussi quelque chose qui fait partie de la culture de l’équipe, de Red Bull. Les discussions autour de l’équipe, les discussions sur les contrats, etc. Cela fait partie du jeu.

En fin de compte, lorsque vous traversez une période difficile, il y a beaucoup de discussions. Mais en fin de compte, il y a 90 % de la grille qui aurait aimé avoir ma carrière. Lorsque vous êtes pilote, vous ne pensez qu’à la prochaine course, au prochain défi, à la prochaine catégorie, au prochain contrat. Il s’agit toujours de la prochaine course, de la prochaine course, de la prochaine course. Parfois, il est bon de prendre du recul et de se rappeler le chemin parcouru. C’est un sport très brutal”, a conclu Sergio Pérez.

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Les écuries de F1 vont présenter ensemble leurs livrées de 2025 à Londres

Pour célébrer le 75e anniversaire de la Formule 1, les 10 écuries du plateau présenteront, le 18 février prochain, leurs livrées 2025 à l’O2 Arena de Londres, une première dans l’histoire de la discipline.

Vous attendiez avec impatience le triste et fade aperçu 3D de la Haas de 2025 ? Et bien cette année vous pourrez la découvrir en chair et en carbone à Londres. En effet, la F1 réunira les 20 pilotes ainsi que leurs directeurs d’équipe, donnant aux fans un premier aperçu de ce à quoi ressemblera la grille de 2025.

Toutefois, il ne faudra pas s’attendre à voir des monoplaces dans leurs formes définitives. En effet, les écuries vont probablement attendre le Grand Prix d’Australie, prévu le 16 mars prochain, pour apposer sur leurs F1 les derniers appendices aérodynamiques.

Les livrées seront donc révélées simultanément lors d’un événement dirigé par BrianBurkeCreative, la société à l’origine des cérémonies d’ouverture et de clôture du Grand Prix inaugural de Las Vegas 2023.

Si vous souhaitez assister au show, il faudra donc vous rendre à Londres et acheter un billet dont le prix peut aller de 70 à 136 euros.

Pour la première fois, nous allons réunir nos fans, les 20 superstars de notre sport et des invités très spéciaux pour donner le coup d’envoi officiel de notre nouvelle saison et marquer notre 75e année de course”, a déclaré Stefano Domenicali, PDG de la Formule 1.

L’année 2025 s’annonce comme une saison remarquable, après toutes les péripéties de l’année 2024. C’est une occasion fantastique pour les fans de tous âges de découvrir de près l’incroyable spectacle qu’est la Formule 1.

Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a ajouté : “La FIA est ravie de se joindre à ses collègues de la FOM et à toutes les équipes pour l’organisation de l’événement inaugural de lancement de la saison de Formule 1. Cet événement servira également de prélude à la célébration du 75e anniversaire de la Formule 1 tout au long de la saison 2025”.

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Enfin, Brian Burke, producteur exécutif et directeur créatif de BrianBurkeCreative, a conclu en déclarant : “C’est un honneur incroyable de poursuivre notre partenariat avec la Formule 1 en créant de nouvelles expériences de divertissement, en particulier ce tout nouvel événement de lancement de la saison 2025 célébrant le 75e anniversaire du sport. Grâce à notre collaboration avec les 10 équipes, les fans peuvent être assurés que nous leur offrirons une expérience en direct vraiment passionnante, combinant le dévoilement des nouvelles livrées, des interviews avec les plus grands noms de la F1, et des divertissements à la pointe de la technologie. Ce sera un événement inédit à ne pas manquer !

Sergio Pérez pourrait rester chez Red Bull en 2025, aidé par de gros sponsors

Sergio Pérez pourrait bien réussir à entamer la saison 2025 chez Red Bull, emmenant avec lui de nouveaux sponsors jugés puissants.

En difficulté chez Red Bull depuis de longs mois, Sergio Pérez voit sa place de plus en plus menacée. Malgré la signature d’un contrat jusqu’à fin 2026, les récentes performances du Mexicain le placent plus que jamais sur la sellette.

Liam Lawson et Yuki Tsunoda semblent ainsi être comparés en cette fin de saison chez VCARB dans le but d’une éventuelle promotion au sein de l’écurie mère. Helmut Marko, conseiller Red Bull, n’a lui pas caché son envie de voir un junior de l’écurie autrichienne aux côtés de Max Verstappen en 2025.

Toutefois, tout n’est pas aussi simple. La place de Sergio Pérez ne semble pas être uniquement liée à ses performances, mais également à ses (nombreux) sponsors.

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De nouveaux puissants sponsors pour Pérez ?

Selon Marca, le très populaire Mexicain débutera la saison 2025 chez Red Bull, alors qu’il bénéficiera de nouveaux sponsors, certains partenaires étant jugés très puissants. 

Toujours selon le média espagnol, Red Bull touche environ 30 millions de dollars des sponsors liés à Pérez, sachant que ses partenaires paient également son salaire, estimé à plus de 10 millions de dollars.

Hormis ses avantageux sponsors, Marca indique également qu’une comparaison entre Pérez, Lawson, Tsunoda et même Ricciardo a été effectuée au simulateur sur la RB20, sans que personne ne parvienne à battre les temps du Mexicain, ce qui lui aurait permis de sauver son baquet dès le milieu de saison 2024. 

Tous ces éléments font ainsi dire au média espagnol que Sergio Pérez devrait bien poursuivre son aventure chez Red Bull, tout en précisant “sauf changement de dernière minute (ce qui n’est pas impossible pour Red Bull).”

La prudence doit en effet rester de mise sur ce dossier, surtout si Sergio Pérez continue de prendre l’eau week-end après week-end jusqu’à la fin de saison. Alors que son coéquipier Max Verstappen se dirige vers une quatrième couronne consécutive, Pérez ne pointe qu’au huitième rang, à 242 unités. Pire, Red Bull a chuté à la troisième place chez les constructeurs, quelque chose d’inimaginable en début de saison.

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Pérez n’a “pas la moindre chance” d’être dans la Red Bull en 2025, selon Eddie Jordan

Eddie Jordan, ancien patron d’écurie en F1, est certain que Sergio Pérez ne sera pas dans la Red Bull en 2025.

On ne peut que le dire et le redire, Sergio Pérez vit une saison bien compliquée. Au volant de sa Red Bull, le pilote mexicain a enchainé les contre-performances lors des derniers Grands Prix et pointe aujourd’hui au huitième rang du classement des pilotes. Son voisin de garage, Max Verstappen, est de son côté leader de ce même Championnat et peut devenir quadruple Champion du monde de F1 lors de la prochaine course. Enfin, un gouffre de 242 points sépare les deux pilotes au Championnat.

C’est alors tout à fait normal de voir le nom de Sergio Pérez être mêlé à des rumeurs de départ et même de retraite. Les résultats du pilote mexicain vont probablement faire échouer Red Bull à la troisième place du Championnat des constructeurs, le plus mauvais résultat de l’écurie depuis la saison 2019.

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Revenant sur le cas de Sergio Pérez chez Red Bull, Eddie Jordan a alors déclaré :

“Perez, vous savez, il a maintenant eu combien d’occasions. Pensez-vous qu’il aura un volant l’année prochaine, David [Coulthard]? Il n’y a aucune chance. Pas la moindre chance.”

“C’est un homme charmant, charmant, charmant. Mais nous savons que les gentils ne gagnent pas les Grands Prix.”

Depuis le départ de Daniel Ricciardo, remplacé chez Racing Bull par Liam Lawson, la pression sur les épaules de Sergio Pérez s’est accentuée. Red Bull ne le cache pas, elle évalue actuellement des compétences et les qualités de pilote de F1 de Liam Lawson.

“Alors que Lawson est l’affaire, il fait partie de la famille, il fait partie de l’équipe et il devrait être dans… Il est la personne qui devrait être dans cette voiture”, a conclu Eddie Jordan.

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Pérez affirme avoir réalisé “l’un de ses meilleurs” week-ends de la saison au Brésil

Sergio Pérez, pilote pour Red Bull en F1, affirme être très satisfait de son week-end de course au Brésil.

Contre toute attente Sergio Pérez a déclaré que son week-end de course à São Paulo était “l’un de ses meilleurs” de cette saison de F1. Le pilote mexicain n’a pourtant récolté qu’un seul point.

En résumé, Sergio Pérez s’est qualifié en 13e position sur la grille de départ de la Course Sprint. Lors de cette première course, il a terminé à la huitième place, récoltant de fait le dernier point alloué. Le coéquipier de Max Verstappen s’est à nouveau élancé depuis la 13e marque sur la grille de départ du Grand Prix du Brésil, terminant à une triste onzième position. Sa course a rapidement été plombée par un tête-à-queue dans le premier tour du Grand Prix.

Son voisin de garage, qui s’élançait depuis la 17e place sur la grille de départ du Grand Prix du Brésil, s’est imposé avec la manière avec plus de 51 d’avance sur Sergio Pérez.

Alors que le pilote mexicain est en plein milieu d’une tempête médiatique, des rumeurs faisant état de son départ de Red Bull et même de son départ à la retraite, c’est au final un nouveau mauvais week-end de course.

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Pérez a vu des points positifs

C’est la troisième fois que le pilote de 34 ans ne termine pas dans la zone des points lors des cinq derniers Grands Prix. Malgré cela, Sergio Pérez a affirmé avoir appris beaucoup de choses du Grand Prix du Brésil.

Il y a des points positifs dans ce week-end, et évidemment, la victoire de Max est très importante pour l’équipe”, a déclaré Sergio Pérez. “En ce qui concerne l’élan, le week-end a été très fort en termes de rythme, donc il y a beaucoup de points positifs.

“Je pense que c’était l’un des meilleurs week-ends en termes de rythme. Nous avons mis la voiture sur la piste et nous avons tout de suite été très compétitifs en FP1. Le week-end a été beaucoup plus compétitif et j’espère que l’élan nous reviendra”, a conclu le pilote Red Bull.

Alors que Max Verstappen pourrait décrocher une quatrième couronne mondiale dès le prochain Grand Prix, Sergio Pérez pointe à la huitième place du Championnat du monde des pilotes. Le Mexicain accuse un retard record de 242 points sur son coéquipier.

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“Si j’étais le patron de Red Bull…” – Eddie Jordan nomme le remplaçant de Sergio Pérez

Eddie Jordan, ancien patron d’écurie en F1, estime que Red Bull doit tout faire pour remplacer Sergio Pérez par Carlos Sainz en 2025

La pluie, les accidents, les pénalités du Grand Prix du Brésil, on fait du bien à un pilote, qui, pour une fois, a passé un week-end sans être sous le feu des projecteurs et des critiques. En effet, depuis plusieurs mois, pas un seul week-end de course ne se passe sans que le nom de Sergio Pérez soit lié à une rumeur de départ ou de retraite.

Pour rappel, Sergio Pérez est en difficulté chez Red Bull et semble se rapprocher chaque jour de la porte de sortie. Le dernier podium de ce dernier remonte au Grand Prix de Chine, au mois d’avril dernier. Il accuse également un retard record de point au Championnat du monde des pilotes avec son voisin de garage. Pire, ses récentes performances … ou non-performances, enverraient Red Bull vers son plus mauvais classement des constructeurs depuis 2019 – troisième – derrière McLaren et Ferrari.

Si pour certains, Sergio Pérez doit être remplacé par Liam Lawson ou Franco Colapinto, d’autres, comme Eddie Jordan, préfèreraient voir Carlos Sainz réintégrer la famille Red Bull.

C’est ce qui devrait arriver [Sainz remplaçant Perez] et si j’étais le patron de Red Bull, n’oubliez pas que Carlos Sainz est entré dans la famille Red Bull il y a de très nombreuses années.” a déclaré l’ancien patron d’écurie dans le dernier épisode du podcast Formula for Success.

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Il ne s’agit donc pas de quelqu’un qui vient de Ferrari ou qui vient d’ailleurs. Il vient du fait qu’il a été un pilote Red Bull. C’est ce que j’ai dit à Carlos Sr, vous ne savez jamais quelle porte va s’ouvrir pour vous parce que la Formule 1 est pleine d’intrigues, pleine d’excitation, pleine d’inconnu, vous ne pouvez pas croire ce qui est susceptible d’arriver. Et c’est l’un des scénarios qui pourraient se produire, mais c’est peu probable pour le moment”, a conclu Eddie Jordan.

Pour le moment, on a tendance à l’oublier, Sergio Pérez a un contrat avec Red Bull pour la saison prochaine, il en va de même pour Carlos Sainz avec Williams. Mais si vous vous intéressez à la F1, vous savez que dans ce sport, tout peut changer en une fraction de seconde.

Christian Horner reconnait que Red Bull a discuté avec Fernando Alonso

Ces derniers mois, la question du second baquet Red Bull a été au cœur des rumeurs et des controverses. Sergio Pérez est en effet sur un siège éjectable et s’accroche avec force à son volant.

Si la saison 2024 avait plutôt bien débuté pour le pilote mexicain avec quatre podiums lors des cinq premières courses, tout a basculé à partir du moment où il a prolongé son contrat avec Red Bull. En effet, Sergio Pérez est aujourd’hui complètement décroché par les pilotes de tête et surtout par son coéquipier, Max Verstappen.

Pour rappel, le contrat liant Fernando Alonso à Aston Martin devait expirer à la fin de la saison en cours. Il est bien connu que le double Champion du monde a toujours un œil sur la concurrence et analyse toujours les options qui s’offrent à lui.

Je me souviens d’une réunion avec lui, avec Adrian [Newey], en 2011 ou 2012 à l’arrière d’une voiture de location à l’aéroport de Spa, au sujet du passage de Ferrari et même au début de cette année [nous avons parlé]”, a déclaré Christian Horner, directeur de l’écurie Red Bull.

À l’époque, le contrat de Sergio n’avait pas été prolongé, et Fernando est un pilote expérimenté qui veut toujours connaître toutes les options qui s’offrent à lui. Entre lui et son manager, Flavio, ils sont toujours en train de sonder le marché et cela montre à quel point il est toujours compétitif et performant à l’âge de 43 ans.

“Il est toujours en pleine forme et cela montre que l’âge n’est qu’un chiffre. C’est toujours un pilote de grand prix très compétent et, si on lui en donnait les moyens, je suis sûr qu’il serait aux avant-postes.”

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Alonso aurait-il pu briller avec Red Bull ?

Fernando Alonso est le premier pilote de l’histoire de la F1 à avoir dépassé la barre symbolique des 400 engagements en Grand Prix. Toutefois, le pilote espagnol ne compte aujourd’hui “que” deux titres mondiaux à son actif. Selon Christian Horner, Fernando Alonso aurait pu en compter plus s’il avait fait d’autres choix de carrière.

« C’est un formidable compétiteur, et à la fin de son premier passage chez McLaren, je me souviens d’être allé à Madrid et d’avoir insisté pour qu’il monte dans la voiture« , a ajouté Horner.

« Nous voulions un contrat de deux ans et il n’était prêt à signer que pour un an, et nous étions convaincus qu’il avait un contrat avec Ferrari dans sa poche arrière à ce moment-là, donc nous n’avons pas eu d’accord. »

« S’il était venu nous voir en 2009, les choses auraient peut-être été différentes – et même au milieu de l’année 2009, il était convaincu que s’il montait dans notre voiture, il pourrait encore gagner le championnat cette année-là« , a conclu le directeur de l’écurie Red Bull.

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Les pilotes de F1 s’attaquent à la FIA et à son président

L’Association des pilotes de Grand Prix, qui regroupe tous les pilotes actuels de F1, a adressé une déclaration au président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, pour exprimer leurs préoccupations. Les pilotes ont souligné plusieurs points, notamment une demande de réévaluation des récentes sanctions imposées pour propos injurieux, après les critiques de Ben Sulayem. Max Verstappen a, par exemple, été sanctionné d’une peine similaire à des travaux d’intérêt général pour des jurons prononcés lors de la conférence de presse à Singapour. Charles Leclerc, quant à lui, a écopé d’une amende de 10 000 euros, dont 5 000 euros avec sursis d’un an, pour des propos similaires en conférence de presse au Mexique.

Le GPDA a également exhorté le président de la FIA à revoir sa manière de communiquer, rappelant que les pilotes sont des « adultes » et n’ont pas besoin de conseils sur des sujets “triviaux”. De plus, la lettre inclut une demande de transparence quant à l’utilisation des fonds provenant des amendes infligées aux pilotes et aux équipes. Tous ces sujets ont été discutés lors d’une récente réunion des pilotes au Mexique, qui a abouti à cette déclaration pour exprimer leurs préoccupations.

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Déclaration intégrale du GPDA

Comme c’est le cas dans tous les sports, les participants doivent se conformer à la décision de l’arbitre, qu’ils l’apprécient ou non, qu’ils soient d’accord avec elle ou non. C’est ainsi que fonctionne le sport. Les pilotes (nos membres) ne sont pas différents et le comprennent parfaitement.

Nos membres sont des pilotes professionnels qui courent en Formule 1, le summum du sport automobile international. Ils sont les gladiateurs et chaque week-end de course, ils offrent un grand spectacle aux fans.

En ce qui concerne les jurons, il y a une différence entre les jurons destinés à insulter les autres et les jurons plus décontractés, tels que ceux que vous pourriez utiliser pour décrire le mauvais temps, ou même un objet inanimé tel qu’une voiture de Formule 1, ou une situation de conduite.

Nous demandons instamment au Président de la FIA de tenir compte de son propre ton et de son propre langage lorsqu’il s’adresse à nos pilotes membres ou qu’il parle d’eux, que ce soit dans un forum public ou autre. De plus, nos membres sont des adultes, ils n’ont pas besoin de recevoir des instructions par l’intermédiaire des médias, sur des sujets aussi triviaux que le port de bijoux ou de caleçons.

Le GPDA a, à de nombreuses reprises, exprimé son opinion selon laquelle les amendes infligées par les chauffeurs ne sont pas appropriées pour notre sport. Au cours des trois dernières années, nous avons demandé au président de la FIA de partager les détails et la stratégie concernant la manière dont les amendes financières de la FIA sont allouées et où les fonds sont dépensés. Nous avons également fait part de nos inquiétudes quant à l’image négative que les amendes financières donnent de notre sport. Nous demandons une fois de plus au Président de la FIA de dévoiler la transparence financière et d’engager un dialogue direct et ouvert avec nous. Toutes les parties prenantes (la FIA, la F1, les équipes et le GPDA) devraient déterminer ensemble comment et où l’argent est dépensé au profit de notre sport.

Le GPDA souhaite collaborer de manière constructive avec toutes les parties prenantes, y compris le président de la FIA, afin de promouvoir notre grand sport dans l’intérêt de tous ceux qui y travaillent, le paient, le regardent et l’aiment. Nous jouons notre rôle.

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La stat folle liée au nombre de tours menés par Esteban Ocon en 2024

Le nombre de tours menés par Esteban Ocon dimanche à São Paulo a donné lieu à une stat assez incroyable.

Incroyable, c’était déjà le mot de la journée du dimanche, avec cette remontée folle de Max Verstappen, de 17e à vainqueur, mais bien sûr également avec le double podium improbable des pilotes français au volant de leur Alpine en difficulté tout au long de la saison.

Alors qu’Esteban Ocon a finalement terminé deuxième, le Français a mené la course pendant un bon nombre de tours avant le drapeau rouge. En effet, contrairement au pilote devant lui, le Français est resté en piste sur ses pneus intermédiaires, et ce même lorsque le déluge s’est abattu sur Interlagos.

Une stat folle ressort alors des tours passés en tête par le pilote normand. En effet, avec 14 tours en tête au Brésil, Esteban Ocon a donc mené plus de tours en Grand Prix cette saison au volant de son Alpine que Sergio Pérez au volant de sa Red Bull ! Le Mexicain ne possédant qu’un seul petit tour en tête d’un Grand Prix sur toute cette année.

Ocon est également le seul pilote hors des quatre meilleures équipes 2024 à avoir mené un Grand Prix cette année.

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Red Bull négocierait avec Williams pour récupérer Carlos Sainz

Et si Christian Horner cherchait à tout prix à faire revenir Carlos Sainz dans le giron Red Bull ?

Contre toute attente, la visite de Christian Horner dans le motor-home Williams n’avait pas pour but de prendre un café, comme l’a pourtant affirmé James Vowles. Selon certaines rumeurs, le directeur de la firme autrichienne serait passé chez Williams afin de se dégoter un pilote pour la saison prochaine.

Si de nombreuses rumeurs envoient Franco Colapinto chez Red Bull en lieu et place de Sergio Pérez, il en serait finalement tout autre. En effet, Christian Horner, directeur de l’écurie Red Bull, chercherait activement à faire venir Carlos Sainz.

Hmm… Si j’étais Horner, je serais en train de négocier un prix pour faire entrer Carlos Sainz dans la grande équipe et laisser Williams garder Colapinto”, a suggéré Karun Chandhok sur Sky Sports.

La pression se fait de plus en plus grande sur les épaules de Sergio Pérez qui enchaine les mauvais résultats, terminant même à la dernière place du Grand Prix du Mexique la semaine dernière. Dans un premier temps, la piste Franco Colapinto a pris de l’ampleur pour venir remplacer le pilote mexicain. Il est vrai que les performances du jeune pilote argentin ne pouvaient pas laisser insensible un directeur d’écurie comme Christian Horner. Ce dernier avait même déclaré qu’il ferait une faute professionnelle s’il ne s’intéressait pas un minimum au pilote Williams. Toutefois, formé par l’écurie britannique, Williams serait simplement d’accord à prêter son pilote, une solution qui ne convient pas à Red Bull.

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Sainz de nouveau coéquipier de Verstappen ? 

C’est pourquoi la rumeur Carlos Sainz prend à son tour de l’ampleur. Le pilote espagnol a été formé par l’écurie autrichienne et a fait ses débuts en F1 aux côtés de Max Verstappen chez Toro Rosso. Maintenant, le clan Max Verstappen serait-il prêt à faire équipe avec un pilote qui a soif de victoire ? Red Bull ne peut plus se permettre de ne marquer des points qu’avec une seule voiture …

“Oui oui, le camp de Max ne veut apparemment pas de lui, mais cela fait une décennie qu’ils n’ont pas été coéquipiers (remettez-vous-en !) et cette année a montré qu’ils ont besoin de deux pilotes qui marquent”, a conclu le consultant pour Sky Sports.

Si la rumeur devenait réalité, alors Carlos Sainz (qui cherchait à rejoindre Red Bull au moment de l’annonce de son départ de Ferrari), pourrait alors retrouver une top team, sans jamais avoir roulé au volant d’une Williams.

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Qualifs sprint – Piastri d’un souffle devant Norris, Pérez encore décevant

Oscar Piastri a signé le meilleur tour de la qualification sprint. Le pilote McLaren a devancé Lando Norris et Charles Leclerc. Sergio Pérez et Hamilton déçoivent, Gasly septième.

Norris impressionne, Tsunoda sous pression

C’est en pneus médiums que les 20 pilotes se sont élancés pour cette SQ1 de 12 minutes. Certains pilotes comme Charles Leclerc ont d’entrée inscrit un temps, de peur que la pluie fasse son apparition. Le premier tour du pilote Ferrari n’a pas été bon puisqu’il a rapidement été battu par les Alpine de Gasly et d’Ocon.

À six minutes de la fin de la SQ1, Oscar Piastri apparaissait en tête de la feuille des temps (1:10.265), il devançait alors Nico Hülkenberg, Liam Lawson, Max Verstappen et Lando Norris. Les pilotes dans la zone rouge étaient Valtteri Bottas, Lance Stroll, Carlos Sainz, Guanyu Zhou et Franco Colapinto.

Sur un second tour, les deux Ferrari de Charles Leclerc et Carlos Sainz sont remontés en seconde et quatrième position. Oliver Bearman, remplaçant de dernière minute de Kevin Magnussen chez Haas, était qualifié avec le douzième temps … juste derrière Sergio Pérez.

Au passage du drapeau à damier, indiquant la fin de la SQ1, Lando Norris a signé le meilleur temps de cette première partie de séance, sept dixièmes devant son coéquipier Oscar Piastri. Fernando Alonso, Esteban Ocon, Yuki Tsunoda, Lance Stroll et Guanyu Zhou ont été éliminés. Mauvaise opération pour Tsunoda qui saute dès la SQ1 alors que Liam Lawson passe en SQ2. Lewis Hamilton, Pierre Gasly et Valtteri Bottas sont passés de justesse.

Hamilton et Pérez chutent en SQ2

C’est toujours sur des pneus médiums que les 15 pilotes rescapés sont retournés en piste. Cette fois-ci ils n’ont disposé que de 10 minutes pour inscrire un temps. Comme pour la SQ1, les pilotes se sont empressés de signer un premier temps, jetant toujours des regards inquiets vers le ciel et ses gros nuages.

Lando Norris a frappé d’entrée avec un temps de 1:09.063, collant plus de quatre dixièmes à son premier poursuivant, Carlos Sainz. Suivaient alors Oscar Piastri, George Russell et Charles Leclerc.

À cinq minutes de la fin de la SQ2, Max Verstappen est allé prendre la seconde place, toujours à quatre dixièmes de Lando Norris. Sergio Pérez quant à lui n’a pu signer que le neuvième temps et devançait le dernier qualifié, Lewis Hamilton. Les pilotes dans la zone à risque étaient Franco Colapinto, Valtteri Bottas, Oliver Bearman, Nico Hülkenberg et Liam Lawson.

Sergio Pérez a encore une fois manqué sa séance et s’est arrêté en SQ2. Il a en plus vu Liam Lawson passer en SQ3, mauvaise nouvelle pour le pilote mexicain. Ce dernier a été accompagné dans la zone éliminatoire par Lewis Hamilton, Nico Hülkenberg, Franco Colapinto et Valtteri Bottas.

Belle prestation d’Oliver Bearman qui a envoyé sa Haas en SQ3, Russell, Lawson et Albon qualifiés d’un rien.

Piastri signe la pole de la course sprint

Pneus tendres, réservoirs presque vides, les 10 pilotes restants sont retournés en piste avec la ferme intention de déployer le plein potentiel de leurs monoplaces. Les deux McLaren sont sorties en premières, alors que les Ferrari et la Red Bull de Max Verstappen sont restés dans les stands. Lando Norris a signé un temps de 1:08.928, d’un rien devant Oscar Piastri.

Les Ferrari sont sorties en piste à trois minutes de la fin de la séance, pour un seul et unique tour rapide. Charles Leclerc est allé s’intercaler entre les deux McLaren alors que Carlos Sainz n’a pas pu aller plus vite qu’Oscar Piastri.

Sur une ultime tentative, Oscar Piastri est allé signer le meilleur temps de la séance, devant Lando Norris et Charles Leclerc.

Les résultats des Qualifications Sprint du Grand Prix du Brésil

Pilote Equipe Temps
1O. Piastri McLaren 1:08.899S
2L. NorrisMcLaren+0.029S
3C. LeclercFerrari+0.254S
4M. VerstappenRed Bull+0.320S
5C. SainzFerrari+0.358S
6G. RussellMercedes+0.544S
7P. GaslyAlpine+0.723S
8L. LawsonVCARB+1.042S
9A. AlbonWilliams+1.179S
10O. BearmanHaas1:09.629M
11L. Hamilton Mercedes1:09.941M
12N. HülkenbergHaas1:09.964M
13S. PérezRed Bull1:10.024M
14F. ColapintoWilliams1:10.275M
15V. BottasSauber1:10.595M
16F. Alonso Aston Martin 1:10.978M
17E. OconAlpine1:11.052M
18Y. TsunodaVCARB1:11.121M
19L. StrollAston Martin1:11.280M
20G. ZhouSauber1:12.978M

Colapinto a “les qualités nécessaires” pour remplacer Pérez, selon ce directeur d’écurie

Selon James Vowles, Franco Colapinto a tout à fait les qualités requises pour remplacer Sergio Pérez chez Red Bull. L’Argentin pourrait également mettre la pression sur les épaules d’Alex Albon. 

Si l’on reste pragmatique et qu’on prend en compte les contrats de chaque pilote avec leur écurie respective, il n’y a pas de place pour Franco Colapinto en F1 la saison prochaine, même chez Audi-Sauber. Une situation plutôt frustrante quand on voit de quoi est capable le jeune pilote argentin au volant de sa modeste Williams. Pour certains, Franco Colapinto devrait trouver un baquet en 2025 et pourrait même mettre la pression sur plusieurs pilotes titulaires.

Selon l’ancien pilote de F1, Juan Pablo Montoya, l’Argentin de 21 ans pourrait déjà mettre la pression sur Alex Albon, titulaire de l’écurie Williams.

Il est clair qu’il met la pression sur Alex Albon”, a déclaré le Colombien. “Si vous regardez ce qu’Albon a fait depuis l’arrivée de Colapinto… Que se passera-t-il lorsque Sainz arrivera dans l’équipe ? Laissera-t-on partir Albon ?

James Vowles, directeur de l’écurie Williams, aurait fait tout son possible en coulisse pour trouver un baquet à son pilote en 2025. Le nom du jeune argentin a été cité du côté de chez Audi-Sauber ou de Visa Cash App RB, l’équipe sœur de Red Bull.

Toutefois, l’ancien pilote de F1 estime qu’il serait trop dangereux de laisser partir Colapinto, véritable petite pépite de l’académie Williams.

Si j’étais Williams, je ne laisserais certainement pas partir Colapinto, surtout maintenant que Carlos se dirige dans cette direction”, a déclaré Montoya.

Le directeur de Williams, James Vowles, estime que Franco Colapinto pourrait même être un candidat potentiel pour remplacer Sergio Pérez chez Red Bull. Selon ses propos rapportés par Auto Motor und Sport, il pense que Colapinto a “les qualités nécessaires pour remplir ce rôle aux côtés de Max Verstappen.

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Red Bull intéressé par Colapinto, oui mais… 

Une solution refusée par Red Bull qui ne conçoit pas de faire rouler un pilote dans son écurie sans avoir la main sur son contrat.

“Nous voulons Colapinto de cette manière : tout ou rien”, a déclaré le Dr Helmut Marko, conseiller de l’équipe.

De son côté, Franco Colapinto se tourne vers le futur, même s’il doit faire l’impasse sur la saison 2025.

J’aimerais beaucoup être en F1, mais c’est très compliqué”, a-t-il déclaré à Fox Sports Argentina. “Je ferai tout ce qui est possible pour participer à quelque chose en 2025 et maintenir le rythme de la compétition. Je suis sûr que je reviendrai [en F1]. Si ce n’est pas en 2025, ce sera en 2026 ou 2027, c’est certain.”

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Le soutien financier de Sergio Pérez pourrait arrêter de sponsoriser Red Bull

Le sponsor de Sergio Pérez, l’Escuderia Telmex, pourrait ne plus être associé à Red Bull la saison prochaine.

Le président de l’entreprise mexicaine de communications, Carlos Slim Domit, a confirmé que des discussions étaient en cours avec Red Bull, tout en assurant conserver le sponsoring lié à Sergio Pérez.

“Nous discutons avec l’équipe, nous sommes toujours en pourparlers, ce n’est pas définitif, mais celui avec lequel nous avons toujours l’intention de continuer est Checo”, a indiqué Carlos Slim Domit à ESPN. 

Tant que nous pourrons continuer avec lui, il n’y aura aucun doute. La question du contrat de Checo est indépendante de la question de notre sponsoring, il en a toujours été ainsi depuis qu’il a signé avec l’équipe, mais s’il n’y avait plus d’opportunité de continuer avec l’équipe, nous continuerions certainement avec Checo. L’intention est de continuer avec Checo, où qu’il soit, nous serons avec lui.”

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L’arrivée d’un concurrent à l’Escuderia Telmex chez Red Bull pourrait poser problème 

Selon ESPN Argentine, un concurrent à Escuderia Telmex, à savoir AT&T, va investir de manière importante chez Red Bull, ce qui serait la raison du possible retrait de l’entreprise mexicaine. 

Cela pourrait être un argument supplémentaire chez Red Bull pour se permettre d’écarter Sergio Pérez en 2025, dans un contexte où la place du Mexicain au sein de l’écurie autrichienne est très incertaine.

Également interrogé sur le cas Franco Colapinto, Carlos Slim Domit assure que “Checo” Pérez et les pilotes mexicains resteront toujours la priorité.

“Nous avons souvent été avec de nombreux pilotes, nous avons été avec Bruno Senna, nous avons été avec Pietro Fittipaldi et nous avons été avec les deux pilotes mexicains Checo et Esteban [Gutiérrez]”, a poursuivi Slim. “S’il y a une opportunité de discuter pour faire quelque chose avec Franco, ce ne serait pas en rapport avec Checo.”

“Nous cherchons toujours à soutenir les pilotes latino-américains, Franco se débrouille très bien, mais il ne fait aucun doute que notre projet le plus important a toujours été de poursuivre le développement des pilotes mexicains et Checo, sans aucun doute, est celui qui nous représente tous.”

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Alors que l’avenir de Sergio Pérez chez Red Bull semble plus incertain que jamais, le Mexicain est lui convaincu qu’il conservera sa place pour la saison prochaine. 

Après une saison qu’il a lui même qualifié de “terrible” ce jeudi avant son Grand Prix à domicile, son week-end mexicain n’a rien arrangé. Qualifié 18e, il a terminé la course dernier, en 17e position, pas aidé par des dégâts sur sa Red Bull suite à un contact avec un certain Liam Lawson, qui pourrait bien le remplacer prochainement.

Au championnat, Sergio Pérez huitième, pointe à 212 points de son coéquipier et leader du championnat, Max Verstappen. Il est également le seul pilote des quatre meilleures écuries de la saison à ne pas avoir remporté une course en 2024. 

Il est également bon de rappeler que Red Bull a encore perdu une place au championnat ce week-end, au profit de Ferrari. Championne du monde en titre, l’écurie autrichienne aura du mal à faire mieux que troisième cette saison, quelque chose d’impensable en début de saison.

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Pérez serein sur son avenir

Malgré ces chiffres pour le moins accablants, le Mexicain est certain de garder sa place en F1 chez Red Bull en 2025. Interrogé pour savoir si le Grand Prix du Mexique 2024 était sa dernière course disputée à domicile, Pérez répond par la négative.

“Non, pas du tout”, assure-t-il à Sky Sport Allemagne. “Je serai encore là l’année prochaine et je continuerai à me battre pour la victoire. Car c’est mon rêve.”

De son côté, Helmut Marko, qui ne cache pas son intention d’aligner un jeune pilote aux côtés de Max Verstappen en 2025, n’a pas apprécié le contact entre le Mexicain et Liam Lawson à Mexico.

“C’était la collision inutile avec Lawson avec l’équipe sœur”, a indiqué Marko à Sky Sport Allemagne. “Il faut se comporter différemment. Les dégâts sur son soubassement étaient massifs. Ce qu’il a montré n’était pas pertinent, car la voiture n’était plus au niveau où elle devait être.”

Ensuite questionné sur l’avenir de Sergio Pérez, Helmut Marko, conseiller Red Bull, est resté évasif : “Ouvert”, a-t-il simplement répondu.

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Selon Ralf Schumacher, il en va de l’intérêt de Red Bull de Sergio Pérez de mettre fin à leur aventure.

Sergio Pérez a terminé le Grand Prix du Mexique à la dernière place. Une course difficile pour le pilote qui courrait devant son public.

Mis à part les qualifications, la course du pilote mexicain était déjà compromise dès le départ. En effet, le pilote Red Bull s’était mal positionné sur son emplacement et s’est donc vu infliger une pénalité de 5 secondes.

Malgré une belle remontée dans le peloton, le Mexicain s’est heurté, dans tous les sens du terme à la monoplace de Liam Lawson. Ayant laissé un morceau de ponton et de plancher, le reste de sa course n’a été qu’une longue procession, agonie.

Selon Ralf Schumacher, ancien pilote de F1, le nombre de Grands Prix de F1 restant à Sergio Pérez se compte sur les doigts d’une seule main.

L’année prochaine, il ne fera pas un seul mètre dans la voiture, j’en suis presque sûr. Je ne pense même pas qu’il terminera la saison”, a déclaré Schumacher à Sky Deutschland.

Red Bull prendra une décision après ce week-end. Cela ne sert plus à rien, ni pour l’un ni pour l’autre. Pas même pour Perez.

“Le pauvre homme subit tellement de pression qu’il ne va pas rentrer chez lui en rayonnant de joie. C’est censé être un plaisir.”

Et surtout, financièrement, c’est un désastre pour l’équipe, et pas seulement pour les mécaniciens. Si vous voulez changer quelque chose contre Ferrari, vous devez le faire rapidement.

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Red Bull chute au classement

Red Bull est passé en quelques mois de la première à la troisième place du classement des constructeurs, se voyant dépasser par McLaren puis Ferrari. La firme autrichienne compte aujourd’hui 25 points de retard sur Ferrari et 54 sur McLaren.

Cependant, contrairement à l’avis de Schumacher, le directeur de Red Bull, Christian Horner, a de nouveau exprimé son soutien à Perez en s’adressant aux médias.

“Checo est notre pilote , a-t-il insisté. ‘Il est sous contrat jusqu’en 2025. Il est compétitif. Il a faim. Il n’est pas satisfait de sa situation actuelle. En tant qu’équipe, nous faisons de notre mieux pour le soutenir.

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