Le directeur de course de la FIA, Michael Masi, a donné une explication sur la différence de pénalité entre Lance Stroll et Sebastian Vettel au Grand Prix d’Italie ce dimanche.

Ce dimanche en course à Monza, Sebastian Vettel s’est retrouvé en tête à queue à l’entrée de la chicane Ascari, provoquant un enchaînement d’incidents lorsqu’il a voulu revenir en piste.

Le pilote Ferrari a percuté la Racing Point de Lance Stroll lorsqu’il est revenu sur la piste, ce qui a fait partir le pilote canadien en tête à queue à son tour.

Stroll, qui était alors en plein milieu de la piste, a lui aussi voulu revenir dans le sens de la marche, mais à ce moment-là, la Toro Rosso pilotée par Pierre Gasly arrivait et le Français a été obligé de se jeter dans les graviers à la sortie d’Ascari pour éviter le contact.

La direction de course n’a pas tardé à réagir et a immédiatement sanctionné Sebastian Vettel d’un stop and go de dix secondes et de trois points de pénalité sur son permis à points. Lance Stroll pour sa part n’a écopé que d’un Drive Through pour sa manœuvre dangereuse.

« Concrètement, la différence entre les deux, c’est que dans le cas de Sebastian il y avait le fait de reprendre la piste de façon dangereuse, puis le fait de provoquer un accrochage. » explique Michael Masi, le directeur de course de la FIA.

« Dans le cas de Lance et Pierre, il n’y avait que le fait de reprendre la piste de façon dangereuse, c’est la différence entre les deux pénalités distribuées. »

Sebastian Vettel a terminé le Grand Prix d’Italie à la treizième place et à plus d’un tour de son coéquipier Charles Leclerc, qui a remporté l’épreuve ce dimanche. Lance Stroll pour sa part a terminé au douzième rang.

Cyril Abiteboul, ne pouvait pas cacher sa joie ce dimanche soir à Monza après que Renault ait signé son meilleur résultat en F1 depuis 2008.

Grâce aux quatrième et cinquième positions de Daniel Ricciardo et Nico Hulkenberg ce dimanche à l’arrivée du Grand Prix d’Italie, l’équipe Renault F1 remonte d’un cran au classement des constructeurs et se retrouve  désormais cinquième à seulement 18 points de l’écurie McLaren, qui occupe la quatrième place.

Ce week-end à Monza, Renault F1 a signé son meilleur résultat depuis le Grand Prix du Japon 2008 sur un circuit typé moteur, ce qui devrait faire taire toutes les critiques selon Cyril Abiteboul.

« Ce résultat est non seulement le meilleur résultat d’ensemble de l’équipe depuis son retour en Formule 1, mais c’est également une nouvelle démonstration après Montréal et Spa des progrès évidents de l’écurie, notamment du côté des groupes propulseurs si ouvertement critiqués dans le passé. » a déclaré Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« C’est la preuve que tout se passe bien avec un package compétitif. C’est également une invitation à répéter ce type d’émotions dans une saison loin d’avoir été facile. »

« Nos pilotes ont montré ce dont ils étaient capables avec une voiture compétitive. Ils ont été remarquables tout au long de la course, y compris dans des situations piégeuses. »

« Ce résultat est bon pour l’équipe, car nous savons aussi que des circuits où nous serons moins compétitifs sont encore à venir cette année, mais nous en profitons volontiers pour le moment. »

Sebastian Vettel est complétement passé à côté de son Grand Prix d’Italie ce dimanche à Monza, le pilote allemand ayant ruiné sa propre course au sixième tour.

Le quadruple champion du monde de Formule 1 est parti en tête à queue au sixième tour de course à l’entrée de la chicane Ascari, provoquant des incidents en cascade et impliquant Lance Stroll et Pierre Gasly.

L’Allemand a voulu revenir en piste après son tête à queue, mais il a percuté la Racing Point de Lance Stroll qui arrivait à faible allure à ce moment-là.

Stroll, qui s’est à son tour retrouvé en tête à queue au milieu de la piste, a obligé Pierre Gasly à passer par les graviers pour éviter le contact.

Plus de peur que de mal lors de ces incidents, mais la course de Pierre Gasly et Lance Stroll a été ruiné, alors que celle de Sebastian Vettel s’arrêtait là.

Le pilote Ferrari a dû rentrer au stand à faible vitesse pour changer l’aileron avant cassé de sa monoplace et a ensuite écopé d’une pénalité de dix secondes [stop and go] et de trois points sur son permis. Le quadruple champion du monde terminera le Grand Prix d’Italie à la treizième position avec plus d’un tour de retard sur son coéquipier, vainqueur ce dimanche.

La vidéo de Sebastian Vettel à Monza

Absolute joy for Charles Leclerc on Sunday – but a very different day for his team mate…#F1 #ItalianGP ?? pic.twitter.com/sXevZVqnSs

— Formula 1 (@F1) September 8, 2019

Lance Stroll est très mécontent du comportement de Sebastian Vettel ce dimanche en course au Grand Prix d’Italie.

Le pilote Racing Point Lance Stroll a été percuté par la Ferrari de Sebastian Vettel lorsque ce dernier a voulu revenir en piste après un tête à queue dans la chicane Ascari.

« Pour être honnête, je suis très mécontent de ce qui s’est passé. » a déclaré Lance Stroll après le Grand Prix d’Italie.

« Il était dans une position où il n’aurait pas dû revenir si agressivement sur le circuit. J’ai tout fait pour l’éviter, j’étais très prudent, j’ai vu le drapeau jaune, j’ai levé le pied et ainsi de suite. »

« J’ai obéi aux règles dans cette circonstance et il est revenu sur le circuit au milieu d’Ascari et je ne pouvais vraiment rien faire, même à la vitesse à laquelle j’allais, ce qui était assez lent. »

« Il bloquait tout le circuit à ce moment-là, puis il m’a touché et j’ai fait un tête à queue et je me suis retrouvé dans le mauvais sens. »

Bloqué en plein milieu de la piste, Lance Stroll n’a pas pu voir qui venait sur sa droite et a obligé Pierre Gasly à passer par les graviers.

« Je ne pouvais pas voir qui venait de ma droite, alors j’ai dû faire une manoeuvre dangereuse pour revenir moi-même sur le circuit, puis j’ai été pénalisé pour à peu près la même chose que Vettel. »

« C’était juste un désastre vraiment. Je n’avais aucune visibilité sur mon côté droit, alors j’essayais simplement de revenir dans la course à ce moment-là. »

Le pilote Alfa Romeo Kimi Raikkonen se souviendra longtemps de son week-end au Grand Prix d’Italie 2019.

Le pilote finlandais a d’abord commencé par sortir sa monoplace dans le bac à graviers lors des essais libres le vendredi, puis a refait la même la samedi lors des qualifications, mais avec des conséquences bien plus lourdes.

Suite à cette sortie de piste en qualifications, l’équipe Alfa Romeo a dû changer la boîte de vitesses montée sur la C38 du Finlandais, ainsi que l’unité de puissance complète, ce qui a obligé Kimi Raikkonen à prendre la départ de la course depuis la voie des stands ce dimanche.

Comme si cela ne suffisait pas, le pilote Alfa Romeo a écopé d’une pénalité de dix secondes pendant la course pour avoir pris le départ avec des pneus différents que ceux déclarés auprès de la FIA avant le départ.

« C’était un week-end de merde ! » a déclaré Iceman ce dimanche soir à Monza. « D’abord mon erreur en qualifications qui a malheureusement obligé à changer de boîte de vitesses. Nous avons ensuite décidé de changer également de moteur et de partir de la voie des stands, mais nous avions les mauvais pneus et avec la pénalité, ma course était plus ou moins terminée. »

« Je suis juste impatient d’être à Singapour parce que je pense que ça ne peut pas être pire que ce week-end. »

Au final, Kimi Raikkonen termine le Grand Prix d’Italie à la quinzième position au volant de son Alfa Romeo.

Le motoriste Honda confirme une fuite d’huile sur la monoplace de Daniil Kvyat, qui a dû abandonner ce dimanche à Monza pour le Grand Prix d’Italie.

Équipée de la Spec 4 du moteur Honda, la Toro Rosso de Daniil Kvyat affichait un bon rythme de course ce dimanche, mais le Russe a dû se ranger sur le bord de piste après une panne moteur soudaine juste après avoir effectué un arrêt au stand.

Honda confirme que le moteur monté sur la voiture de Kvyat a subi une perte d’huile, mais le motoriste nippon doit encore trouver l’origine exacte de cette fuite, ainsi que les dégâts causés à l’unité de puissance.

« Daniil Kvyat a dû retirer la voiture sur le bord de la piste et, avec les ingénieurs de Toro Rosso, nous enquêtons actuellement sur la nature exacte et l’emplacement de la fuite d’huile. » explique Toyoharu Tanabe, le directeur technique de Honda.

« Nous avons encore acquis beaucoup de données sur l’utilisation des quatre voitures avec notre Spec 4, et qui seront utiles pour nous préparer à Singapour. »

Le coéquipier de Daniil Kvyat, le Français Pierre Gasly, a terminé pour sa part à la onzième position ce dimanche à Monza.

Pierre Gasly regrette d’avoir dû éviter la Racing Point de Lance Stroll ce dimanche en course à Monza, sans quoi, le Français aurait pu terminer dans les points.

Au sixième tour de course, Sebastian Vettel est parti en tête à queue et a percuté la Racing Point de Lance Stroll en revenant sur la piste.

Le Canadien a lui aussi voulu revenir en piste, mais à ce moment-là, le Français Pierre Gasly arrivait avec sa Toro Rosso. Gasly a donc dû mettre un coup de volant pour éviter le contact et a fait un passage forcé dans le bac à graviers.

Dix-septième au départ de la course, Gasly se trouvait à ce moment-là treizième et comptait sur son excellent rythme de course pour entrer dans les points, mais malheureusement pour lui, ce passage par les graviers lui a fait perdre un temps précieux qui lui coûtera cher en fin de course, puisqu’il franchira la ligne d’arrivée à la onzième place.

« En partant depuis la dix-septième position, nous savions que nous aurions une course difficile devant nous. » explique Pierre Gasly après le Grand Prix d’Italie.

« Ce fut une journée bien remplie, nous avons eu un très bon départ et nous avons terminé les premiers tours en 13ème position. »

« Les choses se présentaient bien jusqu’à ce que Stroll quitte la piste et revienne au moment où je passe, j’ai alors dû l’éviter en allant dans le gravier, perdant deux positions et beaucoup de temps. »

« Cela nous a coûté à la fin de la course, puisque nous n’avons terminé qu’à trois secondes de la 9e place. Ce n’était pas idéal, mais je pense que nous avons montré de bonnes performances tout le week-end et que nous avions le rythme pour finir dans les points en partant du bas de la grille. Je suis impatient de passer un week-end à Singapour sans aucune pénalité pour pouvoir en tirer le maximum. »

Quatrième à l’arrivée du Grand Prix d’Italie ce dimanche, Daniel Ricciardo a égalé son meilleur résultat de sa carrière aujourd’hui au volant de sa Renault.

Le pilote australien a franchi la ligne d’arrivée à la quatrième position, juste devant son coéquipier Nico Hulkenberg ce dimanche à Monza.

Les deux hommes ont permis à Renault F1 de marquer de gros points ce dimanche, ce qui permet également à l’équipe du constructeur français de revenir dans le match pour la quatrième place occupée par McLaren et qui n’est plus qu’à 18 points.

« Nous le méritions. J’égale le meilleur résultat de ma carrière à Monza et c’est génial de le faire avec Renault. » a déclaré Daniel Ricciardo.

« J’ai vu les batailles devant et je me suis dit que nous pourrions avoir une belle occasion de marquer de gros points. Je suis vraiment content pour l’équipe et moi. »

« Signer le meilleur résultat comptable de l’écurie depuis son retour en F1 en terminant quatrième et cinquième sur un circuit typé “moteur” fait honneur à Renault et aux efforts fournis. »

« Le rythme de course était excellent et c’est une superbe récompense pour toute l’équipe. Ce résultat était attendu depuis longtemps, donc je m’en réjouis ! »

Sebastian Vettel a écopé de trois points de pénalité sur son permis à points après le Grand Prix d’Italie où il a terminé à la treizième position.

Le pilote Ferrari Sebastian Vettel a été pénalisé d’un stop and go de dix secondes pendant la course pour avoir percuté la Racing Point de Lance Stroll en essayant de reprendre la piste après un tête à queue.

Cette pénalité a également été complétée par trois points de pénalité sur son permis à points, ce qui veut dire que le quadruple champion du monde a perdu déjà neuf points sur la période de douze derniers mois.

Sebastian Vettel se retrouve donc dans une délicate position de pouvoir être suspendu automatiquement pour un Grand Prix s’il reçoit de nouveau trois points de pénalité.

Si l’Allemand venait à écoper de trois autres points de pénalité lors des trois prochains Grands Prix [Singapour, la Russie et le Japon], Vettel serait alors immédiatement pénalisé.

Max Verstappen a finalement terminé le Grand Prix d’Italie à la huitième place ce dimanche en s’élançant depuis la dernière position sur la grille.

Le pilote Red Bull se dit satisfait des performances du moteur Honda Spec 4 monté à l’arrière de sa monoplace et estime qu’il aurait très bien pu se battre avec les Ferrari ou les Mercedes aujourd’hui.

« Je pense que j’aurais pu me battre contre les gars à l’avant, je pouvais les voir sur les écrans. » a expliqué Max Verstappen à l’arrivée de l’épreuve.

« Je suivais mes progrès sur les écrans, et je savais aussi quels étaient leurs temps. Alors, bien-sûr, vous perdez du temps dans le trafic, mais je pense qu’avec de l’air propre ils n’étaient pas plus rapides que nous. »

« C’était très prometteur sur un circuit où normalement nous ne sommes pas compétitifs. Le moteur [Spec 4] était bien, même si j’ai eu des problèmes avec le limiteur et que j’ai perdu de la puissance pendant quatre ou cinq secondes. »

« Nous savons cependant que c’était le même problème qu’hier [le moteur se met en mode sécurité au passage sur un vibreur], donc, nous savons aussi que ce n’est pas lié aux paramètres du moteur. »

Le patron de l’équipe Renault, Cyril Abiteboul, s’est dit « ému » à l’arrivée du Grand Prix d’Italie ce dimanche après la quatrième  et cinquième place de ses deux pilotes.

Grâce à ce bon résultat, l’équipe Renault récupère la cinquième position au classement des constructeurs et revient à seulement 18 points de l’équipe McLaren.

L’équipe du constructeur français peut donc à nouveau se concentrer sur la quatrième position au championnat, alors qu’il reste encore sept courses à disputer.

« Il y a de l’émotion parce que je pense que c’est un résultat qui démontre des choses, qui démontre des progrès, qui démontre aussi ce qu’il est possible de faire. » explique Cyril Abiteboul, le directeur général de Renault Sport Racing.

« C’est un week-end qui a été parfaitement exécuté, du premier jour en EL1 jusqu’au dernier tour de course, il y des week-ends comme ça qui partent bien et il y en a d’autres où c’est plus compliqué. »

« Il y a des week-ends où il faut beaucoup d’énergie pour notre jeune équipe pour arriver à bien exécuter parfaitement un week-end. Maintenant, on sait aussi les vérités auxquelles ont doit faire face, aux forces et aux faiblesses, on savait qu’on serait plutôt forts ce week-end, mais on sait qu’il y a des circuits où on restera encore en retrait. »

« Il faut que l’on bosse, parce que effectivement, ce coup de s’approcher des top teams – même si on reste encore un peu loin – il faut rester raisonnable et humble. Mais cela nous donne l’envie de se mélanger plus régulièrement à ces batailles. »

« On ne se rend pas compte du temps que cela prend en Formule 1[pour arriver à boucler un week-end sans faute]. Le moindre détail, c’est un sport de détail. A l’échelle de 1200 personnes, c’est parfaitement exécuté. »

« Après, encore une fois, c’est un week-end qui démontre que l’élément essentiel est la compétitivité. Quand on est compétitif, on peut être plus calme sur absolument tout, la préparation des séances, les qualification, l’exécution de la course. »

« Quand on sera dans une situation où la voiture sera un peu moins compétitive, j’ai peur qu’on soit confronté au même challenge que les autres week-ends, donc il faut vraiment que la voiture continue de progresser, alors qu’on peut voir que le moteur a fait des progrès considérables. On doit produire les mêmes progrès côté châssis. »

L’équipe McLaren a écopé d’une amende à l’issue du Grand Prix d’Italie disputé ce dimanche sur le circuit de Monza.

Les commissaires de course du Grand Prix d’Italie ont décidé d’infliger une amende de 5000 euros à l’équipe McLaren pour avoir relâché son pilote Carlos Sainz avec une roue mal fixée pendant la course.

Le pilote espagnol s’en est aperçu tout de suite et a stoppé sa monoplace à la sortie de la voie des stands, l’obligeant à abandonner, mais les commissaires ont tout de même décidé de sanctionner l’équipe avec une amende.

Charles Leclerc a signé ce dimanche au Grand Prix d’Italie sa seconde victoire en carrière, la seconde de l’année et la seconde pour Ferrari.

Le pilote Ferrari a réussi à tenir les deux pilotes Mercedes derrière lui durant toute la course ce dimanche, et même s’il est habitué, le Monégasque admet que la pression était grande aujourd’hui.

« C’est incroyable, je n’ai pas de mot pour décrire ce que j’ai ressenti [sur le podium]. » a déclaré Charles Leclerc, le vainqueur du Grand Prix d’Italie.

« C’est au dessus de tout ce que j’ai rêvé jusque là, de voir autant de personnes qui chantent tous la même chose, heureusement d’ailleurs parce que sinon ce serait un gros bordel. »

« C’était juste incroyable de voir toute la ligne droite remplie de personnes, et surtout toutes ces personnes en rouge. C’est juste incroyable et en plus ça vient au bon moment juste après la première victoire, après une première partie de saison difficile, voilà ça donne du boost à toute l’équipe pour la seconde partie de saison qui ne sera pas facile. »

« Moi je voulais absolument tout donner. » souligne Leclerc au sujet de sa bataille avec les Mercedes ce dimanche à Monza.

« C’est ce que j’ai fait, c’est sûr j’ai pris un peu plus de risques, mais bon, je la voulais absolument cette victoire et j’ai réussi à la prendre, en tout cas je vais ramener la coupe à la maison et ça fait du bien. »

« Une course avec tant de pression, je n’en ai jamais eue dans ma carrière.En plus les courses sont quand même assez longues en Formule 1, je crois que j’ai eu un seul tour avec plus d’une seconde d’avance sur le deuxième, donc je ne pouvais pas me permettre de faire une erreur, même si j’en ai fait quelques petites, mais ça ne m’a jamais coûté une position. »