Jos Verstappen : « Max Verstappen et Honda vont dominer quatre ou cinq ans »

Jos Verstappen estime que son fils Max Verstappen s’apprête à dominer la catégorie reine du sport automobile pendant quatre ou cinq ans.

Après avoir décroché deux victoires, une pole position et cinq podiums en douze courses, Max Verstappen a prouvé cette année que le moteur Honda était désormais aussi compétitif qu’une unité de puissance Mercedes ou Ferrari.

Le père de Max Verstappen, Jos, pense que son fils va prochainement débuter une nouvelle ère et pourrait bien dominer la catégorie pendant quelques années, comme le fait Mercedes depuis plus de cinq ans maintenant.

« Quand on voit ce que Max a fait sur les pistes, je pense que personne ne devrait être surpris, je pense que c’est le début d’une nouvelle ère. » a déclaré Jos Verstappen, cité par Globo

« Comme je le disais il y a déjà un an, Max Verstappen et Honda vont dominer probablement quatre ou cinq ans s’ils réussissent bien. »

Après les douze premières courses de la saison 2019, Max Verstappen occupe la troisième place au championnat du monde. Le pilote Red Bull n’est qu’à sept points du pilote Mercedes  Valtteri Bottas.

A partir du Grand Prix de Belgique 2019, Max Verstappen aura un tout nouveau coéquipier en la personne d’Alex Albon, qui remplace le Français Pierre Gasly.

Mick Schumacher veut prendre son temps avant de rejoindre la F1

Mick Schumacher assure qu’il veut prendre son temps et continuer à apprendre son métier en F2 avant de peut-être rejoindre la F1 un jour.

Pensionnaire de la Ferrari Driver Academy, le pilote allemand s’est souvent retrouvé au centre des discussions le plaçant directement dans un baquet en F1, éventuellement avec la Scuderia Ferrari, équipe avec laquelle Michael Schumacher a remporté cinq de ses sept titres mondiaux.

Après avoir décroché sa toute première victoire en F2 au début du mois au Grand Prix de Hongrie, l’Allemand estime être sur la bonne voie, mais insiste sur le fait qu’il veut prendre son temps lorsqu’on lui demande s’il pense pouvoir être en F1 en 2020.

« Je pense que seul le temps le dira. » a déclaré Mick Schumacher. « De toute évidence, obtenir ma première victoire en F2 est une bonne chose. »

« Je dois encore beaucoup travailler sur moi-même. Que je sois en F1 l’année prochaine, dans deux ou trois ans, je ne le sais pas. »

« Je ferai de mon mieux pour essayer d’apprendre autant que possible afin que, lorsque je franchirai l’étape, je sois prêt et à l’aise. »

Au classement des pilotes F2, Mick Schumacher occupe actuellement la onzième position avec 45 points marqués depuis le début de la saison.

Antonio Giovinazzi est heureux d’être aux côtés de Kimi Raikkonen

Le pilote Alfa Romeo Antonio Giovinazzi se dit satisfait de la façon dont il a pu améliorer ses performances cette année aux côtés de Kimi Raikkonen.

L’Italien, qui a rejoint Alfa Romeo cette saison aux côtés de Kimi Raikkonen, n’a marqué qu’un seul point depuis le début de l’année et occupe l’avant dernière place du classement.

Absent de la catégorie reine en 2018, Giovinazzi a dû s’adapter en début d’année et a pu profiter de toute l’expérience de son coéquipier pour améliorer ses performances, bien qu’au classement général, Kimi Raikkonen surclasse nettement l’Italien avec une huitième position et 31 points marqués en douze courses.

« Comme je j’ai dit en début de saison, l’objectif était de m’améliorer course après course, et j’ai le sentiment d’avoir réussi. » explique Antonio Giovinazzi, cité par Crash.net.

« J’ai commencé à me battre un peu plus, et lors des dernières courses, le rythme était comparable à celui de Kimi [Raikkonen]. Je dois donc être heureux de ma performance. »

« Je peux juste vous dire qu’il [Raikkonen] est toujours très bon, très motivé, très fort. Ce qu’il a fait à Hockenheim en qualifications, en signant le meilleur temps dans le secteur deux, est incroyable. »

« Il pousse vraiment fort, et pour moi, c’est bien d’avoir un solide coéquipier et une bonne référence pour moi. »

Le pilote italien reconnaît qu’il a été difficile pour lui de ne pas être en F1 durant deux saisons, ce qui l’a obligé à s’adapter très vite en début d’année.

« Ce n’est pas facile de ne pas être en compétition depuis deux ans. Au final, je n’ai participé qu’à deux courses en 2017 et en 2018 je n’ai participé qu’au Mans, ce qui est complétement différent. »

« Ensuite, je suis revenu en Formule 1 – qui est le meilleur de la course automobile – et ce n’est pas facile. »

Renault ou Mercedes ? Esteban Ocon se dit prêt pour 2020

Esteban Ocon reste toujours aussi confiant sur son avenir en Formule 1, alors que les dernières rumeurs l’envoient directement chez Renault pour 2020.

Pur produit Mercedes, le Français Esteban Ocon a débuté sa carrière en catégorie reine avec l’écurie Manor au Grand Prix de Belgique en remplacement de Rio Haryanto en 2016.

Rapidement, le pilote français s’est montré rapide et a été promu la saison suivante chez Force India aux côtés du Mexicain Sergio Perez, et avec qui Ocon a eu quelques différends en piste.

En 2018, Esteban Ocon roule toujours pour Racing Point, mais depuis le rachat de l’écurie par le milliardaire canadien Lawrence Stroll, son baquet était réservé au fils du patron, le jeune Lance Stroll.

Toujours sous l’aile de Mercedes, Esteban Ocon a rejoint l’équipe du constructeur allemand en 2019 pour devenir troisième pilote de l’équipe, alors qu’il passe tous ses week-ends dans le simulateur et sur la piste pour essayer de trouver les réglages parfaits pour les deux pilotes titulaires.

En 2020, certaines rumeurs l’envoient chez Renault aux côtés de Daniel Ricciardo, mais les possibilités pour lui de remplacer Valtteri Bottas chez Mercedes aux côtés de Lewis Hamilton sont bien réelles. En tout cas, le Français se dit prêt pour participer à une quatrième saison de F1 en 2020.

« Je travaille dur pour l’année prochaine, j’apprends aussi beaucoup chez Mercedes et lorsque je reviendrai, je serai un pilote beaucoup plus complet. » explique le Français Esteban Ocon.

« Pour moi, c’est très bien de faire partie de cette équipe. Cette équipe a beaucoup de succès et beaucoup de connaissances. Cette connaissance est inestimable. » 

L’avenir d’Esteban Ocon s’est obscurci l’an dernier lorsque ses espoirs de pouvoir rebondir cette année chez Renault  sont tombés à l’eau avec l’annonce de l’arrivée de Daniel Ricciardo aux côtés de Nico Hulkenberg pour la saison 2019.

« Ce n’était pas une chose facile. » reconnaît le Normand. « Nous avons discuté avec Toto [le directeur exécutif de Mercedes], le patron de Mercedes et les membres de la direction de Mercedes. »

« Ils m’ont dit de ne pas m’inquiéter, je pourrais avoir une chance en F1 à l’avenir. Bien sûr, il y a eu des phases de silence, donc vous doutez un peu, mais les discussions ont commencé il y a déjà un certain temps. Je suis donc convaincu que tout ira bien, je croise les doigts et je touche du bois ! »

Carlos Sainz estime qu’il est temps pour McLaren de basculer vers 2020

Carlos Sainz pense que McLaren va devoir faire en sorte de basculer petit à petit ses ressources vers 2020 lors de la seconde partie de la saison.

Le pilote espagnol estime qu’il ne sera pas possible pour McLaren de faire mieux que quatrième cette année, ce qui devrait pousser son équipe à se tourner dès la rentrée sur le développement de la future MCL35 de la saison 2020.

« Je ne pense pas que nous allons réussir à nous sortir du milieu du peloton en seconde partie de saison. » explique Carlos Sainz, cité par Racer.

« Nous pourrions apporter quelques dixièmes à la voiture, ce qui serait formidable, mais tout le monde en fera de même, nous devons donc faire attention. »

« Ce que nous devons faire, c’est de nous assurer de faire un bon step avec la voiture de cette année, afin que cela nous serve sur celle de l’année prochaine. »

« Je pense que c’est l’objectif principal de cette seconde partie de saison : en apprendre plus avec cette monoplace pour nous assurer de tout mettre en place sur la voiture de la saison prochaine. »

Au championnat du monde, l’équipe McLaren est quatrième à la pause estivale avec 43 points d’avance sur son fournisseur moteur Renault, qui occupe la sixième position.

1991 : La Williams-Renault FW14 entre dans l’histoire

L’association Williams-Renault restera à jamais gravée dans l’histoire de la F1, alors que l’introduction de la FW14 a marqué une véritable rupture en catégorie reine à l’époque.

En 1991, la Williams-Renault FW14 marque une véritable rupture. Depuis le retour de Renault en F1, le V10 du constructeur français motorise les monoplaces de l’écurie de Sir Frank Williams qui vient de recruter Adrian Newey, un jeune ingénieur… Une association qui entrera dans l’histoire !

Introduite au Grand Prix des États-Unis, la Williams-Renault FW14 est la première création d’Adrian Newey dans sa nouvelle équipe. La monoplace marque une évolution majeure de par ses innovations : boîte semi-automatique à commandes au volant, choix aérodynamiques plus fins et fluides et le redoutable V10 RS3…

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Après un début de saison en demi-teinte, Williams et Renault en profitent pour fiabiliser la nouvelle boîte de vitesses. Une fois ce processus accompli, le FW14 peut dès lors exprimer tout son potentiel et se révèle être la plus sophistiquée sur le plan électronique. La monoplace dispose ainsi d’une suspension active, d’un contrôle de traction et d’un système antiblocage des freins.

Très vite, Nigel Mansell aligne les succès et défie bientôt Ayrton Senna pour le titre. Si les points perdus en début de saison s’avèrent trop grands à rattraper, la deuxième tentative sera la bonne.

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En 1992, la Williams FW14B dispose d’une suspension active encore plus efficace et d’une aérodynamique toujours plus novatrice ! Nigel Mansell remporte les cinq premières pole positions et victoires en jeu, quatre fois devant son équipier Riccardo Patrese.

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L’arrivée du bloc RS4 représente un nouveau pas en avant et le V10 Renault décroche sa première couronne en fin d’année, Nigel Mansell étant sacré chez les pilotes. Fort de ce succès, Renault remportera cinq titres pilotes et six titres constructeurs entre 1992 et 1997.

Pat Symonds explique en quoi ont consisté les tests secrets réalisés par la F1

La F1 a révélé avoir réalisé des tests secrets le mois dernier dans la soufflerie de Sauber en Suisse pour avancer sur la réglementation qui sera introduite en F1 en 2021.

Pat Symonds, directeur technique de la F1, nous explique en quoi ont consisté ces tests secrets réalisés avec l’aide des équipes d’ingénieurs de Sauber.

« Les essais en soufflerie que nous effectuons diffèrent légèrement de ce que les équipes pourraient faire. » explique Pat Symonds, le directeur technique de la F1 à propos des tests.

« Les équipes se concentrent uniquement sur les forces exercées sur la voiture, à travers une variété d’attitudes lors du déplacement de la voiture. »

« Bien que nous nous intéressions naturellement à la nature de ces forces et en particulier à la façon dont ces forces changent à mesure que la voiture se déplace, nous nous intéressons encore plus à ce qui se passe dans l’air turbulent derrière la voiture. »

« C’est pourquoi, bien que nous réalisions l’essentiel de notre développement avec la CFD, qui utilise des techniques assez avancées qui ne sont pas couramment utilisées par les équipes, nous souhaitons sauvegarder les simulations virtuelles avec une simulation physique. »

« Nous avons également choisi d’utiliser un modèle de 50% plutôt que de 60% et nous avons choisi de faire avancer ce modèle assez loin dans la soufflerie. Cela nous a donc permis de mieux inspecter le sillage de la voiture. »

L’utilisation de la soufflerie Sauber, qui est disponible dans le commerce, permet au groupe suisse de disposer d’un très bon système de ratissage automatique.

Nikolas Tombazis, responsable des questions techniques sur les monoplaces à la FIA, explique que le râteau est constitué de « tubes Pitot » sensibles au lacet, de sorte qu’ils peuvent mesurer la direction, la pression et la vitesse de l’écoulement de l’air.

« De cette manière, nous pouvons nous assurer que les prédictions de la CFD sont correctes car l’essentiel du travail, 99% du travail, pour ces configurations a été effectué dans CFD. » explique Tombazis.

« L’essentiel de tout cela est que nous essayons de réduire les pertes subies par la voiture suivante. La simplification de l’aérodynamique de la voiture de tête contribue également à la performance dans le sillage. »

Vous pouvez voir des images et une vidéo de ces tests secrets sur le site internet de la F1 en cliquant sur ce lien.

La F1 a réalisé des tests secrets pour 2021 dans la soufflerie de Sauber le mois dernier

La Formule 1 a révélé aujourd’hui avoir effectué des tests secrets en vue de la saison 2021 dans la soufflerie de Sauber peu avant le Grand Prix d’Allemagne 2019.

La Formule 1 et son organe directeur, la FIA, ont mené à bien un nombre sans précédent de recherches et de développement utilisant la CFD (dynamique des fluides numérique) pour concrétiser leur vision de 2021. L’étape suivante consistait à confirmer ces données avec des tests en soufflerie.

Ainsi, le mois dernier, peu avant le Grand Prix d’Allemagne, un modèle de la dernière itération de 2021 a été placé dans la soufflerie de Sauber dans des conditions de secret strictes, pour des tests approfondis.

Elle est intervenue après une première utilisation en janvier, où un modèle 2018 à 60% était utilisé, et une deuxième en mars, lorsqu’une itération de la voiture 2021 a été testée avec des roues de 13 pouces.

Alors que les résultats généraux seront communiqués à toutes les équipes, le groupe de consultants indépendant de Sauber a dirigé la soufflerie en veillant à ce que son équipe de F1 (Alfa Romeo Racing) n’obtienne aucun avantage.

Des éléments tels que les zones de sidepod et l’aileron arrière devraient rester les mêmes lors de l’itération finale, alors que l’aileron avant évoluera au fur et à mesure de son développement.

Une vidéo montrant ce test secret peut être visionnée sur le site officiel de la Formule 1 en cliquant sur ce lien.

Pirelli dévoile sa sélection pour le Grand Prix d’Abou Dhabi

Pirelli, le manufacturier unique de la Formule 1, a dévoilé le type de gommes qui seront disponibles pour le Grand Prix d’Abou Dhabi.

Pirelli a décidé de proposer aux pilotes les pneus les plus tendres de sa gamme [C3, C4 et C5] pour le Grand Prix d’Abou Dhabi [du 29 novembre au 1er décembre], dernière manche de la saison 2019 de F1, soit les mêmes qu’à Monaco, au Canada et à Singapour.

Rappelons que chaque pilote se doit de conserver un train de pneus tendres pour la Q3, alors que ces gommes devront être retournées à Pirelli à l’issue de la séance de qualifications pour les pilotes classés dans le top dix.

Les autres pilotes pourront quant à eux les garder pour la course, tandis que chaque pilote devra avoir au moins deux trains de pneus durs et médiums pour la course, dont un devra être utilisé.

Les pneus disponibles pour le GP d’Abou Dhabi

Kubica remplacé par Nicholas Latifi en 2020 chez Williams ?

Selon les dernières rumeurs du paddock, Robert Kubica pourrait être remplacé par le jeune Nicholas Latifi en 2020 chez Williams.

Depuis son retour en catégorie reine cette année, le Polonais Robert Kubica n’a pas impressionné par ses résultats, bien qu’il soit devant son coéquipier au championnat.

En réalité, le classement du championnat du monde des pilotes ne reflète pas fidèlement la situation chez Williams cette année, puisque Kubica a été quasi systématiquement devancé par son jeune coéquipier George Russell [10 fois sur 12].

Mais au Grand Prix d’Allemagne, lors de la seule course de la saison où Robert Kubica se trouvait devant Russell, le déclassement des deux pilotes Alfa Romeo a permis au pilote polonais d’intégrer le top dix et donc de marquer son premier point de l’année.

Malgré cela, les performances de Kubica sont bien en deçà des attentes, et il se murmure en coulisses que le Canadien Nicholas Latifi a de grandes chances de le remplacer à partir de la saison prochaine chez Williams.

Latifi a déjà travaillé en tant que pilote d’essais pour l’équipe Racing Point en F1, alors qu’il est actuellement le troisième pilote de l’équipe Williams et aussi second du championnat de F2 qu’il dispute cette année.

Un papa très riche

Le pilote canadien a également un autre atout : il est le fils de Michael Latifi, un homme d’affaires et un entrepreneur irano-canadien qui détient 10% du groupe McLaren en vertu d’un investissement de 350 millions en 2018.

Le père de Nicholas Latifi a déjà déclaré plus tôt cette année qu’il aimerait que son fils devienne pilote titulaire chez Williams en 2020.

« Williams correspond bien à  Nicholas. C’est une équipe familiale qui possède une bonne feuille de route dans le développement de jeunes pilotes, notamment Jacques Villeneuve et Valterri Bottas. » a déclaré Latifi père.

« Nicholas doit se concentrer sur la F2. C’est très important qu’il obtienne de bons résultats et demeure dans la bataille pour le titre. »

« À la fin de l’été, on saura où il se situe. L’objectif est toujours d’obtenir un poste à temps plein en F1, mais il n’y a aucune garantie. »

« En fonction des résultats en F2, ça peut ouvrir des portes en F1. Quelques pilotes sont en danger, notamment Robert Kubica et Antonio Giovinazzi (Alfa Romeo). »

En 2020, Robert Kubica sera âgé de 35 ans, ce qui veut dire que cette saison 2019 pourrait bien être sa dernière en F1, alors que beaucoup considèrent son retour comme complétement raté après plus de huit ans d’absence.

Offrez-vous la Toro Rosso STR08 de 2013 de Jean-Eric Vergne !

Vous souhaitez vous offrir (ou vous faire offrir) une Formule 1 pour votre anniversaire ? Pourquoi pas celle de Jean-Eric Vergne utilisée lors de la saison 2013 ?

La Toro Rosso utilisée par le Français Jean-Eric Vergne au cours de la saison 2013 est désormais disponible à la vente.

Cette monoplace « prête à l’emploi » est équipée d’un moteur Cosworth V8 et d’une boîte de vitesses Ferrari. En cas d’acquisition, elle vous sera livrée avec quatre roues supplémentaires, des couvertures chauffantes pour les pneus et tous les logiciels nécessaires au démarrage de la monoplace.

Notez qu’il est aussi possible d’obtenir un package de pièces supplémentaires avec cette Toro Rosso, mais le vendeur ne précise pas s’il faut payer un supplément.

Alors, si jamais votre banquier vous autorise à vous endetter à vie et si madame ou monsieur est d’accord pour que vous mettiez cette superbe Toro Rosso dans le salon, n’hésitez pas à appeler Mike Walters au +44 (0) 7970 736644, qui se fera un plaisir de vous annoncer le prix de cette STR08.

Toutes les informations sont disponibles en cliquant sur ce lien qui vous redirige vers le site du vendeur.

F1 2019 : Codemasters va publier une mise à jour pour intégrer la rétrogradation de Gasly dans le jeu

Le changement de pilotes en cours de saison entre Pierre Gasly et Alex Albon sera bien intégré au jeu F1 2019.

Codemasters, l’éditeur du jeu F1 2019 sur PS4, Xbox et PC, a annoncé ce mercredi que ses équipes travailleraient en collaboration avec Red Bull et Toro Rosso à la rentrée pour effectuer une mise à jour après la rétrogradation de Pierre Gasly chez Toro Rosso cet été.

Au mois d’août, en pleine pause estivale, Red Bull Racing a annoncé la rétrogradation de Pierre Gasly chez Toro Rosso à partir du Grand Prix de Belgique, alors que c’est Alex Albon qui remplacera le Français chez Red Bull pour le reste de la saison 2019.

Ce changement de pilotes en plein milieu de saison sera intégré au jeu F1 2019 par le biais d’une mise à jour, mais seulement une fois que les équipes de Codemasters auront la possibilité de travailler avec les équipes Red Bull et Toro Rosso après la pause.

« Vous êtes nombreux à nous demander si le changement entre Pierre Gasly et Alex Albon sera intégré au jeu. Nous prévoyons d’apporter ces changements le plus rapidement possible et nous y travaillerons avec Red Bull et Toro Rosso une fois la pause terminée. » peut-on lire dans le blog de Codemasters.

Notez que ce changement de pilotes n’est pas disponible dans la dernière mise à jour publiée par Codemasters, la v1.09.

L’équipe Haas veut régler ses problèmes de compréhension des pneus avant la fin de l’année

L’équipe Haas concentrera ses ressources sur la résolution des problèmes liés aux pneumatiques lors de la seconde partie de la saison.

Gunther Steiner, directeur de l’équipe Haas, a déclaré que la priorité pour l’équipe après la pause estivale consistera à s’assurer qu’elle comprend suffisamment ses problèmes de performances avec sa voiture afin d’éviter une répétition en 2020.

Haas a eu une voiture très rapide à plusieurs reprises cette année, faisant des apparitions régulières au Q3 plus tôt dans la saison. Cependant, l’équipe américaine a souvent eu du mal à traduire cela en résultat le dimanche en course en raison d’une incompréhension des pneumatiques Pirelli.

« Nous savions que nous avions beaucoup de travail à faire et nous le savons que c’est le cas aussi pour le reste de la saison. » explique Steiner.

« Nous devons apprendre à mieux gérer la voiture et les pneus. Il y a des hauts et des bas. Si vous avez une mauvaise voiture, vous avez un gros problème, et vous pensez qu’une bonne voiture avec des problèmes de pneus est un problème plus petit, mais non, c’est un problème encore plus gros, parce qu’il est difficile à régler. »

« Nous n’avons pas d’objectif réaliste en termes de résultat, mais je veux juste que nous arrivions à comprendre ce qui se passe entre les pneus et la voiture. »

« Nous avons besoin de bien comprendre, afin de ne pas tomber dans le même piège l’année prochaine. Mais encore une fois, les pneus changeront l’année prochaine, parce qu’ils étaient tellement bons cette année, qu’ils changeront l’an prochain. » conclut avec humour Steiner.

Honda n’oublie pas que Toro Rosso a joué un grand rôle en 2018 dans le développement de son moteur

Le directeur technique de Honda a tenu à souligner l’impact pour 2019 du partenariat entre Honda et Toro Rosso l’an dernier en F1.

Cette saison, Honda a pu monter cinq fois sur le podium, a décroché une pole position et a signé deux victoires avec l’aide de Red Bull et de Max Verstappen.

Mais le directeur technique du motoriste japonais n’oublie surtout pas que les bonnes performances du V6 Hybride Honda en 2019 sont en grande partie à mettre au crédit de l’équipe Toro Rosso, qui a servi de laboratoire l’an dernier pour Red Bull.

« Le partenariat a été aussi bon que prévu [avec Toro Rosso]. Cela a été très bien de travailler avec eux et nous sommes très heureux de travailler ensemble. » a déclaré Toyoharu Tanabe, le directeur technique de Honda à Racer.

« Je n’étais pas impliqué dans l’ère McLaren, je ne connaissais donc pas la situation à ce moment-là, mais j’ai commencé à travailler avec Toro Rosso et nous avons travaillé très ouvertement avec eux. »

« Ils étaient également très ouverts, cette année là a vraiment bien fonctionné pour nous. Il y avait aussi quelques nouveaux gars du Japon et de Milton Keynes, ce qui nous a bien aidé pour travailler avec Red Bull cette année. »

1977 : Renault fait sensation avec l’introduction du moteur turbocompressé en F1

En 1977, Renault fait sensation dans le monde de la F1 en effectuant ses débuts au sein du Championnat du Monde avec une technologie qui révolutionnera la catégorie-reine du sport automobile : le moteur turbocompressé.

Dès 1973, Renault se concentre sur un moteur V6 2,0 l qui s’avère rapidement compétitif dans le prestigieux Championnat d’Europe des Voitures de Sport. Renault rejoint ensuite le Championnat du Monde et une version turbocompressée du V6 voit le jour.

Partout où elles passent, les Renault à moteur turbo se montrent diablement rapides avec de belles séries de pole positions et de meilleurs tours en course. En 1978, l’A442B remportera les 24 H du Mans, pilotée par Jean Pierre Jaussaud et Didier Pironi.

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1976, la naissance de Renault Sport

Renault Sport est fondé en 1976 et un programme en monoplace est lancé parallèlement cette même année. Des essais en piste sont menés avec une version 1,5 litre de son V6 pour la F1. Plusieurs courses sont programmées pour la saison suivante.

Propulsée par son V6 turbo, la RS01 naît des coups de crayon de François Castaing et André de Cortanze. Avec sa monocoque en aluminium, la monoplace débute lors du Grand Prix de Grande-Bretagne 1977.

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Confiée à Jean-Pierre Jabouille, elle est d’abord surnommée The Yellow Teapot (la théière jaune) outre-Manche en raison de la fumée blanche qui s’en échappait lorsque le turbo cédait.

Face aux écuries concurrentes utilisant exclusivement des moteurs V8 et V12 atmosphériques plus volumineux et plus gourmands, mais aussi plus fiables, les équipes techniques de Renault s’arment de patience pour dompter cette technologie inédite à ce niveau.

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Le passage au double turbo représente un immense pas en avant et Jean-Pierre Jabouille décroche la première pole position de Renault à Kyalami en 1979 avant de s’imposer à Dijon, lors du Grand Prix de France, cette même année.

Il ne faudra plus attendre longtemps pour que les concurrents développent leur propre turbo pour contrer les performances des voitures parées de jaune et noir…

Tatiana Calderon impatiente de remonter dans une Formule 1

La jeune Colombienne Tatiana Calderon sera de nouveau en piste cette semaine pour effectuer des tests avec l’équipe Alfa Romeo Racing.

La pilote d’essais de l’équipe Alfa Romeo Racing sera en piste au Castellet en fin de semaine pour participer à un test au volant de la Sauber C32 aux spécifications de l’année 2013 et équipée d’un moteur V8.

Lors de ces deux journées de tests, la Colombienne partagera son baquet avec l’Américain Juan Manuel Correa, qui n’a jamais piloté de F1 dans sa jeune carrière.

Pour Calderon en revanche, il s’agira du troisième test au volant d’une Formule 1, alors qu’elle a déjà pu prendre le volant de la C37 de la saison 2018.

« Je suis vraiment reconnaissante envers Alfa Romeo Racing de m’avoir donné une autre  possibilité de piloter une Formule 1 à la suite de mes deux courses précédentes l’année dernière. » a déclaré Tatiana Calderon.

« Je suis très heureuse de pouvoir à nouveau travailler avec l’équipe sur la piste et de continuer à apprendre et à évoluer en tant que pilote. Je suis impatiente de tirer le meilleur parti de cette nouvelle expérience. »

Ces deux journées de tests auront lieu les 23 et 24 août sur le circuit Paul Ricard dans le sud de la France et qui a été privatisé pour l’occasion.

Tatiana Calderon et Juan Manuel Correa au volant d’une F1 au Paul Ricard cette semaine

Tatiana Calderon et Juan Manuel Correa auront l’opportunité de prendre le volant d’une Formule 1 sur la piste du Paul Ricard cette semaine.

Tatiana Calderon et Juan Manuel Correa seront au volant de la Sauber C32 conforme aux spécifications de 2013, et propulsée par un moteur V8, dans le cadre du programme de développement défini par l’équipe les 23 et 24 août.

Ce sera le début au volant d’une voiture de Formule 1 pour Juan Manuel Correa, qui a déjà décroché deux podiums dans le championnat FIA de Formule 2 2019. Ce test lui donnera l’occasion de s’habituer aux exigences d’une voiture de F1 et de développer ses relations de travail avec l’équipe en piste.

Tatiana Calderon, quant à elle, sera de retour dans le cockpit après deux sorties réussies au cours des douze derniers mois, dont une dans la voiture 2018.

« Notre équipe a la fierté de nourrir de jeunes talents et nous prenons cette partie de notre mission très au sérieux. » explique Fred Vasseur, team principal de l’équipe Alfa Romeo.

« Juan Manuel et Tatiana se sont révélés être des membres précieux de notre équipe, travaillant avec nous à l’usine et au bord de la piste, et cette opportunité dans la voiture les aidera à progresser encore dans leur compréhension de la Formule Un et dans la construction de leurs relations avec les ingénieurs et l’équipe. »

Jacques Villeneuve : « Le moteur Honda ne tient que trois ou quatre courses »

Jacques Villeneuve estime que l’unité de puissance Honda n’est pas capable de résister plus de quatre courses consécutives.

Le Canadien pense que Honda utilise volontairement son moteur à sa pleine puissance depuis le Grand Prix d’Autriche, alors que le motoriste japonais sait pertinemment que son bloc moteur ne peut pas tenir plus de quatre courses consécutives.

Cette théorie expliquerait en partie le regain de forme de l’équipe Red Bull Racing, qui a décroché deux victoires et une pole position en quatre Grands Prix.

« Le problème, c’est que Honda va devoir faire face à des pénalités au cours de la seconde moitié de la saison. » explique Villeneuve à Motorsport-Magazin.

« Ils ont un moteur qui ne peut tenir que trois ou quatre courses. C’est pour cela qu’ils ont soudainement autant de puissance, mais il n’essaient même pas de faire sept courses avec le même moteur. »

« Si Mercedes ou Ferrari utilisaient la même stratégie, ils auraient au moins 30 chevaux de plus que Honda. »

Rappelons que Honda va introduire son ultime mise à jour moteur au Grand Prix d’Italie 2019, ce qui se traduira par des pénalités de grille pour les pilotes Red Bull. Il ne restera alors que sept courses avant la fin de la saison, et il sera intéressant de constater si la théorie de Jacques Villeneuve se confirme.

La prochaine femme en F1 doit pouvoir affronter Hamilton ou Verstappen selon Coulthard

David Coulthard pense que certaines des concurrentes de la W Séries [championnat de monoplace 100% féminin] peuvent prétendre à piloter en F1.

David Coulthard, président du conseil consultatif de la W Series, estime que certaines femmes présentes en W Séries ont largement le talent pour pouvoir un jour passer en Formule 1.

Cependant, Coulthard précise qu’il faudra trouver l’équivalent féminin de pilotes comme Lewis Hamilton, Max Verstappen ou encore Charles Leclerc pour qu’elle puisse prétendre battre tous ces hommes en catégorie reine du sport automobile.

« En W Séries, nous avons mis en exergue le talent féminin, et je pense que quelques-unes des concurrentes sont capables de piloter en Formule 1. » déclare David Coulthard.

« Mais maintenant, la question est de savoir si elles sont suffisamment capables ou est-ce que vous recherchez un Lewis [Hamilton], un Max [Verstappen] ou un Charles [Leclerc] ? »

« Vous devez chercher leur équivalent féminin, car à moins d’être aussi bonne qu’un Lewis, un Max ou un Charles, elles ne les battront pas. »

Cette année pour sa première saison, c’est Jamie Chadwick qui a été titrée en W Series. La pilote britannique fait déjà partie du programme des jeunes pilotes de l’équipe Williams en F1 et est pour l’instant la principale prétendante à un baquet en F1 à l’avenir.

Valtteri Bottas assure que ses tests en Rallye lui sont bénéfiques en tant que pilote

Valtteri Bottas a déclaré que ses récents tests en Rallye n’ont pas été effectués juste pour le plaisir.

Le mois dernier, Valtteri Bottas a pris le volant d’une Toyota Yaris WRC pour un test avec le constructeur japonais, alors que plus récemment, le Finlandais a effectué un autre essai au volant d’une Ford Fiesta WRC sur les routes allemandes.

Bottas, qui n’a toujours pas annoncé ses projets pour la saison 2020 de Formule 1, estime que piloter des voitures de Rallye présente beaucoup d’avantages dans sa carrière de pilote.

« Pour ce test en particulier [avec Toyota], il n’y avait aucune autorisation nécéssaire. » a déclaré le pilote Mercedes Valtteri Bottas.

« J’ai fait ma demande il y a déjà longtemps, et on m’a dit qu’il n’y avait pas de problème. Je le fais parce que je pense que c’est bon pour moi. Je le fais parce que je sens toujours que j’apprends quelque chose de plus. »

« Je crois toujours qu’en tant que pilote de course, plus on peut conduire de voitures sur différentes surfaces, plus on peut bénéficier des compétences de manipulation de chaque  voiture. »

« C’est bon pour la coordination, les réactions et le feeling général avec la voiture. C’est très amusant, mais il y a aussi des avantages, c’est ce que nous pensons. »

« En fait, je n’avais jamais conduit de voiture sur du gravier auparavant. C’était une nouvelle expérience et tout s’est bien passé. J’étais en un seul morceau, sans fracture, donc tout va bien. »

L’équipe Mercedes devrait annoncer son line-up pour la saison 2020 dès la rentrée, Valtteri Bottas et Esteban Ocon étant les deux seuls pilotes en lice pour être le coéquipier de Lewis Hamilton en 2020.